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Veillée funèbre en l'honneur du vicomte Sirius Margny-Riddermark

Debenja
Le Comte était au près de sa sœur lorsqu’il apprit l’arrivée de son ami Green. Il vit le soulagement apparaitre sur le visage d’Hortense. Il se dépêcha de se rendre au poste de garde afin d’accueillir le baron rouge.

Mon ami, soit le bienvenue en cette demeure en cette triste période.

Le Comte conduisit Green auprès de sa sœur, ils avaient surement bien des choses à se dire.
Quelques temps plus tard, on vint annoncer l’arrivée du Grand Maitre de l’ODL au Comte. Celui-ci alla l’accueillir comme il se devait.


Grand Maitre, soyez le bienvenue en ces terres. Je suis le Comte Debenja von Riddermark cousin de feu le Vicomte Sirius de Margny Riddermark. Veuillez me suivre, je vais vous conduire auprès des défunts afin que vous puissiez leur rendre un dernier hommage.

Suivit du Grand Maitre, le Comte se dirigea vers la pièce funeste et laissa le Grand Maitre.

Ce fut ensuite le tour d’Imladris de se présenter aux grilles du château. Le Comte fit toujours le même discours. Il invita ensuite le baron à entrer et le conduisit lui aussi auprès des défunts.

C’est en sortant de cette pièce que le Comte Debenja remarqua Zya. Elle était marquée par cette perte. Il s’approcha d’elle, la salua. Puis l’invita à venir auprès de la famille. Il resta de long moment avec elle afin de la consoler et la rassurer. Il resta auprès d’elle jusqu’à ce qu’on annonça l’arrivée du Comte de Beaufort. Debenja se rendit une nouvelle fois pour l’accueil de son ami. Il le salua et le remercia d’être venu. Ils se dirigèrent vers la salle où reposaient les défunts.

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Noria
Après un moment d'attente, Noria vit arriver un homme qu'il avait eu l'occasion de croiser une ou deux fois au Château de Dôle sans toutefois avoir fait vraiment connaissance. Après les salutations d'usage, il emboita le pas à son hôte...

- Je vous remercie Monsieur le Comte. En mon nom personnel et au nom de mon Ordre, je vous prie de bien vouloir accepter mes condoléances.

Le Comte Debenja l'ayant laissé seul auprès des dépouilles, Noria se signa et récita une prière silencieuse pour les âmes des morts avant de s'adresser au Vicomte et au Baron...

- Vous futes respectivement Prime-Capitaine au HCI et Grand-Maistre de l'Ordre des Lames. Vous avez dû vous sentir lâchement abandonnés par vos hommes lorsque les trois commandeurs, dont je faisais partie, ont pris la décision de retirer leurs hommes du conflits qui s'en venait. Cette décision nous ne l'avons pas prise de gaieté de coeur, loin s'en faut... mais vous suivre et nous battre contre les autorités légitimes d'une province aurait été à l'encontre de toutes les règles. La constitution d'une armée avec les forces de l'ODL avait été refusée... interdite... et pourtant vous avez décidé de braver cet interdit. Vous souvenez-vous, Eragon, de ce que vous m'avez déclaré au cours d'une conversation privée ? "Si seulement la politique ne s'en était pas mêlée !"... Vous étiez un valeureux combattant et les Lames auraient pu vous suivre si seulement vous... n'aviez pas fait de politique non plus.
On ne peut pas défaire ce qui a été accompli mais il fallait que je vous fasse cette déclaration, même à titre posthume.
La décision que nous avons prise l'a été dans le seul but de préserver l'intégrité de notre Ordre qui n'est pas destiné à assurer le pouvoir d'une minorité, mais le bien être du plus grand nombre.
Voilà... je prie pour que vos âmes trouvent le repos qu'elles méritent !


Puis Noria se plaça successivement au pied de chacun des catafalques pour faire un dernier salut, rendant ainsi hommage aux hommes d'armes. Puis il prit la direction de la sortie près de laquelle il croisa Debenja...

- Monsieur le Comte, je vais maintenant prendre congé. Je vous remercie de m'avoir permis de rendre ce dernier hommage, Car j'avais besoin de leur adresser une dernière parole... une dernière pensée. Encore une fois, je compatis à la peine qu'éprouve votre famille et les proches des défunts. Mes respects Monsieur le Comte.

Puis Noria sorti et se dirigea vers son escorte afin de reprendre la route...
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L'Ordre des Lames recrute
Héraldique européenne
Occorax
Quel déception, Occorax avait appris la mort de ses deux amis il y a maintenant bien longtemps mais il était dans l’impossible de se rendre plus tôt a leur dépouille, comme il était de l’autre coté de l’empire, au début il ne croyait pas a tout cela et ne pensait que ce n’était qu’un vilain cauchemar ou encore une farce, mais cela était bien vrai, comment ils étaient mort ? Il ne le savait pas encore mais sa saurait tarder, il ressentait beaucoup de tristesse d’avoir perdu deux bons amis avec qui il en on fait des choses, mais la tristesse n’était pas son seul sentiment qu’il éprouvais ,il avais aussi de la colère mais contre lui-même , il ce reprochait de ne pas avoir était la au moment de cette tragédie. Ils connaissait très bien les deux hommes et ce n’était pas un coup d’épée qui allait les faires mourir, mais plutôt une lassitude des choses , une lassitude de la vie…

Il avait marché jusqu'à Saulx pour penser un peu et surtout réfléchir comment il allait gérer sa tristesse, depuis qu’il était née il avait enchainé les décès familial et les décès d’amitié, pour lui a présent s’en était de trop de perdre comme ça des personne qui lui était cher a ces yeux, cela allait le faire devenir fou, il aurait voulu crier a se moment la, lâcher toute la pression qu’il avait mais par respect , il ne le fit pas.

Son ancien vassal, Occorax, interpella les deux gardes qui était a l’entrée de Saulx, avec sa voix enrouée.


- Dites à votre maitre qu’Occorax de Sparte, ancien vassal du Vicomte de feu Sirius, vient lui rendre hommage.

Il espérait que quelqu’un a Saulx pouvait le renseigner de la mort du Vicomte et dans quelle circonstance il avait perdu la vie, même si il avait un sentiment de le savoir déja il voulait l’entendre de vive voix.
Imladris
Imladris tendit la main au Comte Debenja. Il lui dit :

Mon ami, veuillez accepter mes sincères condoléances. J'estimais beaucoup feu le Vicomte qui était mon ami. Je vous suivrais donc présenter mes hommages aux deux défunts

Il laissa un silence et suivit le comte Debenja. Il se retrouva devant le corps des deux deux défunts et les salua. Il attendit son tour et s'avança quand le grand maître de l'OdL eut fini ses hommages. Il dit tout bas.

Mon ami, je suis navré de ce qu'il vous ai arrivé. Cette mort était certes héroïque mais tellement inutile... J'étais là, j'ai tout vu et je n'ai fait aucun geste pour sauver... A la fois par respect pour votre acte de bravoure mais également parce que j'avais fait un choix. Puisse Déos me pardonner de ce choix mais sachez que je ne vous oublierez jamais. Notre amitié ne s'est pas poursuivie dans cette vie. Puisse-t-elle se poursuivre dans une autre.

Il poursuivit sur un ton plus clair pour le reste de l'assemblée.

Que Déos puisse accueillir ses fils, mort au combat avec honneur et courage. Qu'il pardonne aux soldats qui n'ont fait que suivre un ordre d'un homme lâche et couard dont je ne citerais le nom.
Que Déos me pardonne de ne pas avoir su vous convaincre Vicomte de ne pas faire votre entreprise.
Mon ami, protégez vos proches dans leur douleur.
Amen


Il se tourna vers le Comte Debenja et lui dit:

Si vous avez besoin de quoi que ce soit, je serais là.

Il salua tout le monde ne voulant pas les gêner plus dans leur douleur.
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Fccasper
Le Comte de Saint-Amour et la Comtesse de Montbéliard, alors tous deux à Dole, avaient décidé eux aussi de se rendre en terre de Saulx pour rendre un dernier hommage au Vicomte Sirius, grand homme de Franche-Comté quoiqu'il en soit.

Le Comte ne le connaissait que très peu, mais il était un peu un ami de la famille de Valfrey par l'intermédiaire de son frère, le Comte de Beaufort. Il était donc normal de venir en cette triste journée.

Le voyage fut assez long, mais enfin le domaine se dressait devant eux. C'était la premier fois que Fccasper venait jusqu'ici, et il était relativement impressionné par la grandeur du domaine. Ils avancèrent pour enfin atteindre la grille d'entrée.

Ils s'annoncèrent et attendaient maintenant qu'on les laisse entrer.

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Hortense
Combien de temps était-elle restée sur cette tourelle à regarder la vie vivre ? Hortense n’en savait rien. Le temps n’existait plus… à Saulx… l’existence était suspendue. La jeune Dame de Blamont avait donc crier… pleurer... rager… colérer contre le destin afin de pouvoir supporter les prochains jours… voir le défilé de tous ces nobles qui viendront rendre hommage à son cher cousin. Elle se devait de tenir la tête haute… le regard sur… le pas léger. Elle se devait d’être une vraie Riddermark… démontrer à l’ensemble des Francs comtois que la famille restait unie… soudée… fière… et ce… malgré les malheurs qui s’abattaient sur elle.

Lorsqu’elle redescendit auprès des membres de sa famille… dans la chapelle ardente… elle s’était approchée de son frère et l’avait étreint tendrement.

Debby chéri, j’ai tenu comme mon rang l’exigeait, comme Eiddin me l’avait demandé et comme mon affection pour Sirius me poussait à le faire, mon rôle de femme de la famille. Maintenant que Sirius peut recevoir ses invités, je crois que c’est à toi de prendre la relève. Tu es l’aîné en absence de notre oncle. C’est à toi d’accueillir les Francs comtois qui viendront se présenter à Saulx.


Elle lui sourit de nouveau… se blotti dans ses bras et ferma les yeux…. heureuse de sentir la chaleur fraternelle la rassurer. C’est toujours ainsi qu’elle entendit le domestique de Saulx annoncer la venue du Baron de Rougemont.

Il est venu…

Murmura Hortense… un immense sentiment de sécurité l’envahi. Il était venu pour elle. Maintenant qu’il était là… plus rien ne pouvait lui arrivé de triste…de malheureux. Il était la lumière de sa vie. Il était son homme. Elle leva les yeux vers Debby et sourit tout grand pour une première fois. Elle s’éloigna de lui et le poussa en rigolant vers la porte… le chatouillant ici et là… et le repoussant de nouveau.

Vite... vite… ramène le moi … vite… j’ai tant besoin de lui.

Elle savait long le trajet entre la salle et la cours... et elle savait que son frère et son homme avait sûrement des choses à se dire mais elle… la jeune femme amoureuse… tourna en rond... allant de Jasona à Hana… lissant ses jupes… jetant rapidement des regard vers son cousin étendu. Elle ne doutait pas que Green était présent que pour elle… par amour pour elle… et n’ignorait pas les ressentiments qu’il avait pour Sirius. Elle s’approcha de ce dernier et lui murmura... comme par le passé… Toi… tu ne le provoques pas... d’accord ?

Lorsqu’elle entendit des pas sourds derrière elle… elle sut qu’il était là. Elle se tourna lentement et plongea son regard dans le sien en souriant tendrement. Elle s’élança vers lui et enfouie son nez dans son torse en fermant les yeux. Elle savait qu’il avait du faire un effort pour être présent à ses cotés… et sa présence était pour elle une réelle preuve de son amour. Mais elle se promettait tout de même de le surveiller… Green restait Green… elle n’était pas dupe…

Mon amour… jamais je ne pourrais te dire combien ta présence m’est importante et m’aidera à vaincre cette douleur si vive. Aucun mot d’amour provenant de toi ne saurait rivaliser avec ta présence à mes cotés. Je sais ce que cela te demande. Saches que je l’apprécie … que cela me touche et m’émeut. Dès que nous aurons quelque instant seul à seul… je tiens à ce que tu me racontes comment se passent tes journées si loin de moi dans les fossés… à défendre la Franche comté… en cette période noire de son histoire.

Elle déposa tendrement ses lèvres contre les siennes et resta ainsi scellée à lui longuement avant de l’entraîner auprès des membres de sa famille. Ils étaient à discuter tranquillement lorsqu’elle vit Debenja revenir dans la grande salle avec un homme qu’elle ne connaissait pas. Sirius avait été un grand homme... terriblement impliqué dans de nombreuses activités. Elle n’avait jamais su réellement ce qu’il faisait… hérauderie… armée impériale… armée franc comtoise…. Conseil comtois. Il avait même occupé par un concours de circonstance le très haut poste de franc comte.

Toujours auprès de green qui était maintenant sa force de poursuivre cette veillée… elle examina attentivement l’homme blond à la barbe bien taillé. Il murmurait des propos qui semblaient terriblement émouvant pour lui. Rempli de sincérité et de déception… la belle blonde n’avait rien compris à rien de cette histoire… recevant à Vesoul que des brides de la folie de Sirius…. Si folie il y avait. Hortense avait toujours détester la guerre… la discorde… la violence. Et celle-ci avait été de trop. Elle avait besoin maintenant de repos.

Intriguée par cet inconnu… Hortense porta son regard sur son cousin et sourit attendrie. Elle réalisa qu’elle ne le connaissait pas… qu’elle avait toujours été que la cousine de son cousin. Elle n’avait jamais été son allié… ou son ennemie. Elle l’aimait comme un cousine aime son cousin... elle lui avait été fidèle d’un amour filiale. Avait il été si terrible ? Était il le portrait que lui en faisait Green ? Elle n’en savait rien. Jamais elle n’avait eu à travailler avec lui… jamais elle n’Avait fait de politique avec lui… jamais elle n’Avait eu à guerroyer à ses cotés. Ses souvenirs de lui se résumait à des fous rires en taverne…. Des soirées à jouer à des jeux rigolos… à compter les morceaux de vêtements que l’on recueillait sur l’autre. Elle se souvint même d’une paire de braies qu’elle avait réussi à lui faire enlever lors d’une fête en plein air. De soirées où lui et Hana demandaient conseil sur une recette de chocolat…. De longues heures à parler amoureux et amoureuses…Combien de fois avait-elle sourit en le voyant faire la cours auprès de la gente féminine. Elle n’avait connu de lui que les regards complices… les sourires d’affections… n’étaient ils pas semblable dans leur façon de voir la vie amoureuse ? Le charme… les galipades… les amants et les maîtresses… la fidélité lorsque le grand amour leur frappait le cœur ? Cette attirance qu’ils avaient pour les familles ennemies. Ne lui avait il pas présenter ce Louvelle ? Elle avait bien tenter de résister … refusant pendant plusieurs mois les invitations … pour ensuite s’évader au sortir du châteaux de Delvine pour aller s’évaporer dans celui de ce Louvelle… Lorsque Sirius avait appris la nouvelle … il avait eu un petit sourire en coin… la menaçant sans grande conviction de vendre l’enfant si elle s’était avérée enceinte. Elle lui avait sourit grandement en retour… sachant très bien que jamais il n’aurait exécuter sa menace. Et que dire lorsqu’il avait su pour Green… terrible famille ennemi que celle de son homme. Elle avait alors senti une entente muette… lui-même amoureux de la fille du Baron Rouge. Hortense avait toujours été solidaire avec son cousin… il n’était pas parfait... mais qui l’était ?

Elle regarda l’homme s’approcher de son frère et entendit lui dire la compassion qu’il ressentait envers la douleur familiale et il partit. Il représentait le coté de Sirius qu’elle ne connaissait pas. Au même moment… un grand sourire s’afficha sur le visage de la belle blonde… son amie Zyania venait d’entrer. Il y avait plusieurs mois qu’elles ne s’étaient pas vue et elle savait l’affection que cette dernière avait pour Sirius. Elle donna un tendre baiser sur la joue de son homme... et s’avança vers son amie les bras grands ouverts.

Zya … ma belle… je suis si heureuse de te voir… tu ne peux savoir le bonheur que tu me fais d’être présente aujourd’hui.

Elle la serra tendrement dans ses bras et la garda ainsi longtemps… laissant couler ses larmes tout doucement. Elle la mena vers le groupe où se tenait Green sachant que tous deux seraient également heureux de se retrouver. Les laissant seuls un moment… elle s’éloigna afin de rejoindre le comte de Beaufort. La jeune femme lui avait été présentée. Il inclina la tête vers le comte et en relevant les yeux…lui sourit.

Messire… c’est pour moi… ainsi que pour ma famille un grand honneur que de vous avoir présent en ses murs. Je vous savais apprécier de mon cousin. Et je ne doute point de l’affection que vous portiez à Sirius. Si vous désirez prendre la parole après vous être recueillie. Je vous y invite.


Elle s’éloigna alors de tous ses gens et s’approcha d’Arzael qui depuis le début des préparatifs avait toujours été alerte à répondre à la moindre demande. Hortense savait que le défilée ne faisait que commencer. D’autres surement viendront…. Elle demande au domestique de faire circuler parmi les invités des verres afin de désaltérer tout ces gens.

Ha oui… Arzael… présenter également les victuailles. Je crois qu’il serait important de sustenter tout ce monde.
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Yanahor
Le voyage s’était éternisé, du sûrement à l’impression d’errer au devant de la mort alors qu’il se rendait en Franche-Comté pour la première fois de sa vie seulement afin d’assister ses amis dans leur trépas.
Oh combien il avait été triste de perdre ainsi deux de ses compagnons les plus cher et la route ne fut que parsemé des marasmes brumeux de ses pensées.
Plus que la tristesse c’est le manque qui lui imprégnait l’âme, le manque de ne plus jamais côtoyer Sirius ou Eragon.
Le Baron de Dannes et Quatre Vents était l’un de ses plus vieux amis, ensemble ils avaient partagé de nombreuses choses et malgré leur engagement politique réciproque jamais la fidélité qui les liait ne fut remise en question, le Duc de Salm aurait donné sa vie pour Eragon et ce dernier l’aurait tout autant sacrifiée.
Quand au Vicomte de Saulx, il était sûrement la personne qu’il appréciait le plus en Franche-Comté, il lui avait fait apprécié ce Comté et ces frasques qu’il ne comprenait pas, il était devenu un ami proche et nombre de veillé s’était fait en présence de ses deux compagnons afin de refaire un monde et un Empire qu’il ne cautionnait plus.

Lorsqu’on lui avait donné la tête de l’Empire, il avait pris avec lui ces deux hommes afin de rebâtir un Cercle Francophone moribond, jamais il n’aurait cru que ces nominations auraient pu leur coûter la vie.
Mais lorsque la politique gagne en importance, les envieux, les opportunistes, les jaloux, les traîtres et les arrivistes sont de sortie et lorsque l’ancien Franc-Comte baigné dans sa bêtise et dans son ignorance crasse persuadé que nous voulions s’en prendre à son autorité a dans son aveuglement comploté contre leur triumvera, on ne pouvait s’attendre qu’à une telle fin inéluctable.

Il avait une dette envers ces deux hommes, ils avaient donné leur vie pour l’idéal qu’ils défendaient tous, un idéal d’un Empire fort, stable, décomplexé battit sur l’intérêt commun des provinces composantes et non plus sur leur différents et leur concurrences.
Cet Empire était en bonne voie, il avait suivit ce que lui avait dit Rethun, ce qu’il lui avait enseigné mais il n’avait pas compté sur le fait que l’Empire tel qu’il est convient aujourd’hui très bien à certaines personnes qui dans leur ambitions voient de cette manière leur intérêts provinciaux servit.

Il se perdit ainsi dans ses pensées lorsqu’il vit qu’il était arrivé à Saulx, on l’aida à descendre de voiture et on demanda à ce qu’on lui ouvre les portes du domaine.

Lorsqu’il pénétra dans la pièce funèbre, il vit que déjà une quantité de personnes était rassemblé, il se fraya un chemin jusqu’aux corps de ces amis et se mit à genoux devant leur dépouille :


« Mes amis sachez que dans cette histoire vous n’avez rien à regretter, pour vous avoir beaucoup connu vous deux, je peux dire aujourd’hui que vous êtes mort comme vous avez vécu, sans compromis avec votre fierté intacte.
Eragon mon cher parent, j’ai fait avec toi un bout de chemin, nous avons été aux balbutiement de la politique Lorraine, nous avons tout deux été de fidèles partisans d’Alandaros et nous avons été les seuls à être resté fidèles à sa mémoire. C’est avec des gens comme toi que j’ai pu apprendre ce qu’était la réelle fidélité en amitié, peu nous importait la politique, c’était notre propre fraternité qui comptait le plus.
Tu n’étais qu’un cousin mais pour moi tu resteras comme un frère, après avoir vécu tout ce qu’un homme peut vivre au côté d’un camarade, je t’aimerais comme le frater que tu fus pour moi.
Sirius, toi tu as été le lien qui m’a unit avec la Franche-Comté, après avoir haït cette province, j’ai fait ta rencontre et j’ai tissé des liens ici, tu as été mon fil d’Ariane dans cette contrée et nos relations sont devenus très proches avec le temps.
Nous avions beaucoup d’idéaux en commun, nous nous battions pour les mêmes choses et de la même manière, si j’avais été Franc-Comtois, je serais ton plus fidèle partisan croit le bien.
Tout comme Eragon ton franc-parlé me plaisait, j’admirais tes diatribes les plus enflammées et tes pamphlets les mieux sentis.
Je promet comme tu me l’a demandé dans ton testament d’honorer ta mémoire et de faire en sorte que jamais ni ton nom, ni celui d’Eragon ne soit sali de mon vivant.
J’ai une dette envers vous mes camarades et vous connaissez ma fidélité, je paierais cette dette soyez-en sûr.
Reposez en paix, le Royaume des Justes vous attend, je vous y rejoindrais d’ici peu."

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