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[RP]Chez les Staline

Palatina


Palatina bras dessus et bras dessous avec Sanos approche doucement de la maison , elle commence a entonner sa chanson avant même que Illidan crie et essaye de les dissuader.

Elle essaya de se remémorer les paroles , puis se mit d’abord à entonner doucement et ensuite de plus en plus fort et très faux d’une manière plaintive , faisant mal aux oreilles


Ahahah ! Vous aveeeeeeeeeeez vu leur tête !
Ahahah ! De poissons sans arêtttttes !

Vous nous avez cassééééééé les oreilles
La tête, le cou et les orteils !
Allez-vous ennnnnnnn ! Partez ! Partez !
Ou onvous claque la porte au nnnnnez !

Ahahah ! Vous avez vu leurs braaaaaas!
Ahahah ! longs comme deux gros boiiiiiiiiiiis !

Ahahah ! Vous avez vu leurs piedddddddds !
Ahahah ! Comme ils sentent mauvaaaaaaaaaaais !



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Sanos
Sanos receva le bout de bois et cria :

Aie Ça va pas !!!!!!!!!!

*Son du cor de guerre encore plus fort !*
Slystaline
Sly regarde son épouse lui reprendre le Chablis, d'un geste vif, ne permettant aucune protestation. Un brin irritée l'épouse, semble-t-il. Il se rend comptecde ça malgré son état éthilique, car c'est quand même un zigue vachement observateur ce Jo.

Citation:
Tu permets ? j'ai quelque chose à dire moi aussi à Flo. Mais en particulier ... si le chef de famille rond comme une queue de pelle, l'autorise.


Y'l'auto...rise. J'ai dit.

S'il est observateur, il est bien bourré et n'a pas compris que la formule tenait de la pure rhétorique.
Mais sa femme ne répond pas, occupée à attirer Florestan vers son atelier. Risque de passer un mauvais quart d'heure le jeune homme
.

Bon Zézé elle veut pas qu'on boive **hips** l'Chablis.
Pas grave... On va attaquer... l'Sauvignon.


Et il débouche un Sauvignon 1453, et vide la bouteille en 3 grands verres, quand il entend du tintamarre provoqué par d'abord un cor, puis par une engueulade, puis par une chanson braillée par Palatina. En général elle chante juste mais là elle fait pas dans l'mélodieux. Puis du cor encore...

Verre à la main, il sort


Dites les voisins! C'est pas finit **hips** s'bordel?
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Sanos
Désolée Joooooooo ! On va a la maison d'a coté ! On pas buuu tu sais ? On te souhaiteeeeeeee Bonne soirée !!!!

Sachant très bien que le bruit va être aussi bruyant et dérangant. Alors ils se déplaca chez Illidan
Eulaly_de_baylaucq
Et Eulaly dans tout çà ?
Ben elle ne sait pas trop où se mettre... Un oncle fin saoûl et qui continue de boire alors que va se jouer la scène la plus importante de sa vie, sa marraine qui d'un coup a l'air de prendre les rênes de la situation avec un sérieux inquiétant, son parrain apathique à se demander s'il n'aurait pas pris quelque étrange infusion narcoleptique et maintenant ce boucan de tous les diables dehors...

La jolie blonde regarde tout ce monde un brin consternée avant de sentir un vent de panique l'envahir. Ils tombent bien finalement les musiciens du dimanche !
Ils vont servir d'exutoire.
Aussi, juste après que Jo soit intervenu, elle se place derrière pour rajouter :


J'VOUS PREVIENS QUE SI VOUS DEGAGEZ PAS FISSA D'ICI, JE SORS ET J'VOUS DECOUPE EN RONDELLES SI FINES QU'ELLES FLOTTERONT SUR L'ESCAUT JUSQU'A LA MER DU NORD OU LES REQUINS VOUS TERMINERONT AVANT DE VOUS CHIER DANS LA VASE POUR QUE LES VERS PUISSENT BOUFFER A LEUR TOUR !!!

Elle se retourne vers sa famille et son officieusement-bientôt-officiellement fiancé, le visage bouffi, le regard hagard et les mèches du chignon flottant dans le vent du soir, se rend compte qu'elle a peut-être exagéré un chouille et que l'image de la belle et douce fiancée vient de prendre un coup, toute bien habillée qu'elle est. Elle baisse légèrement la tête, gênée.


Nan mais... C'est vrai quoi... On n'est même plus tranquille chez soi quoi... Je vais voir les flans.


Elle rassemble ses jupons avec toute la dignité dont elle est capable et file en cuisine marmonnant des trucs pas très aristotéliciens et se demandant surtout ce que Zélie avait à dire à Florestan pour avoir eu soudain cet air si grave.

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Florestan42
Flo était attiré "presque" de force vers l'atelier par Zelie qui avait à prioris quelque chose à lui dire...avait il dit quelque chose qu'il ne fallait pas? avait il fait quelque chose qu'il ne fallait...à ce stade le jeune homme n'en savais encore rien...mais il n'allait pas tardé à le savoir. Une fois dans l'atelier.

Oui Zelie, vous aviez quelque chose à me dire?
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Zeliejeanne
Zélie entra dans son atelier, tira Flo à l'intérieur, pas violemment mais d'une façon qui ne laisse aucune échapattoire, vérifia que personne ne les avait suivi et ferma la porte.
Citation:
Oui Zelie, vous aviez quelque chose à me dire?

Oui Flo. Quelque chose d'important. Voila ...... [le reste est en MP]

Une fois terminé, elle sortit suivie de Flo et revint auprès des siens, la bouteille de chabli toujours serrée contre sa poitrine. Elle remarqua à ce moment que son époux avait entamé une autre bouteille de vin. Les bruits qu'avaient fait les chanteurs improvisés lui étaient parvenus aux oreilles mais plus encore les réactions de son mari et de sa filleule. Point n'était utile d'en rajouter. La mine quelque peu déconfite d'Eulaly eut raison de sa mauvaise humeur passagère. Zélie était impétueuse, mais quand il s'agissait du bonheur de sa famille elle faisait retomber sa colère tel un soufflé sorti du four sans ménagement. Elle afficha un sourire non feint. Se rendant compte qu'elle tenait toujours la bouteille de chabli contre son sein et jugeant que Sly ne pouvait être pire, elle décréta en levant la bouteille :

Je propose que nous prenions tous un verre de ce chablis pour fêter cette belle journée et commencer ce repas dans la bonne humeur et l'amour qui caractérise la famille Staline !

Gaiement elle remplit 5 verres, posa la bouteille et servit ses convives.

Santons ! à Eulaly, à Flo !
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Eulaly_de_baylaucq
Sa marraine qui emmène Flo. Une conversation à laquelle elle ne peut accéder. Le regard qui en attendant se perd sur des flans déjà parfaitement parfaits puisque concoctés par la meilleure cuisinière tournaisienne. Et des pensées qui prennent leurs aises et vagabondent. C'est rarement bon.
Finalement, elle ne sait même plus si elle attend vraiment. Le temps n'est que brouillard tandis qu'un visage jovial l'énerve à vouloir s'imposer aussi souvent qu'elle le chasse.

Mais les voilà qui reviennent, jovials eux aussi, pour sa marraine en tout cas, réels en sus. L'autre disparaît. Enfin ! Eulaly leur sourit. Apparemment, tout s'est bien passé.


Citation:
Je propose que nous prenions tous un verre de ce chablis pour fêter cette belle journée et commencer ce repas dans la bonne humeur et l'amour qui caractérise la famille Staline !
Santons ! à Eulaly, à Flo !


La fiancée tient son verre d'une main, l'autre se glissant dans celle de son promis, la serre fort comme pour s'assurer que lui sera toujours là pour elle. Elle lève son vin.

A nous. Et à la famille la plus géniale du Royaume.

Et d'en boire une gorgée trop fade avant d'observer Florestan. Le moment qu'ils avaient tant attendu était là, juste là...
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Zeliejeanne
Une maison vide, vide de ses rires, vide de leurs discussions, vide de ses pas qui courrent dans les escaliers, vide de ses "marraine je t'aime", vide de ses "tonton tu es le meilleur des hommes", vide de ses "Patmouille tu es un mauvais chien", vide de ses "qu'est-ce qu'on mange ?", vide de ses "je rentre pas ce soir".
Les joues de Zélie, sèches de ne plus être embrassées par sa filleule. Des lettres qui s'accumulent amenées par des pigeons iodés.
Zélie ne dort pas cette nuit, le dernier courrier reçu l'a mise dans l'inquiètude, une inquiétude atténuée par l'autre missive immédiatement arrivée. Mais la plaie avait été ouverte. Assise à sa table, en chemise, les pieds nus, la femme qu'elle est devenue soupire.
Un soupir, long comme un jour sans pain. Le souvenir d'une promesse faite par son époux tant chéri, un sourire esquissé par un projet tant rêvé. Des secondes, des minutes, des heures, puis une voix aimée à l'étage, une voix inquiète de son absence. Zélie se lève, se dirige mécaniquement vers les escaliers, monte les marches lentement et va rejoindre l'homme autour duquel sa vie s'articule depuis tant d'années.

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Zeliejeanne
Des bruits inhabituels dans le grenier de leur maison laissaient prévoir que quelques chose se préparait chez les Staline.
Zélie tirait, poussait, descendait une à une les marches de l'escalier, en tirant derrière elle de gros objets. Elle poussait des grognements qu'elle rythmait sur ses efforts comme pour se donner du courage et plus de force. Bien sûr Sly aurait pu l'aider, même le faire à sa place, mais il rentrait tard souvent et très fatigué. Il la gronderait sans aucun doute, mais elle ne craignait pas ses reproches. Et puis elle avait l'arme secrète pour faire retomber ses contrariétés.


Allez ma fille plus qu'une !

Et la voila repartie au grenier, plus à toute vitesse non, mais avec encore un peu d'énergie. Elle redescendit avec la même difficulté que pour les autres voyages. Voila enfin le dernier palier, voila enfin la dernière marche. Cette fois ci c'était bon, elles étaient toutes là, rassemblées au bas des escaliers.
Zélie les regarda avec une immense joie. C'était vrai, Sly le lui avait promis. Ils en avaient parlé longtemps c'était décidé
.


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--Patmouille


POUM ! PAF ! VLAN ! POC !

Mais il se passe quoi ici encore ?
Cette brave bête de Patmouille regarde sa blonde maîtresse, épaisse comme un quart de lui-même, d'un drôle d'air, jappant parfois pour protester contre le vacarme qui trouble sa tranquillité.
Son sixième sens lui disait que le couple allait bientôt s'en aller comme son autre petite maîtresse qui l'avait lâchement abandonné, diminuant considérablement la fréquence des coups qu'il se prenait au séant c'est vrai.
Et qui allait lui donner sa pâtée quotidienne hein ? L'allait falloir bouffer les canards crus ? Et puis il tenait à ces gens qui l'avaient recueilli quand il n'était qu'un chiot de vingt kilos à peine.

Affalé sur le sol, il la regarde donc, jappant parfois, couinant souvent, des deux grosses pattes se rejoignant sur le museau, l'oeil triste et la queue en berne.
Eulaly_de_baylaucq
[Le lendemain matin]

Heureusement, elle n'avait pas eu à jouer des rênes plus que çà. Son étalon avait suivi ceux des autres la ramenant cahin-caha à Tournai tandis qu'elle cuvait d'une dernière excellentissime soirée artésienne.

La mine grise mais heureuse d'être revenue chez elle, Eulaly met son cheval dans son box alors qu'elle entend déjà les aboiements du chien et a tout juste le temps d'ouvrir la porte avant d'être plaquée contre un amoncellement de malles. Sourire aux lèvres, elle caresse la grosse tête de Patmouille.


Et ben ! J't'ai manqué on dirait !


Elle slalomme ensuite entre caisses et malles pour aller déposer sur la table un panier plein de spécialités bretonnes et deux jolis paquets enveloppés. Un petit tour au baquet d'eau pour paraître plus fraîche et elle fait mentalement l'inventaire de tout ce que sa marraine a descendu.

Ils ne vont quand même pas emmener tout çà... Si la charrette tiens bon, c'est le bateau qui coulera pour sûr...


Un coup d'oeil vers le haut de l'escalier. Elle espérait que les aboiements du chien les aient réveillés, elle avait grande envie de les serrer fort dans ses bras.
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Zeliejeanne
Des aboiements de Patmouille qui la réveillent .... rien de mieux pour mettre Zélie de mauvaise humeur. Elle saisit l'oreiller de Sly déja parti au moulin, se le colle sur la tête, rien n'y fait. Ele se redresse furieuse, enfile ses chaussons et descend en chemise faire sortir ce chien. Elle marmonne.

Pffff, penser à dire à Sly de le laisser dehors quand il quitte la maison ...

Elle descend les marches, une à une, s'arrête net, un frôlement, un murmure, Patmouille qui remue rop ... quelqu'un est dans la maison, elle en est certaine. Elle s'accroupit sur une marche haute et essaye de voir ce qui se passe plus bas. Une ombre svelte, une chevelure blonde ....

EULALY !!!!!!!

Les marches restantes sont plus survolées que descendues. Elle rit, elle pleure, elle court et va se jeter sur sa filleule. Elle la prend dans ses bras, elle l'étreint, elle l'embrasse.

Mon ange ! que je suis heureuse ! fais moi voir comme tu es belle !

Et de lui prendre les mains dans les siennes, et de se reculer pour l'admirer.
Une main posée sur sa joue, un pouce qui effleure ses cernes à peine visibles mais qui n'échappent pas à l'oeil maternel. Elle mettra ça sur le compte de la fatigue du voyage.


Tu sembles fatiguée, mais nous allons remédier à tout ça, il faut que tu reprennes des forces, viens je vais te faire des crêpes et nous allons petit déjeuner ensemble, ensuite tu iras te baigner, et puis tu iras te reposer, et puis tu me raconteras ton voyage, et puis nous parlerons du notre, et puis nous choisirons ensemble les robes que nous emporterons .....

Zélie l'étreint encore, la prend par la main sans lui laisser le temps de répondre et se dirige avec elle dans la cuisine, l'obligeant à s'asseoir et s'activant à la préparation des crêpes.
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Eulaly_de_baylaucq
Citation:
EULALY !!!!!!!

Ah cette voix ! Eulaly en a la gorge qui se noue, l'empêchant de parler alors que sa marraine l'enlace, l'embrasse et l'admire. Elle lui sourit simplement. Ses yeux brillants parlent pour elle. Elle la laisse lui dicter son programme de la matinée sans broncher alors qu'elle n'aspire qu'à se laisser tomber sur son lit, puis la regarde s'activer aux crêpes souriant attendrie.

La jeune fille en avait fait une overdose que ce soit en Bretagne ou à Bertincourt mais les crêpes de Zélie avaient ce quelque chose que les autres n'auraient jamais aussi bonnes soient elles.


Citation:
[...]et puis tu me raconteras ton voyage, et puis nous parlerons du notre, et puis nous choisirons ensemble les robes que nous emporterons .....

Eulaly, forcée de s'asseoir se relève de sa chaise et la rejoint, prend avec douceur les mains affairées et la regarde avec dans les yeux cet amour infini qu'elle a pour elle.

Marraine... Je t'aiderais à choisir tes robes oui mais ce voyage c'est le vôtre. Depuis le temps que tu l'espères... Je ne veux pas m'immiscer. Et puis... Je suis fauchée. Il faut que je reprenne mon champ et mon échoppe en main.

Elle la serre fort contre elle, la dépassant à présent d'une demi-tête, dépose un baiser dans ses cheveux en bataille.

Je t'aime si fort...
Et puis il faut bien que quelqu'un s'occupe des bêtes. Merci d'avoir voulu m'emmener Marraine... Cà me touche tu ne peux pas savoir à quel point.

Encore un baiser tandis que la crêpe commence à sacrément sentir le roussi. Qu'importe, la priorité était ailleurs en cette minute.

Regarde, je vous ai ramené des cadeaux.



C'est une coiffe et un veston bretons. Avec çà vous allez faire fureur là-bas. J'écrirai à Jehanne pour qu'elle vous réserve une place sur son bateau et au père Pouilloux pour qu'il vous fasse le meilleur accueil qui soit.

Etait-ce dû à la fatigue ? A la gueule de bois ? A tous les évènements des dernières semaines et dont Zélie ne savait que le début du commencement ? Eulaly semblait différente, moins ingénue, plus mûre, mais elle ne les aimait pas moins. Cà jamais.
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Eulaly_de_baylaucq
[Quelques heures plus tard, dans la chambre d'Eulaly]

Oh merdà...
Moment de panique quand Eulaly reçoit un courrier tout frais amené par un coursier. Vints arrivait et ses tuteurs n'étaient pas encore partis. Il allait falloir manoeuvrer...
Elle prend vite sa plume pour répondre.




Tournai, le 17 juillet 1460

Mon dévoué Vints,

J'accuse réception de votre lettre à l'instant et, pour tout vous avouer, je ne vous attendais pas si prestement. Le fait est que mes tuteurs sont encore dans la place et que la situation deviendrait très vite ingérable si vous arriviez à ma porte la bouche en coeur avec un bouquet de fleurs quémandant un baiser de leur fillote adorée officiellement fiancée à un autre jeune homme.

Je tiens d'abord à vous informer que notre excellente soirée d'hier soir n'aurait pas été si excellente si je n'avais pas tant bu.
Il n'est pas dans mes habitudes de me vautrer si facilement dans les bras d'un homme que je connais depuis une heure à peine. Comprenez bien que ma soirée fût fort agréable aussi mais ce qui a pu avoir lieu à Arras ne pourra pas avoir lieu à Tournai. On vous retrouverait bien vite pendu à la branche d'un solide fruitier tandis que je mourrais à petit feu emmurée dans ma chambre de jeune fille.

Je vous demanderais donc de faire preuve d'une infinie bonté en ne parlant jamais à personne de ce qui a pu se passer ce soir là, de prétexter la vente du bois pour me rencontrer et, si vous vouliez effectivement me faire la cour, de la commencer par là où toute cour doit être commencée, gentiment, poliment, sans ne tenir aucun compte de nos précédents baisers, qui, je vous l'accorde, étaient un délice.

Ce n'est qu'à ce prix que j'accepterais de vous revoir et recevoir.

Espérant que vous compreniez combien la situation exige que vous vous pliiez à mes exigences, je vous souhaite de faire bonne route jusqu'à notre magnifique ville et vous dis à demain.

Eulaly de Baylaucq

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