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[RP] Stand gaYté

Otto_kar
Bonjorn !

Je n'étais pas là et je n'ai pas pu participer aux discussions politiques.
Je vais donc me rattraper, car en politique, il n'est jamais trop tard pour faire part de son point de vue.
On m'avait décrit votre mouvement comme franc et évitant de tourner autour du pot.
Ce n'est pas réellement l'impression que me donne la lecture de votre programme.

Je vais passer sur la partie "marquisat", même si le choix des mots me réjouit énormément.
À quoi bon débattre d'un système qui ne veut pas évoluer parce qu'il sait n'avoir pas d'avenir ?
Juste un bémol : vous parlez des valeurs de l'Indépendance. Vous les avez perdu depuis longtemps.
Merci de ne pas vous en draper ; elles auraient voulu que vous sacrifiiez tout pour le bien-être des Provençaux.
Fût-ce le Marquisat.

Concernant votre "noblesse"... Ouaf ouaf.

Tout d'abord, dans votre système, le conseil marquisal n'a théoriquement rien à dire sur les statuts de la noblesse.
La gestion héraldique est "confiée" à la hérauderie occidentalo-alpine par le comté de Provence, mais elle reste sa propriété.
Même Avignon est une propriété comtale, cédée en prêt au système marquisal.
Le comte est seul maître du territoire provençal, et n'a pas à dépendre de quiconque de ce côté, sauf éventuellement de l'accord de son conseil. Comtal.

Concernant les règles d'accession à la seigneurie vassalique... c'est de l'humour ? Ou un sacrilège conscient ?
Une règle fondamentale existe : "Le vassal de mon vassal n'est pas mon vassal".
Lorsqu'on est baroùn, vicoum ou coum, on possède sa terre, et dès lors qu'on accorde conseil, service armé et fidélité au suzerain...
Au nom de quoi celui-ci choisirait-il nos vassaux pour nous ?

Pour la journée de tocardise... Pareil.
Vous ne pouvez pas définir une personnalité "standard".
Il peut exister des nobles richissimes et grands seigneurs ou des nobles crapuleux adeptes des bas-fonds.
Ce projet de journée n'est qu'un enfumage sous enrobage de "vraie personnalité".

Mais bon, vous connaissez tous mon avis sur votre prétendue noblesse, hein.

Ce sont les deux sujets qui me touchent le plus.
Avec la religion, bien évidemment, mais je n'ai rien de spécial à dire sur ce thème.
Je peux, évidemment, vous donner mon avis sur d'autres thèmes si vous le désirez.
Pillon
Pillon était restée agenouillée aux côtés de son amie. Amie qui lui avait écrabouillé les doigts... mais bon, elle n'en pouvait rien la pauvre future maman. Elle avait mal.
Elle n'écoutait pas trop ce qu'il se disait, elle ne faisait que de regarder Miss grimacer, souffrir. Elle avait mal pour elle.
Mais c'était pour la bonne cause. La venue de son bébé... Une fille ? un garçon... on allait le savoir dans les minutes, voire secondes qui viennent.

Et c'est ainsi qu'elle la vit, arrêtant les rictus sur le visage. Et de sourire, les larmes aux yeux. C'était fini.

Et ... c'était un fils ! Aristote-Brigantin Luthuis.

Un magnifique petit bébé.

Elle félicita la maman, et le papa... mais surtout la maman.

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...
Prunille.
Désormais plus que rassurée, c'est un torrent de cheveux blonds qui sauta au cou de sa cousine, en déclarant :

Je veux le même !
Pillon, fais-moi un enfant !


Le tout en riant aux éclats...
Légèrement oublié qu'elles se trouvaient en une cathédrale.

Puis attrapant la main de Poil, et celle de Sab, elle continua sur sa lancée...
Parce que quand elle a commencé à parler, il est difficile de l'arrêter, et vu le stress accumulé ces derniers jours...


Mesdemoiselles, je crois que nous n'avons pas usurpé notre titre de bonnes fées !

Aussi donc, je propose que nous fassions à cet enfant chacune un don.


Les jeunes enfants avaient cela de bien qu'ils la faisaient replonger en enfance, quand sa mère lui disait, le soir avant d'aller au lit, contes et légendes...
Se penchant au dessus de l'enfant, et traçant une spirale dans l'air à l'aide de son doigt, elle se décida :


Aristote-Brigantin Luthuis, moi, Prunille, digne membre de la congrégation des fées accoucheuses en cathédrale, te fais don de la sensibilité artistique !

Sourire niais qui point sur les lèvres vermeilles, tandis qu'elle passe le flambeau à la fée suivante.
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Anciennement Gabcha
Pillon
A peine eut-elle le temps de féliciter les heureux parents qu'elle vit arriver une chevelure sauvageonne blonde en pleine face.

Je veux le même !
Pillon, fais-moi un enfant !


Voyant qu'elle riait aux éclats, Pillon fut un peu rassurée. Elle plaisantait. Elle commença à rire avec elle.

Oui, il est magnifique. Nous aurons nous aussi un beau petit bébé.

Elle était peut-être rassurée de la voir rire... mais il n'empêche qu'elle ne put s'empêcher de se poser des questions.

Était-elle heureuse avec Mateù ?
Pourquoi lui avait-elle dit de lui faire un enfant ?
Elle l'aimait, sa cousine... mais parfois, elle lui faisait un peu peur.
Elle était si fragile à certains moments...
La blondinette n'aimait pas qu'on puisse lui faire du mal.
Les gens aimaient parfois à la maltraiter... dans ses amis... dans sa famille...
Elle voulait la serrer dans ses bras, lorsqu'on lui prit la main. C'était elle, Prunille, qui lui prenait la main.
Elle s'arrêta alors de penser, elle y reviendrait plus tard. C'était le moment de l'écouter. Qu'avait-elle à dire...


Mesdemoiselles, je crois que nous n'avons pas usurpé notre titre de bonnes fées !

Aussi donc, je propose que nous fassions à cet enfant chacune un don.


Faire un don à Aristote-Brigantin Luthuis... Mais qu'avait-elle à offrir ? Elle réfléchit rapidement... mais en vain. Elle avait bien son Monsieur le Poulpe... mais il était hors de question d'en faire don. C'était son bien le plus précieux. Jamais elle n'allait s'en séparer...
Quoi d'autre ? viiiite.

Et Prunille qui avait déjà fini... Sensibilité artistique...

C'est alors qu'elle eut une lumière...
Mais oui ! suis-je bête !?

Pillon prit alors la place de sa cousine, bien en face du bébé.


Aristote-Brigantin Luthuis, moi, Pillon, digne membre de la congrégation des fées accoucheuses en cathédrale, te fais don de la Blonditude Attitude !

Et de se mettre à rire. Le pauvre enfant... Il n'était pas sauvé.
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...
Misslafan29
Miss écouta les fées pour son bébé et sourit en entendant leurs dons. Elle remercia les filles pour les félicitations.
-J'espère qu'il aura tes dons...Par contre la blonditude...HEu...pas trop hein quand même?

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Amoureuse de son beau Coquin et proclame au monde qu'elle l'aime, son Comte.
Sabdel
Sab prit précautionneusement le flambeau des mains de Pillon et s'approcha à son tour du bébé.

Elle se retourna un instant sur Pillon et Prunille en se demandant quel don elle allait pouvoir octroyer à cet enfant.
Elle tordit un peu la bouche, signe chez elle, d'une profonde réflexion.

Finalement, elle toussa pour s'éclaircir la voix et clama haut et fort:

Aristote-Brigantin Luthuis, moi, Sabdel, digne membre de la congrégation des fées accoucheuses en cathédrale, te fais un double don! D'abord, je te donne le don de l'esprit critique.
Pour que jamais, tu ne te laisses influencer, que tu suives ta propre voie et que tu ne deviennes jamais un mouton de panurge.
Et pour t'aider en cela, en même temps, je te fais le don de sobriété ....
pour que tu ne ressembles pas à ta mère !

Elle souffla sur le flambeau pour l'éteindre.
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Milady
Mila sourit bien qu'elle n'aimait pas les bébés rougeots et flettris... Elle sortit des écus de sa poche et compta jusqu'à cent avant de s'approcher de Miss.

Tiens, dit-elle en les déposant près d'elle, c'est un garçon.
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