Enguerranddevaisneau
Il est toujours plaisant de se faire accueillir comme il se doit, d'autant plus quand il s'agissait d'une femme aussi prestigieuse -et titrée- que l'était l'épouse de Lortz.
Il fut même un temps où le Vaisneau aurait bien épousé la comtesse dans l'espoir de se voir affublé de ses titres, mais le mari, détail outre mesure, s'avérait coriace, et toute tentative pour le mettre à mort serait directement rapportée sur la faute du petit Ittre.
Certes il avait grandi, du haut de ses 16 ans, et s'affichait d'autant plus comme un homme que comme un enfant.
Relevant la raillerie de la jeune femme, à lui de répondre, tout de go:
Disons qu'il y a des ages, où la présence d'une tutrice n'est plus essentielle, je m'instruis seul dorénavant, et c'est avec grand plaisir que je puis vous montrer...
Et de s'approcher pour lui chuchoter dans le creux de l'oreille:
.... Mes progrès;
Sourire narquois de bon aloi, à lui de reporter son attention sur la nouvelle venue. A la comtesse qu'on sort de faire les présentation, et à lui de s'incliner avec aisance pour venir cueillir sa main et apposer ses lèvres, furtivement, sur sa peau.
Droit de nouveau, il salut:
Ravi damoiselle, Enguerrand de Vaisneau, baron d'Ittre, plus précisément.. Vous pardonnerez le fait que je ne vous remette pas, mais j'ai la mémoire aussi courte que l'intelligence des régnant Languedocien.
Ca, c'était une attaque gratuite et parfaitement maitrisée. Sa lippe se hausse donc en une moue narquoise, tandis que son attention est attirée par les pupilles qui gouttent les plats. Certaines semblaient se délecter, et ceci se voyait jusque sur leurs ligne, ce qui fit sourire d'autant plus le blondin, qui outre avoir un appétit d'oiseau, gardait une silhouette fine et féline.
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Plus là, en a marre des cons qui ne jouent qu'en clan.
Il fut même un temps où le Vaisneau aurait bien épousé la comtesse dans l'espoir de se voir affublé de ses titres, mais le mari, détail outre mesure, s'avérait coriace, et toute tentative pour le mettre à mort serait directement rapportée sur la faute du petit Ittre.
Certes il avait grandi, du haut de ses 16 ans, et s'affichait d'autant plus comme un homme que comme un enfant.
Relevant la raillerie de la jeune femme, à lui de répondre, tout de go:
Disons qu'il y a des ages, où la présence d'une tutrice n'est plus essentielle, je m'instruis seul dorénavant, et c'est avec grand plaisir que je puis vous montrer...
Et de s'approcher pour lui chuchoter dans le creux de l'oreille:
.... Mes progrès;
Sourire narquois de bon aloi, à lui de reporter son attention sur la nouvelle venue. A la comtesse qu'on sort de faire les présentation, et à lui de s'incliner avec aisance pour venir cueillir sa main et apposer ses lèvres, furtivement, sur sa peau.
Droit de nouveau, il salut:
Ravi damoiselle, Enguerrand de Vaisneau, baron d'Ittre, plus précisément.. Vous pardonnerez le fait que je ne vous remette pas, mais j'ai la mémoire aussi courte que l'intelligence des régnant Languedocien.
Ca, c'était une attaque gratuite et parfaitement maitrisée. Sa lippe se hausse donc en une moue narquoise, tandis que son attention est attirée par les pupilles qui gouttent les plats. Certaines semblaient se délecter, et ceci se voyait jusque sur leurs ligne, ce qui fit sourire d'autant plus le blondin, qui outre avoir un appétit d'oiseau, gardait une silhouette fine et féline.
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Plus là, en a marre des cons qui ne jouent qu'en clan.