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[RP] Chez Alwenna et Lavatar, 9 rue des Remparts

Athris
Qu'est-ce ? Un oiseau ? non ? Un héros des temps médiévaux ? non plus

Juste un ami qui avait eu vent du désespoir de son frérot et qui ne voulait pas le laisser ainsi quitter cette terre.

La porte était fermée, mais un bon coup d'épaule suffit à la dégager, emportant les gonds par la même occasion.

Un regard suffit à se faire une idée de la situation.

AH NON !

Sortant son couteau de marin, il coupa la corde déjà accrochée à la poutre, secouant la tête en regardant les noeuds faits n'importe comment - un vrai sacrilège pour un marin - puis il jeta les morceaux tout juste bons à faire des lacets dans un coin.

Lavatar encore surpris en avait renversé son encrier sur son velin. Le marin acheva de vider l'encrier, roula en boule la lettre ébauchée. Puis il s'assit devant son frérot et lui prit la bouteille survivante pour la finir. Il fit la grimace.


Tu aurais pu au moins choisir un bon crû ! Tu me déçois.
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Doolive
Doolive passa par hasard devant la maison de Lav et croisa athris sorti tout affoler....

Doolive entra dans la demeure et regarda Lav dans les yeux:

- Tu fais quoi là!!!!
- Ca va pas, on a besoins tous de toi!!!!!


Je ne veux pas perdre mon frerôt moi!!!!

doolive le pris dans ses bras et lui murmura...

- Raconte moi tout , j'ai tout mon temps et je ne laisserais pas tomber mon ami, tu comptes trop pour moi!!!!
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Lavatar
Lavatar ne sursauta pas... l'alcool avait déjà annihilé ses réflexes et lorsqu'il tendit la main pour prendre son épée et se défendre contre l'ombre qui venait de découper sa sculpture cordesque, il renversa par mégarde l'encrier sur le mot qu'il voulait envoyer au cercle de la Confrérie...

Il ne réagit pas plus lorsque son frérot mit en boule le vélin, maculant d'encre sa jolie chemise en flanelle...


Tu aurais pu au moins choisir un bon crû ! Tu me déçois.

Là, c'était plus que ne pouvait en supporter Lavatar.. fallait qu'il se réveillasse !

— Guèque tu dis là *hips* .... Tiu veux riiiire ou quoué ???? Zè du vin de Gluny... de Cluny... f-f-frérot... frérot ? *hips*

Une tornade blonde pénétra alors dans la maison...

- Tu fais quoi là!!!!
- Ca va pas, on a besoins tous de toi!!!!!


— La bor... LA POOOOOOORTE !!!! fait *hips* fait froid... là, dans mon c... dans mon coeur !.. ah, c'est toi , Athris ? et... et ...*hips* Doo ???? Bah, vous faites quoi là... vous dé-démolissez ma ba *hips* baraque !!!! Vous voulez m'expor... p'exprop... m'exproprier ???

Je ne veux pas perdre mon frerôt moi!!!! Raconte moi tout , j'ai tout mon temps et je ne laisserais pas tomber mon ami, tu comptes trop pour moi!!!!

Il sentit un main ferme et potelée lui secouer le bras, puis devenir plus douce...

— Je suis rien... mon f-frérot... j'vaux rien... j'suis un éclopé de l'amour.... *hips* Ouaip, un éclopé de l'amour... Pi, j't'dirai rien... c'est mes naffaires... en tout cas, maintenant que z'êêêêêtes là ! j'serai plus tout zeul à boire ! 'thris ! Va chercher à boire et ferme c'te satané lourde !!!!

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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
Athris
Au vu de ce qu'il restait de la porte, ça n'allait pas être facile de la remettre en place, il faudrait resceller les gonds qui avaient volé quand il l'avait enfoncée. Néanmoins Athris la redressa et la posa devant l'entrée pour atténuer les courants d'air.

Un tour en cuisine, de l'eau mise à bouillir, des feuilles qui devaient dater de la fondation de la Bretagne découvertes au fond d'un pot ... et voilà de l'infusion qui serait la bienvenue pour tout le monde.

Désolé Lav, fini le chouchen et le vin tant que tu ne seras pas en état de les apprécier. Allez hop ! un remède de bonne femme pour te remettre les idées en place et t'aider à passer une bonne nuit.

Lav, Doo ... demain on se fait une virée en mer sur la Mélusine. Rien que tous les trois. Entre frérots. Ça nous fera le plus grand bien, loin des femmes et des soucis du quotidien.

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Lavatar
Lavatar laissa faire son frérot... de toute façon, il était pas en état de faire grand chose... Mis en part acquiescer à tous ses dires..

- Une virée... Sur Meiline ??? gné ? Mais qu'et-ce que tu racontes *hips * Personne peut la toucher ! L'est trop belle... intou.. *hips * chable...
Pi, à trois, ça me dit rien.. Frérot Athris *hips* tu dis n'importe quoi , héhé... pour une fois que *hips*, z'est pas moé... t'es un farceur , toi..

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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
--Nanie
Suivant les plans indiquer je traverse a vive allure Vannes, mes jambes allant autant qu'elles le peuvent, arrivant face a une haute bâtisse je la reconnu telle qu'elle me l'avait décrite, c'est bien la, j'avise une dame d'un age incertain a la porte de la bâtisse

Demat Dame je suppose que vous êtes la voisine!?, je suis Nanie je viens chercher Abigail et Aaron.

Citation:

La voisine : Demat Dame oui ils sont la, leurs affaires sont prête également.


Je vous remercies beaucoup, je suis navrée de ne pas parler de plus mais Dame m'attends a la sortie de la ville.

Je la vois me saluer d'un signe de tête, je saisis les deux baluchons et regarde avec tendresse les deux petits

Bon les enfants si on y aller on nous attends pour repartir déjà.

Je pose les deux baluchons sur mes épaules, et prends les deux petits bouts dans mes bras.

Je vous remercies Dame et bonne journée a vous.
--Mortadel_nourrice
[Plusieurs jours après quelques péripéties]

Son promis comme ça alors avait subit une défaite, une défaite juste d'honneur d'homme car le coeur de Demoiselle Meiline était encore bien à lui.
Il avait sûrement eu de la chance cette fois, il ne l'avait pas perdu diraient certains puis d'autres diraient qu'ils s'aiment vraiment ceci n'était qu'une épreuve de plus.

Je devais préparer leur arrivée, car la Demoiselle avait été claire "repos, ménagement, propreté et surtout aucune visite si ce n'était pas question de vie ou de mort".

Je cherchais la clé, elle m'a dit sous le pot à l'entrée. Je cherchais le pot et je fis un sourire.
J'entrais doucement on ne sait jamais, un chat, un chien qui aurait pu me sauter dessus. La voie était libre, je m'activais à la tache, non sans oublier de préparer un délicieux repas plateau pour les deux fiancés, je devais veiller sur eux également ceci était mon obligation, la demoiselle était encore toute jeunette elle ne connaissait rien aux hommes et à l'union de deux corps, tant qu'ils n'étaient pas mariés je devais avoir un oeil sur elle.

J'avais promis à ses parents..
Lavatar
Henri avait autorisé Lavatar a rentré chez lui....
La plaie était nettoyée, resserrée, pansée , et l'homme était une force de la nature, aussi le médicastre, après avoir donné maintes recommandations, avait-il accordé son aval.

Meiline et Gwillou avaient tenu à l'accompmagner, le soutenant bravement, tous deux n'ayant accepté aucune aide, si ce n'est que quelqu'un porte les bagages de Meiline, fort nombreux par ailleurs...
Fort heureusement, l'hospital ne se trouvait pas trop loin de la rue des remparts et leur supplice fut de courte durée...

Le groupe s'arrêta devant la porte... Lavatar en profita pour sourire à sa belle et reprendre son souffle et ses esprits...


— Gwillou, la clé doit être sous le pot, là... Mais, il me semble qu'il y a quelqu'un dedans...?

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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
--Mortadel_nourrice
Le lit de messire Lavatar était prêt, sa chambre était disposée en fonction qu'il soit limité dans ses mouvements. Des serviettes à disposition, de l'eau, des vêtements propres ainsi qu'un repas.
Des pas dans l'entrée, des voix, celle de demoiselle Meiline, je m'essuyais les mains rapidement et j'allais ouvrir.


- Messire Lavatar, Demoiselle Meiline, bienvenue chez vous.

J'aidais Meiline à guider Lavatar.

- Le nécessaire est fait vous n'avez juste qu'a vous reposer, vous installez, le repas est prêt avec vous faim? je peux vous servir?

Un éclair venait de faire jaillir la pensée du siècle, je ne m'étais même pas présentée à Lavatar.
Lavatar
- Messire Lavatar, Demoiselle Meiline, bienvenue chez vous.

Lavatar ouvrit de grands yeux étonnés... Mais... Qui était donc cette dame ? Meiline semblait bien la connaître et lui souriait... Aussi, ne s'en offusqua-t-il pas... Pas contrariant, le bougre !

— Ma dame... je vous remercie de m'accueillir en ma demeure... Voici Gwillou, mon écuyer... Gwlllou, va aider Doo... Il traîne derrière et n'arrive pas à voir où il va avec tous ces coffres empilés !

Il accepta l'aide de la dame et sourit en entendant les paroles délicieusement choisies...

- Le nécessaire est fait vous n'avez juste qu'a vous reposer, vous installez, le repas est prêt avec vous faim? je peux vous servir?

— Heu, oui... Mais... je me disais... enfin... peut-être faudrait-il descendre le lit en bas, vers la cheminée... je me sens mal monter et descendre ces marches à longueur de journée , héhé... Mais, bon, d'abord, mangeons ! Doo et Gwillou s'en chargeront ! J'ai une faim d'ogre ! Ma dame... ma dame ...?

Il insista sur les derniers mots, ne sachant pas encore à qui il avait affaire...

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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
Meiline
Ma bouche s'ouvrait et pour le coup pas assez rapidement.

- Lavatar, mon aimé, je te présente Nourrice, mère l'a envoyée afin de me préparer, m'aider pour notre mariage, elle ne peut quitter son bureau de la cour de justice.

Je regardais ma Nourrice

- Chère Nourrice, je te présente mon promis Lavatar. Je te remercie d'avoir fait tout cela, il est vrai que son lit serait mieux en bas, par la même occasion ne voulant pas le quitter et s'il accepte, je mettrais le mien près du sien.

Nous bavardions mais mon tendre était encore debout, il était si faible fallait le ménager.
Encore quelques pas et je l'aidais à se poser dans le fauteuil.


- As tu soif mon tendre? as tu besoin de quelque chose? Nourrice? tu peux préparer deux couverts de plus et apporte une carafe d'eau et un verre je te prie. Je te remercie sans toi je serais perdue.


Je m'installais à genoux près de mon tendre, caressant sa main de la mienne avant de lui murmurer

- J'espère que tu ne m'en veux pas de lui avoir demandé de venir chez toi...
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Lavatar
- Lavatar, mon aimé, je te présente Nourrice, mère l'a envoyée afin de me préparer, m'aider pour notre mariage, elle ne peut quitter son bureau de la cour de justice.

Il regarda sa belle, fondit sous son sourire, puis… heu… Nourrice… Mais quand même, lui, Lavatar, il n’allait pas l’appeler « Nourrice » ??? Bien, en attendant de connaître son prénom, il l’appelerait Ma Dame.

….je mettrai le mien près du sien.

Le grand gaillard blond sourit… Son lit près du sien… l’un contre l’autre ?... Voilà qui présageait d’agréable soirée . Il s’assit avec soulagement sur le siège aux accoudoirs compatissants et tendit ses jambes…. Il n’avait pas coutume d’être servi. Aussi , la cuisinière de la Confrérie et maintenant Nourrice , et les gentillesses de Meiline, lui paraissaient bien étranges, et il commençait à y prendre goût…!
Il sourit à sa fiancée, puis à Nourrice…


— Sans vouloir vous obliger, ma dame, si vous regardez dans ce meuble, à côté de l’évier, il doit y avoir une bouteille d’un rhum de mon arrangement… Si vous voulez y goûtez ? Les gobelets sont à côté...

Il espérait que l’envoyée de Fougères se servirait , et en proposerait à Meiline… et … par la même occasion, en ferait profiter le légionnaire, passant outre les recommandations
de sire Henri… Héhé, c’est qu’il était malin, le bougre de géant !



- J'espère que tu ne m'en veux pas de lui avoir demandé de venir chez toi...


— T’en vouloir ? Comment pourrais-je t’en vouloir ? je serai bien ingrat ! heu… oui, ce meuble-là , héhé… Dis-moi, as-tu pu trouver une autre robe ? et parle-moi plus en détail du voyage que tu aimerais que nous fassions !

Disant cela, il porta la main de son aimée à ses lèvres et l’embrassa affectueusement…
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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
Meiline
Je plissais les yeux. Il n'allait pas boire quand même? Je veux bien croire qu'il sort petit à petit de blessure mais quand même.
Je m'approchais de la cheminée puis je mettais quelques bûches. La tête me tournait je me rattrapais à celle-ci discrètement.
Non je n'étais pas en forme, mais il était hors de question d'inquiéter qui que se soit. C'était sans doute passager.


- Il n'est pas bien dans ton état Lavatar de boire...Hors de question !!

Je regardais Nourrice.

- Il ne faut pas l'écouter, il est tard en plus, il doit se reposer et se ménager. Ma robe? ma robe est prête c'est la seule chose de prête d'ailleurs et toi tu en es où?

J'avançais une chaise près de mon aimé. Glissant ma main sur la sienne.

Peut-être que vous pourriez vous installer à table? Ainsi vous pourriez en mangeant boire à votre santé. Messire Lavatar je me nomme MorteAdèle. Appelez moi juste Adèle si vous voulez.

- Très bonne idée ! Tu es parfaite Nourrice. Je n'ai pas très faim, mais au moins un repas tous ensemble sera très bien.

Je la regardais mettre la table, posant ma tête en arrière sur le dossier de la chaise, vivement que je m'allonge je me disais, puis me levant d'un bon je courrais aux latrines.

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Lavatar
- Il n'est pas bien dans ton état Lavatar de boire...Hors de question !!

Lavatar sourit... Voilà donc un avant -goût de ce qui l'attendait avec le mariage... héhé, soit, puisqu'il fallait en passer par là pour mériter ses caresses, Lavatar, bien que légèrement dépité, repoussa le verre que lui tendait la nourrice...

Ma robe? ma robe est prête c'est la seule chose de prête d'ailleurs et toi tu en es où?

— Et bien, le tailleur est passé avant hier.. a pris les mesures, et je devrais faire les premiers essayages la semaine prochaine... Héhé, tout cela va bon train ! J'ai aussi envoyé moult faire-part et je n'en ai pas terminé ! Il faut dire que j'ai eu à faire...

Il se toucha la blessure qui le rappelait à lui...


Peut-être que vous pourriez vous installer à table? ....Messire Lavatar je me nomme MorteAdèle. Appelez moi juste Adèle si vous voulez.

— Adèle, oui , cela ira très bien... J'espère que vous mangerez avec nous ? La table est bien assez grande et garnie ...

A peine assis, avec l'aide précieuses de ces dames, Gwillou ayant monté les bagages à l'étage, il eut la surprise de voir Meiline courir et se précipiter vers le jardin...

Il haussa les sourcils , tout en regardant la porte puis Adèle

— Mazette ! Je ne me rappelais point que les envies des femmes fussent si pressantes... je pensais à une légende ! Crénom de Zeus, heureusement que le temps s'est radouci et que j'ai taillé les herbes dernièrement... Elle n'y trouvera pas les habituels serpents !
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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
--Mortadel_nourrice
La Nourrice regarda la petite s'en aller à vive allure. Un regard vers cette porte qui claque puis un autre vers son promis.

- Sûrement une envie pressante. Si tout ce petit monde veut bien prendre place à table, il commence à se faire tard et messire vous devez vous reposer.

Quand demoiselle Meiline fut revenue après plusieurs minutes, elle s'excusa et s'installa à table avec tout le monde.

- Je prendrais plaisir à diner avec vous tous, je vous remercie. Après le mariage je repartirais auprès des parents de la demoiselle, avez vous besoin de quelque choses pour ce soir?

Je servais un bon vent de pays, puis j'attendais que Lavatar ou la demoiselle lève son verre afin de leur souhaiter par la même occasions beaucoup de bonheur.
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