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[RP] Baptême d'un bonbon rose bien enrobé..

Cassian_darlezac
Planté fièrement devant la lourde porte de l'édifice le jeune homme attend. Fier comme ses rois de jadis dont son père vient de leur rabattre les oreilles il se tient là, droit, face aux arrivants. C'est pourtant un regard noir qui se pose sur Griotte déterminé comme d'habitude à gâcher leur entrée, qui avait jusqu'alors TOUT pour être majestueuse. Certes la Molasse lui a fait promettre de ne point brailler en publique mais qu'à cela ne tienne, il n'en peut plus. Alors put-on entendre tonner sur le parvis sa voix virevoltante – tantôt haute, tantôt basse :

« Par les glorieuses roupettes du saint qui s'tache tu fous quoi Grouillotte ! Grouille toi le popotin bon sang du soir ! Et tiens toi droite ! Dis lui Papa, dis lui qu'on est pas dans une de ses... » Il aurait encore pu continuer longtemps comme ça si ce n'est... « Bigre ! Naimbaud ? ! MOUAHAHAH ! C'est vraiment toi ? ! »
Et de partir dans un fou-rire intarissable avant d'ameuter le reste de la population :
« Papa, Grouillotte, 'Cianne viendez vite ! Faut ab-so-lu-ment que vous voyez ça ! Grouillez-vous, tudieu ! HIN HIN HIN... »
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Beatritz
[Le Louvre]

Enfin, elle était habillée ! Elle laissa Ayena d'Alquines arranger ses cheveux sous la coiffe, et s'observa dans un miroir poli de plein pied.
Mouais, bon. Ça irait. Au moins avait-elle une coupe à la mode et de la première élégance. A la réflexion, elle était même tout à fait satisfaite du drap d'or dont était cousu le jupon. Sa filleule avait dû ruiner ses parents, pour lui offrir une robe d'une telle qualité...
Sa médaille aristotélicienne au cou, rentrée dans le décolleté, elle sourit. Oui, on s'y faisait, à cette couleur.


-"Allons-y, Demoiselle Ayena, ou nous serons en retard."

Devant la porte, elles retrouvèrent Charles de Warenghien, garde royal jamais bien loin de Yolanda Isabel de Josselinière, ce qui avait de quoi rassurer la Reine, dans les moments où, gouvernant, elle laissait les commandes des mondanités du Louvre à la rosy-fée.

-"Messire, Demoiselle... Il est temps ?"

Question de pure forme, car on entend au loin le bedeau de la chapelle royale sonner moins le quart. Notre-Dame est à deux pas, mais deux pas qu'il convient de faire sous bonne garde, quand on est la star du jour et son escorte - il s'agit là, mettons-nous d'accord, de notre Princesse des Fées. La Reine n'est qu'une pièce rapportée, et ça ne lui fait pas de mal.

Plonge, compagnie, dans les rues boueuses de Paris ! A toi le haut du pavé, à toi les mouchoirs sur le nez, à toi les parfums d'Agnès S. Ephora pour masquer la nauséabonde fragrance urbaine !

Et enfin, Notre-Dame, le parvis... Et là, on fait quoi ?



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HRP - Béa bientôt en arrêt maladie, cf. MDRPRR - Ne se lance plus dans de nouveaux RP - Ville de Paris - Saint Chapelle : Requiem pour le Pape
Fitz
[A l'intérieur de Notre-Dame]

Perdu ! Le clerc était complètement perdu à l'arrivée de tous ces visages inconnus mais sans nul doute importants. Un ras-de-marée rose qui lui piquait aux yeux.. Eux n'avaient pas pensé à l'officiant qui leur ferait face à tous durant la cérémonie. Un seul petit bonbon rose, ça chatouillait les narines, mais une telle assemblée lui amenait la larme à l'œil. Irritant..

Il avait fait un effort. Des chausses couleur Yolanda
sous sa soutane. Il n'aurait au moins pas à souffrir de sa propre image. Alors vint à lui quelques personnes.. D'abord un Duc qu'il pouvait qualifier de proche.

Votre Grasce, je suis heureux de vous voir parmi nous, en ce jour radieux pour notre petite Princesse ! Mon installation tarde à se finaliser mais tout est en bonne voie. Du moins je l'espère. L'Alençon se porte-t-il toujours bien ?

Question de bienséance, il fallait converser quelque peu.. Mais arriva alors un homme tout de rouge vêtu. Il ne pouvait qu'être le Cardinal-Archevêque de Sens.. Ce genre de personnes qui pense être connue de tous au point de ne pas s'introduire. Mais notre vicaire diocésain n'est pas dénué de réflexion et devine immédiatement l'identité du prélat.

Bonjour à vous, Eminence ! Encore de gracieux remerciements pour nous avoir permis d'officier en cette magnifique Cathédrale.. Tout clerc ne peut pas se targuer d'y avoir seulement prié.

Et enfin.. le clou du spectacle. Agression par une Normande grosse de plusieurs mois. Aaah, il était persuadé de la revoir en d'autres occasions, mais était surpris de son invitation au baptême de celle qui avait retardé de plusieurs semaines l'avancement de son travail. Soit, il était temps d'assumer son choix de suivre une boule rose en Bourgogne..

Ma fille, ainsi que vous avez juste pour les macarons, vous faites preuve d'une clairvoyance extrême en comparant Notre-Dame à mon pitoyable bureau de procureur et vicaire diocésain.. Ne saviez-vous pas que le but de ma vie est d'attirer le prestige sur ma personne ?

Son caractère direct lui avait manqué.. Il n'aura pas eu l'occasion de beaucoup la côtoyer en dehors des cours enseignés à Bruz mais cet avant-goût lui avait plu. Il pouvait suivre de près l'évolution de sa grossesse d'ailleurs. Bientôt, il se demanderait comment elle pouvait encore se mouvoir.. Vous me direz : "Yolanda y arrive bien, alors pourquoi pas elle ?", n'est-ce pas ? Mais pour le cas de Sa gamine, il s'agissait d'un entraînement de toute une vie, formation commando de tout instant !

Dans la lumière du parvis, des couleurs toutes aussi chatoyantes faisaient encore leur arrivée. Il ne parvenait pas encore à distinguer les personnes s'y étant arrêtées. S'excusant auprès de sa charmante compagnie, il se dirigea à petites enjambées vers les lourdes portes laissant entrer la lumière du jour afin d'accueillir les quelques perdus et peut-être la principale intéressée.. Néanmoins, il y avait bien deux choses qui se distinguaient du reste du troupeau : un jeune garçon habillé presque en fille et un jeune homme prêt à se sacrifier pour l'amour d'une fille. Il n'en était pas encore arrivé à ce point.. Joli rassemblement, dites-moi !

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Ayena
[Au Louvre]




Hop, le top départ était lancé. Ayena laissa la Reyne passer devant pour placer discrètement, dans le dos de sa Majesté, un petit paquet qu'elle avait apporté un peu plus tôt. En rentrant, Béatrice aurait donc quelques douceur artésiennes, des pâtes de fruit, à se mettre sous la dent.
Un autre paquet, du même genre (mais avec des douceurs roses, on ne se refait pas) fut embarqué pour offrir plus tard à la jeune baptisée.

Lorsque les deux femmes sortirent des appartements, Ayena se fendit d'une révérence légère envers Yolanda.
Puis, cahin caha, le groupe pris la direction de Notre Dame.

Devant la porte, Tout le monde marqua une pause. La Demoiselle d'Alquines se tourna même vers le bonbon rose.


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>DECO pour bannières et tenues !
- Héraldique -
Clemence.de.lepine
Il avait fallu trouver quelque chose d'assez rose pour faire plaisir à Yolanda. Cette môme était, admettons-le, tout à fait charmante, mais n'était-ce pas parce qu'elle n'avait que sept ans ? Ou huit, ou quelque chose d'approchant, on ne s'embarrasse pas avec ce genre de détails. Il y a des caprices qui, de la part d'un enfant, prêtent à sourire et que l'on s'empresse d'exaucer parce qu'il serait vraiment déplaisant de voir disparaitre du visage poupin cette allégresse qui caractérise la prime jeunesse. Mais ce que reconnait aisément Clémence tandis qu'on la pare de ce rose affreux qui ne lui apparait que comme un rouge décoloré, c'est que résolument, la petite Josselinière parvient à mener son monde à la baguette - de fée - et qu'un jour et si cela ne change pas, elle n'amusera plus et commencera à agacer. On n'a pas sept ans - ou huit, peu importe - pendant vingt ans.

Elle n'aime pas le rose : c'est une tendance de rouge, un rouge qui a mal tenu, ou qui aurait été trop peu dosé. On ne peut sciemment vouloir teindre un drap en rose, si ? Bon, peut être. C'est bien ce qu'a dû finalement se résoudre à faire la demoiselle de l'Epine lorsqu'elle a commandé cette robe en prévision du baptême. Elle avait dû demander une teinte tirée du Bois de braise, qu'on avait déjà utiliser pour une de ses robes écarlates. Cette fois, il s'agirait d'un incarnat foncé, "le plus vif possible, sans pour autant qu'il soit permis de dire que la robe est rouge". Le velours était réhaussé de broderies sable et or, et une épaisse ceinture de mêmes teintes lui marquait la taille jusque sous la poitrine. Un rose pas trop voyant, donc, mais suffisant pour que la petite soit contente. Voilà.

Direction Notre-Dame : le défilé est intéressant, c'est à se demander si une nouvelle mode ne se serait pas abattue sur Paris pendant la nuit. Mais doit-on en rire ou s'en inquiéter ? Il ne manquerait plus que Yolanda soit à l'origine d'une tendance nouvelle qui persiste ensuite pendant de trop longues années. Et puis ? La mode, c'est ainsi : c'est aimer quelque chose qu'on a détesté un peu avant.

La Marquise pensait s'engouffrer immédiatement dans la cathédrale et cueillir une des meilleures places, mais c'était sans compter l'appel de Cassian à venir admirer... l'accoutrement pour le moins voyant de l'aîné-Josselinière. Avec une sœur comme il en a, et un ami comme il semble en avoir, le jeune Aimbaud ne risque pas de passer inaperçu... Grand bien lui fasse, non ? Elle lui jette un regard ironique tandis qu'elle se rapproche de la Reine qui en même temps est arrivée sur le parvis.


"Votre Majesté... " salue-t-elle. "Il semblerait que votre future filleule soit bel et bien parvenue à imposer ses fantaisies à la majorité d'entre nous. Avoir autant d'influence à son âge..." Elle n'en dira pas plus, laissant sa phrase en suspens et gardant aux lèvres un sourire amusé. Yolanda deviendrait-elle, adulte, un petit tyran despotique dont l'autorité dépasserait toutes frontières, ou bien le succès rencontré aujourd'hui la mènerait-elle à la lassitude, calmant et tempérant son jeu de princesse écervelée ?

Elle adresse un regard énigmatique à la rose Praline, comme elle l'appelle, qui avec son cortège et Béatrice vient tout juste de faire son apparition à la cathédrale Notre Dame.
Elisabeth_stilton
Elle regardait le Père Fitz de travers. Genre arrête de te foutre de ma tronche ! En plus embêter une femme enceinte c'est pas gentil du tout. Elle sait ! Elle va le lui dire ! Elle sait qu'il n'aura de répit que le moment qui les séparera d son arrivée.

Mon Père, se moquer des gens n'est pas une vertu aristotélicienne !
Je sens qu'il va falloir qu'on revoir le droit canon et le dogme quand je me serait installer en Bourgogne sur mes terres.


Et paf ! Alors tu en dis quoi maintenant que tu sais qu'une blonde peut te casser les pieds tous les jours quand elle arrivera Mon Père ! Profiter des moments de calme avant qu'elle arrive. Elle ignora pour la peine le curé histoire de le faire mariner avec ses dernières paroles.

Dans l'histoire elle avait vu en coin le frère de Yoyo custumiser par sa sœur, la Reyne dans le même état. Son "cousin" écroulé devant la tenu du dit Rosy-frère. Elle se demanda si sa filleule serait là et toujours entière vu comment son père la traitait. Tiens Della et Keri étaient là aussi, Breiz, elle se rendit compte qu'elle connaissait beaucoup plus de monde que prévu la blonde. Vers qui elle allait aller ou laisserait elle des gens venir à elle ? Ça ...

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Doyenne des Dragons - Premier Ecuyer de France - Professeur à l'Inquisition - Intendante à l'atelier des Doigts d'Or
Yolanda_isabel
Parce qu’il a cru que ça la vexerait ? Que nenni ! Le petit nez se fronce encore plus, et si Charles lui tourne le dos, alors, elle fera de même ! En plus, et puis voilà, alors, hein !? Mais avant cela, lui répondre.

-« Bah non, je suis contente cômmême ! Mais je voulais les gens y s’habillent en rose ! Parce que tu sais même Marraine, elle sera habillée en .. »

Rose, elle est de rose vêtue ladite Marraine qui franchit le pas de ses appartements, rose, elle est rose. Les yeux brillent de mille et une étoile, comme celle qui se balance sur le drap d’or de Béatrice. Une étoile qui lui fait chavirer le cœur, parce que si la reine a accepté d’emblée sans savoir à quoi s’attendre, le cadeau, jamais dans la commande passée à Attia, il n’a été question de ce symbole, de ce bijou qui la nargue en se balançant. Le sourire est d’autant plus comblé quand elle redresse le visage vers Marraine et se plie en une petite réflexion en tentant de contrôler de son mieux, le petit léopard à ses côtés. Un sourire à la demoiselle de la chambre derrière Marraine, et elle opine du chef l’Etoile.

-« Oui, il est bien temps d’y aller. »


Et ils y vont.. Même s’ils sont arrêtés dans leur course par un messager, la lettre est empoignée à une main, et lue difficilement malgré le nombre restreint de lignes. Le sourire disparaît un instant, et les petits doigts boudinés se resserrent sur la missive. Elle ne viendra pas, elle avait promis pourtant. Déception, tristesse.. Pire.. Attia qui ne vient pas, c’est .. Comme défiler pour des prunes, c’est comme être gentille inutilement, autant déchirer la jolie robe immédiatement, mais cela ne se peut, on abîme pas une robe ADJ, alors le petit menton se relève et intérieurement, l’Infante se fait la promesse d’être irréprochable pour qu’on puisse narrer alors son comportement exemplaire à la gitane. Et ils y vont.. De leur mieux, comprenez par là, Juliette en robe, Charles le râleur de service, Marraine entrain de mourir du trop plein d’odeur, Ségur la récalcitrante de service, et Yolanda de s’extasier à l’avance de toutes ces petites silhouettes roses au fond. Toutes, oui, car mis à part de rares exceptions, les invités étaient pour la grande majorité de rose vêtus. Petite bouffée de fierté, de joie singulière qui l’emplit et l’étoufferait presque si elle n’était pas si occupée à maintenir Ségur à ses côtés. Qui un sourire plein de tendresse, qui un regard noir si la personne n’a pas porté de rose, mais à tous cette lueur de reconnaissance, et l’amour ? L’amour pour Aimbaud, car alors que la Marquise aux Coquelicots s’approche et charrie, Yolanda ne regarde plus que son frère, et les petites lèvres s’écartent dans un « Merci » silencieux. Et enfin les mots de Clémence trouvent un écho dans les limbes qui séparent les deux oreilles de l’Infante, alors le sourire est amusé quand elle sourit à la jolie fleur qui a quitté son habit rouge de pleine saison, pour revêtir celui des précoces nés un temps trop tôt. Gentil coquelicot.

-« Au pire du pire, on fait des bonbons au coquelicot. Si vous portez du rose, je leur dis de manger. Vous êtes riche, et moi, je suis contente. »

La mode a bien des avantages quand elle s’assortit d’un sourire si vivant, n’est-ce pas Clémence ? Admettons que tu portes ce rouge délavé, et que je leur fasse manger des bonbons écarlates, échange de bons procédés, non ? Le chantage à sept ans ? Même pas peur ! Un regard à Marraine, puis à Juliette, et à Charles, et enfin, luttant contre l’envie puéril mais somme toute de son âge, de glisser sa main libre dans celle de Béatrice, elle se dirige d’autorité vers l’entrée de la cathédrale. Voilà ! Faire la grande aujourd’hui, les rendre fiers tous. L’azur se porte sur le parvis pour y chercher une stature imposante, pour y chercher une mèche dorée, puis derechef, il s’éloigne pour retrouver l’image chaleureuse et familière du vicaire diocésain. Présent. Il est présent et c’est lui qui mènera l’office, délicieuse agnelle qui se laisse conduire avec amour vers l’abattoir, car il sait lui qu’elle ne croit pas, même s’il s’emploie à tout faire pour la convaincre. Et c’est ainsi, que Yolanda Isabel de Josselinière, initiatrice du grand défilé de Barbie & cie, elle-même qui a supplié, demandé, imposé, fait un caprice pour que tous les présents portent du rose, elle-même qui boudera pendant au moins une dizaine de minutes les vilains qui n’ont pas cédé. Et c’est ainsi que l’Infante s’avance vers le Père alençonnais :



Boudez pas tout de suite, il y a quand même un peu de rose, là, sur les petites voilettes.. Une caresse rapide à Ségur à ses côtés, puis de nouveau, un sourire à l’homme d’église.

-« On y va ? »

Cela pourrait presque passer pour de la joie impatiente, non ?
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« RP rime-t-il encore avec rencontres & spontanéité ?»
Juliette
[à la poursuite du bonbon rose]

speedy grosse à l'aise, finit par se joindre à un groupe de personne, juliette se dit qu'enfin elle va ralentir la cadence, mais c'est sans compter sur une femme très richement vêtus qui semble bien pressé et qui donc donne une certaine cadence à l'ensemble. un mouchoir sur le nez quelques chose semble l’incommoder mais juliette ne voit pas quoi. la servante ne sait pas qui c'est mais comme yoli dit marraine alors ça semble logique.
juliette ne connait personne, et personne ne la connait ou ne fait attention à elle ce qui au final lui convient parfaitement!
une escorte, des gardes et juliette enfonce un peut plus la tête dans les épaules en ce cramponnant au cierge, toujours dans son emballage. le parvis, l'église et du rose partout! bon certains n'ont pas joué le jeux mais pour la plus part on ne peut pas passer à coté....et pour juliette?


du bleu, et du blanc!!! et qui c'est qui a choisie ça? ben yoli sa petite maitresse! et c'est qui avant de partir qui lui a ordonnée de mettre du rose? c'est encore bouffie contre le régime! salle petit peste! Grrrrrr!!! pour le coup la servante c'est montrée astucieuse, elle c'est accrochée un nœud rose dans le dos au niveau des hanches, sùr de l'effet masquant du dit nœud sur ses fesses juliette, n'ayant pas des yeux derrière la tête, ne peut voir qu'en fait à chaque pas l'ensemble remue comme un éventail et au lieu de dissimuler allume carrément un phare sur son popotin....
elle suit de prêt bouboule, la petite allant si vite par moment elle a peur de la perdre, elle regarde un peu autour d'elle et.....là....un jeune homme, surement dans ses ages, en rose de la tête au pied! juliette ne sait pas que c'est aimbaud, le frère de yoli, la tenu est luxueuse, le jeune homme a les épaule carrées, et les jambes.......c'est à ce demander s'il porte quelques chose en dessous ce dit juliette....d'ailleurs, c'est en y pensant, que par réflexe, elle incline légèrement la tête comme pour vérifier, cela bien sur avant de ce ressaisir à cette phrase

Citation:
-« On y va ? »

à ce signale juliette sort le gros cierge et......ben oui logique, il est rose....rien d'étonnant en même temps, et juliette pense déjà qu'elle sera bien caché derrière, car ce qui compte pour elle au final c'est de passer inaperçu! on lui souhaite bien du courage....car la servante avec une robe bleu là où il faut être en rose, avec justement un gros nœud rose qui lui rebondie sur les fesses à chaque pas! et pour couronner le tout un gros cierge rose dans les mains.....on a vue mieux niveau discrétion....on laissera le soin à la gente masculine d'apprécier le tableau....cruche et gonde dans toute sa splendeur.....mais en mode sexy pour une fois.
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Fitzounette
[Parce qu'elle le vaut bien.]

Pieuse, elle l'avait été, jusqu'à la moëlle. Mais elle en était revenue. Pas qu'elle ne croyait plus au Très Haut, mais surtout parce qu'elle ne croyait plus en son église, du moins en celle des hommes, en ceux là même qui prétendaient parler en Son Nom.
Elle avait vu une bonne partie des Penthièvre se faire excommunier, pour des raisons plus ou moins arbitraires. Elle avait été elle même en procès pour hérésie, un comble pour celle qui avait toujours rêvé de devenir Cardinale Inquisitrice...
Elle se souvenait aussi qu'on avait refusé à sa Tante Kilia d'enterrer son fils, de lui offrir une sépulture digne, de l'ensevelir religieusement. Tant de mauvais souvenirs... Tant de rancœurs, tant de déception... Que seul un présent radieux pouvait effacer.
C'est ainsi qu'elle s’apprêtait à entrer dans le même édifice où avait été consacrée son union avec son si merveilleux époux. Amour partagé et férocement consommé. Et qui avait permis de voir naître ce petit miracle, aussi rose que vaporeux.
Tout cela pour dire qu'elle aussi se trouvait là, sur le parvis, mais sans robe neuve, pauvre d'elle. Pas une minute à elle pour faire du shopping ou commander une nouvelle parure... Qu'importe, elle était tout de même richement vêtue. Just delicious, for her baby.

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En mémoire des joueurs de Fablitos et Zoko33.
Alycianne
[S'il y a un thème, on peut s'assurer qu'Alycianne jouera le jeu. S'il y a un thème, on peut s'assurer qu'Alycianne sera quand même à côté de la plaque.]


La POISSE ! Elle avait oublié son côté BOMBE. Très peu de rose BONBon de son côté, non, elle se voyait plutôt POISSon.
Elle sort du coche, clignote des yeux. Puis réalise, un peu tard il est vrai :

- Han, mais c'était pas rose SAUMON ?

Parce que la demoiselle s'est fait faire une toute nouvelle robe pour l'occasion, chez cette petite enseigne bourguignonne qu'elle affectionne tout particulièrement. Elle se reprend, se dit que la journée n'est pas pour autant fichue, que la vie est belle même en saumon parmi tant de flashy, qu'elle étincellera par son originalité, et puis qu'après tout, le principal n'est-il pas d'être là pour son amie ?

Elle fait donc quelques pas... Et chancelle. C'est Rose, c'est bouffant, c'est extravagant, ce n'est même pas Yolanda.

-... Aimbaud.

Yeux écarquillés, la minette s'interroge : les lubies yolandesques seraient donc passées à son frère ? Par Aristote, c'est contagieux ! Tous aux abris !
Ou c'est pour lui faire plaisir. Une marque d'amour, pour son baptême. Et la mioche sourit, à ce grand frère de Josselinière qu'elle admire soudain, lui et ses beaux mollets.
Puis à Cassian, d'un ton sec de réprimande :

- Hé, c'est pas mal d'abord. Puis les cils papillonnent, le regard se fait doux. Tu feras la même chose pour mon baptême à môa ?

Et de regarder le monde qui se rassemble sur le parvis de la cathédrale, cet indéfectible petit sourire au coin des lèvres, celui des petites&grandes filles qui planifient une opération d'envoutement/chantage affectif/séduction pour obtenir leurs fins.
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Arutha_gisors
« Bigre ! Les grecs ont envahis Paris ! Et après on en voit encore pour s'étonner que le royaume de France tombe en quenouille ! Hahaha ! »

Ce cher Cassian.
Salut Casse-Dents. Casse-tort, ou Casse-bonbon ! Les bêtes -animaux et idiots- ont envahi Paris ! Faut pas s'étonner que les syschopates foutent la syschopatie à la France, hein ouais !

Le petit blondinet était fier de son costume... Rose, certes !
Et puis d'abord, Le Nain Moche a aussi un costume rose. S'adressant à Blanche Neige*. J'aime beaucoup tes chaussons. Ils viennent de chez Jifi ? Ou Chausseah ? C'est du premier prix, hein ouais !

* Blanche Neige et les 7 Nains...
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Naelhy


Ca c'la robe de Na', elle est belle non? Oh qu'elle est jolie la belle junkie. Pour la peine ne vous ai même fait une rime.
Sympathique non?
ADJ en plus, regardez c't'écrit et c'est bien classe.

C'est pas tout, à moitié endormis que la Tartine revêtue de Prune d'ailleurs, une variante carrément plus chouette du rose, celle qu'elle préférait, même si le Prune était unique qu'on se le dise, un peu comme le lombric de Yolanda, ou les trois lombric de Yoland'amour, mais ça on n'était point censé le savoir vous suivez?

Elle attendait notre jolie 'Lily, avec sa robe simple ou elle n'arrivait même pas à casser des Flip-Flop, pas faute d'avoir essayé pourtant. Elle notait les tenues avec appréhension et beaucoup de compassion, mais elle aimait bien les lubies de la jeune Infante, ça lui rappelait sa jeunesse!
Nan, j'déconne.

Bon, c'quand que ça commence?
Qu'on aille grailler un bout pour fêter l'entrée de sa petite maitresse dans la grande famille Aristotélicienne.
Faudrait qu'elle y re-entre elle aussi...

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Dieu dit « Que la lumière soit » & Naelhy fût.
Aimbaud
[Parvis. Moment de solitude.]

    Rien, rien ne vaut ces parenthèses enchantées.
    Quand d'emblée le ridicule vous embrasse...
    Que dans l'assemblée... Un ange passe.


Dans son sublime costume rose à paillettes et ses collants beiges (car c'était bien des collants, mes dames, il n'avait pas poussé le vice jusqu'à se raser les quilles), notre Grand Écuyer Tranchant de Bourgogne gravissait les marches de Notre-Dame, en tentant au mieux de garder la tête haute. La tête, c'était encore ce qu'il avait gardé de moins ridicule, hors donc, c'eut été bien sot de la tenir baissée ! Ou pas.

Il fit mine de ne pas prendre garde à tous les regards que l'on braquait sur lui. Ca n'était sans doute qu'une impression, hum ? Les commentaires qu'il entendait aussi, c'était une impression...


Jolies Gambettes… Ca signifiait "Quelles jambes puissantes et viriles, je voudrais les même." Sacrée Otissette, elle avait toujours les mots pour faire plaisir.

Quant au
« Bigre ! Naimbaud ? ! MOUAHAHAH ! C'est vraiment toi ? ! » de Cassian, c'était sans doute la traduction Cassianaise d'un "Mon ami, tu as l'air d'un Prince dans ces frusques tant et bien que j'ai failli ne point te reconnaître !". Voilà, aucune ironie. Hum ?

Les bouches bées autour de lui n'avaient aucune importance. Les yeux écarquillés, les sourires en coin, il s'en battait bien les braies puisque voici qui venait la petite perle de corail de sa vie, bourlettant avec grâce jusqu'à l'entrée de l'église en soulevant les beaux pans de sa robe, avec ses jolis doigts potelés comme de charmants petits boudins en pâte d'amande... Elle prononce un minuscule mot en play-back, au milieu des bourdonnements de la foule, et il est heureux. Ca n'avait rien d'un moment de solitude, c'était un moment de fraternité. Et toc.

Fier et droit comme un i, le Métisse jaugea le fils Blanc-Combaz :


La bave du paon moqueur n'atteint pas l'intégrité du grand marcassin. Va te faire cuire un oeuf de pâques, Cas chiant !

Puis sur ce, il suivit le cortège pour le commencement de la cérémonie, dans un grand froufrous de dentelles roses.
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Fitz
[Quand ‘faut y aller, ‘faut y aller !]

'Voici arrivé le moment tant attendu du passage de la Disney Parade dans la nef de la Cathédrale Notre-Dame ! Vous avez patienté des heures pour apercevoir ce magnifique ballet et vous ne serez pas déçu !'

Sur le parvis, une petite boule moins rose que d’habitude s’avance vers lui. La Reyne devait donc être la majestueuse personne juste derrière, en rose. Il reconnut quelques autres visages dont le Garde Royal qui avait été leur escorte jusqu’en Bourgogne. Lui qui croyait que le baptême serait un événement intime rassemblant uniquement la proche famille…


-« On y va ? »

Avait-elle vraiment hâte d’entrer dans la Communauté ? Pour se fondre dans le moule de son entourage ? Parce que malgré son entêtement à tenter de lui faire croire, l’Infante était demeurée fermée au Très-Haut. Peut-être était-ce dû à la virulence qu’il avait entrevue en conversant de l’Anjou et de la Religion durant sa pastorale.. Il ne le saurait sans doute jamais. Mais il était prêt à sacrifier l’innocent agneau sur l’autel de l’Amour. Amour car la petite ne pouvait sainement demander le baptême auquel elle ne croyait pas sans l’Amour pour ses proches en cause..

Et que ne pouvait-on pas faire par amour ? Il suffisait de voir celui qu’il avait deviné pour son frère tout de rose vêtu, entouré de froufrous et paillettes et assumant son accoutrement avec dignité. Pas meilleur exemple, vraiment.. Mais là, tout le monde attendait que le Maître de Cérémonie fasse son travail.


Oui, allons-y, ma petite.

Il lui tend la main et s’engouffre dans le lieu saint. Avec à sa suite – ou pas – les invités au baptême. Arrivé aux premières rangées, il délaisse sa jeune compagne pour s’apprêter derrière l’autel. Il vérifie que son Livre des Vertus est bien disposé, que sa soutane est bien nette et attend que le calme revienne dans l’édifice.

Prenant appui sur son pupitre, il s’éclaircit la voix et commence ainsi :


Mes amis,

Vous voici réunis en ce jour radieux pour voir une petite Princesse entrer dans la Communauté aristotélicienne. Vous-mêmes qui avez été des modèles d’après la principale intéressée. Vous qui êtes pour la plupart habillés selon les désirs d'une petite fille et qui rayonnez de resplendissance...

Par ce baptême, Yolanda Isabel de Josselinières va pouvoir affirmer sa foi en la religion et vivre dans la vertu et l’amitié. Si durant sa vie, elle reste vertueuse, alors son Âme pourra rejoindre le Paradis solaire et le plaisir infini aux côtés du Très-Haut.


Même si elle n’y croit pas ? Il n’en savait rien.. On n’apprenait pas ce genre de choses au Séminaire. Petit coup d’œil en direction de Sa gamine. Après tout, le baptême ne serait pas non plus synonyme de grande souffrance pour elle. Juste à supporter quelques gouttelettes d’eau sur son front..

Toutefois, avant d’entamer cet office, je vous invite à confesser ensemble nos péchés.

Un nouveau regard vers la petite. Oui, toi aussi, et peut-être plus que quiconque ici, car tu ne crois pas..

    Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action. Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

L’introduction passée, on allait enfin entrer dans le vif du sujet..
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Beatritz
-"En effet, oui."

En effet, oui, Yolanda les avait tous pliés à sa volonté.
En effet, oui, c'était là une bien grande autorité, pour une si petite personne...
En effet, oui, ils étaient tous roses, tous les plus grands, tous les plus nobles de ces Royaumes, et si Elena Ruth de Trastamara Borja, Reine de Castille et de Léon, avait été là, Béatrice aurait misé quitte ou double sur le trésor royal qu'elle aurait, elle aussi, été vêtue de rose. Le grand pouvoir d'une si petite enfant...

Sur le parvis de Notre-Dame, des visages plus ou moins connus, mais surtout, cet accent résolument bourguignon, ce morvandieu, cette chanson du pays qui étreignit le cœur de la Reine. Elle n'avait pu retourner en Bourgogne, mais l'espace d'un instant, c'était toute la jeunesse de Bourgogne qui venait à elle.

En effet, oui, on y va. On entre. On remonte l'allée et l'on admire les robes roses, les gambettes nues, les bonnets roses, les pourpoints roses. Et l'on sourit : cette robe que l'on porte, en fin de compte, elle n'est pas si mal, pas si laide, pas si rose. Il y a du jaune, sur le jupon.

Lorsque l'office commença, la Reine, au premier rang, récita du bout des lèvres, tout bas, pour elle seule :


-"Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action. Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés."
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HRP - Béa bientôt en arrêt maladie, cf. MDRPRR - Ne se lance plus dans de nouveaux RP - Ville de Paris - Saint Chapelle : Requiem pour le Pape
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