Tlaloc, incarné par Lya
Ce RP s'adresse aux habitants de Zotoluca qui veulent participer à la fermeture RP du clan. Tout ceux qui viendront briser ce RP, car soit ils n'habitent pas à Zoto ou n'a pas été invité verront leur post supprimé. MP moi si vous voulez participer et que vous n'êtes pas de Zotoluca.
Tlaloc regardait les Zotolentèques depuis plusieurs lunes. Il voulait se faire apprécier et se faire respecter deux, mais ceux-ci ne le remarquait pas. Ah si! Il avait de lattention seulement quand ce Dieu gardait leau dans les cieux. À ce moment là les paysans faisaient des mains et des pieds pour que leau de pluie soit relâchée dans leur champ. Tlaloc en avait marre de toujours céder aux petites offrandes que le peuple de Zotoluca lui donnait juste quand la sècheresse commençait à faire friser les feuilles de maïs.
Du haut de sa montagne, jetant un il sur Zotoluca, espérant un peu de compassion de la part de ce peuple, Tlaloc fut prit dune colère subite. Peut-être la nuit aux cotés de sa belle Chalchiuhtlicue navait point été à la hauteur. Enfin, Tlaloc dans une colère noire décida de ne pas succomber aux caprices du clan et garda en haut de sa montagne toute leau accumulé depuis les dernières semaines.
Fier de son plan, il ricana à tous les jours où un Zotolentèque lui offrait un fruit, un haricot ou les autres balivernes quil avait lhabitude de recevoir en échange de ses gouttes deau.
-Plus jamais je ne capitulerai devant vous pauvres petits hommes!
Chaque matin, il prenait goût à observer les maceuallis marcher, panier sous leur bras, vers la source deau la plus près de leur champ. Il aimait voir le spectacle, il sen réjouissait davance. Tlaloc avait très hâte que les cours deau sassèche, il savait quavec la chaleur, ils en auraient pas pour longtemps.
Les offrandes se faisaient de plus en plus régulièrement, les Zotolentèques donnèrent des pilles de poissons, des herbes et des fleurs, une habitante avait même sacrifié un chien, espérant les bonnes grâces du Dieu de la pluie. Tlaloc sen moquait beaucoup, ce quil voulait était du sang humain, mais pas nimporte lequel.
À Zotoluca, il y a eu quelques naissances depuis plusieurs lunes, mais ces bébés navaient pas été sacrifié en son honneur. Certains Dieux les avaient rappelé à eux et une très belle enfant avait pu vivre auprès de son père; la petite Soleil née sous la protection de Tonatiuh. Tlaloc voulait le sacrifice de cet enfant, il en rêvait nuit et jour. Et sans ce sacrifice, leau ne reviendrait jamais sur les terres de Zotoluca.
Son épouse, Chalchiuhtlicue, déesse des lacs et des rivières, souhaitait aussi un sacrifice pour son mari.
-Tlaloc, que penses-tu dexiger la mort de la fille du Tlatoani dOccident? Cela serait une belle compensation tout comme la protégée de Tonatiuh.
Cest ainsi que lappel à la mort de Soleil ou de Lya fut ordonné dans le monde des vivants.
Le Tlalocan (mot nahuatl qui signifie littéralement « lieu de Tlaloc ») est, dans la mythologie aztèque, le paradis des individus que le dieu Tlaloc a distingués, c'est-à-dire tous ceux dont le décès est de près ou de loin lié à l'eau. En faisaient partie ceux qui avaient été victimes de noyade, de la foudre ou de maladies que l'on supposait être en rapport avec l'eau, telles que l'hydropisie, la gale, la goutte ou encore les maladies vénériennes.
Contrairement à la coutume, chez les Aztèques, de brûler les défunts, ces individus étaient enterrés. On plaçait des graines sur leurs mâchoires, on peignait leur visage en bleu et leur dépouille était revêtue de papiers découpés.
Le Tlalocan était également la destination des enfants sacrifiés à Tlaloc par noyade.
Le Tlalocan était un endroit verdoyant et humide où régnait un éternel printemps. Tlaloc y régnait avec ses assistants, les Tlaloque.
Contrairement à la coutume, chez les Aztèques, de brûler les défunts, ces individus étaient enterrés. On plaçait des graines sur leurs mâchoires, on peignait leur visage en bleu et leur dépouille était revêtue de papiers découpés.
Le Tlalocan était également la destination des enfants sacrifiés à Tlaloc par noyade.
Le Tlalocan était un endroit verdoyant et humide où régnait un éternel printemps. Tlaloc y régnait avec ses assistants, les Tlaloque.