Lya
Lya commença à être maître dans l'art d'organiser les pochtecas pour la province, les braves commerçants qui sillonnaient les routes des terres connues afin de trouver des objets de grandes valeurs à prix ridiculement bas, afin de faire fructifier leurs avoirs. Les pochtecas que Lya trouvaient étaient bien souvent des hommes ou femmes forts pour transporter de l'obsidienne ou de la pierre en assez grosse quantité.
Ceux-ci transportaient les biens sur leur dos ou sur une charrette, (bah oui, quoi? ca l'air que ca se passe comme ca dans ce monde-ci.) pour les plus fortunés.
Lya tentait de trouver les meilleurs de toute la province afin de leur donner des missions de la plus haute importance et souvent de façon assez urgente.
Quand elle commençait à marchander un échange avec une autre province, les aras volaient longuement avant de trouver la bonne personne, puis ensuite, s'ils n'étaient pas mangés, par son entendeur, ils revenaient livrer la bonne ou la mauvaise nouvelle. La p'tite pochteca de la province était assez dure en affaire et renvoyait les aras afin de faire monter l'offre au profit de sa province. Quand finalement les deux parties s'entendaient sur l'échange la recherche d'un pochteca commençait. Un travail ardu que d'en dénicher un qui veuille se déplacer avec tout plein d'obsidienne sur le dos. Le fait d'être fort compte beaucoup, la disponibilité aussi, mais trouver une personne de confiance est des plus important à ses yeux.
Heureusement, la province en comptait quelques-un pour faire le sale boulot.
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Ceux-ci transportaient les biens sur leur dos ou sur une charrette, (bah oui, quoi? ca l'air que ca se passe comme ca dans ce monde-ci.) pour les plus fortunés.
Lya tentait de trouver les meilleurs de toute la province afin de leur donner des missions de la plus haute importance et souvent de façon assez urgente.
Quand elle commençait à marchander un échange avec une autre province, les aras volaient longuement avant de trouver la bonne personne, puis ensuite, s'ils n'étaient pas mangés, par son entendeur, ils revenaient livrer la bonne ou la mauvaise nouvelle. La p'tite pochteca de la province était assez dure en affaire et renvoyait les aras afin de faire monter l'offre au profit de sa province. Quand finalement les deux parties s'entendaient sur l'échange la recherche d'un pochteca commençait. Un travail ardu que d'en dénicher un qui veuille se déplacer avec tout plein d'obsidienne sur le dos. Le fait d'être fort compte beaucoup, la disponibilité aussi, mais trouver une personne de confiance est des plus important à ses yeux.
Heureusement, la province en comptait quelques-un pour faire le sale boulot.
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