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[RP] Un samedi, sur un tonneau, au mileu de la Grande place

Thomasdeclerel
La Grand place de Bourges, sur laquelle donnait la cathédrale sainte Etienne et la mairie de Bourges, au lieu de rassemblement de la communauté berruyère.

C'est sur cette dernière que le glorieux, modeste & merveilleux maire de Bourges avait décidé de régler un problème qu'il s'était engagé à résoudre auprès de l'un de ses administrés. Car il était comme un père pour eux, et qu'il voulait leur bonheur. Non, en fait, cela l'amusait et c'était pour cela qu'il voulait le faire.

Bref, il avait donc installé un tonneau au milieu de la place, en se disant qu'au grand maux, les grands remèdes, si ses annonces et suppliques épistolières n'avaient pas été entendus, ses cries le seraient peut être.

Tel un marchand de poisson, haut perché sur son tonneau, le maire de Bourges n'attendait que le principal intéressé pour commencer à haranguer les masses populaires.

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June
June avait mal à la tête. Pas un simple mal de tête, hein ! C'était vraiment et véritablement un GROS mal de tête.

Il ne se rappelait pas de la soirée précédente, à part qu'il était entré dans la taverne municipale en marchant debout ; il ne savait même pas comment ni quand il en était ressorti, ni avec l'aide de qui si une bonne âme l'avait aidé.
Il se souvint très furtivement de Thomas, le maire de la ville, qui partageait quelques verres avec lui.

Quelques verres... ?!
Le tisserand n'avait jamais eu aussi mal à la tête, cela ne pouvais pas être seulement "quelques verres".

Son esprit se souvenait aussi, par un quelconque miracle, qu'il avait rendez-vous ce matin-là sur la place de Bourges.

Pour qui, pourquoi ? Il ne savait plus.

Il vit Thomas debout sur un tonneau et le salua, puis, exténué par sa migraine, il s'assit au pied du maire et s'adossa sur le tonneau, en fermant les yeux.

Puis, malgré lui, il s'endormit.

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Zephir
Un attroupement était formé sur la grand place de Bourges. Zephir regardait de loin ce spectacle. Que se passait il ? Probablement un bagarre d’ivrognes ou une querelle de mégères se battant pour un bout de tissus ou un homme tout au mieux. N’ayant rien à faire, Zephir décida d’allé admirer cette animation, voir de compter les points. Il se fraya un chemin en jouant des coudes afin d’être aux premières loges.
Une fois bien placé, il chercha du regard la rixe. Il soupira en voyant le maire perché sur son estrade de fortune. Mince se dit il. Il baissa les yeux et vit June allongé, inerte. Que s’était il donc passé ? Qui avait osé tuer le pauvre June ?
Zephir resta silencieux attendant l’éloge funèbre que le maire allait surement faire ….
Napolitain
Le seigneur de Bussy, Ambassadeur Berrichon et Porte-parole de Bourges, qui s'occupait de l'affaire "June" avait reçu la veille un message de son suzerain pour venir l'assister.
Il se rendit en place publique, et découvrit le maire sur un tonneau avec un ivrogne à côté. Encore un clochard, pensa-t-il, il faut vraiment que les miliciens pensent à les foutre en dehors de la ville.
Il s'adressa au Roy d'armes de France :

- Bonjour Thomas, comment allez-vous aujourd'hui ? N'avez-vous pas honte qu'un clochard soit à vos pieds ? Je peux appeler des miliciens s'il le faut.
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Thomasdeclerel
Le Duc de Dun-le-Roy sur son arbre perché tenait dans sa main une petite bourse. Lorsque June arriva, le Pair demeuré silencieux se dit qu'il n'en manquait qu'un. Le pauvre berruyer qui s'endormit rapidement après son arrivé offrit au maire un certain soulagement, il n'aurait pas à le faire bâillonner et attacher durant la vente. Qu'il était agréable que la victime participe et aide au crime...

Vint après lui le brave Napolitain comme convenu.
Ah enfin, te voila !

Thomas sauta du tonneau, lui fourra sa bourse dans la main et lui dit sur le ton d'une confession : Prend cette bourse et trouve moi quelques radasses et autres femmes de mauvaises vie pour animer un peu la journée. Qu'elles se battent pour June, se jettent sur lui et crie leur amour, il faut faire monter les enchères et montrer qu'il est désiré. Se rendant compte qu'il était en train de commettre une erreur, il reprit la bourse, en tira une vingtaine d'écus qu'il confia à Napolitain. Ces quelques écus suffiront, si je te confie ma bourse, il n'en restera rien ce soir.

Le Roy d'armes retourna se percher sur ton tonneau et débuta son office :

Peuple de Bourges, voyageurs de passage, approchez vous !

N'avez vous jamais rêvé de l'homme idéal ? Mes amis, ne voulez vous pas offrir à vos filles l'époux idéal ?

Votre rêve peut devenir dès aujourd'hui réalité ! La mairie de Bourges a décidé de mettre en vente l'un de ses conseillers municipaux totalement désespéré qui ne rêvent que d'une chose, se marier !
Le maire marqua une pause, regardant la foule.

Il est plutôt beau, a de bonnes dents et un patrimoine assez conséquent, deux champs de blé, une échoppe 1 lapin et 4 poules ! Que ce soit pour vous ou pour offrir, succombez à notre ami June, qui fera un merveilleux compagnon ou mari. Les enchères débuteront à 10 écus !
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--Marozia





Marozia, Gueuse aux yeux de braise qui passe par là …

Laissait moi vous compter un peu qui elle est, elle n’a pas sue garder sa vertu, l’offrant au premier venue en pensant naïvement que si on donne tout, les hommes restent, sauf que bien sur ca n’est pas le cas et la gente masculine s’évertua a le lui rappeler conquête après conquête tant et si bien que tout les jeune puceau du village savait que si il voulait perdre leur virginité, il suffisait de trouver une dénommé Marozia et le tour était joué
Ne croyez pas que la belle brune ignorait les racontar a son sujet, il suffisait qu’elle entre dans une taverne pour que les messe basse se fasse
Les vieille mamies du village la toisé avec dédain et tout les hommes la reluqué se demandant si il allé lui passer dessus a lors tour ou non
Il fallait vraiment être nunuche pour ne savoir se qui se disait a son sujet, mais voilà elle aimé se sentir aimé même quelque heure par les hommes, elle se sentait enfin entière et désiré quand des doigts la parcourraient
Et elle préférait ses instants bref mais intense plutôt que rien du tout, oui elle pensait que si elle n’avait pas ses instants là elle n’aurait rien du tout
Et malgré qu’elle rêvait de trouver un homme pour vire le reste de sa vie, malgré qu’elle rêvait d’amour et de mariage. Les hommes eux continuaient a la prendre pour leur petite affaire et la jetait aussi sec
Car quel homme respectable prendrait une femme dont la petite vertu se connaissait qu’au fin fond du Berry
Ce jour la elle passé juste dans le coin, elle venait de s’acheter une miche de pain bien chaude, elle avait prévue de se faire un petit pique nique en tête a tête avec elle-même ou pas.. cela dépendrait de se qu’elle trouverai sur sa route. Quand tout a coup le tintamarre de la place du village attira son attention
Elle s’approcha et son sourire taquin se dessina sur ses lèvres charnues
Un homme a vendre c’était peut être l’occasion de se trouver un mari.. Bousculant un peu des villageois curieux pour se plaçait devant elle planta ses yeux noisette dans le dite home a vendredi elle le mata de haut en bas inspectant le corps qui pourrai être le sien prochainement
Pas mal.. pas mal du tout hum… elle mordilla sa lèvre avec envie et amusement réunit

Levant la main elle prononça haut et clair

J’en propos 15 écus !

Elle aimait ce genre de petit jeu ou le but promettait des moment des plus agréables…
--Blandine


La bobonne était au marché de la ville, comme tous les jours. Bobonne oui, mais pas celle d’un mari, plutôt celle de son père.
Elle n’était pas là pour trouver patates ou carottes afin de nourrir le paternel, elle était à la recherche d’un joli tissu pour se confectionner un robe plus « aguichante » que celle qu’elle portait à l’instant.
Le mot prononcé par ce même père la veille et fut accompagné d’une bourse pour se rendre au marché le lendemain afin d’y acheter de quoi faire une tenue qui attirerait les regards sur elle.
Il avait été quasiment fou de colère en apprenant que la petite s’était encore fait jeter par son fiancé et comme il était le dernier courageux de sa longue liste de possibilités à avoir tenté de lui faire la cour…
Faut dire qu’la Blandine était tout sauf un ange tombé sur terre prête à tout pour satisfaire les moindres désirs de la gente masculine, les apparences sont souvent trompeuses et elle savait en jouer.
On disait plutôt d’elle, ceux qui avaient vu son vrai visage, qu’elle avait le caractère d’une chienne enragée assorti d’une vénalité sans égal ; et cela ne suffisait pas à résumer ni la complexité caractérielle de la donzelle ni les immondices dont elle était capable par pure bêtise.

Agacée au plus haut point par sa recherche, elle se rendit sur la Grand-Place et s’assit sur un banc. Elle s’accouda tout en bougonnant de sordides insultes à l’intention de son père.
Son attention fut attirée par un groupe formé un peu plus loin, un type monté sur tonneau haranguait la foule. Elle décida d’aller voir ce qu’il en était, peut-être y ferait elle une bonne affaire et qu’après tout la journée ne serait pas perdue.
Elle se leva et approcha, elle reconnut le bourgmestre et écouta ce qu’il avait à dire.
Prête à entendre une intervention officielle elle fut surprise de ce qu’il en était en réalité.
Elle tâta sa bourse qui se trouvait à sa ceinture et se dit que ça ne pouvait pas mieux tomber.
Si elle pouvait remporter l’enchère et qu’elle ramenait le bougre à vendre à la maison, son père ne serait plus en colère et lui ficherait la paix.
Elle jeta quand même un coup d’œil au mâle histoire de jauger la marchandise et ne fut pas déçue du détour.
Propriétaire, bel homme, amateur de vinasse de toute évidence… ce qui n’était pas un mauvais point quand il s’agissait d’avoir à supporter Blandine, que de bonnes raison de tenter sa chance.
Elle s’aperçut quand même que la plus grosse traînée de Bourges était à ses côtés et avait sûrement déjà enchéri sinon elle ne serait pas là à traîner ses guêtres.


Peu importe ce qu’elle en a donné, regard de dédain à la catin, j’en donne 5 écus de plus !

Elle croisa les bras, bien déterminée à le remporter.
Mikaphile
La presque vieille était de passage à Bourges, elle se dégourdissait les jambes dans les rues de la ville entre deux nuits en charrette.
Un attroupement, tiens, allons voir, ce sera peut-être distrayant.
Une vente aux enchères ? pour renflouer les caisses de la mairie, peut-être ? en proposant une journée -- ou une nuit, soyons fou ! -- avec un beau conseiller ? Le duché de Bretagne avait bien fait ça avec ses plus jolies femmes, pour financer l'arsenal, du temps où on ne levait pas encore d'impôt en Bretagne.
Mais non, pas du tout !


"La mairie de Bourges a décidé de mettre en vente l'un de ses conseillers municipaux totalement désespéré qui ne rêve que d'une chose, se marier !"

Nan mais ils rêvent, eux !

Monsieur le maire, excusez-moi, mais si cet ivrogne ne trouve pas à se marier tout seul, ne croyez-vous pas qu'il serait plus habile d'offrir des écus à celle qui acceptera de l'épouser ?
Un ivrogne pareil, même si vous me donniez 100 écus, je n'en voudrais pas ! alors payer pour l'avoir .... auriez-vous abusé de la boisson vous aussi ?

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Accéder aux tavernes sur les nœuds :
http://www.lesroyaumes.com/EcranPrincipal.php?l=5
Zephir
Une soupire de soulagement sortit de la bouche de Zephir lorsque le maire fit son annonce. Ainsi dont, June n’était pas mort mais bel et bien dans son état presque normal, en demi coma. Rassuré sur le sort de son ami, il écouta la proposition avec amusement. Il regarda autour de lui et vit la foule réagir amusé. Chacun y mettait son mot pour surenchérir.
Puis se fut le tour à quelques femmes de se faire connaitre. Dans l’amusement, il cria :


Et June, tu vas devenir l’homme le plus courtisé du village. Laisse quelques femmes pour les autres !
June
Quel mal de tête, quel mal de tête...

June avait l'habitude boire un peu de temps en temps, mais seulement avec ses amis. Il était loin d'être ivrogne.
Il était vu comme un homme simple, sympathique et généreux, et plutôt bel homme.

Quel mal de tête, mon dieu, quelle migraine.

Il entendit son nom dans son sommeil, la voix de... de Zephir, le jeune qu'il aimait bien, enfin lui sembla-t-il. Des voix de femmes et d'hommes étrangers, aussi.

Un de ses yeux gris s'ouvrit. Il vit la foule, entendit les cris comme un marteau de plus dans sa tête. La migraine le reprit, et son coma aussi...

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Thomasdeclerel
La populace et surtout les radasses commençaient à s'approcher et à lancer des offres. Le maire qui avait eut peur du bide afficha un sourire de satisfaction. Il se mit donc à prendre les offres et à poursuivre sa vente du produit :

Et on a 15 écus ! 15 ! c'est pas cher payé, qui dit mieux ? attention, la marchandise est de premier choix, elle a peu servit, c'est une première main, jamais marié !


Une offre ne tarda pas à arriver, même si ce n'était pas encore l'émeute espérée...5 écus de mieux, quelle bande de pauvre à Bourges.


Ah madame à du goût, 5 écus de plus, ça nous fait 20 écus pour le jeune homme, attention mesdames, attention messieurs, le petit june est un grand laboureur, faites vos enchères, ne laissez pas l'affaire vous filer entre les doigts !


Vint une troisième femme, cette fois pour râler, de toute façon se dit Thomas, les femmes ne savent que faire cela, râler sur tout. Il lui rétorqua simplement :


Allons ma petite dame, une poignée d'écus pour l'ivrogne c'est une affaire ! Vous l'achetez, vous gagnez ses champs, son échoppes, poules et lapin, et un homme pour travailler pour vous ! Il suffira de lui donner du lait plutôt que de l'alcool, et vous aurez un très bon rendement ! En plus il est tout maigre, il ne mange qu'un petit pain par jour, cela ne vous coûtera pas un bras et vous rapportera une montagne d'or !


Intérieurement le Duc se dit que la prochaine fois il devra prévoir un service d'ordre pour se jeter sur les troubles fêtes. Il cria après la foule :

Allez, on ne rate pas l'occasion du siècle, profitez en, c'est l'moment, un homme rien que pour vous, de type berrichon, à fort rendement, on en trouve pas des comme ça même sur les marchés à esclaves des impies !
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--Marozia






Oui l’homme qui devait soit disant être de la qualité pioncé mais cela ne voulait rien dire
Et si il aimé s’amusé lé bougre elle était la premère a aimer boire une chopine bien fraiche
Elle sourit de toute ses dent en voyant le Maire demander une surenchère a la sienne..
Peu de chance que ca arrive les femmes n’oserai jamais avouer en publics qu’elle aime la chère masculine, il n’y avait qu’une fille comme elle pour osé s’affiché au bras de différent homme
Et même si tout le monde penser qu’elle était une catin rien a foutre parce qu’elle n’en était pas une ! Et voui messieurs elle le fait gratis la petite « jambes en l’air »
Elle pense que l’affaire est dans le sac mais voilà ti pas qu’une vierge effarouché veux prendre la main sur se qu’est sin dût ..
Non mais pour un peu faudrait se battre pur l’avoir celui là, elle regarda au alentour si le maire n’avait pas prévu un bac de boue pour d’éventuel combat entre femelle mais rien qui ne semble ressemblait a cela a part peut être le purin de chevaux qui trône non loin d’un abreuvoir
Et faut pas abusé elle n’allé pas mettre les pieds là dedans juste pour amusé la galerie ! Elle préférer la tendresse et l’amour d’un homme a la bouse de canasson !

Tout a ses pensait une femme d’âge mure se mit a se plaindre de se qui la marchandise n’était sde premier choix
Elle gloussa écoutant amusé et tripotant une de ses mèches de cheveux, son sourire jaugé un peu le maire qui était autant a son gout sinon même plus que l’homme mit en vente !
Les enchère était monté a 20 écus ! a se rythme toute s bourse allé y passer !!
Elle monta l’enchère tout de même mais avec modération…


J’en veux pour 1 écus de plus !!1 !!


Elle sourit amusé non fallait pas poussé le bouchon trop loin s’était pas non plus le l’héritier de la reyne béatriz !
Kateline
Kat sortait de la mairie où elle avait passé une bonne partie de la journée. Des bruits de couloir avaient circulé, on disait que Thomas allait organiser une vente aux enchères sur la grand-place.
La brunette n'avait pas cherché à en savoir plus trop occupée à courir entre l'atelier et son bureau.
Après un énième aller-retour elle aperçut bien en vue un attroupement, au milieu trônait le Maire sur un tonneau.
Piquée par la curiosité elle s'approcha pour se rendre compte de ce qui se passait.

Arrivée à hauteur elle reconnut le Sire Napolitain et June affalé du côté du tonneau. Elle resta coite le temps de comprendre le pourquoi du comment.
Apparemment la jeune femme brune venait d'enchérir pour ce lot dont elle ignorait le contenu.


...Ah madame à du goût, 5 écus de plus, ça nous fait 20 écus pour le jeune homme, attention mesdames, attention messieurs, le petit june est un grand laboureur, faites vos enchères, ne laissez pas l'affaire vous filer entre les doigts !
Allons ma petite dame, une poignée d'écus pour l'ivrogne c'est une affaire ! Vous l'achetez, vous gagnez ses champs, son échoppes, poules et lapin, et un homme pour travailler pour vous ! Il suffira de lui donner du lait plutôt que de l'alcool, et vous aurez un très bon rendement ! En plus il est tout maigre, il ne mange qu'un petit pain par jour, cela ne vous coûtera pas un bras et vous rapportera une montagne d'or !


Norf de norf!

Son regard se posa sur le pauvre June qui n'avait pas l'air dans son assiette, l'idée aurait put être amusante s'il avait été conscient de la chose, mais de toute évidence ce n'était pas le June qu'elle connaissait qui se trouvait contre ce tonneau.
Il n'était ni un ivrogne ni suffisamment désespéré pour se vendre à la plus offrande.
Elle s'approcha de lui pour voir s'il allait bien et se tourna vers Thomas le regard plein de reproches.


Sa Grasce n'a pas l'impression d'exagérer quelque peu...

L'ironie de sa politesse se ressentait largement, elle n'avait pas besoin d'en dire plus. Elle passa le dos de sa main sur la joue de June pour essayer de le réveiller. Il fallait arrêter la mascarade, ce n'était pas son genre.

June... June, tu m'entends?
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[Son atelier]
Mikaphile
Aux diverses réactions, la presque vieille comprit que le pauvre hère affalé contre le tonneau était là contre son gré, saoulé sans doute la veille par celui qui tentait maladroitement ce jour d'hui de faire monter les enchères. En s'y prenant comme ça, il n'était pas près d'arranger les finances de sa mairie, celui-là....
Elle avait assez trainé dans le coin, il lui restait de la route à faire, elle repartit vers sa charrette.

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http://www.lesroyaumes.com/EcranPrincipal.php?l=5
June
"June... June, tu m'entends ?"

Le pauvre bougre n'entendait rien ; il était pris dans son rêve délirant, ne sachant même pas quel destin on jouait pour lui ici.
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