Afficher le menu
Information and comments (1)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >>

[RP]Les 10 Petits Bretons

--Guillemot_sanctechene


Le moine se redresse lentement, le regard sur le corps qui est emmené ailleurs. Des morts il en a déja vu, il a deja prié pour le salut de leurs âmes. il avait vu des corconstances pires. Néanmoins si la mort avait frappée ici, nul n'était a l'abri, une épidémie, ou quoi que ce soit... Ces choses la sont fulgurantes et frappent sans avertir. Malgré ses inquiétudes son visage resta de marbre.

Ainsi elle est morte ? Je ferais une office demain.

Il sourit doucement a la jeune femme.

J'ai eu plus que ma dose d'eau, mais j'en prendrai bien encore un verre malgré tout, merci.

En ces temps sombres, c'est aux moines qu'il revenait d'aider les autres âmes. Ainsi allait les choses, les medecins et les hommes de dieux était ceux qui faisaient face a la mort, et aidaient les autres a l'accepter. Malgré tout son accès de rage lui restait en travers de la gorge. Le dernier de cette violence remontait a plusieurs années, mais cette île avait un impact négatif, malgré sa première impression. Il soupira et se leva lentement, prenant appui sur une chaise proche.

Merci de vous être occupées de moi mes filles.

Il suit du regard Nadel Douglas qui sort. Il ne savait trop comment agir avec cette femme. Il allait l'observer plus longtemps, avant de tirer une quelconque conclusion.

--Poline


Poline était rassurée de voir le moine reprendre ses esprits...

Mais enfin !!! Qu'est-ce qu'il vous a pris de le menacer avec un couteau !!! que vous a t-il fait ??? Le connaissez vous ce bellâtre ?

Poline voulait savoir, curieuse de nature elle était toujours au guet de tout ce qui se passait et ici plus que tout !!! après tout, sa vie était peut-être en danger.....
--Gontrand_grettel


Après avoir saisi les bras de sa belle-mère, laissant donc le soin au vieil homme de saisir les extrémités opposées, le frère cadet et le soi-disant médecin empruntèrent, cahin-caha, un des nombreux corridors suintants du château.

Au gré de leur passage, la lueur émise par les torches accrochées aux murs semblait s’appliquer à y peindre une suite inquiétante de tableaux aux allures funestes et morbides. En silence, Gontrand appréciait.


Un petit effort toubib. Plus que quelques pas et la vieille se retrouvera sur son lit de mort.

Cette légère touche de sarcasme dessina, le temps d’un éclair, l’esquisse d’un sourire sur son visage sévère.

Arrivés à sa chambre, ils la déposèrent sur son lit.


Dites, vous qui êtes expert en la matière, auriez-vous une idée de la cause probable de sa mort? Voyez-vous des signes particuliers qui pourraient vous donner des indices?

Mort naturelle ou meurtre intéressé? Qu'en pensez-vous?
--.nadel_douglas.


Elle avait acquiescer quand on lui avait dit de fermer sa porte a clef d'un signe de tête évasif tout a ses pensées. Cette femme était-elle morte naturellement ? Si non qui avait fait cela ? Pourquoi ? Allaient-ils tous y passer ? Autant de questions qui ne trouvèrent pas de réponse. Très bien il faudrait donc être sur ses gardes au cas ou on ne sait jamais. D'ailleurs le mieux serait de passer la nuit accompagner cela dissuade toujours les "mauvais joueur" de s'en prendre a soit et on a qu'une personne a surveiller ainsi. Accessoirement ça permet aussi de passer une bonne nuit. Enfin en l'occurrence là, elle resterai seule, le nobliaux semblait avoir les ardeurs refroidit avec tout ca.

C'est ainsi qu'elle regagna sa chambre. Elle la connaissait un peu pour y avoir déjà séjournée mais elle n'aurait pu dire si quelque chose avait changer de place ou disparut. Elle avait eu un coup de sang et un coup de chaud tout a l'heure si bien qu'elle se sentait beaucoup trop a l'étroit dans sa robe corset compris. Il ne lui fallut pas longtemps pour se sortir de tout ca e enfiler une légère chemise de nuit blanche qui lui tombait jusqu'au cheville et dégagée agréablement sa nuque. Assise sur un fauteuil face a la fenêtre, elle regardait dehors ruminant ses pensées faute de mieux. Cependant le verrou n'avait pas été tiré....
--Jacobus



Essouflé d'avoir porté le corps, Jacobus ne répond pas tout de suite. Son regard va de Gontrand au cadavre, qui gît sur sa couche les yeux grands ouverts. D'une main tremblante, il tente de lui fermer les paupières, mais celles-ci semblent fixées à la colle, impossible de les forcer à recouvrir les globes vitreux et exorbités... Le docteur renonce, et répond à Gontrand :

Un décès aussi foudroyant, suivi d'une rigidité anormalement rapide... Cette mort ne me paraît pas naturelle. Hélas, je ne puis donner de diagnostic définitif, à moins d'examiner l'intérieur des organes...

Il se passe la manche sur le front, pour essuyer la sueur froide qui l'inonde

Je ne me sens pas de fourrager dans les tripes de la défunte, nous ferions mieux de retourner auprès des autres.

Méfiant, le docteur l'invite du geste à sortir dans le corridor, pour rien au monde il ne tournera le dos à ce grand corbeau noir...
--Gontrand_grettel


Gontrand observait attentivement le fameux ''Docteur'' Jacobus penché sur la dépouille de Cunégonde. Habitué à côtoyer la mort depuis tant d'années, il anticipait, de la part du médecin, une attitude imperturbable sinon un tant soit peu insensible mais ce qu'il constata révélait plutôt le contraire. Main tremblante, sueur anormalement abondante, signes caractéristiques d'une grande nervosité. Étrange...

Un décès aussi foudroyant, suivi d'une rigidité anormalement rapide... Cette mort ne me paraît pas naturelle. Hélas, je ne puis donner de diagnostic définitif, à moins d'examiner l'intérieur des organes... Je ne me sens pas de fourrager dans les tripes de la défunte, nous ferions mieux de retourner auprès des autres.

Intéressant...Êtes-vous certain? N'éprouvez aucune gêne. Je croyais que tous les médecins adoraient dépecer les cadavres.

Son regard froid croisa celui du vieil homme et il emprunta le passage désigné. Marchant, il poursuivit:

J'aurais pu quérir tous les outils nécessaires vous savez. Moi qui croyais pouvoir bénéficier d'un cours d'anatomie en accéléré. C’est bien dommage...

Il le toisa du regard et reprit :

Pour être honnête avec vous Jacobus, je suis quelque peu concerné par votre présence en ces lieux et surtout en ces circonstances. Dites-moi, mon bon docteur, qu’avez-vous fait de si extraordinaire pour vous retrouver légataire de ce testament? J’ai ma petite idée sur la question mais je suis très curieux de connaître votre version.
--Jacobus


Au contraire de vous, messire Thomas appréciait mes compétences et mes remèdes, qui ont sans aucun doute prolongé sa vie. Car oui, il était malade depuis longtemps. Hélas, tout homme doit un jour rejoindre le Très-Haut, la science n'y peut rien... J'ignore encore ce que votre frère a pu me léguer, mais s'il l'a fait c'est pour m'aider à poursuivre ma tâche qui est de soulager mon prochain.

Jacobus s'autorise un sourire :

Quant à dépecer les cadavres, non, ce n'est pas mon activité favorite. Et lorsqu'un de mes patients vient à mourir, la famille ne demande pas d'autopsie... Trop heureuse, la plupart du temps, de se disputer l'héritage, comme ici ce soir.
--Ambre__
Bonjour,
La joueuse de Ambre n'a pas accès aux forums pour l'instant, elle s'excuse et reviendra dès que le problème sera réglé.
Bonne soirée.
--Poline


Poline ne veut pas monter dans sa chambre ou être seule..... Elle tourne dans la salle en se tordant les mains, la peur au ventre.... Au dehors la tempête est loin de se calmer.... La pluie frappe les fenêtres du château.... Le vent hurle en s'engouffrant dans la cheminée... Poline sursaute au moindre bruit, ses nerfs sont à fleur de peau.......
Elle se dirige vers la table, ramasse les débris qui sont encore à terre. Elle doit s'occuper, ne pas laisser son esprit vagabonder et s'imaginer des tas d'horribles choses....
Ensuite elle prend une carafe de liqueur, un verre, s'installe dans un fauteuil libre et se met à boire....... Attendant que le jour se lève.....
--.nadel_douglas.


Face a la fenêtre, Nadel contemple la pluie et les éclairs qui zèbres par moment la nuit noire. C'est par des nuits semblable que l'on aime pas rester seule généralement mais, c'est pourtant le cas. Son esprit travail en silence imaginant mille et une hypothèse, solutions, plan. Que nous réserver donc cette convocation en ces lieux ?
--Gontrand_grettel


Gontrand écouta la réponse du gnome gâteux et, à l’approche de ses quartiers, il se retourna d’un coup sec, lui bloqua le passage avec son bras gauche, le poussa vers le mur avec le droit et, avec son avant bras qu’il prit soin de placer directement sur son cou, l’immobilisa.

Soulager votre prochain… Pathétique!

Il fit une pause, lui présenta un sourire narquois et poursuivit.

Vous avez vraiment un talent exceptionnel pour les diagnostics vous savez. Je suis réellement impressionné! Vertiges, crampes, difficulté à respirer, convulsions, odeur particulière, bouche bleuie, tous les symptômes d’un empoisonnement sont ici réunis. Auriez-vous quelque chose à cacher?

Puis, accentuant la pression sur son cou…

Dites-moi, médicastre, Cunégonde, l’auriez-vous aussi soulagée?
--Poline


Poline s'est endormie dans le fauteuil, son verre à la main..... Son sommeil est rempli de cauchemars, elle coure dans un couloir sombre, poursuivit par une ombre, elle tombe, essaye de se relever, hurle, se cogne aux murs....

Elle se réveille en sursaut au bruit du verre brisé, son verre tombé à terre, quand elle était en train de se débattre de ce cauchemar.

Ma doué, quel horrible rêve..... Elle se frotte les mains, les bras, se réchauffant de son mieux. Le vent hurle toujours dehors et la mer gronde furieuse......
--Jeoffroy


-« Ces dames prendront bien un verre de vin ?

Il se fige, la bouteille à la main devant la porte, et le spectacle du corps étendu, le visage blême avant d'accourir, poser la bouteille sur la table tandis qu'elle valse un instant menaçant de tomber et s'immobilise.

A leurs mines lugubres d'enterrement c'était évident qu'il n'avait qu'à constater la mort, comment leur annoncer la mauvaise nouvelle dans ce cas.

Il enlève son gilet, et se baisse, retroussant lentement ses manches tout en regardant le médicastre


-Je vais aller dehors l'enterrer, mais savez vous de quoi elle est décédée?

Les hypothèses fusent de la bouche des convives, tandis que lui commence à comprendre, ses traits se ferment soudainement, se relevant une main sous chaque aisselle pour tirer sur le corps inerte jusqu'à la porte refusant toute aide

-Je vous conseille de rester regroupés vous tous réunis, et..

Calant le mort entre ses mollets, il se relève pour réajuster une mèche sur son front du revers du poignet, dressé là avec une arrogance due à ses origines angloises.

-..et je me dois de vous annoncer la triste nouvelle.
Toutes barques et embarcations ont été coulées, saccagées, pendant l'orage, pendant qu'on était enfermés ici, certainement le tonnerre a-t-il couvert le bruit..Quoiqu'il en soit, dehors il ne fait pas mieux qu'ici.
J'ai envoyé une mouette borgne vers le continent attendons que les secours arrivent je ne sais pas dans combien de jours..mais d'ici là je vous prie, pas de panique.
--Auregann_paolig


Une impression de lassitude soudain m’envahit ...A quoi bon laisser mourir mes larmes pour un homme que je ne verrai plus. N’est ce pas moi qui lui ai demandé de m’oublier ?
Je m’entortille dans les draps blancs, décor de nos ébats volés, me dirige sur la fenêtre donnant sur la cour du ch^teau, à la recherche de l’inconnu qui vient de me..ehum..
Un homme sort habillé tel un majordome, sous la pluie, s’arrête un instant, fouille dans ses poches et poursuit son chemin...
Est-ce lui, aucune certitude ! La quarantaine, grand mais pas trop, de l’allure, une gueule, une gueule d’amour...Il s’éloigne sans se retourner, il semble, désorienté, absorbé par ses pensées. Il entre dans le château à nouveau, disparaît et ressort cette fois traînant quelque chose sur les dalles de la cour ruisselante d'eau.

Si, si c’était lui...Ma vie est faite de conditionnel, le conditionnel m’émeut, me fascine, je n’aime pas les certitudes, elles sont néfastes aux émotions, banalisent les sensations.
Retourne toi, regarde moi, je ne connais même pas ton prénom, mais je t’aime déjà au conditionnel, comme j'ai aimé tous mes amants le temps que le mystère soit levé sur leurs visages.
On frappe à la porte, je sursaute, abandonne mon draps blancs froissé, me dévoile sans le vouloir au regard figé du majordome qui a relevé les yeux, pour apercevoir mon visage éclairé à la lueur de la bougie...sans même faire un signe ! Ce n’est pas lui, c’est une certitude...
Peut être est-il derrière la porte pétrifié de remords de m’avoir ainsi abandonnée...

Oui, oui un instant !
Un deuxième coup à la porte
j'ouvre la porte, personne si ce n'est un parchemin froissé...
Espoir déchu....

J’ai l’impression de ne pas avoir mangé depuis plusieurs jours mon ventre gargouille, je suis venue dans ce château la première il était vide et voilà qu'il semble animé de vie, j'entends des bruits d'en bas, pendant que cet inconnu sorti de nulle part m'avait mis une main sur ma bouche et m'a fait l'amour me faisant hurler de plaisir.
je me saisis de la serviette ... qui me dévoile un papier maladroitement Je m'habille tant bien que mal, une boule nouée et dans ma gorge et dans mon ventre m’empêche presque de respirer.


Mon corps encore pénétré de l'odeur de l'amour, je rejoins tout le monde en bas. Le souffle court, le cœur battant la chamade, je me remémore les mots trouves devant la porte...Est-il possible ? Encore ce doute cette incertitude sans lesquels une histoire ne mérite pas d’exister, ni même de naître...
Comment, comment sait-il qu’il peut ainsi m’apprivoiser, alors que je ne sais même pas qui il est, ni même quelle est son apparence ?

Des bruits venant du salon, je suis consciente que je suis habillée comme une catin, je m'en fous royalement, j'entre avec nonchalance, les joues rougis par mes ébats, je les salue à peine, d'un "Nozveizh vat" vague tandis que je cherche mon reflet dans la glace, pour réajuster une mèche, le miroir me renvoie l'image d'une poupée à croquer, mais dans les yeux pour ceux qui la connaissent brillait une lueur malsaine.

Pivotant sur les talons je fais face à cette tripotée de guignols tous assoiffés par l'argent..tout comme Elle.


-Je m'appelle Auregann, Auregann Paolig, je me suis...endormie dirons nous avant que vous n'arriviez tous, j'ai loupé quelque chose?
--Poline


Poline sursaute quand elle voit le Majordome faire irruption dans la pièce leur proposant du vin à boire et leur expliquant que les barques ont coulées.... Elle reste figée, le voyant s'occuper du corps, le trainant vers l'extérieur..... Elle ne sait plus où elle se trouve, pourtant elle le connait si bien ce château..... Mais tout semble si différent. Elle aimerait reprendre ses affaires et partir encore plus vite qu'elle n'est arrivée.

Soudain la porte s'ouvre et une gueuse apparait sur le pas de la porte, l'air désinvolte, à moitié habillé. Poline la regarde de haut en bas d'un air réprobateur et dégouté. Elle l'entend aussi leur parler.
Citation:

-Je m'appelle Auregann, Auregann Paolig, je me suis...endormie dirons nous avant que vous n'arriviez tous, j'ai loupé quelque chose?


Noz vat Dimzelle, je suis Poline de Kermanach'..... Hummmm oui vous avez loupé quelque chose.

Poline tend le doigt vers le cadavre, tout en ne la lâchant pas du regard.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)