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[RP]Les 10 Petits Bretons

--Cunegonde11




L’avait-elle un jour aimé ? Bonne question…

Installée en bout de table, la vieille femme s’ennuyait ferme et s’amusait à faire un bruit infernal en faisant tomber sa fourchette dans son assiette puis en la récupérant, elle répétait inlassablement le même geste. Brutalement, sa tête se tourna en entendant les cris de son beau-fils. Décidément les frayeurs étaient au rendez-vous aujourd’hui. Gontrand se précipitait sur le petit morveux. Après réflexion, la vielle se rendit compte qu’elle ne lui avait que rarement adressé la parole ni à lui, ni à Thomas d’ailleurs... Les deux frères n’avaient certainement jamais compris comment leur père avait-il pu ramener une telle femme au château familial. Un mystère de plus mais la vérité éclatera-t-elle un jour ?

Des disputes, ils s’entretuaient… Pitoyables, ils sont tous pitoyables. Et quand ce n’était pas un frère fou qui menaçait un petit morveux, vla qu’un vase valsait dans l’air. Vraiment, elles les méprisaient tous l’un après l’autre. Y avait bien la petite Poline qui était un peu plus futée que les autres, après réflexion peut être même un peu trop, Cunégonde s’en méfiera à l’avenir tout comme du duc lui aussi paraissait un peu trop intelligent...

Le moine était étendu sur le sol. Evanoui ou peut-être même mort ? Bof sa en fera un de moins. Cunegonde n’était-elle donc dotée d’aucun sentiment ? Avec un sourire machiavélique, la vielle femme continua de se nourrir. Après tout, les mets étaient vraiment succulents, il fallait en profiter, si le majordome paraissait étrange au moins cuisinait-il bien... Elle porta à sa bouche une autre bouchée, une ultime bouchée... Moment fatal ! La fin était proche !


Dinons en l'honneur du vieux Grettel!!!! et de sa fortune!!!!!


Ce fut la dernière parole qui parvint aux oreilles de la belle-mère aigrie. Ses deux mains ridées claquèrent sur la table. D’un bond elle se mit debout. Un regard empli d’effroi se tourna vers les convives. De l’air ! Elle avait besoin d’air !! Que se passait-il ? Etouffait-elle ? Non… C’était plutôt comme si un… un… poi…so..n… la rongeait de l’intérieur... Son sang devenait brulant alors que son visage lui devenait livide. Il fallait qu’ils lui viennent en aide avant qu’il ne soit trop tard !! Or c’était déjà trop tard…

Cunegonde s’effondra brusquement sur le sol. Ses corps tout entier fut pris d’assaut par d’innombrables frissons. Ses mains s’agrippèrent au tapis. Et puis le calme… Son corps se crispa et se figea, ses yeux devinrent vides et sa bouche resta entrouverte.

Un des héritiers venaient d’être évincés. Il n’était désormais plus que neuf mais jusqu’à quand ?
--Poline


Au moment où elle propose à Nadel de s'assoir, elle entend un cri étouffé...
Poline se retourne d'un bond et voit la vieille femme s'effondrer.... Au sol deux corps côte à côte le Moine et la vieille femme.....

elle se précipite et appelle le médicastre au secours....

Messir Jacobus !!!! Venez vite !!!! Ô madoué !!!! regardez ces yeux !!! je crois qu'elle.....

Poline pose son oreille contre la poitrine de Cunegonde, mais il n'y a plus de souffle.

Elle est morte !!!!!!!!!!!!!

Poline reste figée..... Et voilà qu'ils se retrouvent 9....
--Jacobus


Dès que les premiers plats étaient arrivés, Jacobus avait commencé à manger, s'empiffrant sans vergogne de tous les mets servis... Dame, quand c'est offert, n'est-ce pas ! ...Tout en dévorant, il tenait cependant à l'oeil les autres convives, surtout le frère de Thomas, un être visiblement troublé qui avait toujours refusé les remèdes qu'il lui proposait par pure bonté... pourtant dieu sait qu'ils lui auraient fait du bien, et même l'auraient guéri de toutes maladies présentes et à venir ! Cela le surprit à peine quand cette espèce de grand corbeau noir se jeta soudain sur le jeune fat, renversant plats et assiettes.

Avec une célérité décuplée par le souci unique de protéger sa maigre carcasse, Jacobus se précipite sous la table. De là, il les voit se battre au sol, et entend beaucoup de bruit et d'agitation... Au milieu des cris de femmes, une voix qui profère de sombre menaces... Puis un choc sourd, de la porcelaine brisée et un corps qui s'effondre, celui du moine. On s'affaire autour de lui, Jacobus en profite pour sortir discrètement de sa cachette... Oh, pas complètement, juste pour voir, et prendre de la nourriture s'il devait retourner sous la table...

Alors que sa main se tend vers un pilon de dinde épargné par la violence, il voit la vieille Cunégonde toujours attablée, et qui mange en observant la scène, imperturbable...Jusqu'au moment où elle se lève brusquement, le visage écarlate et les yeux qui roulent dans leurs orbites... et s'effondre à son tour,prise de spasmes, ses doigts crochus griffant le tapis !


Citation:
Messir Jacobus !!!! Venez vite !!!! Ô madoué !!!! regardez ces yeux !!! je crois qu'elle.....


Le médicastre s'approche avec prudence, tandis que la femme Poline pose son oreille sur la poitrine de Cunégonde...

Citation:
Elle est morte !!!!!!!!!!!!!


Agitant un pilon de dinde, il fait signe à l'infirmière bénévole de laisser faire le professionnel :

Allons, allons, pas de conclusion hâtive, voulez-vous ? C'est qui le médecin ici ?

Il s'agenouille près du corps déjà raide, lui tâte le poignet :

Pas de pouls...

Il lui écarte les paupières avec deux doigts :

Oeil vitreux...

A deux mains, il lui écarte les mâchoîres, se penche pour renifler puis se relève aussitôt :

Haleine pestilentielle... Tous les symptômes concordent.

Il époussète ses vêtements, essuie ses lorgnons, puis déclare d'un ton péremptoire :

Cette femme est aussi morte qu'une pierre.
--Gontrand_grettel


Gontrand, retenu au tapis par Youenn, aperçu en arrière scène la lueur étrange des bougies se reflétant sur un objet métallique brillant. Son visage haineux disparu instantanément et fit place à la surprise. Les yeux écarquillés, la bouche béante, il vit le moine foncer en droite ligne sur les deux belligérants armé d’une des pièces tranchantes de l’argenterie.

Je jure devant Dieu que tu n'amèneras plus la ruine sur personne... Sois-en sûr...

Youenn put lire sur son visage ce changement d’humeur inattendu et roula sur sa gauche, le dégageant ainsi de son emprise. Gontrand profita de cet interlude pour se redresser et regarda le tableau se jouant devant lui d’un air amusé. Fasciné par ce revirement imprévisible, il ne porta attention aucune aux paroles de la rouquine qui semblait babiller à leur droite.

Puis vint l’épisode du vase de Chine, habilement propulsé par sa belle-sœur, qui, quelques secondes plus tard, finit sa course directement au visage du religieux. Ce dernier, après quelques pas de deux, se retrouva KO au beau milieu d’un plancher jonché d’éclats divers, de plats de service et de boustifaille.

Youenn, s’étant envolé de l’autre coté de la table, lança d’une voix qui lui parut légèrement ébranlée:


Vous êtes des fous! Vous voulez tous nous tuer pour avoir l’héritage rien qu’à vous!

Et de l’aubergiste d’ajouter presqu’en simultané :

La folie est le lot de cette famille. Alors allez y entretuez vous.... notre part n'en sera que plus confortable..... Êtes-vous donc venus pour cela ? ?

En entendant ces mots, tous ses muscles faciaux se relâchèrent et ensuite se transformèrent en un rictus délirant.

Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha!

Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha!

Ses épaules étaient soumises à des spasmes sporadiques et réguliers. Des larmes coulaient maintenant sur ses joues et il se tenait le ventre à deux mains.

Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha!

Il soupira et puis, reprenant son calme habituel…

Bande d’imbéciles!

Il se releva, replaça ses habits et lissa sa longue chevelure ténébreuse. Portant une main à son cou, il détecta sa croix et la caressa longuement. Son visage était redevenu de marbre. Il marcha lentement vers son fauteuil, jetant des regards pénétrants à l’assemblée, puis s’assit comme si rien de ce qui précédait ne s’était passé.

Le Duc, tentant de calmé le jeu, invita les convives à reprendre place et à savourer le festin qui leur avait été servi. Étrange individu celui-là, à savoir si quelqu’un aurait de l’appétit…

Il regarda Cunégonde, assise à ses cotés, qui ne semblait aucunement déstabilisée par ces incidents fortuits, continuer à avaler sa pitance machinalement quand tout à coup, après multiples grimaces, elle s’affala sur le sol comme un vulgaire sac de blé. Il sourit malicieusement et resta coi devant le cadavre de celle qui avait osé prendre la place de sa tendre mère.

On se reverra en enfer vieille chipie!
--Poline


Citation:
Allons, allons, pas de conclusion hâtive, voulez-vous ? C'est qui le médecin ici ?

Poline écouta le médicastre et vit comme lui qu'elle ne bougeait plus....

bien fait....
pensa -elle.

Ccomme elle les détestait tous..... ils l'avaient chassé, elle et sa mère, alors qu'elle toute jeunette alors qu'elle méritait aussi sa place en ce lieu. après tout elle était peut-être la fille bâtarde du châtelain, alors elle méritait autant que les autres.... Et elle, Cunegonde, la belle-mère, si elle n'avait point rencontré son père, elle serait peut-être encore là à vivre dans ce château..... Thomas s'en était rappelé et l'avait du fait couché sur son testament....

Morte dites-vous ? mais de quoi... elle s'est étranglé en mangeant ???? A trop vouloir mangé et tout prendre la voilà bien punie !!!!

Elle était ravie la gueuse...... C'est alors qu'elle remarqua qu'il manquait une statuette sur la cheminée où des gouttes de sang étaient collées...

Bizarre pensa t-elle, qui a bien pu faire cela ?
--Lou__kermen


Trop. C'en était trop.
Trop pour un soir. Trop pour une vie.
Trop pour moi.

Ma tête n'avait pas assimiler, et mon corps tremblait de tous ses membres.
Morte.

Pourquoi ? Comment ??
Impossible...

Une vie qui s'arrête en si peu de temps.
Je sentis mon coeur s'accéléré et mes jambes me lacher.
Je me laissais retomber sur un siège, frêle.


-Morte... Non... C'est... Il faut appeler un médecin ! Il faut... Le meurtrier... Il est ici... Forcément...


Mes yeux effrayés regardèrent autour de moi. Le meurtrier était-il présent ?
J'eus alors l'impression que ce n'était que le début et que j'allais y passer...
--Poline



Elle reste immobile dans la pièce se tortillant les mains, regardant par dessous chaque membre présents..... Elle essaie de se souvenir .... Qui s'est approché de l'assiette de cunegonde..... qui s'est absenté de la pièce..... Elle ne les lâche plus du regard la peur au ventre..... elle est hypnotisée par les statuettes sur la cheminée... qu'est-ce que cela veut dire et ces gouttes de sang ? elle frissonne, elle voudrait partir, mais l'orage est déchainé, la mer démontée. aucune embarcation ne bougera pour cette nuit et peut-être pas demain. elle connaît bien la région et sait que cela peut durer des jours....

Elle appelle le marjorme...

Marjodorme !!!!! Servez-nous un petit remontant on en a bien besoin et faites enlever le corps de.... cette femme..... Montez la dans sa chambre ou dans la buanderie.... Mais enlevez la d'ici !!!!!!!!!!!!!!
--Gontrand_grettel


Gontrand, toujours assis confortablement dans son fauteuil, analysait la réaction de ses compatriotes. Mis-à-part le moine qui était toujours dans les vapes, seules trois personnes semblaient réagir à la mort évidente de Cunégonde. Étaient-ils tous aussi apatiques que lui ou étaient-ils simplement paralysés par la peur? La rouquine émit alors quelques bribes dont une phrase qui lui plut tout particulièrement.

-Morte... Non... C'est... Il faut appeler un médecin ! Il faut... Le meurtrier... Il est ici... Forcément...

Effectivement, si meurtrier il y avait puisque rien ne semblait pour le moment confirmer qu'il s'agissait bien là d'un meurtre, il était présent.

Il se leva et, entendant l'aubergiste s'égosiller:


Marjodorme !!!!! Servez-nous un petit remontant on en a bien besoin et faites enlever le corps de.... cette femme..... Montez la dans sa chambre ou dans la buanderie.... Mais enlevez la d'ici !!!!!!!!!!!!!!

il lui répondit:

Les grands esprits se rencontrent, chère dame. Docteur, pourriez-vous avoir la gentillesse de m'aider à la transporter dans ses quartiers? Je suis persuadé que notre majordome a déjà assez de chats à fouetter pour l'instant.

Il jeta un regard sur la table et le plancher puis reprit:

Il serait aussi bienvenue d'accorder vos bons soins à l'homme de Dieu qui git sur le plancher. Qu'en pensez-vous?
--Poline


Code:
Les grands esprits se rencontrent, chère dame. Docteur, pourriez-vous avoir la gentillesse de m'aider à la transporter dans ses quartiers? Je suis persuadé que notre majordome a déjà assez de chats à fouetter pour l'instant.


Elle resta regarder son demi-frère qui n'avait point l'air de la reconnaître. Faut dire qu'elle avait bien vieillie la Poline depuis tant d'années. Elle était restée également bien écartée de cette famille qui n'avait pas voulu d'elle ni de sa mère.

Citation:
Il serait aussi bienvenue d'accorder vos bons soins à l'homme de Dieu qui git sur le plancher. Qu'en pensez-vous?


Oui, je m'en occupe, je vais lui faire les premiers soins et lui mettre un bandage à la tête.....


c'est ainsi qu'elle se retrouva à nettoyer les plaies du moine. il était coupé de partout, des petites entailles. elle jeta un regard furieux à Nadel se disant qu'il serait normal que ce soit 'elle qui soigne la victime.... Elle secoua également le moine, histoire de lui faire reprendre ses esprits.

Ohééé mon Père !!!! réveillez-vous, c'est moi Poline !!! Comment allez vous ? vous m'entendez ????

voyant que le moine ne réagissait pas, elle se leva prit la cruche d'eau qui était restée sur la table et versa le contenu sur la figure du moine. Cela devrait avoir un effet terrible et le reveiller....
--.nadel_douglas.


De rouge de honte de son geste...on passe a blanc comme un linge par la nouvelle qui vient de tomber. Morte ? Mais comment ? Pourquoi ? La nourriture aurait été ....? Appétit coupé net sur le coup, elle se passera de cela pour ce soir. Le corps fut finalement transporter dans ses appartement par deux hommes, le médecin et son beau frère. Bonne initiative, sa vue lui donner mal au cœur. Comment pouvez ton ôter la vie a une femme ? Un homme a la rigueur elle comprenais eux qui étaient a l'origine de tous les mots mais une femme !

Dame Poline s'occuper de l'homme d'église a terre et elle, ben avait perdu son aplomb légendaire d'un coup. Aucun d'eux ne semblait spécialiste, ils n'aurait de réponse a toute leur question ce soir et il était déjà bien tard pour qu'on leur signifie le pourquoi du comment de leur présence. Elle se leva donc et se servit un verre de liqueur qu'elle vida d'un trait pour se remettre de ses émotions. Chacun semblait avoir son occupation et elle n'était nullement utile en ce moment.


Je...je vais me retirer dans...mes appartements... il se fait tard !


Malgré tout ne peut s'empêcher de jeter un œil en coin accompagner d'un sourire plein de sous entendu au nobliau fort bien battis avant de détourner le regard mine de rien. La soirée a vraiment mal commencer et la finir en beauté pour n'être pas plus mal.

Je vous souhaite une bonne nuit si tentait qu'elle puisse l'être après ces émotions !


Après tout peut être l'age avait-elle eut raison de cette femme. Elle s'inclina donc et se retira dans sa chambre...
--Lepointuduraz
Et d'une... Mais quelle surprise... Le Duc se doutait que 10 heritiers c'etait neuf de trop mais pensait plutot user de sa lame pour faire plier les plus belliqueux...

Celle ci est tombée de sa chaise... Un malaise....?? Une mauvaise chute...?? Une crise cardiaque...?? Un empoisonnement...?? Ou tout simplement un arret cardiaque... Il faut bien dire qu'elle avait pas l'air bien jeune la vieille... Qu'aurait elle fait de tant d'argent et d'une ile...??

Toutes ces hypotheses trottent dans la tete du duc... Un meurtre... avant meme de connaitre l'heritage... Le Duc qui s'etait ouvert l'appetit semblait tout d'un coup beaucoup moins aise a donner son premier coup de cuillere... Avait on empoisonné la soupe de la vieille Tartagnolle...?? Mais comment...? si nous nous sommes assis la ou bon nous semblait... Etait ce vraiment destiné à cette folle...? ou a un convive quelconque...? Le Majordome, le cuisinier... un heritier... Tous doivent etre de meche...
LePointu scrute alors tous les regards des convives tous plus ou moins affolés par la situation de ce drame...

Pour sa part, le Duc se persuadait que la vieille devait avoir un coeur fragile et que la vue d'un moine avec un couteau assommé par une blondasse soit venu a bout de son vieil organe. La these d'un empoisonnement est maintenant inverrifiable... Sauf si le docteur osait daigné ausculté le cadavre d'un peu plus pres... Quel charlatan ces docteurs... Ne plus entendre de battements pour diagnotisquer une mort... C'est donné a tout le monde!!! Sans doute avait il d'autres talents... peut etre celui de concocter des remedes.... ou des poisons... D'ailleurs il avait deja gouluement commencé a manger...

Le duc cherche alors a se rappeler qui s'etaient assis en premier... mais ce détail lui echappe...

Et cette petite rousse qui fait semblant d'etre affolée mais qui manigance quelque chose dans son sac... peut etre communique t'elle avec le Majordome pour nommer le prochain convive a nous quitter...

Le Fils Grettel avait repris plus ou moins ses esprits... Voulait il faire diversion et pourquoi n'etre entré dans la piece que si tard...?? Etait il en cuisine avant...?

Autant d'interrogations laissaient le Duc songeur... Il n'osait toucher a sa soupe...

Pendant qu'on s'occupait du moine, le Duc se leva de sa chaise et retourna voir le sanglier empaillé... Un mauvais présage... Il vit alors une seconde goutte de sang degouliner le long du croc... et tomber sur une statuette... la meme statuette................... logiquement............... Or celle ci tomba sur une statuette vierge de tout sang... Il examina alors toutes les statuettes et ne retrouva pas celle qui avait déja été entachée... Il regarde alors le foyer du feu... mais rien... juste 2 gros tisons... Ou diable etaient passée cette statuette...
1, 2 ,3 ... 9 Elles sont neuf!!! marmonne t'il...
On ne l'y reprendra pas... Si on commence deja a voler l'heritage... Le Duc ne fit pas le rapport entre les 9 stuatuettes et le nombre de convives... son esprit etait comme ailleurs...


Majordome!!!!Venez et goutez ma soupe...!! Elle manque peut etre un peu de sel...
Le duc ne savait comment faire tester sa soupe...
Et faites en amener 2 ecuelles avec un peu de pain à mes rameurs en bas pres du gros rocher...
--Lou__kermen




Voyant Nadel se retirer, je pensais qu'il était temps pour moi d'en faire de même.
Mais qui s'occuperai du cadavre ? Hein, qui oserai ?
Mon sang froid avait des limites, mais heureusement, elles n'étaient pas atteintes. Des meurtres, j'en avais vu plus d'un.

Controlant ma respiration, je repris peu à peu mes esprits. Du calme, il fallait...



- Je veux bien m'occuper du cadavre. Majordome ? Quelqu'un pour m'aider ?


Ma voix était légèrement tremblante mais je tentais de garder mon calme. Je lançais des regards quémandeurs sur tous les visages, cherchant en vain l'aide d'une bonne âme.
Mais y en avait-il vraiment, ici ?
--Poline


Poline tout en essayant de réveiller le moine leva la tête vers Lou...

Laissez le cadavre, le médicastre et Gontrand s'en occupent, venez plutôt m'aider à réveiller cette foutue bête à bon Dieu !!!! Par Aristote il est bien assommé celui-ci !!!! Par la même occasion, pouvez-vous me servir un verre de cette liqueur ? J'aurai bien besoin d'un p'tit remontant !!! Madoué béniguet !!!!!

Tout en parlant elle regardait autour d'elle, entendit également Nadel qui disait aller se reposer.....
Bonne nuitée Dame, fermez bien votre porte, sait on jamais..... Mieux vaut être prudent !!!!

Poline avait envie aussi d'aller se réfugier dans sa chambre, mais être seule lui faisait peur, ne plus voir les autres, ne plus pouvoir les surveiller...... Elle se rongeait les sangs, et si ils allaient s'en prendre à elle aussi et tuer ainsi toutes les femmes de la maison.......
--Guillemot_sanctechene


Une sensation froide, le moine ouvre les yeux, tousse un peu, et constate avec stupéfaction qu'il est trempé. Il se redresse, grogy et dégoulinant, pour voir qu'on se mettait a bouger un corps inanimé. Guillemot avait quelques difficultés a comprendre ce qui se passait, mais lui même allait relativement bien après avoir reçu un vase en pleine face. Aussi il dit d'une voix encore un peu faible:

Je.... qu'est ce qui se passe ?

--Lou__kermen


-A vos ordres !


Dit mollement. Mon esprit s'était créer une carapace, il fallait paraître de fer. Le meurtrier était toujours ici, parmis nous...
Un frisson me parcoura tandis que le moine se relevait à peine.
Je courrais à la cuisine, j'attrapais un verre et le rempli. Puis, je m'empressai d'aller le donner à la damoiselle.

Un instant plus tard, j'étais au chevet du moine.



- Vous allez bien ? Vous avez été assomé... Rien, il ne... Enfin si, Dame Cunégonde est...


Le mot a du mal à sortir. Calme, nouvelle inspiration.



- Morte. Mais pas de panique, on s'en occupe... Voulez-vous à boire ?
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