--Kintaro
Voilà, deux jours terrés au bord des routes de Miyoshi, et deux étrangers fond les frais des ronins. Une journée après à peine, et de façon inimaginable, les ronins font les frais d'une justice probablement renseignée par les Kamis eux-mêmes, quoique je me demande pourquoi ces êtres divins cautionnent ce genre d'êtres faibles.
Tant pis, cela donnait à Kintaro une raison de plus de faire payer ces étrangers, et de continuer cette action de sabotage, comme il avait décidé de l'appeler.
Sans dire un mot, son regard déterminé répondit au regard de la lézarde. Et il aura la joie de connaître un procès qu'il jugeait déjà injuste... Enfin... L'injustice de son père contre lui l'avait déjà appris à supporter cela. Et le seul remède est bel et bien de passer ses nerfs sur quelque chose. A l'époque des mannequins, récemment ses katanas à forger, aujourd'hui des Miyoshi-jin sans défense.
Il garda le beau papier lui signifiant qu'il était en procès, en souvenir, mais surtout pour ne pas oublier trop vite, ou alors pour le faire bouffer au procureur, au choix (bien que ce ne soit pas tellement son genre).
C'est alors que Nakayama s'approcha de lui. Pour la première fois du voyage, ils allaient peut-être avoir une discussion autre que les ordres donnés chaque jour.
Finalement la fine écaillée pose une question sans laisser Kintaro répondre, pour lui dire simplement qu'il pourra enfin vendre, ou acheter, dans les marchés étrangers. L'homme la remercia d'un sourire, qu'elle ne pouvait voir, puis répondit tout de même à la première question :
Ca me fait du bien de connaître à nouveau un peu d'activité dans ma vie, autre que celle d'un bureau de conseiller.
J'aurais juste imaginer avoir été assez prudent pour éviter de me faire remarquer...
Pas très bavard, la conversation n'ira sans doute pas plus loin. Mais cela faisait plaisir de voir que les lézards n'étaient pas "seulement" violents et buveurs de saké. Ils savaient aussi parlé autrement qu'en criant, ou qu'en maudissant... Une petite pensée pour Kuan, et la marche vers la prochaine victime reprenait.
Tant pis, cela donnait à Kintaro une raison de plus de faire payer ces étrangers, et de continuer cette action de sabotage, comme il avait décidé de l'appeler.
Sans dire un mot, son regard déterminé répondit au regard de la lézarde. Et il aura la joie de connaître un procès qu'il jugeait déjà injuste... Enfin... L'injustice de son père contre lui l'avait déjà appris à supporter cela. Et le seul remède est bel et bien de passer ses nerfs sur quelque chose. A l'époque des mannequins, récemment ses katanas à forger, aujourd'hui des Miyoshi-jin sans défense.
Il garda le beau papier lui signifiant qu'il était en procès, en souvenir, mais surtout pour ne pas oublier trop vite, ou alors pour le faire bouffer au procureur, au choix (bien que ce ne soit pas tellement son genre).
C'est alors que Nakayama s'approcha de lui. Pour la première fois du voyage, ils allaient peut-être avoir une discussion autre que les ordres donnés chaque jour.
Finalement la fine écaillée pose une question sans laisser Kintaro répondre, pour lui dire simplement qu'il pourra enfin vendre, ou acheter, dans les marchés étrangers. L'homme la remercia d'un sourire, qu'elle ne pouvait voir, puis répondit tout de même à la première question :
Ca me fait du bien de connaître à nouveau un peu d'activité dans ma vie, autre que celle d'un bureau de conseiller.
J'aurais juste imaginer avoir été assez prudent pour éviter de me faire remarquer...
Pas très bavard, la conversation n'ira sans doute pas plus loin. Mais cela faisait plaisir de voir que les lézards n'étaient pas "seulement" violents et buveurs de saké. Ils savaient aussi parlé autrement qu'en criant, ou qu'en maudissant... Une petite pensée pour Kuan, et la marche vers la prochaine victime reprenait.