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[RP] Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants

Aldaaregonde
Sourire radieux lorsqu'Arégonde sort de son escarcelle l'hydre d'or dont deux des têtes ont été ôtées pour être fondues et former les anneaux qui se trouvent au fond, elle s'en empare replace l'effigie en sécurité et donne les anneaux à Eloin.

- Voilà les anneaux.
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Prenez le qu'importe !
Eloin
Eloin remercia la vicomtesse d'un sourire, puys procéda à la bénédiction des précieux anneaux.

Oh, Aristote ! Bénis ces alliances ! Puyssent ces deux cercles représenter le signe éternel de vostre réciproque amour !

Puys elle rendit les deux bijoux aux presque mariés, non sans y ajouter un petit parchemin contenant la formule rituelle.

Vous pouvez vous échanger les alliances, maintenant.

Code:
[Prénom], reçois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidélité.

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Héraldique
Aldaaregonde
Pas folle la de Rien qui allait tendre sa main douce, blanche et fraîche à son Raide réagit au quart de tour de neurone et lui attrape la main afin de lui passer l'anneau en premier scellant ainsi Attilant avant que l'idée ne lui vienne de fuir, sait-on jamais...

- Attila recevez cette alliance signe de mon amour et de ma fidélité.

Absinthes pupilles qui se plongent dans les jaunes en face. Main qui attend docile la réciproque.
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Prenez le qu'importe !
Attila.caligula
L'anneau passé a son doigt ganté brille paisiblement. A coté de la grosse topaze Ysengrine, l'alliance elle est d'une simplicité presqu'austère.
Le leu dégage la topaze de son majeur. Le lourd bijou scintille un instant dans sa paume de cuir vert.

- Alda Aregonde, te voilà Ysengrin, par cet anneau qui est dans ma famille depuis l'ancêtre, porté par le chef de meute, je te prends pour femme. Tu le donneras à notre Hercules Titus, ou Lucrèce Ann à naître. Je te donne mon nom, ma vicomté et ma baronnie en partage. L'amour c'est pour les fillettes. Et nul ne pourra défaire ce qui se fait ici, sinon la mort.
Il passe la lourde bague, bien trop grande, au doigt fin de sa femme et referme le poing sur la menotte blanche.
Aldaaregonde
Elle reste sans voix mais ses yeux prennent la teinte de la pierre un frisson de bien être lui parcoure l'échine. La voilà enfin elle : Ysengrin.
Elle observe un instant son presque époux avant de se tourner vers Eloin attendant qu'elle confirme la réalité de cette journée qui a semblé ne pas finir.

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Prenez le qu'importe !
Eloin
La déclaration de la future fut sobre, comparée à celle du vicomte. Les mots du Leu, s'ils furent abruptement déclarés, n'en furent pas moins sincères, et tirèrent un hochement de teste satisfait à la moniale.

La mort... Oui, la mort seule devrait séparer un époux de sa femme, plutôt que les annulations de mariages qui allaient grandissantes dans les officialités épiscopales.

Eloin se força à quitter cette pensée, et profita de cet instant d'intense attention de l'assemblée pour proclamer une bénédiction du nouveau couple.


Dieu le très haut, Attila_Caligula & Alda Arégonde se sont unis dans l’Amour en ce jour béni devant Toy, apporte-leur bonheur, fécondité et confiance pour leur nouvelle vie.

AMEN

Qu’avec Ton aide et Ta protection ils fondent un foyer qui verra naistre et grandir le fruit de leur amour.

AMEN

Sur leurs familles, leurs amis et l’ensemble de la communauté rassemblée autour de ces deux amoureux, que Ta joie et Ta paix enveloppe leurs cœurs.

AMEN

Dieu le père, Christos et Aristote, bénissez-les !

AMEN


Puys elle reporta son regard vers les jeunes époux.

Désormais vous estes unis devant Dieu... Vous pouvez vous embrasser.

Encore un peu de patience... La noce était presque achevée...
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Héraldique
Attila.caligula
Le Leu ne se le fait pas dire deux fois.
Prestement il cueille la taille de son épousée, l'attire brutalement contre sa poitrine et grogne sourdement. Sa langue, de la taille d'un bras d'enfant, court de la gorge blanche aux lèvres purpurines, glisse entre elles sans pudeur. Sa patte nouvellement ornée du Précieux anneau pétrit la croupe parfaite, tandis que l'autre recueille en coupe un tétin gonflé et palpitant. Les haleines se mêlent, les soupirs dansent dans l'air frais, les regards se fondent en buée, les peaux se consument.
Dans les braies du Vicomte, la vie s'affole; dans sa tête, la conscience s'étiole, dans ses tripes l'instinct s'enflamme. Il grogne et enserre encore plus étroitement sa femme, mord cruellement la lèvre qu'elle lui offre et goûte son sang, en vrai baiser Ysengrin De Rien. La conscience d'une assistance s'est effacée et il jouit pleinement de l'instant, comme tous les jours depuis sa naissance, avec le surcroit de plaisir de savoir qu'Alda partage ce moment aussi intensément que lui.
Sans vergogne, il plonge la truffe entre les seins blancs, s'en délecte avec passion tandis que les bras nerveux soulèvent la jeune femme. Ça tambourine dans sa poitrine, ça vibre entre ses cuisses, ça brule dans tous ses membres.




- Maintenant?



- Je te reconnais bien là, FOulques. Regarde comme il est heureux... foutu moine. Tu veux lui gâcher ce moment? Encore un instant.
Aldaaregonde
Envolée pudeur, brisée retenue, oubliées bonnes manières. Le souffle court par les baisers échangés elle se laisse porter par la douce chaleur qui l'enivre et rend caresse pour caresse. Plus de mystères dans le corps qui l'étreint pourtant le mariage n'a pas fait disparaitre le feu sacré qui les habite, idée saugrenue mais qui la soulage. La gorge offerte, elle ne retient pas les soupirs provoqués par la passion de son mari et si ses joues deviennent en cet instant rouges la moral n'en est pas la cause. Les yeux clos elle se laisse emporter. Elle n'est plus qu'envie. Que cet instant soit éternel.
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Prenez le qu'importe !
Victorine
Victorine était toujours là, immaculée, assistant au mariage de ses parents adoptifs. L'aviez-vous oubliée ? Elle, non. Elle n'oubliera jamais cette cérémonie, avec ce frère bizarre, ces rumeurs étranges, cette moniale exceptionnelle de bravoure et de patience, et ces mariés qui ... par tous les saints ! Vic en a le rouge aux joues.

Ils ne vont tout de même pas s'offrir devant l'autel ... littéralement !

Ainsi prenait sens la devise familiale, Ysengrin carpe jugulum. Mais Vic ne la ferait vraiment sienne que bien plus tard. En ce jour lointain, elle n'était encore qu'une enfant qui baissait les yeux devant les réalités crues.

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Eloin
Visiblement le Leu ne connaissait point la patience, du moins pour ce qui était des plaisirs de la chair. Aussi, la moniale réagit prestement, soucieuse de ne point assister à la suite du spectacle qui s'annonçait si nul ne s'activait.

Saisissant le Livre des Vertus qui trônait sur l'autel, elle s'en saisit et s'approcha du vicomte tout occupé à butiner les trésors offerts par sa désormais épouse. Elle marmonna une brève excuse au Tout-Puissant pour ce qu'elle s'apprêtait à faire au seing de sa Maison, puys leva le livre, et l’abattit violemment sur la teste du jeune marié. Pour sur, ce coup-là luy remettrait les idées en place !


Par Sainct Arnvald, vescomte, vous estes priés de vous livrer à vos ébats ailleurs qu'en cette cathédrale ! La maison du Très-Haut n'est point un lupanar !

Allez donc festoyer, je gage que dauna Dhea a préparé tout ce qu'il faut pour vous rassasier en attendant la nuit de noces !


Et, sur un sourire amusé, la moniale hocha la teste en direction de l'enfant de choeur qui n'attendait que ce signe pour grimper l'étroit escalier en colimaçon menant au clocher.
Bientost, les cloches retentirent de nouveau, signifiant cette foys la fin de l'office, et, pour les convives, le début des réjouissances...

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Héraldique
Aldaaregonde
Parce qu'il est des histoires dont on ne connait pas la fin, parce qu'il appartient à d'autre de l'écrire, parce que les mythes naissent ainsi lorsqu'on ne connait pas avec exactitude les faits, celle-ci, pour donner pouvoir à la légende qui fera trembler les enfants la nuit tombée quand ils seront seuls dans leur lit à affronter la réalité de leur pensée, ne contera pas la fin d'Attila, ne contera pas la peine de sa veuve et laissera le soin aux gorges malveillantes ou bien à celles mal informées, aux troubadours et aux trouvères qui traverseront le royaume le soin de créer ce qui donnera l'immortalité d'un être dont seule l'absence égalera le panache.
Il était une fois,....




A Attila, le i des jours d'Arégonde, à Jdr Atti, le e des miens,
tendresse. A.

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Prenez le qu'importe !
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