--Gobet
La ruelle était vide et silencieuse.. les bourrasques de vent sengouffraient en faisant vibrer les volets des différentes battisses.. Tout était si calme et bruyant à la fois, et seule une ombre était adossé contre la porte du 2 place Saint Bertrand. Une ombre fuyante, sombre et guétante qui se contentait d'attendre. Impassible au vent elle fixait la porte arrière de la mairie muretaine sans bouger d'un cil. Sa mission était clair, il était temps d'en finir.
Ce fut alors à ce moment même qu'un homme de grande taille sortit par la fameuse porte, il tenait en ses mains une pile de papier. Il était brun, à la musculature développé, la cape flottante sur le sol et ces fameuses couleurs lhabillés. Il prit sur sa droite et marcha d'un pas décidé, longeant l'église en direction de la caserne. A ce moment précis l'ombre quitta le palier de la battisse et suivit a grande vitesse le brun. Il se rapprochait plus encore de celui ci à chaque pas et se retrouvait déjà à quatre mètres derrière lui prêt à agir..
C'est alors que l'homme suivit s'arrêta net et releva légèrement la tête comme figé, conscient qu'il n'aurait meilleur moment, Gobet se jeta sur sa proie et lui enfonça son poignard entre les omoplates à 11 reprises. L'homme ne se débattit pas, lâcha ses papiers au sol avant de s'écrouler à genoux. Gobet contempla son travail deux longues secondes avant de partir en courant d'où il venait, sa mission était accomplie, ils seraient satisfaits...
Ce fut alors à ce moment même qu'un homme de grande taille sortit par la fameuse porte, il tenait en ses mains une pile de papier. Il était brun, à la musculature développé, la cape flottante sur le sol et ces fameuses couleurs lhabillés. Il prit sur sa droite et marcha d'un pas décidé, longeant l'église en direction de la caserne. A ce moment précis l'ombre quitta le palier de la battisse et suivit a grande vitesse le brun. Il se rapprochait plus encore de celui ci à chaque pas et se retrouvait déjà à quatre mètres derrière lui prêt à agir..
C'est alors que l'homme suivit s'arrêta net et releva légèrement la tête comme figé, conscient qu'il n'aurait meilleur moment, Gobet se jeta sur sa proie et lui enfonça son poignard entre les omoplates à 11 reprises. L'homme ne se débattit pas, lâcha ses papiers au sol avant de s'écrouler à genoux. Gobet contempla son travail deux longues secondes avant de partir en courant d'où il venait, sa mission était accomplie, ils seraient satisfaits...