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[RP] Tant qu'elle n'est pas trop froide...

Ivori

Le vieillard au chapeau mité osait relever le défi. En même temps, pas très étonnant, il avait les bourses pleines à craquer ! Toutes les bourses d'ailleurs... Mais là n'est pas l'sujet !

Pari tenu, l'vioc ! Tu vas voir comment j'vais t'plumer tes sous-sous en moins d'temps qu'il n'en faut pour l'dire !

Ivori tourna la tête pour observer la Sicaire, convaincue en son for intérieur qu'elle avait fait l'bon choix, même si le mâle dominant essayait d'la faire changer d'avis. Que nenni, que nenni ! Non, non, non, qu'elle faisait d'la tête, la rouquinette ! Son discours de popotte, de marmots à torcher, l'avait confortée dans son pari !

Mais c'était sans compter sur les hormones ! Raaaah foutues hormones ! Elle les avait oubliées dans son savant calcul... Et s'en suivit une danse harmonieuse dans laquelle valsèrent au rythme des bras de la Sicaire toute sorte d'objets et denrées... Bon, d'accord, ce fut un véritable bombardement de toutes les saloperies qui traînaient dans les coins, et les premières loges sont faites pour voir le pestacle sous le meilleur angle.

Conclusion ? La jeune Andalouse se retrouva vite sous une pluie de projectiles et au moment où elle allait partir en courant, elle se prit... quoi, quoi, quoi ? les braies dégueulasses du chef de l'Armée !!

Aaaaaah !!! Mon visage !! Mon visage !! Il fond, il fond, j'en suis sûre !!, cria la rouquine après s'être débarrassée de cette immondice. Le contact de l'étoffe moisie sur sa peau lui laissait une sensation de démangeaison intenable et elle ne pouvait s'empêcher de se gratter les joues et le front.

Mais, comment y fait pour porter ces sal'tés ? Il doit avoir la toison remplie d'morpions... Quelle horreur ! Faut qu'je boive...
Et la rousse se dirigea entre démangeaisons et spasmes nerveux vers un fût.
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"Que Viva La República... Hasta la muerte..."

Lingus

Lingus était de retour sur le campement après deux interminables journées dans les prisons de Dole. Là-bas, il avait eu le temps de compter jusqu'à l'infini plusieurs fois, mais ici rien ne semblait avoir changé.

Nicbur et Reginae s'entrainaient pour le prochain tournoi de joutes de Genève, le duo avait apparemment décidé de persévérer dans cette fameuse tactique qui les avait menés, bah... à la défaite! La bourguignonne avait simplement ajouté quelques accessoires à leur numéro.
Sa douce rouquine était couchée au sol... sous un fût percé!

La routine en somme!
Il alla rejoindre Ivori sous le flot de vin, Grom n'étant pas en vue dans les parages, c'était le moment de fêter sa liberté!
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--Andrew_

Andrew était rentré au camp après l'épisode du décullotage. Il ruminait sec depuis qu'il avait quitté ses deux acolytes. Mais une idée avait germée. Il fallait maintenant la murir.

Ce qui était sur, c'est que les Dôlois manquaient singulièrement de bien des choses:

Pour l'honneur et le courage, il n'y avait plus rien à faire ni à dire : cela ne pouvait même plus être catégorisé comme une cause perdue tant ils étaient pitoyables sur ces points en particulier.
L'humour semblait aussi leur être une idée plutôt étrangère. Comme de plus les frontières étaient fermées, cela n'allait pas s'arranger de ce côté dans un futur proche.
Côté religion ils étaient aussi à côté de la plaque mais là peut être il y avait-il quelque chose à faire. Le tout était donc de leur faire parvenir l'information... Leur ouvrir les yeux sur les mensonges éhontés des suppôts de Rome.

Sans savoir pourquoi, Andrew se rappella un épisode très lointain. Un temps ou il était encore en Écosse. Il avait peut être 6 ou 7 ans et il c'était caché derrière un bousquet assez bien fourni mais au travers duquel la nature avait laissé comme un trou. Bref, un endroit parfait derrière lequel il était possible de faire des bêtises tout en gardant un oeil alerte sur le monde alentour. Andrew était venu ici bien des fois auparavant, mais son but était différent ce coup ci : armé d'un lance pierre de sa fabrication, Andrew attendait qu'une innocente victime n'arrive dans sa ligne de mire.
Si maintenant Andrew pouvait voir en ce souvenir un signe du Très haut, sur le moment ce ne fut qu'une cible un peu particulière que le hasard mettait sur sa route : le curé du village, un homme gras au possible somnolait sur un pauvre petit âne. Viser le bedonnant bonhomme eut été trop facile. Andrew pointa donc le lance pierre en direction de l'âne et déchaina ce qui était pour lui rien de moins que le feux des enfers. Si il n'avait pas été surpris par le fait que son projectile allait atteindre sa cible, il n'en fut pas moins étonné et ravi des conséquences. La petite pierre heurta l'âne vers la jugulaire et eut pour effet de le faire se cabrer légèrement. Inévitable répercussion, le curé fut jeté à bas se retrouva le cul par terre, sa bure dévoilant un peu trop de l'anatomie qu'elle cachait normalement...

Revenant sur terre après ce voyage dans un de ses souvenirs au sein duquel il allait puiser l'idée principale de sa prochaine démonstration, Andrew se mit en quête de matériel pour faire un sytème basé sur le principe du lance pierre mais à une échelle quelque peu plus importante. Il entreprit aussi de récolter ce qu'il pourrait lancer par dessus les murailles. Dans le camps, la seule chose qui pouvait répondre aux critères exigeants qu'il avait, était un recueil relié pleine peau des 52 articles de Izaac. Il fallait juste espérer que le vieux sage n'en ai pas vent... Ne trouvant rien qu'il ne puisse vraiment détourner et envoyer aux Dôlois de ce côté ci de la muraille, Andrew décida de rentrer incognito dans l'enceinte de la ville et d'y faire son "marché".

L'entrée dans la ville se fit sans aucun problème. Restant tout de même très dsicret, Andrew passa un bon bout de temps dans les ruelles à l'affut de la moindre chose utile à son projet. Alors qu'il se trouvait non loin d'une des portes de la ville, le regard d'Andrew croisa celui d'un vache et y resta comme fixé. Certes, elle ne rentrerait pas dans le sac qu'il avait pris soin de prendre avec lui mais il y avait surement moyen d'en faire quelquechose... Cela pourrait paraître loufoque peut être pourtant, le potentiel était là. Il fallait juste en faire une utilisation juste.

Le futur allait pourtant prendre un tournure bien différente de ce qu'il avait envisagé : alors qu'il échaffaudait déjà une ébauche de plan concernant celle qu'il avait déjà prénomé Nunuche, une douleur très vive fulgura à l'arrière de sa tête. Il n'eut le temps de rien faire et s'écroula lourdement sur le sol. C'est à peine si il entendit le rire gras du Dôlois qui l'avait frappé par dérrière avant qu'un grand néant de l'envahisse...

See the RP information

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Tant qu'elle n'est pas trop froide...

Andrew_largs

Les évènements étaient de nouveaux en marche !

L'armée c'était mise en route rapidement et une fois de plus Pontarlier avait été atteinte sans le moindre problème. Cela ne faisait plus aucun doute les Dolois étaient des lâches. Dès que le plus petit risque apparaissaient, ils courraient se cacher. La question à 2 écus qui trottaient dans la tête d'Andrew depuis pas mal de temps était de savoir si un jour, il serait trouvé une raison qui les motiverait assez pour qu'ils mettent un terme à leur couardise. Compte tenu de ce qu'il avait vu jusqu'à présent, il en doutait fort.

Heureusement que les hommes et les femmes de Pontarlier, même si ils subissaient les lois injustes qui engraissaient un peu plus chaque jour les nobles et les pourceaux de l'église, n'étaient pas de la même trempe. Plusieurs avaient déjà choisi le camp de la Réforme, le camp auquel le Trés Haut accordait sa bénédiction. La perfidie des suppôts de Rome avaient tenté depuis trop longtemps d'empêcher Sa Voix d'être entendue. Ces mécréants auraient dû savoir, que nul ne peux ni ne doit parler en Son Nom, que nul ne peut se mettre entre Lui et Son fidèle.

Pour l'heure, l'attente commençait. Les larbins de la noblesse se cachaient une fois de plus. Cette fois, c'était derrière les fortifications de la ville. Il fallait croire que les Réformés et les Républicains foutaient une peur bleue à ces pauvres petits soldats de Dôle : il y a peu, l'action se passaient à l'intérieur des murs et l'armée avait fuit à l'extérieur ; cette fois l'armée de Salut attendait à l'extérieure pendant que les autres se faisaient dessus dans la ville. Il fallait d'ailleurs espérer que le vent allait se lever rapidement sinon l'atmosphère y deviendrait irrespirable.

Comme rien ne semblait se passer, Andrew trouva un petite butte, bien visible des remparts mais qui se trouvait tout de même hors de portée des archers. Il y monta et s'adressa à la cité d'une voix forte et assurée. Andrew connaissait une coutume de son pays natale qu'il voulait faire connaitre ici.

Drôlois, pour ton honneur, ce est fichu !
Viens montre tu as un peu du courage encore et sors de ton cachette. Pendant tu seras là, viende me voir, je a un truc tu dois embrasser !

Andrew ayant terminé ce qu'il voulait dire, se retourna dos aux fortifications. Il se pencha alors en avant et releva son kilt.

Une petite brise se leva et lui caressa doucement les fesses qu'il exposait fièrement. D'autres personnes du campement regardaient. Il espérait bien que certaines viendraient le rejoindre. Après tout, ce genre de tradition était faite pour être partagée...
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Andrew Largs, Réformeur

Troubadour de l'Ordre du Chardon (http://ordreduchardon.xooit.com)
Camelot juré de la Compagnie du Léman
Membre de la Compagnie des Reitres Suisses
Étudiant en médecine

M.reginae

Il faut le reconnaître, pour une sortie en armée, ça ressemble plutôt à une petite virée entre amis pour le moment. Le campement s'est monté sans evènement particulier, chacun restant proche de ceux de sa lance, notamment pour une question d'organisation au cas où il faille être rapidement prêt à l'assaut. Quelques grandes tendances se dessinent dans l'Armée du Salut: les Comtois éclairés, Les Hélvètes, les Sicaires, les Républicains de la première heure, etc... Question diversité, l'Armée du salut bat sans doute les records. Il faut dire que les soldats y sont très très nombreux.

Reginae pour passer le temps, fait le tour des divers groupes, tendant l'oreille de ci de là. Elle n'apprécie pas forcemment tout le monde, mais globamement respecte chacun. Juste un petit bémol pour ceux qui tournent leurs vestes en fonction des évènements, qu'elle finit par ignorer, les jugeant totalement sans intêret.

Main au dessus des yeux en protection du soleil, elle cherche après ce cher Kirk, avec qui elle doit faire la première lecture Réformée. Admirant beaucoup son frère Sicaire, elle lui a demandé de l'aider dans ses premiers pas. Son regard balaie le campement, quand elle aperçoit non loin Andrew qui montre ses fesses aux militaires de l'armée dans les remparts.

Totalement hilare, et appréciant à sa juste valeur les talents créatifs de l'Ecossais, Reginae le rejoint.

Ce matin, elle n'a pas de petite culotte..souvenir d'une nuit quelque peu agité. Son tendre a pris une nouvelle charge au sein du Lion de Juda, et en tant que Réformés, les Sicaires se doivent de boulasser à chaque occasion. Ce qui a été fait dans les règles de l'art une fois le couple hors des regards indiscrets.

Cette absence de bout de tissu permet de rapidement se mettre en position de "combat à l'Ecossaise".

Reginae présente elle aussi la partie la plus charnue de son corps, riant aux éclats de se retrouver ainsi penchée à coté d'Andrew.
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Galovert

Bon on ne va pas s'étendre sur le pourquoi de notre présence ici.
Galovert pensait ainsi quand il remarqua Andrew et Reginae courbés face au campement, leur jupette respective leur servant d'ombrelles, exposant leurs fesses à la vue des gardes Dolois qui scrutaient les Républicains du haut des remparts.

Que voilà une stratégie interessante.
Le "combat à l'écossaise".
Ils avaient l'art du raccourcis outre-manche, qu'on n'en doute plus.

Dix milles mots arrangés en poétiques versés ne sont que balbutiements comparés à une image..

En dénouant la corde qui lui servait de ceinture, il ne pu résister au fou rire qu'il retenait depuis un moment.
C'est avec grand peine qu'il rejoignit ses compagnons, ses braies entravant ses pas il failli s'étaler à plusieurs reprises.

Rincez vous bien l'œil, c'est la première et la dernière fois que vous verrez mon cul.

Et se baissant comme pour ramasser des fraises, il présenta la partie de son individu que ces couards de Dolois ne pourraient point apercevoir autrement.

Andrew_largs

L'armée du Salut, même si son départ avait été fort bien préparé, ne comptait pas encore dans ses rangs de peintres pour immortaliser la scène. Pourtant, cela aurait bien valu quelques coups de pinceaux...

En fait, quelques coups de pinceaux auraient vraiment été les bienvenus compte tenu du fait qu'il ne fallait pas compter sur les Dolois pour donner un quelconque autre coup... Les pleutres continuaient à se terrer comme des rats derrière les murailles. Aucun courage. Enfin si un peu... Andrew avait entendu une femme faire des vers du haut des remparts. Tout un act de bravoure, ça... Il ne la connaissait pas lui même mais avait entendu son nom d'autres membres de l'Armée du Salut. Il y avait eu un peu de bruit à ce moment là car il semblait y avoir une petite altercation dans le campement, mais Andrew avait entendu un truc du style Princesse Nunuche... Pfff... Encore une nobliotte écervelée qui n'avait même pas la décence de s'avancer sur le champs de bataille à la tête de ses hommes...

Perdu dans ses pensées, Andrew commençait à avoir le courant qui lui refroidissait singulièrement le popotin. Dire que peu de temps auparavant il avait entendu Reginae jurer ses grands dieux que elle vivante, il n'y aurait pas d'armée des sans culotte... Soit disant parce que c'était un vêtement tout à fait indispensable dont elle ne se séparait jamais... Tu parles....

Enfin, il était temps de remballer la marchandise. Les dôloises et les dôlois avaient été suffisamment émoustillés comme cela... Quoique cela pouvait peut être une technique pour les faire sortir de leur trou. Andrew releva tout demême son torse et se retourna vers les remparts. Le kilt était de nouveau à sa place.

Alors dans le fin, vous ave pas de l'honneur mais pas de le courage non plus !
Doilois, vous êtes de la mauviette !

Andrew tapa dans le dos de Reginae et de Galovert pour leur aimable participation à ce petit spectacle écossais improvisé et leur fit un large sourire.

Marci bien de le participation.
Je va reviendre pour un autre petit démonstration. Si vous voule aide encore, ce est avec plaisir.
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Andrew Largs, Réformeur

Troubadour de l'Ordre du Chardon (http://ordreduchardon.xooit.com)
Camelot juré de la Compagnie du Léman
Membre de la Compagnie des Reitres Suisses
Étudiant en médecine

Sofialaurine

Sofia allant son chemin, passa non loin de l'enceinte du château et vit le jeu puérile de ces lions républicains ....oui, ça pourrait faire un tableau explicite à placer à l'arrière d'une chaumière...dans une petite cabane souvent entourée de mouches au fond d'un jardin....

En fait, se dit-elle...ils se fatiguent pour rien ces drôles...les habitants de Dole et de Pontarlier sont endormis à cette heure...après la rude résistance de cette nuit...beaucoup se reposent...en tout cas, peu se soucient de ces frasques provocatrices et ont raison...

La jeune fille hocha la tête comme pour se dire..."pfff , quelle mentalité ces républicains..." autant les "mâles" que les "femelles" chez eux...!! pfff AUCUNE DIGNITÉ et dans un tel cas...les appeler hommes ou femmes était du délire...

Attention ...Lions en rut en approche !!!! se prit-elle à penser avec son humour ironique légendaire.....

M.reginae

[Le lendemain - la mobilotte de Gromukus]

Une armée, c'est pas de tout repos non plus. Reginae assurait une permanence au bureau de recrutement, et il allait bientôt falloir instaurer des tickets et mettre en place une salle d'attente. Les candidatures affluaient telles des abeilles sur un peau de miel, ou des femmes sur Sanctus. Le temps d'une pause, la Sicaire rejoint Aileron et Gromukus, toujours en train de stratéger, au soleil, devant la mobilotte de ce dernier. Les idées fusent, un nouveau projet de financement prend forme, il ne restera que quelques détails à régler dans un futur proche.

Gromukus s'en va, insistant sur le fait que sa chariotte grand confort n'est pas en accès libre. Interdit? ah ah y'a pas plus excitant que les endroits interdits pour la Sicaire: le confessional de la basilique de Berne, les tavernes, les remises des tavernes, le clocher de l'église de Pontarlier..que d'excellents moments. DOnc d'accord ou pas d'accord, la mobilotte va servir de nid d'amour au couple de Réformés.

Reginae, avant de monter dans la charette grand confort, quitte sa Sica et la lache malencontreusement au sol. Celle ci se brise sous le choc ! Quoiiiii?

- NICBUUUUURRRRRRR ! s'insurge t'elle, c'est quoi cette Sica mal forgée??

En attendant que celui ci vienne platement s'excuser pour ce travail sabordé, elle grimpe dans le véhicule cavalo-tracté, souriant très équivoquement à Aileron, sans savoir si l'ancien avoyer de Genève a entendu les reproches sur ses talents d'artisan
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Dj6009

Qu'elle bande de con c'est républicain ce disa t-il en allant rejoindre la femme qu'il avait connu quelques semaine plus tôt.

Hey dame, vous vous rappelez de moi??? Je suis tellement content de vous revoir!

Il regarda en direction des 'Lions' et rit un petit moment, sachant fort bien que la femme ne les aimaient pas plus que lui.

C'est drole d'habitude ca sent toujours bon ici... Mais la... Il y a une de c'est odeur!!! Alors ou allez-vous?

Il continua sa marche avec la jeune femme...
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Chef du parti Fraternité Luxovienne
UNIS, NOUS ÉVOLUERONS

Nicbur

[Pas tout proche, mais pas très loin de la mobilotte de Gromukus]

Nicbur se remémorait les évènements de la veille, le sourire aux lèvres... Andrew l'anglois, avec ses méthodes de combat importées de chez lui, avait du faire trembler les comtois de l'autre côté des murailles. C'était destabilisant ce genre de manoeuvre, surtout quand on y était pas habitué... Son sourire quitta son visage quand il pensa à ce que cette technique pourrait donner quand elle sera maîtrisée par kirkwood... Rien qu'un de ses sourires suffisait à ôter le sommeil au plus aguerris des combattants, alors la vue de son siège... Il tenta de chasser cette image de sa tête mais c'était trop tard, le mal était fait, il n'arriverait certainement pas à avaler sa ration ce jour, et probablement pas les jours suivants non plus...

heureusement pour lui, un hurlement le fit sortir de ses pensées. Un cochon qu'on égorge se dit il... En tendant l'oreille, il se rendit compte que ca n'était pas un porc, mais régina qui l'appelait de savoix douce et sensuelle:

Citation:

NICBUUUUURRRRRRR ! s'insurge t'elle, c'est quoi cette Sica mal forgée??

il se dirigea vers elle, remonté comme jamais... après avoir imaginé les fesses de kirk, voila que maintenant, on critiqué son travail... une journée qui commençait bien...

Quoi? qu'est ce qu'il y a? elle a un problème la p'tite dame?

il apperçut la sica au sol, brisée:

C'est tout le soucis que tu fais de mon travail, toi? Ca vaut le coup que je passe mes nuits à forger, si c'est pour que tu détruit mon oeuvre avant le premier combat! c'est une sica madame, c'est fait pour poufendre les ennemis de la République, pas pour s'attaquer à la terre qu'Aristote nous a donné!

Si les fusils avaient existé, il l'aurait sans doute fusillé du regard, mais comme ils n'existaient pas, il se contenta de la regarder avec le regard le plus sombre qu'il avait sous la main. Même son sourire "youltrabraillgt" était rangé. Pour résumer, le nicurissime était furax.

M.reginae

[Perchée sur la mobilotte]
Nicbur n'était pas loin puisqu'il arrive à peine quelques instant après l'appel de Reginae. Celle ci, perchée sur la mobilotte, l'écoute, ahurie, déblatérer des arguments d'une mauvaise foi inouïe. Et en sus, il se permet d'être de mauvaise humeur, au vu du regard qu'il lui lance.

La Sicaire est d'un caractère parfois un poil excessif, et là, il réussit à la contrarier très sérieusement, d'autant qu'elle envisageait plutôt les moments suivants à prendre du bon temps.

P'tite Dame, p'tite Dame..sa taille est largement suffisante par rapport à la grandeur de ses pieds. L'important n'est il pas d'avoir les petons bien ancrés au sol?

C'est tout le soucis que tu fais de mon travail, toi? Ca vaut le coup que je passe mes nuits à forger, si c'est pour que tu détruit mon oeuvre avant le premier combat! c'est une sica madame, c'est fait pour poufendre les ennemis de la République, pas pour s'attaquer à la terre qu'Aristote nous a donné.

Ses sourcils se froncent et ses joues virent au pourpre, tandis qu'elle pose ses deux mains sur ses hanches

- mais je rêve ! tu pensais à quoi quand tu as forgé? A tous les coups à Nefti...déjà à cause de toi et de tes pensées on a perdu le tournoi de Genève. Par ta faute, on risque encore de perdre une bataille.

Elle lève les yeux au ciel, exaspérée, puis s'adresse aux présents, prenant AIleron à partie, avec toute la subtilité que peut avoir une femme en colère.

- Mais qui a eu l'idée de recruter un boulet pareil dans l'Armée du Salut? C'est toi mon amour? ah non surement un coup du Vieux, il gagatise avec l'âge.

Reginae est prête à en découdre, cherchant d'un coup d'oeil rapide dans la mobilotte un projectile éventuel à jeter sur l'ancien Avoyer de Genève.
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Sofialaurine

Dj6009 a écrit:

DJ !! Ça alors, dit la jeune fille.... Quel bon vent vous amène....oui, mon ami, je me souviens de vous!...
C'est une joie de vous revoir...Mais je vous en prie, ne restons pas là, ces Lions me donnent la nausée avec leurs comportements primitifs...

Que diriez-vous de venir vous désaltérer dans une joyeuse ambiance, à la taverne "L'Epée Comtoise" que mes chers amis Ethane d'Ithaque et Damedulac viennent juste d'inaugurer hier soir...C'est là que vous pourrez aussi vous reposer de votre voyage, si vous le désirez....

Toute joyeuse, Sofia quitta ce lieu nauséabond en compagnie du jeune homme...

Je vais vous les présenter, dit-elle encore...en lui adressant un sourire amical...

Ivori

[Non loin de la mobilotte...]

La tente s'était finalement montée et d'puis la veille, la rouquine s'appliquait à couper tout c'qui passait sous son nez à coup de Sica - en manque d'hémoglobine, à coup sûr ! Des lézards, des rats, des comtois... Oups désolée, je m'égare !
Faut dire qu'y avait pas grand chose à faire.
Ivori se promenait donc désœuvrée au travers du campement et, faut bien l'dire, dans l'espoir de mettre la main sur son amor qui avait encore disparu.

Soudain, elle entendit une voix féminine s'élever et une voix masculine lui donner la réplique. Ça sentait l'roussi dans l'coin ! Y allait y avoir d'la baston... et entre Républicains en plus !
La belle rousse baissa les yeux sur les morceaux de Sica et écarquilla d'grand yeux, avant d'marmonner :
Maaa, qui a pu forger une lame pareille... Ça s'brise pas une Sica, boudu !

C'est là qu'elle comprit qu'c'était justement le motif d'la querelle entre les deux Républicains. Et ça allait chauffer ! Entre... Entre Reginae et Nicbur ?! C'est qu'elle s'y attendait pas à celle-là...
Ivori posa sa croupe sur la roue d'une charrette, attendant l'début des hostilités. Fallait bien dire qu'ça risquait d'être intéressant ! La Sicaire était plutôt costaude et aussi agile et furtive qu'un félin, sans parler d'son p'tit côté sadique... Nicbur ? Maaaa, elle le connaissait pas vraiment !

Aussi, la rouquine sortit sa bourse et lança à l'intention des Républicains présents :
Allez, chicos ! J'prends les paris ! J'mise 50 écus sur la Sicaire ! Ça va pas traîner, moi j'vous l'dis !
Ivori laissa échapper un rire de défi, puis tourna la tête en direction d'chaque Républicain à portée d'vue, en s'disant qu'y allait bien en avoir un pour oser parier face à elle.
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"Que Viva La República... Hasta la muerte..."

101112v

Andrew_largs a écrit:

[img]

L'armée c'était mise en route rapidement et une fois de plus Pontarlier avait été atteinte sans le moindre problème. Cela ne faisait plus aucun doute les Dolois étaient des lâches. Dès que le plus petit risque apparaissaient, ils courraient se cacher. La question à 2 écus qui trottaient dans la tête d'Andrew depuis pas mal de temps était de savoir si un jour, il serait trouvé une raison qui les motiverait assez pour qu'ils mettent un terme à leur couardise. Compte tenu de ce qu'il avait vu jusqu'à présent, il en doutait fort.

Heureusement que les hommes et les femmes de Pontarlier, même si ils subissaient les lois injustes qui engraissaient un peu plus chaque jour les nobles et les pourceaux de l'église, n'étaient pas de la même trempe. Plusieurs avaient déjà choisi le camp de la Réforme, le camp auquel le Trés Haut accordait sa bénédiction. La perfidie des suppôts de Rome avaient tenté depuis trop longtemps d'empêcher Sa Voix d'être entendue. Ces mécréants auraient dû savoir, que nul ne peux ni ne doit parler en Son Nom, que nul ne peut se mettre entre Lui et Son fidèle.

Pour l'heure, l'attente commençait. Les larbins de la noblesse se cachaient une fois de plus. Cette fois, c'était derrière les fortifications de la ville. Il fallait croire que les Réformés et les Républicains foutaient une peur bleue à ces pauvres petits soldats de Dôle : il y a peu, l'action se passaient à l'intérieur des murs et l'armée avait fuit à l'extérieur ; cette fois l'armée de Salut attendait à l'extérieure pendant que les autres se faisaient dessus dans la ville. Il fallait d'ailleurs espérer que le vent allait se lever rapidement sinon l'atmosphère y deviendrait irrespirable.

En quoi les dôlois sont-ils des lâches?
Qu'est-ce qui vous prouve que l'Eglise et les nobles s'enrichissent sur le dos des autres?

"le camp auquel le Trés Haut accordait sa bénédiction"
Donc, vous pensez qu'Il vous a donné sa bénédiction. Vous le dites, donc, à sa place...
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Nicbur

[devant la mobilote]

Reginae a dit:

Citation:

Mais qui a eu l'idée de recruter un boulet pareil dans l'Armée du Salut? C'est toi mon amour? ah non surement un coup du Vieux, il gagatise avec l'âge.

Nicbur était rouge de colère... Non seulement elle avait brisé sa sica, mais en plus, elle se permettait de l'insulter... Lui, le nicburissime, le sublimissime avoyer, celui qui a vaincu Achile sans le frapper au talon... elle osait! Elle ne le connaissait pas, c'était une certitude. elle n'avait jamais entendu parler de lui et de ses inombrabres exploits sur les champs de bataille.

Mais pour qui tu te prends toi? Pendant que ta mère tentait de t'apprendre à être une bonne épouse et à cuisiner, moi je me battais contre six armées tentant de prendre Genève. Pendant que tu tondais les moutons de ta ferme natale, je découpais du cureton du haut des remparts genevois! et tu oses dire que je suis un boulet?

Décidément, il ne comprendrait jamais les femmes. Comment pouvait on être d'aussi mauvaise foi?

Comme si ca ne suffisait pas, Ivori vint s'en méler:

Ivori a dit:

Citation:

Allez, chicos ! J'prends les paris ! J'mise 50 écus sur la Sicaire ! Ça va pas traîner, moi j'vous l'dis !

La malheureuse... elle allait bientot se retrouver sans le sou... Nicbur avait vu comment reginae se battait lors du tournoi de la compagnie. Ils n'avaient pas gagné à cause d'elle, nicbur ayant du passer son temps à la protéger au lieu de vaincre ses ennemis...

Si j'étais toi, je changerais mon pari. La pauvre n'a aucune chance contre moi, et ca me gènerait de te prendre ton argent.

Nicbur espérait que la sicaire se calme et lui présente ses excuses. il craignait de la malmener un peu trop et, ce faisant, de s'atirer les foudres d'Aileron. Ce dernier était un excellent joueur de soule, et nicbur en avait besoin.

Serrallonga

[En arrivant près de la Mobilotte]

Serra voulait jeter un oeil à la mobilotte afin de voir véritablement ce que trainait l'autre Grom. Il sortait toujours plein d'choses de ses manches... enfin de sa carriole... et surtout, Serra voulait voir s'il se trimbalait encore sa cargaison de bâtons et autres cochonneries qu'il avait amassées lors de sa dernière visite de château.

Mais y'avait de l'animation dans les parages. Serra s'approcha et remarqua Regi en train de se plaindre d'un forgeron peu soucieux de son travail apparemment. Les échanges étaient plutôt épicés et lorsque qu'Ivori balança ses écus en pariant sur la Sicaire, Serra comprit que la discussion risquait de tourner à l'affrontement... Faut bien s'occuper après tout.

- J'tiens l'pari !, dit-il en s'avançant à hauteur de la rousse.
Puis s'adressant à l'homme dont les talents étaient remis en cause.
Si tu pouvais me la calmer la Regi, ça éviterait toute autre déconvenue lorsqu'elle s'amuse à expérimenter de nouvelles techniques de forage...
Les propos faisaient références à l'explosion provoquée par la Sicaire dans la Grotte où Serra avait failli se retrouver enseveli.... Et non, il ne l'avait pas encore digérée cette histoire.
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M.reginae

[Perchée sur la mobilotte]

Mais bien sûr..Reginae en train de faire la popotte, passant sa matinée au lavoir à parler mal de la voisine, puis allant récolter des légumes. Et la marmotte elle plie les edelweiss dans des peaux de dahut. Le fat Genevois attise la colère volcanique de la Bourguignonne, par son arrogance masculine, mais surtout en lui mettant sous le nez des évidences relatives à la participation de Nicbur à la défense de Genève.

Et quoi de pire que de se faire prendre en défaut, quand on sait au fond qu'on a tort? La Sicaire a beaucoup de mal à contenir son sang bouillonnant, et ne réussit pas à se raisonner, empêtrée dans sa mauvaise foi.

Pour courronner le tout, Serrallonga et Ivori se mettent à parier sur la suite des évènements, poussant la Sicaire ainsi à refuser de perdre la face.

Et dans tout cela, Aileron garde son flegme habituel, déposant avec délicatesse la cerise sur le gâteau.

Voilà en gros Reginae perd le contrôle, et sous l'effet de son volcanique tempérament, attrape tout ce qui est portée de main sur la mobilotte et le jette d'abord sur Nicbur, puis aussi sur son tendre qui ne se rallie pas spontanément à sa cause. Puis rapidement dans tous les sens, pour le plaisir.

Oui oui bien sûr en tant que Réformée, et surtout que Sicaire, elle devrait garder son calme et être un modèle de modération. Mais que voulez vous, ça lui arrive parfois, sous l'effet d'hormones purement féminines.

En vrac partent donc dans les airs

des miches de pain rassis que Grom compte distribuer aux soldats
des sacs de maïs percés par les rats
des morceaux de viande séchés
des poissons pourris
des braies très très sales de Gromukus
des rames, des boucliers, et pleins de bibelots estampillés du sceau de Tours et de Reims

La Sicaire furieuse, à court d'argument, passe sa rage en vidant peu à peu la mobilotte de Gromukus, telle une furie. Quand elle tombe soudain sur un briquet à étoupe..une lueur incendiaire s'allume alors dans ses yeux, un sourire du SansNom éclairant son visage.
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Ivori

Lingus

--Andrew_

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[RP] Tant qu'elle n'est pas trop froide...