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[RP] De quoi s'amuser des puissants...

Leportel62
Lou qui passait par là salua Melly et sa fille et écouta le gamin.

Il sourit en l'entendant vanter les qualités de la personne décrite.


Qu'en pensez-vous Melly?

Néanmoins je me pose une question sur le mot hère.
Un hère, en général, c'est un homme misérable ou un jeune cerf. Cet homme n'a rien d'un animal, quoique parfois!!!!
Hum hère!!! peut être interprêté aussi par indigent, pauvre, traîne-misère, miséreux, pouilleux, type ou gueux.
Ne dit-on pas, pauvre hère, hère qui croupit dans la misère, hère qui mendie ou n'être qu'un pauvre hère.

Donc, un hère avec un bateau!!! cela fait un peu contresens. Il en conclut qu'il avait dû l'assimiler à gueux.
Gueux, titre. Oui, bah quoi? Pourquoi cela ne serait il pas un titre. C'est aussi valorisant un hère riche qu'un noble pauvre, parachuté chez les nobliots sans toutefois que cela soit mérité.

Donc, respect pour la noblesse obtenue au mérite, telle la personne décrite.
Et qu'il y a t'il de plus beau, un couple de nobles qui se déchire où un 'couple' noble-gueux qui s'aime et vit dans le parfait bonheur.
Même une petite punition de quarante jours ne peut entraver un tel état.

En conclusion, cela ne ferait il pas un beau conte, la noble et l'hère. Espérons, que cela finisse comme toujours. Il se mariérent et eurent beaucoup d' enfants.
Ah zut! ils ont commencé à l'envers. Bon! qui sait, la suite viendra peut-être un jour......

_________________
--Lino_le_gamin
Une femme sortait de chez le poètte crotté lorsque Lino se présenta chez l'homme à la plume rouge. Il la laissa passer puis entra.
Le poète souriait, quelques parchemins dans ces mains.


" - C'était pas.....


Le poète leva le nez et sourit

" - En effet c'était elle, elle m'apporte sur un plateaux quelques petites choses fortes interessantes. Je sens que je vais être inspiré.
Mon travail à plu semble t'il, je reçois de nombreuses missives d'inconnu ou de gens connu et qui désirent faire éclater la vérité. Et pas qu'en mal,
comme quoi...
mais il semblerait que parler de gens simple soit aussi demandé, donc je m'exécute. Tiens voici quelques lignes à clamer haut et fort. ET voici pour toi.


Le poète croté tendit le parchemin et les quelques pièces pour Lino, mais celui ci les refusa.

je veux bien de ton histoire mais pas de tes sous, j'ai déjà mon travail et les gens m'achètent mes oublies pour que je leur conte tes histoires.


Lino pris le parchemin et alla directement travailler ce jour là. Tout en vendant ses oublies il chantonnait

qui, qui? qui veut mes oublies? qui, qui? qui veut m'écouter aujourd'hui?

Lino pris son parchemin et le déroula

Citation:

Aujourd'hui nous allons vous conter, une histoire d'amour celle d'un noble, un duc au point g et de sa douce Ginette.


Il se sont rencontrés, un beau jour d'été, la ginette était une jeune zinzinne écervelée, lui déja soldat expérimenté.
A quelle belle histoire d'amour, un coups de foudre, un jeu de séduction, et bientôt ces deux coeurs, ne furent plus qu'un.
Vint le moment où le Très Haut, dans sa grande sagesse et son amour de l'Humain,
décida d'unir ces deux personnes et au lieu de ne faire qu'un ils feraient trois.
Un seul point noir à cette histoire. La loi est formelle

" Aucun noble ne peut,
de par son union s'abaisser
et prendre une paysanne pour femme."

Le Duc ET Ginette, ne pouvait donc s'époussailler. Une seule solution, annoblir la belle et contourner l'interdiction.
Le Duc au point G chercha et chercha durant des jours,
enfin naquit l'espoir de voir ce mariage officialiser leur amour,
La Comserv proposait l'octroi
d'une de ses seignerie d'artois.
Le mariage fut donc préparé, la cérémonie orchestrée.
Dans son sein, l'enfant grandissait, et notre Ginette souriait
Mais au détour d'une conversation,
La diablesse dévoila son jeu.
il faudrait obéir en tout point à la comserw
et cela quelque serait dans l'avenir ses décisions

Toute paysanne qu'elle était, et simple gueuse pour la ComsErw,
notre Ginette gardait son honneur, et sa verve.
Et tout simplement elle refusa,
de se rabbaisser et un torrent de larmes elle versa.

Le très Haut ne pouvant laisser passer telle ignominie
surveilla de la haut la cérémonie,
Ginette et le Duc ne pouvait pas
prêter serment devant le prêtre et enfreindre la loi

Le bébé naquit et poussa son premier cri
au milieu de la foule réunie.
L'histoire ne dit pas si la ComsErw se repentit
d'avoir voulu gacher trois vies.


Ecoutez moi brave gens, Ecoutez le poète crotté.
Avez vous vu l'ignominie sempiternelle?
La même l'adultère, encore elle
après avoir gaché le vie de notre comte Elendil,
avait encore pour dessein de détruire deux être graciles.

Et elle est toujours la,
pour nous rappeller pourquoi nous sommes là,
et vous montrer qu'en Artois, si tous ne le sont pas
il existe nous pouvons le voir, une belle brochette de verrat.


Lino repliait déja son parchemin, le glissant sous son bras. Plus il lisait les vérités du poète crotté, plus cela s'imposait à lui. Malgré tous le bien, quils faisaient,
les nobles ne vallait pas tant que cela.
Il se dépêcha de rentrer, demain, une nouvelle histoire l'attendait.
Erwyndyll
Nouvel applaudissement de la Comtesse.

Mais ... j'en ai une pour vous moi aussi ! Laissez moi vous la comter... Vous verrez que parfois la réalité est mieux que la fiction !

Citation:
L'histoire se déroule à Azincourt, belle de chez belle de nos villes ;
dans celle-ci une gueuse de tendres cuisses :
avait trouvé une amie plus haut placée ;
cette dernière souvent elle écoutait
et avec elle pleurait des fatalités de la vie.

La noble pour la remercier de sa présence à ses côtés
lui proposa un jour de l'anoblir,
pensant ainsi lui faire plaisir ;
La Dame, non contente de l'honneur ainsi donné ;
lui demanda seigneurie pour son aimé
afin qu'un couple noble ils deviennent
et assurent ainsi leur égo démesuré.

Peu après la tendre amie se révéla ;
machiavélique et pervers était son double jeu ;
de toutes les confidences pas une n'était restée secrète.

La noble dame, triste de cet état ;
A la gueuse la noblesse refusa.
Pourquoi avoir comme vassale celle ;
qui, comme une chienne,
tourne sa truffe comme vient le vent.

Son aimé mourut peu avant la cérémonie ;
comme quoi d'amour il n'y avait point pour la gueuse.

L'Artois vit le départ de la menteuse ;
qui promena ses mensonges de champagne en Bourgogne ;
là où ses dires sont crus par toute personne.
Pas de duc ou de comte dans l'histoire ;
juste les délires d'une folle.

La fourberie est un art dans lequel peu excelle
Vous feriez bien de vous rhabillez ou de changer de vers moqueurs
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur.
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