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[RP]Chez les Staline

Slystaline
20 écus par semaine, le gîte et le couvert pour les services d'une telle splendeur? Le coquelet blond se frotte les mains. Ce sont les voisins qui vont être jaloux. Quel sentiment plus intense, plus profond que celui procuré par le fait d'être jalousé par ses voisins? Aucun sans doute.

Celà me convient parfaitement. Suivez moi ma chère, je vais vous montrer votre chambre.
Eulaly_de_baylaucq
Ah çà !
Elle y mettait du coeur à l'ouvrage Totote !
Eulaly, qui veillait de plus près qu'on eût pu croire, aurait été bien en peine de lui reprocher quoique ce soit si ce n'était ses décolletés outrageusement plongeants et les attitudes bien personnelles qu'elle avait, se dandinant quand elle travaillait, s'éventant lassivement, main sur la poitrine, quand elle s'arrêtait.


Il fait chaud n'est-ce pas ?, lui avait dit ironiquement la jeune fille, un jour.
Incroyablement chaud damoiselle, lui avait répondu Totote en souriant le plus innocemment du monde. Si je n'avais encore tant de travail, j'irais bien me baigner nue dans l'Escaut.

La domestique aimait-elle à jouer avec cet effet qu'elle produisait chez les hommes ou était-ce simplement sa façon d'être, sans aucune autre arrière-pensée ?
Eulaly était perplexe à ce sujet et gardait toujours un oeil bien ouvert en attendant le retour de Zéliejeanne qu'elle espérait rapide.

En attendant, ils avaient une soirée à organiser.


[Partie "Gwad" transférée sur un autre topic.]

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Amaurie
L'action débute dès le matin du 7 juillet 1458.





Dès potron minet Amaurie se rendit à la mairie pour aider Eulaly lors de sa première journée de Bourgmestre.
Arrivant sur le perron il trouva porte close et se résolu à attendre la jeunette tout en surveillant le cadran solaire installé sur le fronton de l'édifice public.
Ne voyant rien venir il se demandait si Sœur Anne ne lui avait joué un vilain tour aussi s'en alla t' il vers la maisonnée des Stalyne où la nouvelle Bourgmestre avait logis et cogna la porte avec force tout en criant.


Eulaly c'est l'heure d'aller travailler. Fini la grâce matinée!

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Slystaline
A petites foulées, le Tournaisien rentrait de son entrainement martial matinal. Il voit Amaurie tambouriner, tant bourriner contre la porte en chêne de sa chaumière.

Amaurie? Eulaly n'est pas encore debout ???? Ca ne lui ressemble pas du tout! J'ouvre, suis moi.

Et les 2 hommes de rentrer, de traverser le salon, et de monter prestement la volée d'escalier les séparants de l'étage où se trouve les chambres. Sly entre dans celle de sa protégée. Personne. Le lit est encore défait.

Partir sans refaire son lit... Ca ne lui ressemble pas non plus... Ca commence à m'inquiéter là...Il faut qu'on la retrouve!

Eulaly??? Eulaly où es tu ?
Amaurie
Visiblement Eulaly n'était pas chez elle. Un coup d’œil dans sa chambre permettait d'admirer un capharnaüm digne du sans nom. Le lit défait, un vase cassé et une commode renversée répendait son contenu sur le sol jonché de débrits.

Jo il c'est passé quelque chose ici. Cela ne me dit rien qui vaille.

Il faut appeler la garde, boucler le village et tout fouiller. Tu as vu Eulaly quand pour la dernière fois?
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Slystaline
Sly regarde Amaurie, en essayant de retenir ses larmes et sa rage.

Hier soir! On a diné relativement tôt, puis elle est allé dans sa chambre tout de suite après. Nous n'étions que tout les 2. Elle voulait être en forme pour le premier jour de son mandat.
Je n'ai pas quitté la maison non plus, jusqu'à 5h ce matin où je suis parti m'entrainer.
Si elle s'est fait enlever, c'est entre 5h et maintenant, autrement j'aurai entendu le vacarme.
Allons prévenir le guet, les miliciens, les villageois! Ceux qui ont fait le coup ne doivent pas être loin!
Amaurie
Le jeune d'Apperault posa la main sur l'épaule de Slystaline pour tenter de le réconforter un peu.


Je vais de ce pat au bureau du Guet pour faire boucler le village. Pendant ce temps tu peux aller au presbytère pour demander à Astrid de sonner le tocsin. Ne perdons pas de temps. Quand les portes des la ville seront bouclées nous aurons plus de temps pour réfléchir.
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Zeliejeanne
La carriole était à peine arrêtée devant sa maison que Zélie sauta en bas et courut avec une envie folle de serrer dans ses bras son époux et sa pupille. Laissant le cocher s'occuper de descendre sa male, elle se précipita vers sa porte qu'elle ouvrit rapidement. Son sourire se figea quelques secondes constatant que sa demeure était vide. Elle regarda autour d'elle et remarqua néanmoins combien elle était bien tenue.

Je suis certaine qu'ils ont passé la journée à tout nettoyer pour que je revienne de retraite dans une maison bien tenue. Quelle chance tu as ma Zélie d'avoir une telle famille.

Mais le fait qu'ils ne soient pas là pour l'accueillir la chagrinait un peu. Mais qu'importe ! elle allait ranger sa malle et irait tout de suite les rejoindre en taverne. Elle s'amusait déja en imaginant Eulaly tentant vainement de cacher sa bière

Et s'ils étaient à l'étage à changer les lits .... mais oui bien sûr ! quelle courge !

Elle se mit en bas des escaliers et haussa un peu la voix :

Coucou ! Y a quelqu'un ?

Elle entendit des pas résonner sur le plancher des chambres et attendit en souriant que son époux vienne la prendre dans ses bras. Elle ne put s'empêcher malgré tout de froncer les sourcils ne reconnaissant pas le pas de son amour. C'est les yeux écarquillés et le corps tétanisé qu'elle crut apercevoir la silhouette d'une femme qui disparut aussitôt. Sans aucne réponse, Zélie se dit qu'elle avait du rêver.
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--Totote


Citation:
Coucou ! Y a quelqu'un ?

Totote s'affairait à l'étage lorsqu'elle l'entendit. Deux pas à reculons, un coup d'oeil dans le couloir.

Oh ! Bonjour !
Vous devez être dame Zéliejeanne Staline. Messire Staline m'a dit que vous alliez sûrement rentrer aujourd'hui. Justement, j'aérais votre chambre.

Au fait, je m'appelle Totote. Votre époux m'a engagée pour aider au ménage, au linge et à la cuisine. Ravie de vous rencontrer.

Pour l'instant il s'est absenté. Semblerait que votre filleule soit introuvable depuis cette nuit. Il la cherche avec des amis. Moi j'attends là des fois qu'elle revienne d'elle-même.
Je vous fais une tisane ?
Zeliejeanne
Zélie allait gravir les marches de l'escalier, doucement, pour aller vérifier si elle avait imaginé cette silhouette ou pas !
Citation:
Oh ! Bonjour !
Vous devez être dame Zéliejeanne Staline. Messire Staline m'a dit que vous alliez sûrement rentrer aujourd'hui. Justement, j'aérais votre chambre.

Un pied sur la première marche, la main sur la rembarde Zélie fut stoppée net dans son élan. Elle leva les yeux et ce qu'elle vit la laissa muette de stupéfaction, bouche bée et sèche, les yeux exorbités. Que faisait cette créature chez elle ? qui plus est dans leur chambre ? pourquoi devait elle l'aérer ? Zélie redoutait d'en voir sortir son époux. Non ! ce n'est pas possible, ça ne peut pas être. Sly était un homme aimant et fidèle.
Citation:
Au fait, je m'appelle Totote. Votre époux m'a engagée pour aider au ménage, au linge et à la cuisine. Ravie de vous rencontrer.

Zélie pensait To... to quoi ? jamais je ne pourrais prononcer ce nom ridicule. Sly l'avait engagée ? ménage, linge, cuisine ... et puis quoi encore ? lui tenir compagnie en mon absence ? Sly ne fera jamais ça, c'est vrai et je le sais ; mais elle ??????? elle ne le sait pas et elle va essayer de le séduire Zélie la dévisageait des pieds à la tête. La vulgarité transpirait d'elle. Et puis cette poitrine quelle arborait tel un étendart. Son époux ne pourra y rester insensible. Zélie se posa instinctivement la main sur ses seins qu'elle jugeait minucules. Ravie de me rencontrer ... tu parles, en tout cas ce n'ést pas réciproque. Dis quelque chose ma fille ... mais elle n'arrivait pas à prononcer aucun mot.
Citation:
Pour l'instant il s'est absenté. Semblerait que votre filleule soit introuvable depuis cette nuit. Il la cherche avec des amis. Moi j'attends là des fois qu'elle revienne d'elle-même.

QUOI ? et c'est maintenant que vous me le dîtes ? Que s'est-il passé ? Ou s'est elle rendue ? elle est en danger ? qui la cherche ? où est mon époux ?

Puis Zélie la fixa dans les yeux et la jalousie fit place à de la méfiance .. Et si cette fille était mêlée de près ou de loin aux évenements concernant Eulaly ?
Citation:
Je vous fais une tisane ?

Non mais je rêve ! Tout d'abord je vous rappelle que c'est moi la maitresse de maison, que je suis ici chez moi. Que c'est moi qui tiens les rênes de ce foyer, que si j'ai envie d'une tisane je saurai me la préparer ... que ... que ... et puis ne vous avisez plus d'aérer notre chambre .... du reste, n'y mettez plus un pied ... et si ...., si vous voulez rester à notre service, il vous faudra cacher cette gorge ... nous avons une jeune fille ici et je ne crois pas que ce soit un exemple pour elle.
Je vais en taverne rejoindre mon époux, il m'informera de ce qu'il en est à propos de ma filleule.


Zélie lui tourna les talons, puis revint vers elle et, lui dressant son index sous le nez :

Ne vous avisez pas de vous approcher de mon époux !

Elle partit d'un pas rageur martelant le plancher de ses bottes, ne lui laissant nullement le temps de répondre.
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Slystaline
Après des jours d'angoisse et de peur, Eulaly était de retour. Les Staline s'occupe également de Gwad, l'un de ses sauveurs.
Si l'état d'Eulaly les rendait plutôt optimisites, il n'en était pas de même pour Gwad. Il parassait blessé, amoindri par ses aventures.
Zelie et Totote s'occupaient des 2 convalescents avec le plus grand soin.
Pendant ce temps, Sly barricadait la maison comme il l'avait promis à sa pupille.
Il mit en place un système de tour de garde avec certains de ses amis, Rikiki, Frigoulin et Pipoulo Nieunieu en l'occurence.

Le meunier Tournaisien espèrait au plus profond de son être qu'Eulaly arriverait à dépasser ce traumatisme, et retrouverait avec le temps la candeur de son enfance.


Ce passage est une transition vers [RP]Il était une fin
Lucas1er
Lucas marchait marchait marchait dans les rues de Tournai.
Il suivait le chemin qu'on lui avait dessiner pour aller trouver l'echoppe de zeliejeanne.
Le probleme c'est qu'il n'y avait pas de sens indiquer sur la papier carre.
Apres s'etre perdu deux-trois fois, il trouvait enfin le bon sens et arrivait chez les staline. Gros mal de pied, mais content d'arriver a bon port.


Ha y est ! J'a trouver, pinaise !

L'echoppe est ouverte. Il y a des bouts de tissus, draps, poses un peu partout, apparemment, y a du boulot.
Il s'avance timidement, mais il trouve pas la proprio encore. Il regarde un peu partout et appelle, des fois que.


Bonyouuuuuuuur.

C'est Lucas !

Zetes laaa ?
Zeliejeanne
Je suis certaine de l'avoir rangée à cet endroit ...

Zélie pestait, à quatre pattes, dissimulée derrière une pile de tissus chamarés cherchant une coupe de velours vert.

Je parierai que c'est encore cette Tot... argh ! il faudra que je lui trouve un surnon ! qui s'est mêlé de venir faire le ménage ici et qui ...
Citation:
Bonyouuuuuuuur. C'est Lucas ! Zetes laaa ?

Boudiouuuu ! j'avais oublié qu'il devait passer !

Zélie remonta tout doucement une tête encore plus ébouriffée qu'à l'accoutumée (si si c'est possible) d'avoir tant cherché ce dont elle avait besoin. Un peu gênée d'être surprise à même le sol, elle se recoiffa vite fait, se releva précipitemment et afficha le sourire commercial que son mari lui avait appris pour qu'elle réussise dans ses affaires et qu'il devienne riche.

Si si ! je suis là ! je ... cherchais une aiguille que je viens de faire tomber ! Bonjour Lucas c'est à quel sujet ?
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Lucas1er
se faufille sous les tables et cherche une anguille mais ne trouve rien.

bonyour.

bin je viens pour les maillots de plage !
mais bon, chui tout seul, philomene, elle est partie chez les moines la.
petete, elle va reviend' lundi, mais moi, ch'rai pu la !

ha et pis, y me faut une braie qui fait nob' et une chemise qui fait nob' !


sourit tout fier
Zeliejeanne
Zélie vit Lucas chercher son aiguille et se trouva embarrassée, vue que d'aiguille il n'en trouverait pas.

Laissez tomber Lucas après tout je ne suis pas à une aiguille près !!! mais je vous remercie pour votre aide
Citation:
bin je viens pour les maillots de plage !

Ah oui ! alors à ce propos il ne m'en reste qu'un seul et comme c'est le dernier et que vous ne n'avez pas le choix, et bien .... je vous l'offre.

C'est surtout que Zélie n'avait jamais réussi à le vendre et qu'elle était ravie de s'en débarrasser. Elle mit un temps à le retrouver caché sous une pile d'échantillons de tissus.

Ah le voila !



Alors ? qu'en dites vous ? il est bien hein ! et on a l'impression qu'il a été fait pour vous !

Citation:
ha et pis, y me faut une braie qui fait nob' et une chemise qui fait nob' !

Par contre pour ce qui est des braies et de la chemise, je n'en ai plus en stock. Il me faut donc les fabriquer. Je peux vous fournir l'un dimanche et l'autre lundi. Mais si vous n'êtes plus là lundi il vous faudra choisir entre la chemise et les braies.

Zélie ne cessait d'admirer son maillot de bain qu'elle trouvait seyant et pas trop indécent.
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