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[RP] Tournoi des Fournisseurs du Louvre - C'est PARTI !

Yolanda_isabel
Dites le. Puis redites le encore. Ce nom si cher aux oreilles des deux filles de pairs de France.

Bourgogne.

Elle en frémit, et si elle était plus âgée, elle pourrait en jouir de cette terre si douce, si aimante, celle qui offre tout et ne reprend rien, celle qui donne plus qu’elle ne reçoit.

Bourgogne, je t’aime, elle t’aime.

Du Charolais au Nivernais, des bois du Morvan aux rives de l’Armançon.

Bourgogne, c’est un nom qui chante et qui glisse dans les âmes.

Du Nuit-Saint-Georges au Chablis, il n’y a pas un vin qui ne soit bon en ce pays-ci. Et le Virloinval le confirme car, malgré la préséance, c’est avant même le Premier Maître d’Hotel ou l’Echanson Royal, que l’Infante se saisi d’un verre pour pouvoir goûter aux crus de la Bourgogne. Pas coupé d’eau, cette fois. Des petites gorgées tout au plus, pour ne pas gâcher, ne pas entâcher le palais de fragrances trop fortes. On en pleurerait presque de ces touches délicates de chez elles, de chez eux. Et c’est ce qui se passe, trop longtemps loin de la Bourgogne. Ce vin frais et délicat à la couleur si rouge, c’est Griotte, c’est Alycianne, ce sont ses Blanc-Combaz restés au pays. Celui-ci à la robe dorée, c’est l’amour d’un père et d'une mère restés à Corbigny. Et le dernier.. Voilà qu’il lui arrache des larmes qui perlent à l’orée des cils blonds.

Bourgogne, semblable à ce vin, intense et puissant, dur certaines fois, mais au goût inoubliable.

Un sourire qu’elle tente de rendre assurée au bourguignon avant de suivre Marraine en traînant des pieds, le revers des mains effaçant toutes traces de laisser-aller. Nostalgie, nostalgie mais pas en public. Et le hasard fait bien les choses, puisque pour compenser de la tristesse, il faut un exutoire et quel meilleur exutoire que des friandises ?

Biscuits ! Biscuits ! Biscuits !

Le regard jeté par Marraine est rendu, plus complice cette fois. Il ne s’agit pas de passé, il ne s’agit pas de sang, il s’agit de passion !

Biscuits ! Biscuits ! Biscuits !

Et de se rapprocher de Marraine, un air sérieux greffé sur le museau, implacable juge culinaire en ce qui concerne les sucreries.

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« Sauvez un gueux, mangez un noble. »
Neyco
Souffle coupé, respire ou tu mouru, respire ou tu mouru. Respiration faite, un sourire mini forcément car la mini est toujours mini botte aux pieds ou non.

Mini inclinaison, pliage de genoux.


Bonjorn à vous votre majesté.

En effet autant recette exacte resteront toujours en ma tête autant base du secret les rendant moelleux et si fondant viens tout autant de mes terres vous sera dévoiler.

Prenant délicatement avec une petite pince un des biscuits nature dont la tavernière de Rodez préconisait aux voyageurs ne voulant boire alcool. Elle le posa sur une petite assiette.

Celui ci est simple, le nature comme je l'appelle. En fait le blé vient des terres du village de Hautpoul, le beurre est tiré des vaches de chez moi, et le sucre viens en réalité de mes butineuses.

Un sourire en coin.

Le miel est mon sucre pour chacun de mes biscuits. Rendant ses derniers fruité, mes petites rayé butinant les arbres fruitiers de chaque allée.

Ainsi suivant choix d'un petit gout de pomme, poire, cerise, pêche ou abricot, je puis varier gout tout autant ensuite en ajoutant ingrédients supplémentaire.


Prenant autre biscuit avec petits morceaux d'abricot.


Ses derniers ont toujours été apprécier des soldats de garnison en Tolosa. Un apport d'énergie par une dose de plaisir.

Sans compter ma dernière trouvaille.

Montrant petit panier recouvert d'un léger linge blanc, elle enleva ce dernier laissant sortir l'odeur si sucrée et alléchante du miel transformé en nougat et noisettes.

Les fondant au nougat et noisette.

Se tapotant le menton.


Je vous avoue avoir eu bien du mal à trouver temps de cuisson exact pour ces dernier, afin de cuire les éclats de nougat tout en faisant griller légèrement les éclats de noisette sur le dessus.

Sourire confiant, quoi qu'il arrivait la mini avait vraiment fait de la production maison toute fière d'elle, en Rouergue les gens avaient été conquit grâce à cela. Et oui faites des biscuits pas la guerre.

James tendant carafe ou les deux vins avaient décanter.


Ensuite je vous présente le Minervois.

Vin des terres des montagnes noires de Hautpoul.

En la première carafe actuellement le vin est plus vieux, en table de mes amis est servit celui ci afin d'accompagner toute viande d'hiver.
Un gout légèrement âpre afin de ne point gâcher viande mariné.

Ensuite la seconde, vin plus jeune et butiné par mes belles à rayures qui rendent ce vin plus sucré.
Ce vin est absolument parfait en été en fin d'après midi. Son gout léger et sucré permet d'en boire au soleil sans que ce dernier ne vient à cogner sur la tête.

Je pense que vous l'apprécierez plus que le premier vu votre palais sucrée.

Avec quelques fruit ou biscuits aux pommes et raisin il s'accompagne merveilleusement.


Op une présentation faite, en même temps elle avait amener une tonne de biscuit nom d'un biscuit. Qu'elle idée.

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Un Rp en retard ou autre? Un mp et zou.
Fin de la période semi tama.
[img*]http://i68.servimg.com/u/f68/12/68/83/20/newban12.jpg[/img]
Beatritz
On voyait bien là que l'huissière connaissait la Reine, lorsqu'elle lui prédit quel vin aurait son crédit. Quant aux biscuits, leur présentation était pur protocole, présentation aux autres, et occasion d'en discuter, car Béatrice, depuis l'entrée en poste de la Baronne d'Hautpoul comme huissière, qui répandait dans son sillage une telle odeur de biscuit et en avait toujours une poignée en poche - la Reine, donc, avait eu l'occasion de s'en faire porter par elle, à quelques reprises.

Elle découvrait ce jour comment ces gourmandises étaient faites... Et découvrit aussi la version "nougat noisette", inédite, et qui voila un instant son regard.

Le nougat, c'était le Vicomte de Monestier qui, jadis, le lui avait fait découvrir. Elle avait voulu voir dans cet échange, dans cette réjouissance que ce présent avait suscité en bouche, la marque d'une amitié forte qui débutait.
En terme d'amitié, la politique et l'orgueil en avaient eu raison, balayée, d'un souffle ! Et de cela, la Castelmaure avait toujours conservé une pointe d'amertume et de regret.

Elle n'en avait pas pour autant cessé de manger du nougat, dieu merci.


-"Ces biscuits-là, jeunes filles, ces biscuits-là !"

En mode Lady Capulet : "Cet homme-là, Juliette, cet homme-là !". Elle espérait de tout cœur que ses pupilles apprécieraient, car pour sa part, déjà convertie, elle en mangeait de bonnes quantités, au milieu de toutes les friandises que produisaient les cuisines du Louvre ou Ella Durée.

Elle en saisit un à la pomme, et se laissa tenter par la version sucrée du Minervois. Sans surprise, un sourire épanoui s'afficha sur ses traits. Elle chercha l'approbation et l'expertise du Premier Maître d’Hôtel et du Grand Échanson, et bien sur, l'approbation de ses Pupilles et de sa filleule...

Il serait après quoi temps de passer à l'étal suivant !

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HRP - Béa bientôt en arrêt maladie, cf. MDRPRR - Ne se lance plus dans de nouveaux RP - Ville de Paris - Saint Chapelle : Requiem pour le Pape
Elisabeth_stilton
Alors qu'elle pensait que c'était au tour de la ménagerie du Louvre, car oui on peut compter, deux chèvres, une vache et un cochon, bon le pauvre lui est dans un état bien différents des trois ruminants mais bon. Bref au dernier moment la Reyne se détourna du petit groupe bourguignon pour des biscuits. Cela aurait été des macarons encore la blonde aurait compris mais là ... Enfin c'était un mal pour un bien car quand on voit ce qui se passait avec la charolaise (celle que vous voulez) il valait mieux que la Reyne ne soit pas là. La blonde se tourna vers Maud.

Faudrait peut être faire quelque chose non ?
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Doyenne des Dragons - Premier Ecuyer de France - Professeur à l'Inquisition - Intendante à l'atelier des Doigts d'Or
Angelyque
La Charolaise était bien en place sur son tabouret, ou du moins le croyait-elle, elle avait une vue imprenable sur la Reyne et ses suivantes, Sa vache bien en chair lui servait d'appui, bref, pour rien au monde, elle n'aurait laissé la place.

Elle ignora d'ailleurs superbement Riccardo qui comme d'habitude faisait un boucan infernal. Ce qu'elle n'avait pas prévu la Mirandole, c'est que la grosse charolaise -la vache hein, pas la duchesse- avait décidé de donner de la voix, Angelyque sentit sous sa main comme une vague qui prenait une ampleur demesurée, mais toute occupée à regarder comment s'en sortait Sturn, lui qui n'était pas enclin d'habitude à prendre la parole en public -et quel public!- avait l'air de très bien se débrouiller et ne s'arrêtait plus de parler. Elle-même se tâtait d'aller goûter le vin tant les gestes plein d'emphase du Virloinval paraissaient irréels. Elle savait qu'il s'était préparé pour ce tournoi, et c'était en grande partie grâce à lui qu'elle était là. Il l'avait invitée à venir assister au tournoi, et la duchesse n'avait rien trouvé de mieux à faire que d'y aller avec sa vache. Elle était à présent totalement concentrée, l'esprit coupé du reste du monde. Un peu plus loin se trouvait celui qui était capable, par sa seule présence, d'affoler le coeur de la Duchesse. Elle avait donc à ce moment-là une main sur sa vache, l'autré sur la poitrine, tentant de calmer les battements désordonnés de celui-ci. Elle était dans tous ses états.

Donc ne se méfia pas, sursautant violemment quand la Mamelue -la vache, pas la duchesse- se mit à meugler comme si sa vie était en péril. De surprise, elle lacha sa prise tandis que le tabouret vacillait dangereusement. Le vin lui étant monté à la tête, la duchesse faisait des moulinets avec ses bras, tentant de reprendre son équilibre. Cela dura plusieurs secondes, sans qu'elle n'arrive à se rattraper.


Ahhhhhh!!!!!! Riccardo!!!! triple idiot!!!!! Maud! Eli!! je vais tomber, quelle horreur!!!
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Maud
Maud se frotta les yeux. Elle avait quand même bien vu la Duchesse tomber et rattrapée par Riccardo . Et elle lui avait même demandé de se relever vite. Trop de Nuit saint Georges?
Ne disant rien sur cet incongruité, elle revit la scène de nouveau.

Vous vous rendez pas compte mais une chute, ça peut durer très longtemps.
Le temps semblait s'être arrêté en voyant la Charolaise, la Duchesse, agiter les bras comme un moulin et Maud, contrairement à son habitude regardait la scène en hochant de la tête vers Elisabeth.

Ben oui, m'dame Elisabeth , faudrait bien faire quelque chose comme vous dites.

Deux images plus loin, La charolaise toujours la Duchesse a le point de gravité le plus lourd.. Maud aurait parié sur les seins , mais c'était le fondement, se rapprocher du sol tandis que les jambes privées d'appui se baladent en l'air. Les connaisseurs penchent un peu la tête pour admirer les dessous de la Duchesse.

Quatre images plus loin, le dit fondement, formant un angle plus ou moins aigu avec les bras tendus vers un hypothétique ancrage et les jambes tendues également va toucher terre.

Séquence de fin. La Charolaise, toujours la Duchesse se retrouve assise.


Mais , Riccardo, s'pèce de bourricot, faites quelque chose!
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Della
L'on évolua vers des sucreries.
Là, Della rendait les armes parce que le sucre, elle ne l'aimait guère. A petites doses, le miel était son ami. Concernant les gâteries et la folie actuelle des macarons, c'était une autre paire de manches.

Mais qu'à cela ne tienne ! Le Grand Echanson picora quelques morceaux de biscuits que présentait passionnément le Huissier Neyco. Le goût en était agréable, il était évident que la jeune femme tenait la recette. Mais cela ne suffit pas à séduire Della qui se contenta d'un petit sourire poli à l'adresse des personnes autour de la Reyne. Il était hors de question qu'elle rende un avis négatif lorsque seul son goût personnel était la cause de son manque d'entrain.
D'ailleurs, lorsque la Reyne fit connaître son plaisir, Della hocha la tête doucement, en guise de consentement.

Le vin lui plut davantage, naturellement, bien que sucré lui aussi, il laissait au palais une agréable sensation de fruits... Mais la gorgée qu'elle en but manqua de passer de travers lorsqu'elle entendit mugir la Charolaise !
Le regard se porta en direction du terrible appel et les yeux se plissèrent lorsque regardant la scène de loin, Della soupira devant le tableau, priant très fort pour que Angélyque et sa troupe se remettent d'aplomb avant que l'on ne repasse devant eux.

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Baronne de Seignelay - Blason en travaux. - N'entame pas de nouveau RP avant juillet.
Erikdejosseliniere
Zut, oui, sioupli !

Comme l'éléphant sur la souplette, en toute discrétion, ah voui, y a ma Reyne aussi, des fois qu'elle se souvienne que son Pair-clu ne présence point guère chez les gars/filles qui réflexionnent, pis, Della, pis la vieille bique maritalement notre, et notre si chère Angélyque... La Stilton itou... Et sa jamais adoubée, flutzut... Oùlà... C'est Burgonde party, comme disent les ennemis de race (je rassure : juste l'angloy farci à la sauce mentholée). Bon : Objectif Fifille! Ses ultimes mots sont comme un baume à l'oreille du Pair-gamotte. Mouais... Bizarrement, il est là, sortant de nulle part... Où d'une cave, si affinités :

Alors elle...

Visant, sans gêne, la Reyne

Si elle te dit ça, tu fais çà, et si elle te donne ça, tu prends ça aussi. C'est not' Reyne, tu comprends ? Genre, même pôpa, il est juste en dessous, bien que ça ne soit pas bien certain qu'elle comprenne tout aux vins de chez nous...

Essai :

Votre...

Hésite par manque d'habitude.

Heu... Majesté...?!?!?!

Poursuit :

Elle est bien notre Rosy alambique, n'est-ce pas ? Ca c'est de la pure bourguignonne de France !!! Trouvez m'en cinq comme elle... Je démissionne !!!

Prend son unique sous ses gros bras de bourguignon jamais dégrossi.
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Duc de Corbigny. A good chicken is a Dead chiken.
Eilinn_melani
Dans le sillage de la Reyne, le Premier Maitre d'Hotel suivait. L'officier avait goûté du bout des lèvres les Côtes de Nuit, n'ayant guère d'expertise dans le domaine viticole, préférant laisser le Grand Echanson juger de la chose.
L'étal suivant fut les biscuits de l'huissier Royal. Toujours silencieux, le Premier Maitre d'Hôtel goûta les productions de l’ecclésiastique, trouvant qu'ils étaient appréciables.
La Reyne semblait visiblement enthousiaste, et Eilinn nota cela dans un coin de sa tête, et déjà le groupe passait à un autre étal.

Candidat suivant !

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Della
Un sourcil se leva, perplexe, lorsque le Tri fit une apparition pour vanter/pousser/imposer sa fille aux yeux de la Reyne.
Della ne comprit pas la raison de cette intervention d'autant que "Rosy alambique" était déjà dans le sillage royal, filleule même. Sans doute les longs mois de chasse avaient-ils rendu celui qui restait dans les mémoires comme un Duc prestigieux un peu...comment dire...déphasé ?...en tout cas plus tout à fait au goût du jour.

Della lui sourit, elle aimait Erik, le respectait même si une arête lui piquait encore un peu la gorge à son souvenir.
Une inclinaison du chef, tout en respect et...le cortège royal reprit sa route...oui mais vers où ?

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Baronne de Seignelay - Blason en travaux. - N'entame pas de nouveau RP avant juillet.
Elisabeth_stilton
[Vernou ? Non c'est à Fontainebleau. Vers Nous pardi la Bourgogne au Louvre !]

La charolaise était ma en point, la blonde qui dans son état n'aurait rien pu faire justement regarda la scène priant pour que le cortège royal ne voit pas ça. Et puis encore fallait il qu'elle en est des dessous la duchesse. La blonde houspilla l'italien.

Espèce d'empotée aide donc ta maitresse !
Non mais vraiment tout ce perd dans le milieu des domestiques.


Puis vers Angélyque.

Votre Grâce vas t-elle bien ? Voulez vous quelque chose ?
Je peux demander à Lucette de vous aider si vous voulez.

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Doyenne des Dragons - Premier Ecuyer de France - Professeur à l'Inquisition - Intendante à l'atelier des Doigts d'Or
Angelyque
La Duchesse était demeurée assise un petit moment, attendant qu'une bonne âme l'aide à se relever...ce qui bien entendu ne se produit pas. Elle lança un regard noir à son valet puis se remit debout de la façon la plus digne possible.

Puis sourit à Elisabeth


Tout va bien merci, dieu merci la foule dense a permit que j'atterisse le fondement sur le tabouret le plus discrètement possible. Rappelez moi de tuer Riccardo à la fin du tournoi. Je le hais à ce moment-même.

Faisant un pas en avant, elle pencha la tête, se rendant compte que le cortège arrivait dans leur direction.

Mon dieu! la Reyne se dirige vers nous!

Elle se depêcha d'arranger son stand, prépara quelques brocs emplis de lait fraichement tiré de sa va vache, arrangea les godets artistiquement autour des brocs et satisfaite du résultat, sourit à Eli et à Maud
Vous êtes prête vous aussi? je prie pour que ma vache ne réitère pas son exploit de tout à l'heure.

Riccardo!! veille à ce qu'elle se tienne tranquille, ça te permettra PEUT ETRE d'avoir la vie sauve quand tu subiras mon courroux...

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Maud
Plus prêtes que ça tu meurs.
Souriant à Angélyque:


M'dame la Duchesse, c'est c'que j'aime chez vous, vous r'tombez toujours sur vos pattes.

Se haussant de nouveau sur les sabots , elle distingua mieux la troupe qui s'avançait:

Misère , m'dame Elisabeth et m'dame la Duchesse, y a comme un énorme bonbon rose collé à la robe sa Majesté! Elle est aussi grasse qu'une vache ou qu'une femme qui va mettre bas. On dirait mon cochonou avec des ch'veux blonds.

Mettant la main devant la bouche:

Mes excuses, m'dme Elisabeth, mais vous portez un petiot vous.
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Della
On revient toujours à ses premières amours. C'est ainsi que nous revenions vers la Bourgogne, du moins vers les étals des producteurs bourguignons.
Après le vin, il semblait que la Duchesse du Charolais fasse signe pour que la petite troupe royale s'arrête devant la charmante Mamelue.
C'est à cet instant précis que l'échine de Della s'électrisa, celle-ci craignant une catastrophe mirandolienne en direct pour fêter l'arrivée de la Reyne !
Aussi, la Fille Chérie d'Angélyque croisa-t-elle bien fort les doigts derrière son dos en parcourant les trois pas qui les séparaient encore de l'étal.
Un.
Deux.
Trois !
On y était !
Sourire à Béatrice.
Votre Majesté, je ne vous présente pas la Duchesse Angélyque de la Mirandole, vous la connaissez bien...
Petit signe de tête à Angélyque.
Duchesse, voudriez-vous nous parler de votre...hum...spécialité ?
Et regard menaçant..."Fais gaffe, pas de bêtise...Tiens ta vache ! ".
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Baronne de Seignelay - Blason en travaux. - N'entame pas de nouveau RP avant juillet.
Enguerranddevaisneau
Oui, l'Enguerrand est encore là, c'est pourquoi, après une légère réflexion, il répond à la Malone, malice dans la voix, sourire aux coins des lèvres.

La seule chose qui m'interessai chez l'amie de ma soeur était, un qu'elle soit justement l'amie de ma grande soeur, et secondement, qu'elle soit titrée à l'époque, mais les nombreuses secousses qui bousculent votre famille ont changées cela, si je ne m'abuse.
De surcroit, j'étaiS enfant, et donc plus à même de faire des erreurs, ce que j'ai fais, nuls doutes que vous devez certainement en commettre également.
Pour ce qui est de la pupille de la reyne, pardonnez l'expressions, mais je me tamponne le haricot de sa vie, vie que vous ne me raconterez pas plus, pour le bohneur de mes esgourdes.
Merci.


Et de s'incliner bien bas pour....
S'eclIpser.


Désolé de mettre fin à l'échange, retraite à durée indeterminée iminente.

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Plus là, en a marre des cons qui ne jouent qu'en clan.
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