Scorpon
Il se doute bien qu'elle doit être là, a l'observé, curieuse comme une pie...
Mais il travaille tout de même, sachant bien qu'elle ne devinera pas ce qu'il fait tant qu'il n'aura pas finit, l'espérant du moins.
Il était passé au marché de bon matin afin d'acheter une bonne quantité de fer, matériaux indispensable a son projet, mais aussi du cuivre, bien plus rare mais si important...
Il martelait son fer, le chauffant régulièrement, le façonnant lentement.
La pièce qu'il forgeait allait être grosse, il avait pas le choix, il devrais la stocké dehors.
Dehors, elle devait sans doute l'entendre marteler sans cesse, surement perchée dans un des arbres des environs.
Il lui fallut 2 jours de travail pour terminer la grosse pièce, mais il fut fière de son oeuvre: il était parvenu a la fabriquée en la faisant tout de même legère, ce qui était un exploit vu la matière première.
Une fois terminée, il finit de la refroidir par de petits jets d'eau, un refroidissement trop violent risquant de la déformée.
Puis il la roula au bas de son établit et la fit rouler jusque dehors, bien en vue de son espionne.
La pièce ressemblait a un simple tonneau, sauf que celui-ci était entièrement en fer, munit d'une ouverture sur le bas, et d'une sorte de clapet sur le haut.
Regardant aux alentours, il chercha du regard son Hermine, ne la voyant pas, il cria: HERMIIIINE? Je présume que tu n'est pas loin! Voilà la seule pièce que tu veras de ce que je te prépare! A toi de deviner son utilité!
Il s'assoit dans l'herbe, au bord de la rivière, se reposant un peu après ce dur labeur.
Il jette un oeil a la roue du moulin, se demandant si finalement il ne devrais pas tenter de travailler aussi sur elle... mais non, pas encore, on vera ça plus tard... ça fera partis des améliorations futures.
Il tourne la tête, scrutant de nouveau les alentours, à la recherche d'un signe de sa présence, mais elle est bien cachée la diablesse.
Il se lave les mains dans la rivière, voyant l'eau se colorer en noir là où il les plonges, puis se rince le visage a l'eau fraiche.
Bon! maintenant, le cuivre...
Et il retourne dans sa forge, mais avant d'y entrer, il se retourne une dernière fois, levant la main: Si par hasard tu t'ennuie dans ton arbre, tu pourrais m'amener un petit truc a boire pour me rafraichir un peu?! Je meurt de soif! Mais il comptait surtout sur sa curiosité pour la faire le rejoindre dans la forge surchauffée.
Mais il travaille tout de même, sachant bien qu'elle ne devinera pas ce qu'il fait tant qu'il n'aura pas finit, l'espérant du moins.
Il était passé au marché de bon matin afin d'acheter une bonne quantité de fer, matériaux indispensable a son projet, mais aussi du cuivre, bien plus rare mais si important...
Il martelait son fer, le chauffant régulièrement, le façonnant lentement.
La pièce qu'il forgeait allait être grosse, il avait pas le choix, il devrais la stocké dehors.
Dehors, elle devait sans doute l'entendre marteler sans cesse, surement perchée dans un des arbres des environs.
Il lui fallut 2 jours de travail pour terminer la grosse pièce, mais il fut fière de son oeuvre: il était parvenu a la fabriquée en la faisant tout de même legère, ce qui était un exploit vu la matière première.
Une fois terminée, il finit de la refroidir par de petits jets d'eau, un refroidissement trop violent risquant de la déformée.
Puis il la roula au bas de son établit et la fit rouler jusque dehors, bien en vue de son espionne.
La pièce ressemblait a un simple tonneau, sauf que celui-ci était entièrement en fer, munit d'une ouverture sur le bas, et d'une sorte de clapet sur le haut.
Regardant aux alentours, il chercha du regard son Hermine, ne la voyant pas, il cria: HERMIIIINE? Je présume que tu n'est pas loin! Voilà la seule pièce que tu veras de ce que je te prépare! A toi de deviner son utilité!
Il s'assoit dans l'herbe, au bord de la rivière, se reposant un peu après ce dur labeur.
Il jette un oeil a la roue du moulin, se demandant si finalement il ne devrais pas tenter de travailler aussi sur elle... mais non, pas encore, on vera ça plus tard... ça fera partis des améliorations futures.
Il tourne la tête, scrutant de nouveau les alentours, à la recherche d'un signe de sa présence, mais elle est bien cachée la diablesse.
Il se lave les mains dans la rivière, voyant l'eau se colorer en noir là où il les plonges, puis se rince le visage a l'eau fraiche.
Bon! maintenant, le cuivre...
Et il retourne dans sa forge, mais avant d'y entrer, il se retourne une dernière fois, levant la main: Si par hasard tu t'ennuie dans ton arbre, tu pourrais m'amener un petit truc a boire pour me rafraichir un peu?! Je meurt de soif! Mais il comptait surtout sur sa curiosité pour la faire le rejoindre dans la forge surchauffée.