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[RP Le Mai fleurit sur la grande place Mainoise

Nordick
Citation:
"Je suis vraiment contente que tu sois venu... Ça me fais plaisir de te voir en dehors de la caserne..."


Moi aussi je suis content de toi voir ! et surtout en dehors de la caserne, on peut enfin être de faire ce qu'on veut.

Citation:
"Tu... vas bien?"


Oui, très bien et toi ?

Je devais passer plus tôt voir les différentes animations. J'ai rencontré dames Vitalie et Esquimote à la taverne à Montmirail et m'ont vivement recommandé d'y aller et de représenter l'Ost Mainois. Mais depuis ce jour, j'avais complétement oublié et grâce à ta lettre ça m'y a fait repensé !
Donc je me suis donc rué vers les concours juste après avoir finit le boulot à la caserne ce jour et puis je voulais aussi te revoir !


Nordick lui pris la main et l'amena à travers les différents étales puis commenca :

Tu as tellement de choses à me raconter, ton voyage et ce qui t'es arrivé ?

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Eva51


Eva sourit lorsqu'il lui prit la main... Elle entrelaça ses doigts avec les siens et le suivi parmi les étals...

"Ce n'était pas prévu que je vienne, j'ai refusé les propositions d'Esqui et de biens d'autres... Puis je me suis décidée à venir faire un ptit tour quand même... D'ailleurs euh... excuses moi... si j'avais su que tu viendrais, j'aurais fait un effort pour m'habiller correctement... Je ressemble pas vraiment aux dames qui sont présentes ici, je voudrais pas te faire honte... j'ressemble pas à grand chose là quand même..."

Elle lui sourit tout en resserrant doucement sa main, comme pour éviter qu'il ne s'échappe, en espérant qu'il ne lui en veuille pas...

"Pour ce qui est de mon voyage... Je suis partie 6 semaines, au départ je devais juste aller faire une surprise à des amis de Blois. J'ai retrouvé le père de mon fils là bas, et j'ai rencontré son frère. Nous devions partir guerroyer en Savoie, mais une fois en Champagne, on apprend qu'une lance nous arrive dessus... Demi-tour, bifurcation sur Gien et Orléans... Et euh... les choses ont mal finies... On m'a faite rentrer sur Blois en urgence, Mickael est resté sur Orléans... Il s'est fait tuer... *Soupire* Par sécurité, on m'a interdit de quitter Blois pendant 2 semaines... Une fois l'alerte passée, je suis rentrée à Mayenne... Voilà, en résumé..."

Préférant ne pas trop rentrer dans les détails, surtout qu'il y avait beaucoup de monde autour, elle changea de sujet...

"Dis, pas mal ta performance à la lice tout à l'heure! Ce serait bien si on trouvait quelque chose à boire tu crois pas?"

Elle lui adressa une nouveau sourire, l'air innocente...

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Quod non me interficit, Id me facit fortiorem...
Nordick
Nordick écouta attentivement tout ce qui était arrivé à Eva en continuant de le tenir la main pour la rassurer de sa présence.

Je suis sincèrement désolé pour ce qui est arrivé à Mickael et je suis contente qu'il ne te soit rien arrivé après tout ces évènements, dit il avec un sourire inquiet.


Citation:
"Dis, pas mal ta performance à la lice tout à l'heure! Ce serait bien si on trouvait quelque chose à boire tu crois pas?"


Oui je suis assez content de ma performance mais j'ai mal géré le deuxième round du 3ème combat, c'est la que j'ai perdu des points ... et puis toi tu t'es vraiment bien battue ! Je suis fière de d'avoir pu t'entrainer aux maniement de l'épée.
Enfin bref, allons boire un coup, j'ai trouvé un stand prés d'ici trés sympa et ils proposent plein de trucs sympa et plus bizarre les uns que les autres.


Il continua de lui serrer la main et l'entraina devant le stand qu'il avait repéré en lui faisant un grand sourire. Cela lui faisait très plaisir de la retrouver ici et pouvoir partager un moment avec elle.

"Que veux-tu boire ? Moi je pense prendre une bière au miel et aux extraits de gingembre, c'est délicieux ! Et puis je ais grignoter ce pain au sésame qui me fais saliver

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Eva51


Resserrant toujours un peu plus sa main, ne voulant pas qu'il la fuit, Eva se baladait tranquillement avec Nord' parmi les stands... Elle se sentait vraiment bien avec lui, et ne voulait pas tout gâcher... Elle fut soulagée qu'il ne fasse aucune remarque sur son accoutrement... et surtout, qu'il ne pose pas plus de questions sur ce qu'il s'est passé durant son voyage... Elle avait remarqué son sourire inquiet, elle n'allait pas en rajouter en lui signifiant qu'elle était activement recherchée par les assassins de Mick...

"Bah écoutes je te fais confiance, si tu me dis que la bière au miel et aux extraits de gingembre est un délice, alors je veux bien me laisser tenter !"

Elle lui sourit, sans trop laisser paraître ses émotions...

"Un ptit pain au sésame? Ma foi pourquoi pas! J'ai une faim de loup après les duels là!"

Elle se rapprocha un peu de lui, et lui déposa un bise au passage...

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Quod non me interficit, Id me facit fortiorem...
Squalow
Quelle jolie tradition que celle de la fête de Mai, et qu'elle animation dans toutes les rues des villes Mainoises, quand chaque année, renaissait dans les champs et dans les cœurs des gens l'attrait du ciel...

Animaux , plantes et Damoiseaux tendaient vers le soleil.

Squalow, se dirigeait vers la grand place ou déjà s'érigeait le blanc bouleau quêté en forêt, par le Diacre Bradwen et sa troupe de bûcherons improvisés.

Déjà les premiers chars fleuris, arrivaient eux aussi, affrétés du charmants bagage de damoiselles et Dames fleuries encore bien sages...

Pour l'instant...

Dans la foule il reconnu nombre de connaissances et amis, mais c'est le cœur battant, qu'il cherchait la carriole du Mans.

Elle arrivait enfin, et quel élan de lui s'emparait, quand il y distingua sa belle Yris...

La tête couronnée de jolies fleurs, dominait lui semblait il le beau bouquet

Un sourire éclaira le visage du Capitaine, comme elle était belle sa jolie jouvencelle...

Ses yeux sombres ne voyaient plus qu'elle.

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Irys_
Les rires et les danses continuaient de plus belle , et puis mon regard croisa le sien dans la foule et mon coeur s'emballa.

Le char du Mans avait ralentit l'allure et j'en profitais pour l'abandonner en sautant joyeusement au milieu de la rue.

Couronne de fleur en main je m'avançais vers lui d'un pas léger, le sourire aux lèvres, croisant et saluant au passage les uns et les autres.

En cet instant, plus de capitaine et plus de bailli, juste deux jeunes gens au milieu d'une fête, heureux de se retrouver.

En posant la couronne de fleur sur sa tête, j'en profitais audacieusement pour l'embrasser et souffler près de son oreille...


Bonjour mon beau cavalier!! Il ne manquait plus que toi pour que cette fête soit parfaite.. Viens!!! allons danser mes pieds ont la bougeotte!!!

Sans plus attendre je pris sa main pour l'entrainer en riant ...

Au matin, fatigués, ivres de danse et de vin c'est sur les remparts de la ville qu'on attendit le lever du soleil.

Puis les réjouissances reprirent, combattants en armures et archers rivalisaient de force et d'adresse, les marchands hélaient les passant...

Du haut des remparts, dans les bras de Squalow, je laissais aller mon regard et mes pensées vagabonder...



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--Troupe.l.esperluette
Jacotte, ainsi nommée pour son penchant pour l’hypocras et la dive bouteille, est cuisinière de son état. Nul ne sait mieux qu’elle dépêcher la volaille, déshabiller le lapereau, attendrézir le rôt et, en période de disette, accommoder les restes et en faire festin. Pour les fêtes elle avait concocté un énorme brouet.

Elle soulève le couvercle, une délicieuse odeur de volaille et d’oignon s’échappe venant chatouiller les narines des plus gourmands;

Elle goûte, ajoute une feuille de salade, une pincée de sel, une noisette de graisse.

Ses coups d’œil à droite et à gauche, le geste nerveux de sa main pour relever les cheveux tombés sur ses yeux traduisent sa lassitude devant le foyer où il fait bien chaud.

Non loin de là, cochons et volailles grillent doucement à la broche !

A un drôle qui l’as regarde curieusement

Que veux-tu maraud ?

Pardi ! Monter vous trousser la belle répondit-il

C’est pas bientôt fini! s’exclama-t-elle. Les poings sur les hanches, elle affronte le drôle du regard qui, pour se faire pardonner, lui commande une bouteille.

Des roulements de tambours se firent entendre. Les badeaux s’écartaient faisant place à une bohémienne…

arffff manquait plus qu’elle !!!

Attention Messieurs de ne pas tomber sous son charme, elle n'en veut qu'à votre bourse ! hurla la Jacquotte à tous les regards se dirigeant vers la belle arrivante.
--Luliudja
Luliudja avait pour grand-mère une andalouse qui fut capturée par les infidèles et vendue comme esclave. Sa mère est devenue favorite du sultan de la Sublime porte. Luliudja est née en 1441 de ces amours au parfum de soufre, à Istanbul.

Danseuse, chanteuse de jour comme de nuit, enchanteresse, séductrice, charmeuse, Luliudja est l'archétype même de la femme fatale auquel n'importe quel homme est susceptible de succomber. Du plus laid au plus beau en passant par le plus pieux.

Quelques gentilshommes s’écartent à son passage, des murmures s’échangent.

Très fine et pourtant raisonnablement pourvue en arguments féminins, une épaisse crinière brune encadre son visage de boucles souples et brillantes retombant en cascade parsemée de perles jusque sur sa nuque gracile.

Des traits harmonieux de son faciès à l'ovale délicat, des yeux d’un noir insondable, elle est féline et sensuelle .Toujours habillée de multiples jupons colorés et d’un bustier au large décolleté.

Elle vint prendre place sur une estrade.. Recroquevillée sur elle-même, comme un tas de chiffon patiente. Lorsque les premières notes retentirent, un bras fin et nu se déploya dans les airs, en rythme avec la musique, douce et lente.

La belle entame un chant nostalgique d'une voix rauque et sensuelle. Légère, elle virevoltait, s’accompagnait en claquant des mains.

Elle a de longs doigts couverts de bijoux d’argent, des poignets souples et fins entourés de bracelets qui accrochaient la lumière,

Elle entame une danse lascive et ensorcelante.... Avec désinvolture, elle se déhanche et se balance au rythme langoureux d’un refrain.

Et le rythme s'intensifiait. Ses jambes volaient, les jupons colorés virevoltaient ; au rythme des notes, elle tournoyait sur elle.

Quand la musique mourut, elle se laissa tomber avec art et délicatesse, pour se retrouver dans sa position initiale, lorsque le spectacle avait commencé

Les " CLAP CLAP CLAP CLAP " s'enchaînèrent, effrénés, rageurs.

Luliudja, alors, se releva d'un geste délié pour saluer la foule. Une grande révérence, un brin gracile.

Noble assemblée, à vous de danser à présent !!!
Les musiciens embouchant leur instrument firent résonner sur la grande place le branle de l’ours
Michelmichel
Ca swinguait du pissenlit sur la gargote, ça bougeait de droite et d'gauche sans interruption d'quelconque nature, l'Miche planté au milieu du décor comme un tuteur qu'on aurait oublié après l'fin d'la saison observait, sourire aux lèvres, certaines têtes connues, un paquet d'têtes connues en fait ... du cap'taine et d'l'Irys, en passant par l'Nord' et l'Eva.

D'vant lui, à quelques pas, une dame aux attraits latins entame un chant et une danse qu'il apprécie particulière, comme un air de ... grumf ... oé, un air de Paz, c'bien là tout l'soucis, l'seule fleur qu'il a jamais vraiment trop su cueillir dans l'bon sens.

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Guenivelle
Guenivelle regardait le spectacle dans son petit coin , quelle belle danseuse pleine d'energie. Tout inspirait la joie .

Le comte Michelmichel se trouvait la, tout seul au milieu d'un air pensif, l'allait bien s'faire bousculer.
Des couples se formaient et se préparaient a leurs tour a danser. Guenivelle ne danserait pas pour le moment a moins qu'un galant homme ne l'invite, alors elle rougirait comme une tomate en bredouillant quelques mots .
Gueni se dit


Allez va boire un p'tit verre ça ira mieux après et si tu rougis tu sauras pourquoi.

Sur ce elle se dirigeat vers la buvette un sourire aux levres.
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Michelmichel
Des pensées en chassent d'autres, un vent frais souffle entre ses deux oreilles, parfois rameutant d'vieux souvenirs, parfois lui laissant envisager d'nouvelles perspectives. Les derniers courriers Pazien étaient r'lativement clairs, et l'Miche ne s'faisaient plus franchement d'illusions, enfin ... il aurait tellement voulut n'plus s'en faire nettement plus tôt, mais l'amour ne suit pas la raison, on pourrait plutôt penser qu'elle fait tout pour l'éviter et provoquer chez l'amoureux tout comportement en dehors d'une rationalité quelconque.

Quoiqu'il en soit, l'Miche était pas trop d'nature à s'laisser abattre, un bref coup d'oeil vers Guenivelle, tantôt croisée en taverne, avant d'se diriger lui aussi vers l'buvette, ça s'rait l'occasion d'faire un brin d'causette.
L'était bavard, ça tombe bien.

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Yvondelaroulette
Le cortège était arrivé à destination, la brune mancelle pu donc laisser son équipée, attachée comme il se doit afin que cheval et carriole ne prenne pas la poudre d'escampette.
Ni une, ni deux, la voilà les deux pieds bien ancrés au sol, couronne de fleurs en main, à scruter la foule du regard. Les mainois étaient de sortie en ce beau jour de mai, il y avait foule pour venir admirer chariotes fleuries, arbre de mai, jolies damoiselles et aussi pour danser au son de la joyeuse musique de la troupe de saltimbanques venue toute exprès pour l'occasion.

Mais où se cache-t-il donc? Se demande-t-elle. Grand comme il est et avec sa teinte de tignasse, je devrais pourtant le repérer rapidement!

Elle aperçoit quelques têtes connues de la caserne, Letto et aussi son père se dirigeant vers une buvette... comme de par hasard...
Elle sourit et alla dans sa direction, détachant une fleurs de la couronne qu'elle tenait en main. Arrivée derrière lui, elle lui posa la fleurs derrière l'oreille et s'enfuit en courant, gloussant comme une gamine venant de faire une bêtise.

C'est en s’approchant des musiciens qu'elle l'aperçut enfin, de l'autre côté de la troupe. L'avait-il vu? Sans doute pas. Elle fendit la foule en contournant les saltimbanques pour se retrouver devant lui, sur la pointe des pieds, à lui déposer sa couronne de lierre et de pervenches sur la tête avant de déposer sur ses lèvres un tendre baiser.
Puis, de retour sur la totalité de ses pieds elle partit à rire :

- J'ai cru ne pas arriver à te trouver! Tu viens danser?
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--Luliudja
Alors que la foule entamait un branle autour de l’arbre du Mai,
quelques belles jeunes filles riaient et devisaient avec toute sorte de grâce et de folie.

À la longueur du voile qui tombait, du sommet de leur coiffe pointue enroulée de perles, jusqu'à leurs talons, à la finesse de la chemisette brodée qui couvrait leurs épaules en laissant voir, selon la mode engageante d'alors, la naissance de leurs belles gorges de vierges, à l'opulence de leurs jupes de dessous, plus précieuses encore que leur surtout, à la gaze, à la soie, au velours dont tout cela était étoffé, et surtout à la blancheur de leurs mains qui les attestait oisives et paresseuses, il était aisé de deviner de nobles et riches héritières.

Elles causaient entre elles avec cette voix chuchotante et ces demi-rires étouffés d'un conciliabule de jeunes filles.

Quel est donc ce couple en haut des remparts ?

C’est le Capitaine Royal et sa douce Yris il me semble.

Moi j’aimerais bien que le compagnon de Dame Esquimote m’invite à danser.
Oui mais il n’as d’yeux que pour sa belle !!

Ohhhh s'écria Bérangère dont les yeux sans cesse en mouvement fixaient une silhouette non loin de la bohémienne. ?

Toutes les jeunes filles tournèrent les yeux. Un homme en effet était accoudé sur la balustrade On distinguait nettement son costume, et son visage appuyé sur ses deux mains. Du reste, il ne bougeait non plus qu'une statue. Son œil fixe plongeait dans la place.

C'était quelque chose de l'immobilité d'un milan qui vient de découvrir un nid de moineaux et qui le regarde.

C'est sa grandeur le Comte Michel, dit Blanche .
Vous avez de bons yeux si vous le reconnaissez d'ici ! observa la Héloise.
Comme il regarde la bohémienne ! reprit Diane

Le comte…. Voilà un nom qui chantait agréablement aux oreilles de Luliudja.

Dans un gracieux froufrou de soie et de bijoux qui s’entrechoquent elle s’approche lentement de lui.. Avec désinvolture, elle se déhanche et se balance au rythme langoureux d’un refrain qu’elle est la seule à entendre. Elle se fait légère, sensuelle, et fière, et tourbillonne auprès de lui.

En ondulant lascivement, elle le frôle, lui sourit, s’éloigne, se rapproche. Quelques voiles, savamment posés glissent, découvrant ses épaules, puis le profond décolleté qui met en valeur ses seins ronds et menus, naturellement dorés par le métissage dont elle est issue.

Le regard brûlant de la bohémienne plonge dans le ciel des yeux du gentilhomme. D’un mouvement de tête, elle remet sa chevelure en place.

Avec rapidité, elle vérifie si la dague d’argent qu’elle porte aux creux des reins est toujours là, fidèle, prompte à piquer les bourgeois trop entreprenants ou les soldats aux mains baladeuses, et souvent salvatrices dans certaines circonstances, ou même simplement à trancher des ceintures porteuses d’escarcelles rebondies …

Il y a là quelques gueux qui rient grassement, et boivent en éructant des pintes de bière.

Quel est ton nom bel homme ? Veux-tu danser ?
Michelmichel
Non d'une brouette, lui qui voulait juste aller becter un truc au buffet, il s'retourne en rigolant, chatouillé par l'fleur versée dans l'cou par s'fille. Et r'passant l'tête dans l'aut' sens, il r'marque qu'on l'r'garde.
D'abord une, puis deux, trois personnes, quat', et puis au final un paquet d'monde, l'Miche les salue d'un signe d'la main pensant qu'ça suffirait, mais on n'dirait point, et 'cor moins quand l'latine qui r'ssemble à Paz s'approche.


-"Et merte ...

Elle s'met à danser autour d'lui, faut avouer qu'elle a une croupe vraiment pas vilaine, même la Béa pourrait êt' jalouse, m'bon, l'était juste v'nu boire un coup, l'était pas là pour farfouiller d'la fesses. C'tait pas franchement s'nature, l'était plutôt ... fleur bleue l'Miche. Coup classique pour un jardinier. Alors du coup ...

B'jour mam'zelle.

Moi c'est Bernard. Bernard l'cul d'jatte.
V'comprendrez donc bien qu'avec m'jambe d'bois Mayenno-Montmiraillais, il met particulièrement difficile d'accepter c'te danse 'vec vous, bien qu'elle soit parfaitement tentante."


Éconduire poliment #1
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Irys_
La journée s'annonçait belle..

Les danseurs avaient laissé place à une bohémienne et le spectacle été des plus ravissant, les odeurs de la cuisine de Jacotte avaient envahi la ville et montaient jusqu'à nous, plus loin archers et combattants s'en donnaient à coeur joie, les clameurs de la foule spectatrice à chaque réussites ou défaites, se mêlaient à la musique et aux rires...

Perchés sur les hauteurs, Squalow et moi ne perdions pas une miette des festivités, profitant de ces instants sous le soleil de mai, loin des soucis du quotidien, heureux de se retrouver, riant par moment de scènes cocasses, applaudissant un exploit, partageant le simple plaisir d'être ensemble.

Glissant sa main dans la mienne il m'invita à rejoindre les archers pour tirer quelques flèches, j'acceptais avec joie et nous primes tous deux le chemin de la grand place...


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