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[RP]Les 10 Petits Bretons

--Poline


Chacun prenait place autour de la tablée. A ses côtés, s'installèrent le nobliau qui ne lâchait plus la jeune donzelle qui devait avoir tout juste.. 16 ans.... Elle se mit juste à sa droite... elle regardait également une autre jeune donzelle qui semblait chercher quelque chose discrètement dans son sac. Elle ne voyait rien, la jeune femme se tenant de dos... Sa curiosité était en éveil. Elle regardait également l'autre homme qui s'installa à l’une des extrémités de la table et semblait également passer tout le monde en revu.
Nadel s'était aussi installée et semblait dans ses pensées. Elle essayait de deviné qui ils pouvaient bien être...
Elle avait quitté le château vers sa seizième année... après ce terrible accident.... Le père de Thomas avait demandé à sa mère de quitter les lieux et de ne plus revenir....

Elle tourne la tête vers la jeune femme assise près d'elle et tout en dégustant les mets lui demande..... Et vous ? quel est votre lien avec le regretté Thomas ? et vous Messire Youenn?
Elle continue de manger en attendant la réponse.....
--Cunegonde11




Qu’ils étaient nombreux, beaucoup trop nombreux !

Les discussions allaient bon train, on tissait des liens, même des affinités avec les membres présents. La vieille femme avait passé tout son temps à râler assise dans un fauteuil du salon. Son regard noir détaillait chacun des individus de haut en bas. Elle ne s’était pas présentée. A quoi bon ? Ils ne désiraient pas la connaitre et elle encore moins ! La fortune du regretté défunt il n’y avait que cela qui l’intéressait. Son déplacement sur cette île maudite devra être récompensé. C’était qu’elle en avait des choses à faire la vieille dans son château !

Et puis soudain, un cri déchirant retentit.

Sursaut de frayeur. Ses mains ridées cramponnèrent les accoudoirs, elle était prête à bondir au moindre problème.


Du calme ! Il faut rester calme... Et nous devons trouver où se trouve la personne qui a crier. Vite.

Des voix qui s’élevaient… La vieille aurait bien rembarré la petite mais elle prit sur elle pour bien se tenir...

Et une porte qui s’ouvra brutalement. Deuxième sursaut. Sa main se posa automatiquement sur son cœur. Fallait pas lui faire une frousse pareille à la belle-mère ! Ayant retrouvé son souffle et calmer son coeur, Cunégonde fusilla du regard le majordome et maugréa à son intention: pour sûr que je te congédie quand j’aurais touché la fortune pauvre imbécile !!

Elle se leva et suivit docilement les autres invités jusqu’à la table. Les discussions avaient repris l’air de rien. Plus les minutes passaient plus la situation l’exaspérait. La fortune lui revenait de droit et ils étaient vraiment trop nombreux ! Elle repoussa la chaise et s’assit sans un bruit. Elle posa ses coudes sur la table et se gratta la tête attendant impatiemment que le temps passe...
Le Château, incarné par Ambre_
Il pleut des hallebardes sur le château remuant les marasmes de la culpabilités dans l'âme de chacun des habitants.
Les vagues s'agitant menaçantes appellent de leur crêtes à noyer leur chagrin, si chagrin ils avaient.
Ruisselle l'eau sur les pierre que la pluie fouette, la rendant luisante sous les éclairs incessants..
Les hommes s'imprègnent de la nature, mais ce soir on aurait dit la nature emprunter la Colère de l'un d'eux.

Vous qui passeriez par là, vous vous arrêteriez dans cette cour, devant une fenêtre, observeriez ces visages fermés, qui suent l’inquiétude.

Vous verriez la valse d'un majordome qui s'en va, s'en revient, en silence, servant plat, pain, de temps à autre, et vous auriez remarqué vous, sans aucun doute que la cheminée en pierre, ne reste plus que neuf petites statuettes, l'une d'elle volatilisée.

Peut être l'un d'eux lèvera-t-il sa tête de son assiette remarquant la babiole volatilisée, peut être que personne n'a eu le temps de s'ennuyer jusqu'à les compter..mais ce soir, la mort a la couleur d'un bout de céramique blanc et bleu représentant un breton dans sa tenue traditionnelle.
La mort, s'est invitée à leur table, elle a posé son regard sur l'un d'eux, mais insouciants personne d'eux ne la voit à présent.

S'ils savaient..que bientôt, elle croquera un convive comme ils plantent leurs dents dans un morceau de pain..












--Gontrand_grettel


Gontrand restait silencieux mais ses neurones s’électrifiaient.

Il observa tout d’abord les inconnus, le moine discret, la jeune fille innocente, l’aubergiste bonasse, et se questionnait sur leur présence en ces lieux. Qui vivra verra…

Puis, son regard se posa sur le Duc de Douarnenez, mégalomane bien connu de la famille Grettel. L’île n’était pas à vendre. Fin de la discussion. Néanmoins, visite après visite, ce dernier s’entêtait et revenait toujours avec son sempiternel discours. Buté le Duc?

Vint ensuite Lou, la fille de l’écuyer. Jeune rouquine qu’il avait vu grandir et qui, lui semblait-il, avait de grandes ambitions. Il était curieux de connaître quelles manigances elle ferait siennes pour parvenir à grimper les échelons.

Son regard s’arrêta ensuite sur le vieil homme à lunettes. Comment se nommait-il déjà? Jacobi? Jacobin? Jacobus? Oui, Docteur Jacobus. Il était venu souvent au château ventant les mérites de ses nouvelles mixtures aux vertus… douteuses? Docteur… Charlatan de la pire espèce plutôt, prêt à tout pour emplir son escarcelle!

Nadel, sa pulpeuse blonde belle-sœur ou l’opportunisme élégant. Depuis la mort prématuré de son frère Hansel dans des circonstances douteuses, Gontrand se plaisait à la qualifier de veuve noire. Charmante la dame à prime abords, pleine de charmes et très loquace. L’incarnation de la parfaite courtisane! Comment son frère avait-il été aussi crédule pour tomber dans ses filets?

Il porta ensuite son regard sur Cunégonde, l’ancienne femme de Thomas. Elle ressemblait physiquement beaucoup à sa mère mais était tout à son opposé. Femme dure et froide, autoritaire et orgueilleuse, pourquoi Thomas lui avait-il un jour passé la bague au doigt?

Et pour finir Youenn, le bellâtre… L’être le plus pédantesque, suffisant et vaniteux qu’il lui avait été permis de connaître mis-à-part, bien entendu, «feu» son frère… Combien de fois ces deux acolytes lui avaient fait porter le chapeau lors de leurs coups pendables? Combien de fois l’avaient-ils dénigré, ridiculisé et humilié juste pour le plaisir? Que de blessures profondes… Son regard s’assombrit, ses traits se durcirent, et le faciès de la haine habillait désormais son visage.

D’un coup sec, il repoussa sa chaise, se leva et lui sauta au cou. Il l’étranglait avec une hargne féroce, les yeux rougis par la fureur qui l’habitait, tremblant de haine et criant comme un damné.


Plus jamais tu m'entends! Plus jamais!
--Youenn_de_kergoat



Il avait quasiment oublié cet affreux cri avec le repas...
Vaisselle de belle facture, table richement décorée et nourriture apportée juste sous le nez. Il était irrémédiablement dans son élément.
Ces lieux n'avaient pas changés en cela.
O combien il avait aimé ces moments où lui et Thomas devisaient hautainement sur telle ou telle chose. Ils s'égosillaient à s'en étouffer pendant le temps où des délices leur étaient servis, et ce, depuis leur plus jeune âge.
Le confort, il n'y a que cela de vrai, autant celui que l'on considère matériel que celui des mots.

Aujourd'hui il n'y avait plus son ami alors il se taisait. Mais le frère était là.
Du coin de l'oeil il le surveilla tandis que celui semblait passer en revu les personnes ici présente, son regard s'attardant sur chacun d'eux.
Il avait toujours été différent et Youenn le qualifiait associable. Et c'est pour cela que lorsque les deux compères lui jouait les plus mauvais tours qu'il soit.

Lorsqu'il vit le jeune homme trembler, caractéristique d'une nouvelle crise, le Vicomte ne put s'empêcher de sourire. Parfois même, ils s'étaient amusés à le provoquer. Mais pas au point de....


- Plus jamais tu m'entends! Plus jamais!

Et le voilà avec deux mains plus grandes que jadis autour du cou. Il avait osé arriver à cette extrémité en temps de deuil.
Youenn s'extirpa de la chaise, entraînant le brun toujours accroché dans sa chute. Et les voilà roulant, alors que l'albâtre que l'air manque rend son visage plus pale que le marbre tentait de se dépêtrer. Des anciennes années de service militaires lui restaient malgré tout, réussissant à le bloquer sous son corps.


- Mais que te prend t-il ?! Docteur Jacobus voilà un homme possédé par le Malin ! Faites quelque chose !

...Ou comment profiter des gens.

--Guillemot_sanctechene


Le moine s'était tenu silencieux jusque la, observant les gens qui l'entourait. Lorsque le temps était venu de passer a table, Il avait prier, faisant une sorte de pseudo complies pour lui même. Les statuettes l'avaient interloqués, mais sans plus. Quand au cri.... Il souhaitait éclaircir ce mystère, mais il n'était pas dans ses habitudes d'avoir des réactions qu'ils jugeait excessive. Prenez cela comme une habitude monastique.Il réfléchissait, les yeux dans le vague. Ils étaient donc dix, onze avec le majordome, et apparement une douzième personne... Si elle étaient comme les autres, cela promettait... Il supportait deja avec peine la présence de ceux la... Tous si bouffis d'orgueil... Tellement fier d'eux même.... Guillemot soupira.

Bien sur il y avait quelques exceptions, Poline, dont il appréciait la retenue, et Eleanore, qui semblait, oui, innocente. Elle devait bien être la seule a cette table... Entre Youenn et ses manières, fausses, qui révélait a intervalle régulier le coureur de jupons qu'il devait réellement être, Nael, nom different, meme personnalitée... Néammoins l'homme qui se nommait gontran Grettel semblait quelques peu différent. Silencieux, réfléchi, il... se levait en hurlant pour étrangler Youenn ? Mais qu'est ce que... ?


Plus jamais tu m'entends! Plus jamais!

La chaise qui tombe, et voila notre moine qui replonge dans le passé.... Une scène similaire de nombreuses années auparavant.... Ses doigts qui se referment autour de la gorge du céllérier... cet incompétent.... Cet abruti fini.... Existait il une seule règle qu'il n'avait pas enfrain ? Et voila le moine qui se lève bruttalement, les yeux fixés sur Youenn, qui a désormais le visage de son ancien maitre.... ce porc immonde... Les fins doigts du moine se referment autour du couteau qui coupait innocement des légumes quelques instant auparavant, et il avance lentement vers l'homme allongé qui se débat, pour échapper a l'étranglement. Ses yeux brillent d'une lueur de colère, colère glaciale, colère vertueuse, ou qui aurais été vertueuse si elle n'avait pas été sortie de son contexte... La bouche du moine s'ouvre sur un rictus cruel.

Je jure devant Dieu que tu n'ameneras plus la ruine sur personne... Sois en sur...

Disparu l'homme discret du début. Pour l'heure c'est un assassin en robe de bure, qui marche, l'oeil fou braqué sur Youenn, qui avait résussi a immobiliser son aggresseur.

--Youenn_de_kergoat


C'est un Youenn paniquant qui se roule sur le sol, arrivant à se débarrasser du sauvage. Quand dans la nuit, tel un éclair, une lame levée le menace.
Le cureton si calme avait caché son jeu jusqu'à cet instant fatidique, perdant son sang froid.

Deux hommes contre lui. Deux fous partageant la même haine, les yeux brillants d'une colère dont il ne sait rien de celle du prêtre.
Il se relève rapidement, presque à en trébucher de nouveau, et cours de l'autre côté de la table. Il regarda l'assemblée, affolé.
Ce château était-il devenu une maison de fou ?

La tenue débraillée, il n'en avait que faire. Seule sa vie comptait. Surtout quand on sait qu'il n'était pas pour la violence, du moins physique.


- Vous êtes des fous ! Vous voulez tous nous tuer pour avoir l'héritage rien qu'a vous !

Il devait cauchemarder, ce n'était pas possible. Mais il essayait de compenser en semant le doute dans l'esprit des autres, simple vengeance qui aurait son effet ou non.
Et alors qu'il se préparait au pire, un détail l'interpella. Sur le bord de la cheminée où il avait cru voir une goutte de sang atterrir, une des statuettes avait tout bonnement disparu. Signe du destin ? Malédiction ?
Car le bellâtre faisait le lien.


--Lou__kermen




[ Je suis entourée de fous ]


Voilà, j'avais tout noté, c'était presque...

Plus jamais tu m'entends! Plus jamais!

Un sursaut et je me retourne. Là, le bellâtre est sur le dos, chaise renversée, et un homme pendu au cou.
Mon sang ne fait qu'on tour, je m'élançe vers eux. Tous étaient pétrifiés.
Une peur pesait sur la pièce. Tous avaient la trouille. Moi aussi, mais très peu.

Il ne fallait pas que cela dégénère. Là, nous serions tous en danger... Même moi. C'est là que j'intervins.
Je me plaçais entre les deux hommes et, tout en repoussant légèrement l'agresseur, je relevai l'attaqué.
Faisait en sorte d'avoir une voix portante...


- Puis-je savoir ce qu'il se passe ici ! Enfin, messieurs, un peu de calme ! Nous sommes tous ici pour la même chose, mais pas pour nous entre tuer.
Je vous demanderais de bien vouloir cesser de vous battre, ou vous aurez à faire à moi.



Ben quoi, c'est pas parce que je suis une femme que je sais pas me battre !
Je leur lançai un regard dur puis me radoucit pour redonner une touche de calme et sérénité à l'ambiance.


- Nous allons passé ensemble quelques jours, autant bien s'entendre !
Je suis Lou Kermen,je l'ai déjà dit, et j'étais la secrètaire de Thomas. Je connaissais très bien le brave homme, il n'aurait pas aimé vous voir ainsi.



Puis, un sourire aux lèvres, je tentais de dissimuler mon angoisse et laisser place à la bonne humeur. Mais avec un temps pareil...
Je tendais à chacun une main, sans trop savoir s'ils me la rendraient.
Surement pas. Mais rien ne gâcherai mon séjour.
--.nadel_douglas.


Ca y est ils devenaient tous fou. Était-ce une sélection d'hérité par les nerfs ? En tout cas cela semblait mal parti pour ces trois là. Voila que le frère de son époux venait de sauter sur le nobliaux. Elle n'en avait pas cru ces yeux. Lui qu'elle avait toujours vu si calme et si pausé jamais elle n'aurait soupçonner une telle rage chez lui s'en était pétrifiant.

Ce n'était pas une femme d'arme, elle n'en avait jamais tenu une de sa vie et ne pensais jamais a avoir besoin de le faire mais même si ça avait été le cas, que faire contre deux hommes...Deux ? Ben voila que le curé s'en mêle a présent. Réflexe malheureux, le vase poser sur la table vola juste au moment ou la jeune femme intervint pour séparer tout le monde. Mais l'objet était lancer et poursuivait sa course vers la tête du curé, fallait qu'il l'évite !!! Elle avait réagit sur le coup de la peur, elle voulait pas...


Attention !!!
--Guillemot_sanctechene


Dans un état second, le visage déformé par la rage, le couteau a la main, le moine avancais lentement vers Youenn, lorsqu'un cri le fit se retourner.

Attention !

Il se tourna vers Nadel, et ne la vit pas. En effet la seule chose qu'il voyait, c'était un gros objet barriolé en approche très rapide de...

Que... ?

Le vase lui explosa au visage. Complétement sonné, le moine recula, heurta la table et s'affala lamentablement dessus, envoyant dans tout les sens un mélange pêle mele de couverts et de plat, qui finit sa course avec un fracas a peine probable au sol. Incapable du moindre mouvement, Guillemot glissa de la table et finit sa course au milieux des divers objets jonchant le sol. A savoir des morceaux de vase en majorité. Il cligna plusieurs fois des yeux pour chasser le sang qui coulait lentement de sa pommette, ou le vase l'avait heurté. L'homme ne comprenait pas ce qu'il venait de se passer. Et il était épuisé, la quasi totalité de son énergie étant passée dans son accès de colère. Mélé de folie, il devait l'avouer. Son regard chercha un point d'ancrage et tomba sur....

Il en manque une...

Il respirait vite et fort, son coeur battait la chamade, son esprit était méchamment embrumé, et finalement cette statuette qui avait disparu.... Ce fut trop pour le pauvre moine, qui s'évanouit, pas habitué a autant d'agitation.

--Poline


Poline dégustait les plats, le nez dans son assiette, regardant par-dessus de temps en temps les convives...... tout avait l'air de bien se passer quand soudain, le frère de Thomas,celui dont elle avait toujours eu peur, sauta au cou de Youenn et tenta de l'étrangler. elle fit un bond en arrière, sa chaise se renversa, elle perdit l'équilibre mais se rattrapa de justesse.

Le folie semblait envahir l'assemblée car le moine se leva aussi un couteau à la main s'approchant également de Youenn le fixant et d'une voix terrible lui dit :
Citation:
Je jure devant Dieu que tu n'amèneras plus la ruine sur personne... Sois en sur...


Poline resta interdite.... Elle, la demie-sœur, fille de la servante de l'époque, leva la tête bien haute les regardant.... La folie est le lot de cette famille !!! Alors allez y entretuez vous.... notre part n'en sera que plus confortable..... êtes vous donc venus pour cela ? ?

Elle se mit à rire et alla s'assoir sur le fauteuil attendant de voir qui sortirait vainqueur de cette joute. c'est alors qu'elle vit le moine s'effondrer et s'évanouir.......
--.nadel_douglas.


Le vase avait fait mouche et elle en était déjà désolée. Attaquer un homme d'église tout de même qu'elle honte. Tout s'était passer très vite, l'impact du vase, les bruit de porcelaine brisé, la chute et tout ce qui va avec. Elle porta sa main a sa bouche pour réprimer un cri de surprise a ce qu'elle venait de faire, elle qui n'était pas violente pour un écus.

Je...j'voulais pas...

Mais trop tard a quoi cela sert-il de s'excuser quand le mal est fait. L'homme gisait là évanoui et elle n'osait s'approcher. Et si elle l'avait tuer ? Il avait murmurer quelque mot et elle regarda dans la direction de son regard avant de tomber dans les pommes pour voir ce qu'il pouvait manquer. Il y avait un "vide" dans la ligne de statuette. Hey ben voila, a peine arriver que certain subtiliser déjà des choses quelle honte tout de même. Mais il y avait plus important pour le moment...
--Poline


Poline était éberluée de voir Nadel assommer le moine..... Elle se leva d'un bond, approcha, dégagea du pied les morceaux de vase éparpillés tout autour de lui, 'et proposa à Nadel de prendre place sur le siège qu'elle venait de quitter....

Venez vous assoir ici.... diantre, ces hommes sont fous !!!! Espérons que cela le fasse réfléchir et qu'il ne recommence plus.... Imaginez qu'il s'en prenne à l'un de nous après cela !!!! Nous devrions l'enfermer dans sa chambre.... Qu'en pensez-vous ? Au moins nous serons tranquille !!!
--Lou__kermen



[ Le crime ]


Tout alla très vite.
Le vase, le moine, Nadel... Et mon visage qui se tord de peur.
Non, elle...

Je sens mes jambes trembler et je manque de m'évanouir. C'est trop... Je me tourne vers Poline, calme et faible devant tant d'événements :


-Dame... Il faut l'aider ! L'enfermer ne servira à rien... Il est assomé... Je... Nadel ? Vous allez bien ?


Puis je me tourne vers l'homme à terre. La nausée me tient, je vacille avant de me rattraper à un meuble.


-Mon dieu...
--Lepointuduraz
Le Duc se tenait maintenant a carreaux... Une bonne giffle etait venu a bout de sa bonne patience et celui ci cherchait maintenant a se calmer... Toutefois... cette goutte de sang le perturbait... Un sanglier... Des statuettes... Combien ...? Peu importe... une petite dizaine sans doute... reparties sur le bord de la cheminée.

Tout a coup... un homme rentre... un jeune homme qui ressemble au vieux Grettel en plus jeune... Ensuite le majordome qui annonce le diner...
Le duc n'avait cependant point faim et voulais regler cette affaire au plus vite...

Il compte alors le nombre de convives... 10... Tous aussi differents les uns que les autres... Quel homme surprenant ce vieux Grettel... Il cotoyait vraiment tout type de personnes... des jeunes... des vieux... des riches... des gueux... des religieux... des coureurs de jupons (ou de décolletés)... des blondes farouches... des rousses timides... Quel eclectisme...!!!
Et lui... enfin... les simples joutes verbales avec le vieux Grettel n'avaient été que tres rares... La plupart des correspondant etaient par messagers interposés...

La nuit etait maintenant bien tombée et la pénombre laissait deviner une table avec un service en argent massif en guise de couverts... des verres finement decorés et dessiminées sur la table 2 ou 3 bouteilles en grès.


Tout a coup... tout s'enchaine... le Duc reste stoïque... Le dernier entré se met alors a lasserer le cou du belatre... qui se renverse... une bagarre de taverne eclate... Le moine s'y melle... un moine sanguinaire... Le Duc n'etait vraiment pas au bout de ses surprises... Lui restait de marbre...

D'un coup... Un vase... un moine a terre.... 2 freluquets belliqueux... Tant mieux... qu'ils s'entretuent... Ca fera ca de plus a se partage si partage il doit y avoir...


M'enfin... Tout ce vacarme... Une bataille de chifonnier... Devant un parterre de dames... laissez la vos egos messieurs et passons a table ou allez vous expliquer dehors...!!!! Quand au moine... Qu'il dorme et fasse pénitence... Usons de sa corde pour le ligoter...

Le Duc daigne alors se lever de son assise pour aller ligoter tant bien que mal les mains du moine...

Docteur... Ne vous derangez pas... il est encore chaud...

Voyons ce qu'il y a au menu... J'espere qu'il n'y a pas de sanglier... pense t'il...

Dinons en l'honneur du vieux Grettel!!!! et de sa fortune!!!!!
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