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[RP] Le royaume des oubliés

--Marlow_s
[Dans une taverne, tard, tard dans la nuit à l’heure où grouille les cafards]

L’godet dans une main, les panards posés sur fichu tabouret bancale, l’Marlow pique du nez.
Sa ch’mise dégueulasse a d’ces relents qui vous prennent les tripes et vous donnent la gerbe. Sa tignasse emmêlé lui masque une bonne partie du visage, à une oreille pend un anneau d’or, maigre tribut d’une putain qui l’avait déniaisé au temps jadis.

Mais avant qu’daller plus loin l’est nécessaire j’pense, d’brosser l’portrait du bougre qui roupille comme un pacha le cul vissé sur une chaise.

L’Marlow c’est quequ’chose. Un genre d’brigand, pas très net, le tout barbouillé d’crasse sans être pour autant laidron. C’est c’mélange cradingue et mauvais gars qui peut-être l’rend si magnétique. L’est pas bête, un peu fanfaron, mais pas épais pour trois sous. Ouais l’Marlow c’est le genre haricot sec, très sec, nerveux aussi. Un gars du voyage comme on dit. Un Tzigane aux mœurs débridées à la barbiche fine. On n’sait pas trop d’où qu’il vient, on n’sait pas trop non plus où il va. Le sait-il lui-même ? Pas sûr. ‘Fin parfois il passe, crèche un temps dans les parages, culbutes quelques trainées ravies d’écarter les cuisses pours des écus qu’elles n’toucheront pas. Et il repart on n’sait où pour mieux revenir plus tard. Oh non son cœur n’est pas breton pour autan, l’Marlow l’donne pas parce que l’Marlow n’en a qu’un comme y dit. « Dans c’te fange qu’est la vie, n’lui fais pas de cadeau parce qu’elle ne t’en fera pas. » C’était une phrase signée Marlow, à la pointe d’une dague le long de sa joue gauche.
V’là en somme not’ gredin. Un écorché vif un peu roublard, un peu malicieux, un peu teigneux, un type de bas-fonds, un miséreux.

C’soir là, l’roupille donc tranquillement dans une de ces tavernes qui suintent le mauvais vin, l’ivresse et la mort. La clientèle de ce style d’établissement c’pas l’genre qu’on recommande chez les bleus. Des crèves-dalles, des pauvresses, des trousseurs de gueusardes, des détrousseurs de bonne gens, de détrousseurs de détroussés. Grouillent tous comme des cloportes à attendre quoi ? Toute la question est là.

L’Marlow lui, baigne là-dedans comme un canard dans sa mare, c’est la chose qu’il connait l’mieux, et surtout la seule. Ouais, Marlow c’est pas un genre adaptable, et en cette soirée l’est pas particulièrement d’humeur le bellâtre. Ça s’annonce pourtant ordinaire, rien d’bien singulier à l’horizon. Les ribaudes déambulent comme à leur habitude entre les souaffards, quelques uns s’prennent l’chou, ça rit, ça dégobille et puis…

VLAN ! v’là que l’tabouret où siègent les bottes pourries du tzigane, vol.


« L’Marlow bouge donc ta carcasse d’cilieux, z’avions un compte à régler toi et moi ! »

Cette haleine fétide, notre homme l’a connait bien, c’est celle du vieil Ermilion. Le cafard parmi les cafard, c’lui qui cherche la mouise dès qu’il le peut. Faut dire qu’le Marlow n’est pas en reste. C’est lui qu’à culbuter la fille d’ce boisilleur, une belle pucelle avec ça. Mais voilà Marlow qu’à la pine aussi ardente que possible, n’assure pas bien ses arrières, l’aurait pourtant dû s’douter qu’en revenant ici, il aurait à rendre des comptes au paternel. D’ailleurs l’vieillard n’est pas venu tout seul. Trois sbires lui couvrent les arrières et ricanent d’un air bête.

Pour Marlow l’temps semble s’arrêter, mais dans la taverne rien n’a changé. Pas un rat qui sourcille, tous continuent à vivre leur petite vie misérable dans l’alcool et la luxure. Dans l’fond un rire gras. Ce soir Marlow se battra seul, ou s’fera battre au choix. D’ailleurs un petit signe du tout croulant et un d’ces chiens fond sur lui dague en main. V’là qu’il a maintenant le piquant de la lame dans les côtes, reste plus qu’à suivre bien gentiment le schnock et sa clique. Alors il sort de la taverne la main à la ceinture, mais l’un des trois clébards s’en est aperçu. C’est un bon coup d’poing dans l’bide qui lui remet les idées en place. Marlow lâche un grand « HUMPF » et s’plie en deux comme un vulgaire roseau. Si seulement il s’y était attendu ! Et puis ça excite les deux autres qui s’y mettent aussi. ‘Sont pas encore au milieu d’la ruelle, qu’le plus costaud des trois le plaque contre le mur sans qu’il puisse vraiment s’débattre. C’est un autre « HUMPF » qui vient ponctuer la nuit.


« T’souviens d’ma fille l’Marlow ? À ton tour d’être embroché. J’vais lui apprendre moi à ta hampe à s’dresser pour qui faut pas ! »

Là d’sus l’vioque lui assène un violent coup dans la tronche, manque de perdre une dent et déjà le goût acre du sang envahit sa bouche. S’ensuit après un violent coup dans la brioche, puis une main lui empoigne les couilles avec une telle force qu’il s’met à hurler. Dans sa douleur il lève un genou qui vient s’loger sous le menton du raclure d’vieux qui lui écrase les bourses. L’cloporte est propulsé en arrière, et les trois molosses se jettent sur leur patron. C’est presque trop facile, mais l’Marlow s’pose pas plus d’questions. Il dégage fissa sans d’mander son reste. La nuit lui servira d’couverture, il court, il a mal mais il court. Elle était bonne sa fille au Ermilion, ça valait bien quelques baffes.

Quand l’champ est libre, l’gredin s’faufille à nouveau jusqu’à la taverne qu’il n’avait pas l’intention d’quitter et retourne sur son siège qu’il n’aurait jamais du quitter non plus.
Gurwan
[La blonde et l'enfant]

Citation:
tu payerais pas un coup à boire à un Ange assoiffé beau marin ?


Presque simultanément son ami, suite à la remarque de la rousse, extrait de sous leur table un jeune marmot. Intéressant.


Citation:
Je te laisse une minute avec la catin blonde. Je vais me charger de cette histoire de souriceau, en espérant qu'après nous pourrons palabrer tranquillement.


Le marin passe son bras droit autour de la taille de la jolie putain et l'attire contre lui. Dans un souffle il lui chuchote à l'oreille, glissant dans le même temps quelques piécettes dans son décolleté ô combien plongeant et attirant :

Va boire un verre à ma santé, je te rejoins plus tard, j'ai à faire maintenant.

Et de la congédier gentiment d'une petite claque sur les fesses.

Son ami avait déjà prestement réglé le problème du mouchard. Il était intéressant de se rendre compte que leur entrevue intéressait du monde. Il restait à les identifier. Connaître ses ennemis, toujours, pour mieux les contrer. Il serait temps, plus tard, de cuisiner le gamin.


[La rousse et le GC]

Visiblement la rousse avait contrecarré les plans de son ami. Il sourit intérieurement. Puis rit franchement à l'allusion sur les rousses. Oui, il aime les rousses et celle-ci n'est franchement pas vilaine. Une blonde et une rousse dans la même nuit ? pourquoi pas...mais il n'était pas temps de songer à ce genre de frivolité. Il avait vraiment à parler au GC...

[La brune et le marin]

Une belle brune entre dans la taverne. Si tous les regards semblent converger vers elle, ça n'est pas pour la menace qu'elle représente, mais pour l'aura et la beauté qui se dégage d'elle. Un signe de tête en direction de son ami lui indique qu'ils se connaissent et qu'elle lui est suffisamment familière pour le déranger en pleine conversation. Elle lui sourit, joli sourire d'ailleurs. Une question lui brûle les lèvres. Qui est-ce ? mais il la réserve pour plus tard. Un temps pour tout. Un temps pour le sérieux, un temps pour le plaisir. Là il devait être sérieux.

[Le GC, le marin et l'agressée]

Il était sur le point de se lancer dans le vif du sujet quand la porte s'ouvrit sur une femme, encore. Une jeune brune. Avant même qu'elle n'ouvre la bouche il comprit que quelque chose n'allait pas. Démarche hasardeuse, yeux hagards et sang sur le visage.

Citation:
" Il me faut de l'aide..."


Scène ordinaire d'une vie où la violence est souvent le meilleur moyen de s'exprimer et de convaincre l'autre du bienfondé de sa manière de voir les choses. Gast, ils ne pourraient donc jamais être tranquilles ! regard vers le GC, qui cligne des yeux doucement vers lui puis, d'un signe de tête, demande à l'un de ses hommes de prendre en charge la désespérée. Bien, il allaient enfin pouvoir discuter sérieusement...


[le GC et le marin]

Il lui fallait donc maintenant aborder le but de sa visite. L'idée avait tranquillement germé en lui ses derniers temps, au point que ça devienne une évidence. Mais seul, il ne pouvait rien. Il avait besoin de son ami, de ses réseaux et de son expérience.

Mon ami. J'aimerai te parler d'un projet assez fou, et savoir si tu en serais. Tu n'es pas sans savoir que nous sommes les laissés-pour-compte d'un duché oligarche. D'ailleurs nous sommes ici dans un endroit où l'autorité du duché n'a aucune influence. Les conseillers élus ne sont que les pantins d'un théâtre mené par une poignée de personnes, toujours les mêmes, depuis des années. Le pouvoir a été confisqué méthodiquement au peuple. Il suffit de voir que les plus grosses fortunes bretonnes appartiennent à ceux qui, à un moment ou un autre, ont tenu le duché entre leurs mains. Les bretons sont spoliés à longueur de temps. On prélève l'impôt dans le même temps que des élus ou proches du pouvoir s'enfuient avec les caisses. Ce duché n'existe malheureusement plus que pour satisfaire à des ambitions personnelles. Et quand on voit que l'actuel duc est sans doute le plus grand escroc en activité sur le sol breton, ça en dit long sur la vérole qui gangrène le duché. Il n'y a rien à espérer d'eux. Qu'ils jouent leur petite pièce de théâtre pitoyable entre eux, ils nous intéressent aussi peu que nous les intéressons.
Mais, à l'instar de ce que tu fais ici, nous ne pouvons laisser les bretons à leur triste sort. Ce que je te propose, c'est ni plus ni moins d'étendre ton influence sur toute la Bretagne.
L'idée c'est de proposer une alternative au duché, pour tous les gens du peuple qui en ont marre d'être pris pour des cons. Et crois moi, ils sont nombreux à avoir ce sentiment...
Alors non, nous ne nous positionnerons pas en ennemis du duché, mais j'aimerai qu'on créé une activité parallèle au duché. Que le fruit du travail des bretons arrive dans leurs poches plutôt que dans celles d'une petite poignée qui prend ce duché pour une vache à lait.
C'est un projet vraiment ambitieux et qui demande une organisation drastique, mais je sais que tu as l'habitude de cela, et que tu connais beaucoup de monde.
Et si, au passage, on peut récupérer dans les poches de ces notables pourris jusqu'à la moelle ce qu'ils ont volé aux bretons, nous ne nous gênerons pas.
Qu'en penses-tu ?

Le marin darde ses yeux noirs dans ceux de son ami. Il compte vraiment sur lui pour l'aider à mettre en place ce projet. Il est persuadé qu'il faut proposer une vraie alternative à toute cette corruption, ces magouilles et ces manipulations. Et que ça ne peut passer que par le "petit peuple" auquel il est si fier d'appartenir. Il sait que ce peuple doit se prendre en main, ni plus, ni moins.

Petit encart hrp qui s'impose, désolé. C'est un vrai projet qu'on aimerait mettre en place. Si vous êtes intéressés, n'hésitez pas à contacter le GC ou moi-même, on vous expliquera tout plus en détail.
Edit adresse : http://royaumeoublies.xooit.fr

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--.odysee.
Au fur et a mesure que la nuit passe, le lieux devient enfin animé. Rhaaa c'est qu'on va finir par s'marrer un jour dans s'bled. Une bonne bagarre, on picole ensuite pour fêter ça et ça roule. Bah faut croire que pas ici tiens. Odyssée regarde les entrant de son coin.

Un brune qui semble se prendre pour Miss monde tiens. Ca la fait bien marrer, en v'la une qui n'accepte pas sa condition. Suffirait qu'un nobliau l'embarque sur son cheval blac et hop, envolé la soit disant fierté des bas fond. S'qui faut pas voir hein ! Elle en pleurerait presque tellement c'est drôle.

Suivant...Ah enfin une bagarre on va pouvoir s'que les hommes ont dans les braies ici, a croire que ça laisse cruellement a désirer. Ah ben non on verrait pas v'la ti pas qu'ils vont régler leurs affaires dehors en gentil homme. Mouarf, scandaleux tiens. Même son mousse a plus de caractère que celui là tout sec qui plus est. A se demander comment il survit ici.

Parlant de survivre v'la un catin masqué. Première fois qu'elle voit ça par contre sa démarche elle l'a reconnais bien tiens. Aller pas croire qu'elle fait le tapin la rousse, elle ne l'a jamais fait. Elle se fait plaisir si elle a envie avec qui lui plait. Pas d'engagement, pas de compliction par contre, une très bonne amie est du milieu. D'ailleurs elle devait crêcher en c'te bled mais figurez vous qu'elle s'était faite épouse dans la haute. Qu'est-ce qu'elle avait pu s'marrer en apprenant cela. Mais ça peut servir les affaire une connaissance haut placé. Faudrait qu'elle reprenne contact y'a des affaire a faire. Enfin tout ca pour dire qu'elle comprend la situation de l'entrante l'ayant vu de mainte fois. On lui envoie un homme pour assistance.


Tavernier ! File un r'montant a la donzelle, s'pour moi !


Charité ? Boarf peut être bien ou simple réflexe allait savoir.



Pas peur de participer mais ne peut le faire qu'en pnj de part la place de mon perso
--Grand_coesre
Je jouerai le tondu ljd dame de coeur




Le cortège de femmes défilait dans ce repère malfamé. Entre temps avait investi les lieux l’exaltante Victoire, l’objet de bien des désirs et des convoitises ici-bas. Le GC et elle entretenaient des liens, c’était une évidence. Une fille adoptée, une fille de cœur, ou peut-etre tout simplement une protégée… mais révéler ce secret n’est pas pour tout de suite.
La discussion avec le marin pouvait enfin commencer, mais c’était sans compter sur l’irruption d’une femme visiblement en détresse. La scène était d’un banal, dans un monde où la violence ne pouvait se régler que dans la violence. La loi du Talion, tout comme celle du GC, était universelle dans ces bas fonds de Vannes. Mais bien souvent il fallait trouver de l’aide pour se venger, se rendre justice… et l’organisation était là pour ca. « Encore une histoire de viol ou de passage à tabac », se dit l’encapuchonné.

Il soupira profondément et fit signe au tavernier de venir. La grosse masse de chair et de muscles à la gueule déformée se présenta rapidement au GC qui lui dit…


Le Tondu est là ? Bien. Alors, pendant que tu t’occupes du gamin et de servir les clients, tu l’envoies s’occuper de la puterelle qui vient d’entrer. Il s’occupera d’elle pour la nuit et devra faire payer à son agresseur ce qu’il lui a fait… et au centuple. Il l’a violé ? Il lui coupe les couilles et les lui fait bouffer jusqu’à ce qu’il les gerbe. Il l’a tabassée ? Il lui éclate les dents une à une avant de lui crever les yeux. J’en ai plein le capuchon des hommes qui abiment nos putains. Il servira donc d’exemple.

Acquiescement de la tête de la part du colosse, qui partit derechef en direction d’une autre monstrueuse charpenterie au crane rasé. Ce dernier grogna bruyamment et se leva avec véhémence. Le Tondu… c’est un peu le boucher humain. Un grand cœur romantique bat dans son imposante carcasse, mais dès qu’il s’agit de sang, alors il perd tout romantisme pour s’adonner à l’abstrait. Le Grand-Coesre prit le temps de veiller à ce que la bête humaine aille bien trouver la donzelle, et une fois chose faite, se retourna vers le Marin.

Ce dernier fit une longue diatribe sur un projet que visiblement il désirait mettre en place. Et il sollicitait son concours pour cette tache. Sous le capuchon, le cerveau du GC s’était mis en branle. Ce que soumettait le Marin s’avérait intéressant, mais ambitieux. Après un court moment de réflexion, il répondit en ces termes…

Réguler les bas-fonds de Vannes, est une tache déjà compliquée. Regarde… encore une donzelle qui s’est fait agresser. Elle est peut-être des nôtres, ou pas, mais là n’est pas la question, et chaque jour des comme elles viennent pour les mêmes raisons. Et chaque jour nous devons assurer la vengeance.

Etendre l’influence de ce monde de l’ombre est bien évidemment une idée qui me séduit. Mais pour cela il faut bien plus qu’une simple organisation. L’ordre ne s’instaure ici que par la crainte et la peur des représailles. C’est comme cela que l’équilibre ici se maintient. Il faut avoir des hommes surs, loyaux et déterminés.

Toutefois, si nous en trouvons, alors pourquoi pas. Mais ne te leurre pas. Nos activités sont illégales et dangereuses… pillage, contrebande, brigandage… notre argent vient de là… pas du proxénétisme… et étendre notre influence, ca voudra dire dire étendre ces activités.

Ce monde pue, Gu. Nous sommes obligés de nous salir les mains pour maintenir un ordre dans ce monde écoeurant. Mais tu as raison sur une chose. Celui du pouvoir breton a la même odeur, à défaut des couleurs. Alors venons titiller ce monde qui nous ressemble tant olfactivement.

Tu as surement une idée sur les moyens à mettre en œuvre pour tendre notre monde ?


--Ange....
Du remue ménage dans le bouge et Ange lève les yeux au plafond ... tous les soirs la même chose ! elle est blasée la blonde, blasée des cris, des injures, des couteaux qui luisent dans la crasse du tripot, elle en a sa dose tous les soirs que le diable fait !

Mais ce soir, c'est fête on dirait .... d'où sortent elles toutes ces catins qui sentent bon le propre ?... des bourges qui veulent voir ce que c'est que la misère ? rien qu'avec les oripeaux qu'elles ont sur le derrière, la blonde pourrait prendre des vacances pendant un long moment !

... puis une brune entre, bien connue des lieux ... à pas toucher celle ci et Ange ne sourit même pas ! être du même lieu commun ne signifie pas que les accointances soient obligatoires, chacune dans son coin et les vaches sont bien gardées !

Mais elle sourit la catin au souffle dans son oreille et au bras autour de sa taille .... tandis que les pièces dans son décolleté la font frissonner ..
Citation:
Va boire un verre à ma santé, je te rejoins plus tard

Il lui plait le marin, et avant de tourner les talons .. lui souffle à l'oreille .. pour toi mon joli ... ce sera juste pour le plaisir, tu m'plais !!

Elle cambre les reins sous la main qui claque ses fesses et s'éloigne vers le bar .... pas souvent qu'un homme lui donne envie de s'envoyer en l'air, ceux qu'elle côtoie c'est uniquement pour le travail, et le plaisir reste le plaisir .. et elle le prend Ange, dès qu'il se présente.

Elle a bien compris que quelque chose se tramait entre les deux là attablés devant leur chope ... et elle sait qu'elle n'a rien à faire dans les jambes du "maitre" pendant qu'il vaque à ses "affaires".

Sa main glisse dans son décolleté à la recherche des pièces ... les lance sur le comptoir, toutes chaudes et moites du contact de sa peau .... sers moi à boire ... et du bon , j'ai de quoi payer !

La porte s'ouvre de nouveau sur une femme ... masquée et qui appelle à l'aide ! Ange la détaille de haut en bas ... qu'est ce qu'elle s'imaginait elle ?... qu'on pouvait se trimballer masquée ... habillée comme une princesse et avec un collier qui n'a pas l'air en toc autour du cou, dans les ruelles des bas fonds ?

Ange soupire et se retourne vers le tenancier se désintéressant de la masquée ... sers m'en un autre .... j'en ai b'soin là !

Gurwan
Plus rien de ce qui se passait autour d'eux n'avait d'importance. Il était au cœur du sujet pour lequel il était venu ici.

Il hochait la tête à mesure que le GC prenait la mesure de l'ampleur du projet qu'il lui soumettait. Bien sûr que ce serait dur, bien sûr que de nombreux combats seraient à mener avant que leur projet prenne la dimension qu'ils voulaient lui donner. Mais le marin, qui avait parcouru nombre de villes bretonnes, savait que la défiance envers le monde politique grandissait en leurs seins, que plus grand monde n'était dupe des magouilles qui étaient le quotidien des élites bretonnes. A force de tirer sur la corde...


Je sais que nous devrons dépasser les limites pour parvenir à nos fins. Je sais que nous devrons aller chercher l'argent là où il est. Mais je sais aussi que si nous sommes honnêtes avec le peuple, alors le peuple nous suivra.

Quand je te dis qu'il faut se structurer, ce n'est pas des mots en l'air. Nous allons recruter et nommer un vrai conseil où chacun aura un poste et une responsabilité précise. Sous ta houlette, j'espère. J'aimerai que nous fonctionnions sur le même modèle qu'un conseil ducal, mais avec nos valeurs à nous. Différentes.

Trouver du monde n'est pas un souci. Chaque ville de Bretagne a un quartier comme celui sur lequel tu règnes, où les habitants sont prêts à prendre leur avenir en main. Il suffit de les regrouper tous sous la même bannière. Celle que nous allons créer.

_________________
--Aime


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Une carapace cède sous sa semelle et le craquement qu'elle produit le fait sourire. Il repère un second cafard et s'emploie à lui faire subir le même sort. Arrivé au bas de l'escalier, il pousse la porte qui le mène vers une cour complètement noyée dans la pénombre.
Quelques filles de joie s'y font culbuter et des grognements bestiaux fusent des quatre points cardinaux.
Il prend une forte inspiration et d'une main qui n'hésite pas, il fait sortir son engin de ses braies et se soulage à l'air libre, les mains derrière la nuque.
Ce type qui pisse des litres à quelques mètres des fornicateurs qui s'échangent leurs morpions, c'est Aimé, un mec qui emmerde les latrines !

Cet amoureux de la nature a une passion : le crime. Il a aussi un métier : le crime. Et il a un objectif dans la vie : le crime parfait.

Mais ce soir, ce n'est pas un contrat juteux qui l'amène là. C'est juste l'envie de se changer les idées et pourquoi pas de tailler une bavette avec le GC s'il est dans le coin.

Et tandis qu'une catin au jupon sale mal ajusté passe devant lui en reluquant la piécette qu'elle tient dans sa paume, Aimé, indifférent, reprend doucement le chemin de la taverne.

C'est presque en brasse coulée qu'il se fraye un chemin au milieu de toutes ces putains qui grouillent pour atteindre la table où se tiennent le Grand Coesre et un marin.
Arrivé à bon port, il les salue d'un mouvement de tête, sort une bourse bien pesante de sa poche la pose sur la table et la pousse vers le GC.


- Voilà une petite contribution... les affaires marchent plutôt bien pour moi et je n'ai pas oublié que tu as été là pour m'aider en son temps. Alors ne la refuse pas...

Le cul déjà posé sur un tabouret, il attire l'attention du tavernier en agitant trois doigts et s'adresse au marin qu'il ne connaît pas.

- J'espère que t'aimes la bière, j'bois que ça. On m'appelle Aimé et on m'appelle quand faut supprimer quelqu'un aussi. J'sais pas si l'Grand Coesre t'a déjà parlé de moi.

Les mousses arrivent et Aimé s'empare d'une d'elles qu'il vide de moitié puis lâche un...

- Une vraie pisse cette bière, mais qu'est-ce qu'elle m'a manqué ! Alors le Coesre, dis-moi... J'ai entendu dire que tu avais des projets de grande envergure. Alors suis venu te dire que pour le sale boulot, tu peux compter sur moi.
--Grand_coesre


Le Grand-Coësre aspirait profondément une épaisse fumée qui ressortait déjà moins opaque après avoir transité dans ses poumons. Il écoutait attentivement chaque parole, ne ressentait plus vraiment ce qui se passait tout autour de lui. Il répondit une nouvelle fois au marin tout en se frottant le menton sous son capuchon...

Créer cette société parallèle ne va pas être une mince affaire. Ici nous sommes cachés car peu étendus. S'étendre cela veut dire avoir plus de chance de se rendre visible...

Toutefois...

Je marche dans ton affaire. Il faudra avant tout établir une sorte de quartier général. J'aurai bien dit ici... mais comme tu as pu le constater... les esgourdes sournoises prolifèrent ici.

Il faudra rassembler aussi des personnes de confiance, responsables et surtout prêtes à se salir les mains... ceux-là commanderont aux autres dans chaque ville.

Et surtout... il va falloir commencer à...


Son discours fut interrompu par l'arrivée d'une vieille connaissance... grand, baraqué, cheveux longs... l'homme se présenta à leur table et investit un tabouret tout en plaçant une bourse sur la table, bourse qu'il poussa de la main vers l'encapuchonné. Le Grand-Coësre détailla l'homme, et alors qu'il allait lui dire que ce don, bien que cela le touche, n'était pas nécessaire, le Grand Aimé lui coupe la chique. Il ne répondit pas tout de suite. La molosse avait déjà passé la commande de bières qui arrivèrent au pas de course... faut pas le faire attendre le GC...

Après avoir trinqué et rincé des gosiers qui s'asséchaient furieusement de par la chaleur ambiante, le Grand Tueur se mit à parler en ces termes.


Une vraie pisse cette bière, mais qu'est-ce qu'elle m'a manqué ! Alors le Coësre, dis-moi... J'ai entendu dire que tu avais des projets de grande envergure. Alors suis venu te dire que pour le sale boulot, tu peux compter sur moi.

Le Grand-Coësre, les mains sur sa pinte, s'amusait à happer des gouttelettes d'eau fruits de la condensation qui suintaient sur le récipient. Un sourire s'esquisse sur le visage... il prit alors la parole.

Aimé, je te présente Gurwan. Un ami marin qui a jeté l'ancre ici.
Gu, je te présente Aimé. Comme tu as pu le comprendre, c'est le genre d'homme qui finit les boulots qu'on lui demande.


Le GC se tourne vers Aimé.

Pour ta bourse, ce serait maintenant malvenu et irrespectueux de ma part pour la refuser. Mais encore une fois... ce n'est pas parce que tu estimes avoir une dette envers moi que tu dois te saigner pour moi. J'accepte cependant de bon cœur... trugarez.

Bref

Sur ces entrefaites, tu as parfaitement raison... et je vois que les rumeurs ici se propagent plus vite que la chair putride sur le corps d'un lépreux. Ces affaires importantes, c'est justement avec le marin que je le traite actuellement. Pour le moment on est en phase réflexion, pas encore nettoyage... en revanche...

Il se pourrait bien que j'ai un travail pour toi si ca t'intéresse. Vois-tu... Des brigands viennent d'arriver en ville... visiblement ils s'informent sur ma personne avec un peu trop d'insistance à mon gout. Dès que je les ai localisés... je te laisse carte blanche.


Se retournant vers le marin.

Désolé pour cette... digression. Dans l'absolu je pense que nous devrions parler des actions dans un endroits plus surs. Nous avons la théorie, mais faut pas que la pratique s'ébruite...

Et regardant tout autour de lui, il cria...

TU REMETTRAS UNE TOURNEE ICI, PIQUE ASSAUT...

Se tournant vers ses amis...

Une femme vous ferait plaisir?

--.odysee.
Le temps passe et la nuit aussi. De même que la bouteille de la rousse y est passé et pas un signe caractéristique d'état d'ébriété. C'est qu'elle a l'habitude la rousse. Commander un équipage d'homme c'est pas une mainte affaire. Le pire reste encore a éviter de croiser son paternel. Ceux là dès qu'ils se croisent c'est pour se foutre sur la tronche. Que voulez vous une femme c'est pas fait pour être pirate y parait ! Il s'est as vu l'vieux, a peine si il arrive suffisamment a arquer pour faire son affaire a une donzelle.

enfin bref, la rousse se sens d'humeur a aller s'pieuter a défaut de mieux. C'est qu'l'occupation reste a désirer ici. Elle se lève et d'mande au tavernier où s'trouve les piaule. Un grognement et un signe de tête lui indique la direction. Pas qu'le lieux soit immense mais l'obscurité ça aide pas a s'repérer. Elle prend donc la direction indiquer après avoir payer la bouteille et la chambre quand elle se retrouve bloquer dans sa progression par un poivrot on ne peut plus insistant quand a la compagnie qu'il se verrait bien lui offrir gracieusement. S'qu'il croit avoir affaire a une catin le bougre, Odyssée prend plaisir qu'avec ceux qui lui plaise pas avec les gros porc imbibé et chancelant comme un navire en pleine tempête.


Allez soit gentille la belle, tu l'regrettera pas !
Va donc cuver dans ton coin sale porc !
Fait pas ta pucelle !


Et main largement porter sur le postérieur de la rousse pour accompagner sa demande. Première erreur ! La droite qu'il se mange dans la tronche en réponse l'allonge au sol le nez en sang. Il tente de se relever mais devant le regard d'la rousse il reste bien gentiment coucher comme un chien obéissant a son maitres. Faut pas espérer prendre la rousse si vous plaisez pas, aucune chance. Odyssée reprend sa progression devant jouer des coudes pour traverser la salle pleine de rire gras, de poivrot, de catin faisant affaire. On se sent presque chez soit. Passe près de la table du GC sans un regard les affaires des autres elle s'en contre fou, frôle le marin au passage...Volontairement ? Allez savoir ! Puis finit par atteindre sa piaule sans encombre.

Ferme la porte derrière elle enfin, la repousse s'pas un 4 étoile ici y'a pas d'verrou sur les portes. Dans la pièce nul déco ! Un pieu d'une propreté correcte, une chaise, une table et comble du luxe une bassine d'eau pour ceux qui se sente l'envie d'y foutre la tête. C'est l'grand luxe ici tiens, elle a vu bien pire. Une fois entré, la rousse laisse son épée sous le lit gardant une dague dissimuler sur elle et s'affale sur la chaise. Elle regarde un instant dehors, c'est une belle nuit demain la mer sera d'huile. Attrapant un linge, elle le trempe dans la bassine et nettoie son visage. Pas par coquetterie plus parce que la sensation lui plait. Le front, les yeu, les joue, le cou, la nuque et la naissance de sa poitrine que laisse apparente sa tenue.


Gurwan
Il comprenait les réticences de son ami. Toutefois il savait que ce challenge l'intéresserait, qu'il ne serait que la suite logique de l'oeuvre qu'il avait accomplie durant toute sa vie. Et il était content de voir qu'il s'investissait déjà dans le projet. Ca valait toutes les réponses positives du monde. Bien sûr qu'il leur faudrait trouver un endroit un peu plus discret et plus calme qu'une taverne pour mettre au point leurs projets.
Il allait d'ailleurs répondre au GC dans ce sens quand une sorte d'armoire à glace, chevelue, avec une gueule à faire peur au plus téméraire des hommes fit son apparition.
La description qu'en fit le GC au marin lui plut d'emblée. Ce genre d'homme sans scrupule, capable de tuer froidement, sans poser de questions, était précieux. Et il semblait avoir des oreilles qui traînaient partout, déjà au courant de leur discussion alors même que celle-ci était en cours. Impressionnant.
Les amis de mes amis sont mes amis est une maxime qui pourrait, légèrement modifiée, faire l'affaire ici. Modifiée en "les personnes à qui font confiance ceux à qui je fais confiance méritent ma confiance". Il ferait donc confiance à la brute épaisse.


Enchanté Aimé. Fut la seule chose qu'il dit.

Puis à la proposition du GC de leur offrir une femme pour la nuit, il avisa la blonde d'un signe de tête et lui répondit :

Je te remercie, mais je crois que j'ai trouvé mon bonheur pour ce soir.

Messieurs
- car il était pour lui évident qu'Aimé en serait - nous reparlerons de tout cela à l'abri des regards et des oreilles indiscrets. Pour le moment j'ai à faire.

Il vida donc sa chope d'un trait, se leva et se dirigea vers la blondinette, toujours accoudée au comptoir. Il se glissa derrière elle tout en passant ses bras autour de sa taille. A son oreille il chuchota :

A nous deux maintenant ma belle...on monte ?
J'espère que tu es en forme parce que j'ai très envie...


Le marin n'avait pas touché terre depuis des semaines. Il n'avait pas touché femme depuis des semaines. Il était en manque.
_________________
--Ange....
La soirée s'éternisait et Ange lorgnait vers la table de temps en temps ... toujours en conciliabule ! quelle pouvait bien être cette affaire qui les retenaient si longtemps. Elle avait l'habitude de s'occuper de ses fesses Ange, mais la curiosité la tenaillait, ainsi qu'une certaine chaleur dans les reins quand elle regardait le marin. Elle avait parfois pour habitude de remonter au centre ville dans la soirée, à la recherche des bourgeois qui s'encanaillaient dans l'anonymat de la nuit ... mais ce soir ... cette nuit elle resterait ici ... pour le plaisir !

Elle plongea son joli nez dans sa deuxième chope ... pas question d'être ivre ! Si soirée excitante il devait y avoir, elle tenait à garder les idées claires ! c'était pas tous les jours que ça lui arrivait d'avoir envie de s'envoyer en l'air !
Citation:
A nous deux maintenant ma belle...on monte ? J'espère que tu es en forme parce que j'ai très envie...

Elle ne se retourna pas quand un bras enserra sa taille et qu'une bouche lui souffla à l'oreille les mots qu'elle voulait entendre depuis un long moment, mais sa bouche se détendit d'un sourire et sa tête tourna juste pour le regarder, les yeux à demi fermés, le contemplant entre ses cils .... j'espère que tu es en forme aussi mon joli .... et que tu as de l'endurance !

Elle posa sa chope ..... se mit debout en le frôlant de très près, passa un bras sous le sien et l'entraina ... viens marin, je vais te montrer le paradis d'Ange ....

(Dans la chambre d'Ange)

Elle l'avait devancé dans l'escalier, ondulant à chaque marche, avait ouvert en grand la porte de sa chambre, et s'y était adossée pour le laisser découvrir l'endroit ... ici n'est pas le paradis ... c'est à peine un peu mieux qu'un taudis, mais c'est propre, j'y veille ... le paradis est ailleurs ! ... dit elle d'une voix enrouée en refermant la porte.

Sans dire un mot de plus, elle alluma un chandelier, défit sa robe qu'elle fit tomber lentement à ses pieds et chuchota .... alors tu veux le visiter ?

--.odysee.
Du calme...trop calme...c'est pas dans son habitude tiens. Ca fou l'cafard tout ça ! Soudain un bruit ! La rousse se redresse, on envoie des cailloux sur la vitre de sa piaule ! Boudiou, c'est qu'ils vont casser les vitres ces idiots. Elle se lèvre, ouvre la fenêtre a la volée pour faire entendre sa voix mélodieuse.

Z'avez rien d'mieux a foutre que d'pourrir la vie des gens ?
P'taine y'a un soucis !
Un souci avec le boulot d'se soir ?
Nan ! L'galet noir est a l'horizon !


Le galet noir ! S'que ça peut lui faire rire ce nom ! Surement parce qu'il a une prédilection pour couler comme une pierre. Bien une folie d'son père ça ! Qu'importe, il ignore où elle se trouve et c'est tant mieux sinon ils vont encore se foutre sur la gueule. Pas qu'ils se pirate entre eux hein mais plutôt qu'ils peuvent pas s'voir sans s'engueuler. L'vieux considère qu'la place d'une femme c'est sous un homme et pas sur l'eau et la rousse a un tout autre avis. Elle referme la fenêtre et sort d'la piaule. Y'a des soir où y'a pas moyen d'être tranquille. Elle retraverse toute la salle avisant l'marin qui va s'envoyer la blonde insipide et va rejoindre son mousse dehors.


Rien a foutre du vieux ! Qu'il nourrisse les crabes !
Il est dans l'port pt'aine ! Y pille tout s'qui bouge !
Et alors ? On s'y trouve pas qu'il s'amuse !
Mais, il va attirer les ennuis !
J'suis pas son chaperon !!!


Vrai qu'il est pas discret l'paternel ! Elle le connait, il entre dans le port, vole absolument toute cargaison, biens, objet précieux, femmes...catin ou non et reprend la mer. Pour sur qu'il vous dépeuple une ville en femme en un rien de temps. Il s'amuse en mer et les revends plus tard pour s'enrichir et après il est surpris que tout l'pays soit a sa recherche. Elle, elle le cherche pas mais si elle peut lui nuire elle va pas s'géner.

Quelqu'un vous a vu s'soir ?
Nan z'étez tous ivre mort !
Bien laisser le faire son bordel et faite vous discret, notre vole passera pour le sien ! Et tachez d'réveiller ces idiots, serait dommage d'lui éviter la taule au vieux !


Et hop, le jeune mousse file en courant. Finalement la soirée risque de finir sur un feu d'artifice. La v'la de bonne humeur quand elle retourne dans la taverne.


Tavernier paye un coup a tout l'monde c'est ma tournée ! Y'a des nouvelles qui s'fête !


Elle rit bien intérieurement en tout cas. Le GC risque d'avoir du boulot avec le paternel, hum...se serait presque dommage de ne pas participer. A voir comment cela se passe tiens a condition qu'ils arrivent a le chopper. Au loin l'alerte du port se fit entendre...

cherche joueur voulant jouer le père d'la rousse ! En pj ou pnj pas de soucis, j'pense qu'on aura cerné l'animal avec mon rp^^
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