Breiz24
Ya des fois, il faut faire simple.
Cette fois là en était une. Pourquoi ? Parce quune brunette avait souhaité se planquer chez elle, puis ensuite partir se dégourdir les guibolles, et quelle était partie avec son soupirant, son frère, sa sur (Wowohohoooooo), et encore un autre presque soupirant, que le frère et la sur étaient rentrés au bercail, avec un soupirant de plus celui de la surette et que des trois autres aka la Cerise et deux qui soupirent après dont au moins un lavait déjà embrassée étaient dans la nature. Et l'embrasseur avec la Cerise, de source fraternelle, donc pas jalouse du tout, donc fiable - la preuve il avait dit "ma soeur et l'autre naze".
Clair, net et concis, donc.
Et zou, un messager fut envoyé sur les chemins. Ce quil ignorait cest quil nétait pas au bout de ses peines. Car outre trouver la destinataire du message, il en avait un autre à remettre, et « discrètement » quelle avait râlé, la rousse.
Bin non, elle nallait pas sembarrasser à faire des ronds de jambes pour le Vaisneaux, déjà bien habitué au ton sec et net de la rouquine.
Et le messager ? Bah il poireaute, parce que la rousse a aussi imposé quil ne reparte pas sans au moins une réponse, et quil insiste bien pour avoir les deux. Cest dur, la vie de messager.
[attention, ceci n'est pas une insulte mais une manière de s'exprimer dans le sud, d'où l'auteure est originaire]
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Cette fois là en était une. Pourquoi ? Parce quune brunette avait souhaité se planquer chez elle, puis ensuite partir se dégourdir les guibolles, et quelle était partie avec son soupirant, son frère, sa sur (Wowohohoooooo), et encore un autre presque soupirant, que le frère et la sur étaient rentrés au bercail, avec un soupirant de plus celui de la surette et que des trois autres aka la Cerise et deux qui soupirent après dont au moins un lavait déjà embrassée étaient dans la nature. Et l'embrasseur avec la Cerise, de source fraternelle, donc pas jalouse du tout, donc fiable - la preuve il avait dit "ma soeur et l'autre naze".
Clair, net et concis, donc.
- Griotte de Blanc Combaz, tu avais écris que vous seriez je cite « bientôt de retour ». Jexige des nouvelles.
Breiz
Et zou, un messager fut envoyé sur les chemins. Ce quil ignorait cest quil nétait pas au bout de ses peines. Car outre trouver la destinataire du message, il en avait un autre à remettre, et « discrètement » quelle avait râlé, la rousse.
- Enguerrand,
Je ne sais pas où vous êtes mais je vous somme de me donner de vos nouvelles. Griotte est sous ma responsabilité, et jexige de savoir où elle est, avec qui, et ce quelle fait. Et je vous garantis que sil lui arrive quoi que ce soit, je vous en tiendrais pour personnellement responsable.
Breiz.
Bin non, elle nallait pas sembarrasser à faire des ronds de jambes pour le Vaisneaux, déjà bien habitué au ton sec et net de la rouquine.
Et le messager ? Bah il poireaute, parce que la rousse a aussi imposé quil ne reparte pas sans au moins une réponse, et quil insiste bien pour avoir les deux. Cest dur, la vie de messager.
[attention, ceci n'est pas une insulte mais une manière de s'exprimer dans le sud, d'où l'auteure est originaire]
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