Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 12, 13, 14, 15   >   >>

[RP] Tournoi des Fournisseurs du Louvre - C'est PARTI !

Maud
Maud savait que les femmes enceintes avaient des lubies.. des envies.. Mais là, pour Maud c'était du délire. Elle à l'oreille si fine n'aurait rien entendu?

Maud, la reyne arrive !

Hein? Quoi? M'enfin m'dame Elisabeth, on aurait entendu tout l'poulailler autour et là j'entends rien.


Se levant malgré tout , faut dire que elle et Angélyque avaient vue sur des pieds , des pattes et autres joyeusetés et que la Dame aux chèvres était encore debout.

Misère m'dame Elisabeth, vous avez raison. Debout m'dame la Duchesse et pis faudrait réveiller son Altesse aussi hein?

La Reyne se dirigeait vers l'étal d'un homme qu'elle avait vu en compagnie de Angélyque et qu'elle connaissait de loin:

Oui bon, tous les bourguignons sont au même endroit m'dame Elisabeth. Vous affolez pas com' ça, vous allez nous mettre bas un petiot.
_________________
Angelyque
La Charolaise sursauta aux paroles de Maud, poussa son valet afin de monter sur le petit tabouret et pâlit

La Reyne arrive!!! elle vient de s'arrêter au stand de Sturn!

Riccardo! vérifie si tes mains sont propres et occupe- toi de faire en sorte que la Mamelue reluise bien, brosse la un peu dans le sens des poils, elle adore ça! vérifie aussi que ses pis soient bien roses. Je veux

Maud, vous pensez que la Reyne va remarquer que nous avons bu du vin? dites moi que mon regard n'est pas trop brillant, ma fille en mourrait de honte. J'aurai pas du céder à la tentation...vous avez un petit bout de boudin sur le menton Maud, ça craint.

Mon dieu! c'est pas le Cygne qu'on voit au loin avec une valise...? mais qu'a t'il donc dans cette valise? des bijoux? des robes?

Ahhh! Je sens que je vais défaillir!!!

Elisabeth, vous allez bien au moins? C'est pas le moment d'avoir vos douleurs! inspirez et expirez calmement! tout va bien!

_________________
Maud
Un essaim d'abeilles n'aurait pas fait mieux dans le coin Bourguignon.
Elisabeth houspillait la pauvre Lucette et Angélyque distribuait ordres et questions en cascade.

Se haussant sur la pointe des pieds, elle était un peu plus grande que Angélyque, mais ne voyait pas toute la scène.

C'est vot' ami à c' qu'je m'souviens. Ben , la Reyne elle va goûter son vin et pis elle sentira aussi l'vin m'dame la Duchesse. Elle sentira rien du tout même si vous avez sifflé la moitié d'la bouteille. Un gorgeon ou un litre, ça a la même odeur. C'est comme ça qu'mon père il disait à ma mère. Qu'il avait bu qu'un verre quand il rentrait mort saoul. Tombez pas du tabouret hein m'dame?

Fronçant les sourcils, elle se passa la main sur le coin des lèvres et chassa le morceau de boudin.

Merci m'dame, vrai qu' on pourrait penser qu'on en a déjà goûté..

Un peu inquiète, Maud regarda quand même les enroulements de boudins sur les cônes. celui aux raisins avait un peu diminué..

_________________
Della
Comme elle se sentait soudain libérée du carcan protocolaire, en se baladant en toute simplicité avec Béatrice. Bien sûr, il gravitait autour d'elles, une nuée de suivantes et suivants, mais qu'importait puisque les yeux de la Reyne brillaient de cet éclat que Della n'avait pas vu depuis longtemps : le plaisir.

Le hasard fit qu'elles n'allèrent pas jusqu'au but initialement proposé.
Non, ce fut devant l'étal de Sturn, l'étal de la Bourgogne donc, que sa Majesté s'arrêta.
Mais était-ce vraiment le hasard ? Ou un appel incontrôlable de leur région, si belle, si réjouissance ?
Della hocha doucement la tête, en signe de compréhension.
Puis, elle sourit à Sturn et le salua tout en le présentant à la Reyne.

Messire Sturn de Virloinval, Bourguignon, nous propose son vin, les Côtes de Nuit.


_________________

Baronne de Seignelay - Blason en travaux. - N'entame pas de nouveau RP avant juillet.
--Riccardo


Le serviteur de la Duchesse manipulait avec velouté les pis de la Mamelue.
Il savait s'y prendre et visiblement son talent, ses compétences, son beau tain brunâtre, sa magnifique tenue rose et ses biceps apparents... Bref, tout cela attirait l'attention, ce qui était visiblement loin de lui déplaire.
Sur le coup de l'émotion, il se mit à chantonner, doucement, quelques airs d'accompagnement, en espagnol.

La patronne s'en était aller picoler, sans lui proposer de se désaltérer, lui qui faisait en fait tout le travail. Discrètement, il attrapa un cruchon en métal en se servit directement dans le seau qu'il venait de remplir.
Alors qu'il portait le récipient à ses lèvres, la petite palefrenière de la patronne, Marine, lui revint à l'esprit. La pauvre.... Elle était débrouillarde mais devait carrément s'ennuyer et mourir de faim!

Il quitta son tabouret et alla lui offrir son cruchon.


Hola!
Si tou a soiffé, tou peux té servir à volonté!
La vaca elle en a encore plein lé... como sé ama... mama?


Puis, voyant le cortège de la patronne de sa patronne et de toute la clique, il sourit, fit un clin d'oeil complice à la petite rousse et retourna sur son tabouret sans manquer de caresser la Mamelue (ndrl: la vache, pas la Duchesse) et de lui susurrer des mots doux dans l'oreille.

Tranquillement, sifflotant, il se remit au travail et remplit commença à remplir un second seau.

Soudainement, il senti qu'on le dégageait avec force de son tabouret.


Ehhhhh!???

Et le voilà assis par terre, le seau tournant dangereusement... La Duchesse était maintenant debout sur SON tabouret et semblait espionner la petite foule un peu plus loin. Aïe! pas habituée, celle-ci avait pris appui sur le haut du dos de la charolaise et l'animal ne sentait pas apprécier. La queue de la bête chassant l'air, le serviteur se releva pour la calmer avant qu'Angelyque ne lui transmette le stress.
Trop tard, la vache gonfla ses côtes et un meuglement strident retenti.


MEEEEEUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUHHHHHHHH!


AHHHHHHHHHHHHHHH!
Le serviteur avait alors un choix à faire. Protéger ses magnifiques oreilles, parfaitement dessinées et équilibrées sur son visage, ou alors sauver sa patronne qui ne manquerait pas de perdre l'équilibre dans les secondes à venir si personne ne lui venait en aide.
Ses oreilles ayant déjà chèrement donné, un affreux sifflement lui traversant le crâne, la première idée pouvait être oubliée.

N'écoutant que son courage, il choisi la solution offensive et se précipita derrière la Charolaise
(ndlr: la duchesse) pour lui porter secours et la récupérer.

Une fois la situation fixée, elle allait déguster... Dans tous les sens du terme! Car s'il y avait bien une chose que le resplendissant espagnol détestait, c'est qu'on vienne ruiner le fruit de sont travail. Et là, c'était plutôt bien engagé!
Malone
La conversation s'orientait doucement vers les plus communs des sujets, nouvelles des uns et des autres, tout va bien chez toi ? Chez moi c'est pareil ... ou pas.

Tuée ?! L'espace d'un instant, la blonde se retrouva dans la peau de ceux qui tombaient des nues quand elle racontait ses soupçons sur la mort de sa propre mère, empoisonnée sans qu'aucune preuve ne finisse jamais par accabler l'auteur du méfait. Il y a bien des oreilles ici ... et je sais combien on peut parfois être certain de l'auteur du meurtre d'un proche même sans preuve. Mais gare, quand on se trompe, on réalise parfois le mal qu'on a fait.

Elle deviendrait donneuse de leçons, l'ex-blondinette toujours blonde ? Bien possible ça ... Aussi évita-t-elle provisoirement d'apprendre au baron comment il s'était par le passé comporté. Il serait bien temps de le lui rappeler plus tard. Mais la suite des mots du jeune homme firent s'arquer le sourcil poitevin. Ainsi, supporter une Alandrisse rendait digne d'une baronnie ? Voilà qui appelait à la pique, la perche était bien trop belle pour la refuser. Le sourire doucement renait au fil des mots, taquin.


Une baronnie pour avoir supporté votre enfance auprès d'Alandrisse ? Si ce type de mérite était possible, Aurore, l'une des filles de Jades, mériterait d'être marquise pour avoir supporté votre insistance à vous voir offrir sa main !

Et le baron de s'enfoncer encore et toujours ... c'est qu'il faisait ça bien le jeunot ! En fait, il serait peut être temps de cesser de l'y aider, en fait. Les émeraudes de la blonde passent un instant vers Alandrisse, un petit air de "mais comment il fait pour dire autant de bêtises en si peu de temps?", puis se tournent vers Enguerrand.

Meileen n'a pas connu notre mère, et craint encore plus son père que moi, ce qui n'est pas pourtant pas donné à tout le monde ... mais ma soeur n'est pas tout le monde. D'ailleurs, j'aurais pensé que le fait que je vous remémore notre prime rencontre la rappelle également à votre souvenir.
Enfin, toujours est-il que nous avons bon espoir qu'en devenant pupille elle se sente un peu moins menacée à chaque seconde, et obtienne ainsi plus de stabilité, elle n'a cessé de changer de protection ces derniers mois.


Enfin, ceci étant posé, on pouvait revenir au ton badin, et aux bavardages.

Moi ... eh bien je cherche ma voie. J'ai fait une session à Belrupt en sciences politiques, j'avance chez les Hospitaliers, j'y suis maitre d'armes maintenant, le dernier grade avant écuyer. Je vais peut être essayer d'avancer un peu dans ma connaissance du droit, mes deux mois de juge ne m'ont pas déplu non plus. Par contre, je cesse d'espérer avancer en diplomatie, même toutes les explications de Jehan et Leello ne m'ont pas permis d'y comprendre ce qu'il faut faire pour ne pas mettre les pieds dans le plat.

Et toi ? J'ai aperçu que tu as rejoint les officiers royaux ? Tu restes malgré tout en Languedoc ?

_________________
18 ans. En deuil de Magoo et Cristof Fortunat.
Sturn
Sturn salua respectueusement la Reyne et commença directement à présenter ses vins. Il servit des verres avec la première bouteille. C’était un vin rouge dont il était très fier. Espérons qu’il plaise à la Reyne. Il en profita pour faire une brève description des vignobles de la Côtes de Nuits.
La Côtes de Nuits se situe au sud de Dijon sur les versants Ouest de la vallée de la Saône. Cette exposition Est donne au vin de la fraicheur. On y fait essentiellement du vin rouge et quelques blancs très réputés.
Donc pour commencer voici un Chambolle-Musigny de 1440.

Sturn fit tourner le vin son verre et le senti et bu une petite gorgé.
La robe est d’un rubis vif limpide et cristallin. On voit qu’il n’y a pas de dépôt, qu’il n’est pas troublé. On y sent des odeurs de fruits mût épicé, le sous-bois. Il est riche, bouqueté, au tanin soyeux. Son équilibre et sa délicatesse en fait un vin féminin très agréable. Sa puissance et sa féminité accompagnera parfaitement les gibiers à plumes, un agneau ou un veau rôti ou encore avec des fromages comme le brie de Meaux ou le reblochon.

Sturn servit un autre vin dans de nouveau verre.
Pour continuer voici un autre Musigny. C’est un excellent vin blanc de 1450. Une robe brillante, flamboyante et chatoyante allant sur une couleur de miel. Pour ce qui est du nez on y perçoit de violette et d’amande. Il est moelleux et long en bouche. Pas trop sec il est un peu guilleret. Il se mari très bien avec les crustacés délicat comme le homard, la langouste ou encore l’écrevisse.

Le vigneron leur laissa le temps de déguster ce verre avant de leur en servir un dernier. Ce rouge comptait beaucoup pour Sturn. Le vignoble était un héritage familial. Une petite parcelle que Sturn entretenais avec beaucoup de soins et il veillait personnellement à la vinification des quelques fûts produits.
Pour terminer je vous ai réservé un Griotte-Chambertin de 1441. C’est un rouge d’une très grande qualité. Il a possède une robe vive, rubis sombre. Le bouquet est épanoui et intense. Il part d’arôme de fruits rouge, framboises, cassis, groseilles et va vers d’autre plus épicées. On y trouve aussi des odeurs de sous-bois et de mousse. Au palais il est puissant, opulent et élégant. Cela forme un corps entier et complexe, plein de sève et d’une chair voluptueuse. Il est tannique et nerveux ; noble et puissant en somme. Un agneau en sauce, le coq et les volailles ainsi qu’une cote de bœuf l’accompagnera parfaitement.

Pendant toute sa présentation, Sturn n’avait pensé à rien d’autre, concentré sur ce qu’il disait. Un peu stressé au début il se détendit rapidement et les habitudes des multiples dégustations qu’il avait déjà fait. Mais aucune n’égalait et n’égalerai celle-ci. Un sourire de satisfaction se dessina sur son visage.

_________________
Ingeburge
Non, la duchesse d'Auxerre ne dormait pas, nullement, elle arborait le même air indifférent et placide, comme à l'ordinaire. Non, décidément, elle ne dormait pas – comment l'aurait-elle pu alors que ses yeux étaient invariablement attirés par les merveilles qui s'étalaient pour le contentement de tous et que son odorat était lui aussi titillé par ces merveilles dont le fumet eût pu réveiller un mort? – alors qu'elle était passablement exténuée et qu'elle était par avance fatiguée de tout ce qui lui restait à faire dans les jours à venir. Non, vraiment, la Prinzessin ne dormait pas même si en maintes occasions, cela l'arrangeait grandement que l'on pût croire que ce fût le cas. Bien évidemment, placée là où elle l'était et occupée aussi qu'elle se trouvait être à évaluer ce qu'elle pourrait bien acheter, elle n'entendit rien de la discussion entre entre Maud et Angélyque, elle ne remarqua même pas l'échange de regards dont elle fut l'objet, elle se contentait de goûter une parfaite quiétude là où ordinairement, le repos quand elle se trouvait à Paris était un luxe qui lui était refusé. Et, si les mines conspiratrices des deux Bourguignonnes lui échappèrent, leur mouvement de retraite en revanche ne lui passa pas inaperçu. Que fabriquaient-elles à tourner autour de la vache? Et voilà maintenant qu'Eli rejoignait la noce. Fallait-il tant de mains pour traire le bestiau?

Questions cruciales, questions existentielles, questions métaphysiques : sa curiosité était piquée, d'autant plus que la scène qui se jouait lui était masquée par le corps imposant de la Mamelue. Cette vache devait posséder un talent bien extraordinaire pour attirer tant de monde et la duchesse d'Auxerre était bien loin de penser qu'en fait de lait, c'était du vin qui semblait s'écouler du bovidé. Il y eut alors à nouveau cette rumeur bien connue, cette rumeur qu'elle ne connaissait que trop – la Reine de France s'approchait – et qui lui fut confirmée, si besoin en était, par les exclamations affairées, l'excitation bien visible et la vie succédant à la torpeur qui avait envahi le coin des Bourguignons. C'est ainsi qu'Ingeburge put revoir Angélyque, Maud et Eli réapparaître et les observer mettre la main aux derniers préparatifs. Le spectacle l'intéressa, quelques secondes, avant qu'elle en revint à son but du jour – demeurer tranquille – et donc au besoin du moment – partir sans se faire remarquer.

Droite ou gauche?


EDIT : fautes
_________________
Grand Master of Ceremonies of France , oh yeaaaaaaaaaaaaaaaaaah
Back dans les bacs, wesh!
Actarius
Et le Grand Chambellan d'apparaître dans ces jardins du Louvre. Il accusait un retard des plus conséquents, la faute à la pile de missives et parchemins qui l'attendaient chaque jour sur sa table de travail. Mais cet événement, pour rien au monde il ne l'aurait manqué. En premier lieu parce qu'il appréciait les deux organisatrices, en seconde lieu parce que ces mêmes organisatrices comptaient parmi les membres de son office. Cette dégustation festive aurait également le mérite de lui offrir quelques distractions et de revoir quelques visages qu'ils savaient présents pour avoir consulté la liste des participants.

Le pas vif et alerte du guerrier, il progressait parmi les étals tandis que de douces et si agréables odeurs lui caressaient les narines. Mais l'appétit lui n'était pas au rendez-vous, d'autant moins que son dessein était de rejoindre le "sud", le Languedoc et ses vins redoutables, le Languedoc et sa petite étoile, car il s'agissait bien là de la plus inconsciente et profonde des raisons de sa présence: la jeune Jehanne Elissa de Volpilhat.

L'héritière, éternelle future filleule, devait présenter le délicieux produits des vignes d'Anglade. Ah... la Vaunage, merveilleux refuge pour les âmes solitaires ou oubliées, idoine repère pour les coeurs d'oc... et ce majestueux entremêlement de souvenirs le portèrent jusqu'à son mas de Saint-Dionisy, là-bas dans le sud, cette bâtisse simple accroché au Roque de Viou. Le Phénix revenait à sa Vaunage tant adorée qui prit bientôt les charmants traits d'une éclatante demoiselle aux cheveux de goupils. Et alors qu'il souriait, s'amusant déjà de la surprise qui se répandrait bientôt dans ce regard fixé ailleurs... Et de sa voix douce et grave, de "son" oc qu'il ne pratiquait presque plus, de ses inflexions paternelles, il embrasa le foyer des retrouvailles.


Bonjorn pichona estalada !
_________________
Marineblanche
La rouquine observait tout ce qu'il se passait car elle était presque fascinée ! La Reyne ! Wouah ! Jamais elle ne pensait la voir même de loin !Qu'est-ce qu'elle avait une belle robe la Reyne ! La plus belle ! 'fin en même temps, c'est normal, hein ! Elle respirait les odeurs ! Que de bonnes odeurs ! Ca lui rappelait quand son père cuisine car il faisait de bons petits plats français et même parfois anglais. Bref, la cuisine elle adorait ça même si elle n'avait jamais essayé mais bon le plus important est de manger, hein? Bref, comme d'habitude son esprit vagabondait dans un monde de rêverie.
C'est Riccardo qui la ramena dans le monde réel en lui proposa un cruchon de lait ! Ca n'allait pas être de refus car la rouquine mourrait de soif et de toute façon, personne ne dirait rien sur le fait qu'elle ait bu du lait à la place de la cervoise, hein ! C'est que certaines personnes ne devait pas le savoir, hein car elle avait une réputation à tenir ! Elle porta le cruchon à ses lèvres puis gouta le lait. Délicieux.


-Merci beaucoup !

En remarquant aussi le cortège et tout s'avancer, la rouquine remit le cruchon à sa place puis vit la Duchesse bousculer Riccardo. La petiote ne pût s'empêcher de se marrer en douce en voyant la mine de l'espagnol ! Et voila la vache qui se mit à meugler...Bon pour la discretion, on repassera, hein ! Etre à côté d'une vache qui semblait pas tellement contente, c'était pas ce qu'il fallait faire donc c'est tout naturellement qu'elle se précipita aux côtés de Riccardo pour récuperer Angelyque mais avec qu'un bras? Mauvaise idée ! Donc elle se mit sur le côté et elle avisera sur le moment.
Della
C'est un Sturn différent de celui qu'elle voyait à la Basilique que découvrit Della. Celui-ci était bavard alors qu'habituellement, l'homme se contentait d'un oui ou d'un non sans plus de decorum.
Della comprenait le plaisir de Sturn à décrire son vin.
Et à ce moment-là, un regret ombra le regard de la Blonde. Regret du temps jadis où plus jeune, plus naïve, elle était revenue en les terres familiales pour travailler de ses mains à la vigne et où elle avait rencontré, pour la première fois...Béatrice.
Depuis ce jour béni, pas une fois le soleil ne s'était couché sans que Della remercie le Très Haut de lui avoir fait connaître cette femme si parfaite qui incarnait pour elle, "la" femme idéale.

C'est un regard plein de tendresse que la vassale posa sur "sa" Duchesse, attendant, comme Sturn, le mot de la Reyne.

_________________

Baronne de Seignelay - Blason en travaux. - N'entame pas de nouveau RP avant juillet.
Beatritz
Parlez de vins à une Bourguignonne, tiens... Et pas une œnologue ! Elle produit, elle exporte, elle marchande. Elle a le plaisir de le boire, et reconnaît le sien. Quand aux autres, elle sait ce qui est bon, mais le décrire, cela... C'est un mystère dont le Virloinval lui ouvra la porte, réussissant le tour de force de lui parler de vins sans l'ennuyer, et de lui chanter les louanges d'un vin qui n'était pas de ses coteaux chablisiens.

Elle commenta le récit, avant de goûter :


-"On dirait de la poésie !"

Et de tremper ses lèvres dans le premier. Elle vit défiler devant ses yeux le bal royal, la Duchesse de Brie qui se proposait, gorge déployée, comme épouse au Roi. La Duchesse de Castelmoron qui murmurait "Et le Brie, et le Brie !", et... la peur qu'alors elle avait eue de ne jamais siéger au coté de son amour, cet homme si vieux et objet de toutes ses pensées.
Elle n'avait jamais siégé à son coté.
Elle avait siégé à sa place.

Le vin glissa, et elle l'apprécia, malgré l'absence de tous les mets qu'il était susceptible de sublimer.

Elle goûta le second et apprécia également sa rondeur.
Mais quand vint le troisième, elle le trouva trop agressif à son palais rompu aux douces sucreries. Elle reposa la coupe et se permet de commenter tout haut :


-"Ce dernier vin nous plaît moins que les autres, mais... Gageons que ce n'est que parce qu'il n'y avait pas d'agneau en sauce pour l'accompagner !"

Et déjà, papillonnant, elle s'en allait vers un autre stand...
_________________
HRP - Béa bientôt en arrêt maladie, cf. MDRPRR - Ne se lance plus dans de nouveaux RP - Ville de Paris - Saint Chapelle : Requiem pour le Pape
Neyco
Mini biscuit qui à tout déposer le moindre petit panier de biscuits, le vin de sa terre et surtout un James qui surveille la mini pour qu'elle ne se serve en biscuit vu la faim la tiraillant.

La Reyne s'étant arrêter à un des stands, la mini observa le tout fait et présenter. Pour sur de son coter tout serai plus sucré normal après tout, elle était la miss biscuit.

Une mèche de cheveux remise en place rapidement, plus qu'à attendre suite vers qui sa majesté se tournera.

_________________
Un Rp en retard ou autre? Un mp et zou.
Fin de la période semi tama.
[img*]http://i68.servimg.com/u/f68/12/68/83/20/newban12.jpg[/img]
Beatritz
A mesure de leur progression, on s'approchait d'une vache bien visible, dans ces jardins qui étaient plus flore que faune, d'ordinaire. Mais il y avait encore, sur le chemin vers la vache, vers la Bourgogne et le boudin, vers ces choses simples mais du pays, ces choses qui prennent le cœur... Il y avait, donc, un obstacle. Un mini-obstacle, soyons précis : Monseigneur Biscuit et son étal, auquel la Reine alors s’arrêta, se retournant pour chercher Yolanda du regard.

Où il y avait des biscuits à goûter, on ne pouvait que faire confiance à l'expertise de deux gourmandes comme marraine et filleule.
D'un regard et d'un mot, et en accord avec Premier Maitre d'Hotel et Grand Echanson, comme l'on procédait depuis le début de la visite, la Reine incita la Baronne d'Hautpoul à présenter sa production.


-"Dites-nous... Le secret de vos biscuits, et de tout ce qui se trouve là ?"
_________________
HRP - Béa bientôt en arrêt maladie, cf. MDRPRR - Ne se lance plus dans de nouveaux RP - Ville de Paris - Saint Chapelle : Requiem pour le Pape
Maud
MEEEEEUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUHHHHHHHH!
AAAAAAAAAAAHH!

Les yeux ronds, Maud regarda la danse du tabouret qu'elle avait pris à Riccardo pour Elisabeth , qui l'avait repris et que Angélyque avait repris et une Duchesse par terre, ou presque,un seau renversé.

Misère m'dame la Duchesse, on dirait bien qu'vot' charolaise, elle meurt d'envie d'rencontrer la Reyne hein?

Fixant d'un oeil noir Riccardo:

C'est pas bien d'mettre les mains là où vous les mettez Riccardo. Non mais, enl'vez vos doigts tout crémeux qu' vous avez d'la Duchesse.

Se penchant sur Angélyque:

R'levez-vous m'dame la Duchesse, la Reyne l'est tout près.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 12, 13, 14, 15   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)