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[RP] Chez Alwenna et Lavatar, 9 rue des Remparts

Lavatar
Lavatar attendit patiemment que sa promise revienne... Il se mit de côté pour ne point plier sa blessure et c'est à moitié couché sur la chaise qu'il prêta attention aux paroles d'Adèle.

- Je prendrais plaisir à diner avec vous tous, je vous remercie. Après le mariage je repartirais auprès des parents de la demoiselle, avez vous besoin de quelque choses pour ce soir?

— Pour ce soir ? Crénom de Zeus ! Que vous vous asseyiez enfin et que vous profitiez de ce splendide repas... je suis impressionné par ce que vous avez fait chez moi.... et tout cela sent si délicieusement bon !

Le chevalier sourit à Meiline qui s'installait à ses côtés, le fixant avec des yeux à faire fondre l'acier le plus dur... Il prit le verre que lui tendait la nourrice et leva son verre ..

— Aux femmes de Bretagne !! car sans elles, nous ne serions rien... A Adèle , pour sa gentillesse et ce bon repas... et à ma belle , pour le rayonnement qu'elle apporte dans ma vie !

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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
Meiline
Je levais mon verre et non sans ajouter dès qu'il eut terminé sa phrase.

- A notre mariage, puisse celui-ci être sincère chaque jours qu'Aristote voudra bien nous donner.

Je trinquais de bon coeur, puis je trempais mes lèvres avant de regarder mon assiette et de soupirer en moi-même en me disant "encore manger.."

- Nourrice j'espère que ton séjour parmi nous sera agréable, trugarez de choyer mon époux, tu es la bonne fée.

Je posais ma main sur la cuisse de mon tendre, la frottant légèrement puis je l'enlevais. Je m'inquiétais toujours pour lui c'était ainsi..
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Lavatar
Le repas fut agréable et les discussions filèrent bon train à propos de leurs familles respectives.. Lavatar était admiratif des parents de Meiline…
Pendant la jeunesse de Lavatar, son père avait été souvent absent, traînant ses armes et armoiries dans le Royaume d’Aragon, livrant bataille contre les nobles castillans… Sa mère, beaucoup plus présente à son grand dam, ne semblait être là que pour le harceler et le dénigrer…
Elle trouvait Lavatar trop grand , trop bougeon, trop téméraire, trop indépendant… enfin, trop de tout… et tentait de lui inculquer les bonnes manières à coups de fouet et de privations… De tout cela, il n’en parla pas à ses compagnes de table… Il préféra louer les nombreuses qualités qu’il avait entrevues chez les parents de son aimée, Xoff et Aerinne… et il était heureux de bientôt les revoir pour les épousailles…

Vint l’heure de se coucher… Le chevalier était repu et le bandage le serrait maintenant qu’il avait rempli le ventre de ses délicieux mets. Les dames se levèrent, débarrassèrent la grande table de châtaigner et pendant qu’Adèle préparait les deux couches, côte à côté, mais plaçant entre les deux un banc représentant une immense barrière infranchissable, Lavatar s’assit sur le coffre installé devant la cheminée, commençant à délacer sa chemise pour se défaire du bandage…

Il invita Meiline à s’asseoir à ses côtés…


— Mon amour…. dis-moi, comment vois-tu notre futur ?... je veux dire … après nos épousailles et notre voyage de noces …

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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
Meiline
Je regardais curieuse et surtout peureuse sa blessure, j'avais hâte qu'elle se soigne. Je l'aurai bien aidé mais je pense qu'il préférait s'occuper lui même de sa blessure.

Pendant ce temps, j'enfilais une longue tenue de nuit bien épaisse, puis je me glissais sous la couverture. Quand il m'invita à s'approcher de lui, je ne pouvais résister j'avais besoin de me rassurer sur sa blessure, je m'approchais.

Il gérait son bandage et le changement de pansement comme un maitre, je fis un sourire, émue.
J'inclinais la tête quand il posa sa question.


- Après notre mariage, après notre voyage de noces.


Je marquais un temps d'arrêt, comme un arrêt sur image, je n'avais pas du tout réfléchi à ça, est-ce que ca se réfléchi déjà?


- Je ne sais pas du tout, tu veux dire dans notre vie? ou nos fonctions? Les deux?


Je glissais ma main dans la sienne.


- Déjà il y aura toi et moi c'est déjà bien. J'aimerai bien revivre près de mes parents..Mais ca ne sera pas possible je crois.. J'aimerai bien un enfant, mais tu en as déjà assez..J'ai envie avec toi si possible, de politique repartir sur une liste ducale, sinon dans le plus calme, Père devrait acheter une bateau prochainement j'aimerai bien qu'on s'installe à bord, bon là c'est dans mes rêves.. et toi comment vois tu notre avenir?.

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Lavatar
Le chevalier ressentit contre lui la présence de sa belle, bien plus chaleureuse que celle de l'âtre... Il souleva son bras et le enlaça la taille de sa dulcinée.

- Je ne sais pas du tout, tu veux dire dans notre vie? ou nos fonctions? Les deux?

- Je pensais à des projets communs, mon coeur, sans aucune restriction..

Il se sentit tout chose lorsqu'elle glissa sa main dans la sienne, il la caressa tout en écoutant ses paroles pleines de désirs.
- Déjà il y aura toi et moi c'est déjà bien. J'aimera
is bien revivre près de mes parents..Mais ca ne sera pas possible je crois..

- Pas possible, pourquoi donc ? A cause de moi, parce qu'il me faudra abandonner ma forge ? Vendre mon champ ? Je peux les garder et monter une taverne à Fougères, et faire des allers et venues ..

J'aimerai bien un enfant, mais tu en as déjà assez..

- Des enfants ? Si tel est ton désir , je t'en donnerai autant que tu voudras *rires* et puis , tu sais, Lena est à Rennes... Abi et Aaron avec leur mère... Et j'avoue que les cris joyeux des enfants me manquent.. Tu vois, je suis sans charge et bien désireux d'en avoir à nouveau...

J'ai envie avec toi si possible, de politique repartir sur une liste ducale,

- la politique ... J'avoue préférer les voies de l'armée, bien plus simples et directes... mais s'il faut t'aider dans cette voie, je serai présent...

sinon dans le plus calme, Père devrait acheter une bateau prochainement j'aimerai bien qu'on s'installe à bord, bon là c'est dans mes rêves..

- Le Très Haut fasse que je sois dans ton rêve , alors ! Voilà une chose qui ne me déplairait pas... J'ai aimé mon voyage sur Ponant... C'est sur le navire de ton père que tu voudrais aller en Italie , en voyage de noces ?

et toi comment vois tu notre avenir?
- Et bien... je le vois à tes côtés, ma belle... Que ce soit en armes ou en paperasses politiciennes, à Vannes ou à Fougères, avec des dizaines de marmots voulant jouer au dragon ou à la dinette, ou sur un navire en partance pour quelque pays exotique... Oui , l'avenir , je ne peux le concevoir qu'en voyant quotidiennement tout doux sourire et tes yeux renversants..

Disant cela , il déposa un baiser sur son front et lui sourit, attendri. Il ajouta :

- Quant à mes projets personnels, qu'ils soient les études ou la Légion, je pourrais bien les continuer à mon rythme et à distance si nécessaire... Les deux ne sont en aucun cas incompatibles avec les tiens... Je t'aime, voilà tout ce qui compte... et quoi de plus motivant que de partager ses projets avec l'être aimé...
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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
Meiline
Posant ma tête contre son cou, dans ses bras, tout contre lui quand il me serre contre ça, la terre peut s'arrêter de tourner, la pluie peut bien ravager nos villes, je ne bougerais pas.
Je l'écoutais, plus il parlait plus les rythmes des battements de mon coeur s'accéléraient.

- Avant de vouloir une chose, je pense surtout à toi, pour pas te bousculer, je sais que Vannes c'est toute ta vie, je ne peux pas, ne veux pas t'enlever à ta terre à ta maison, à tes amis. Concernant l'agrandissement de notre famille, ça arrive plus vite que prévu parfois et si tu n'en veux pas juste faudra faire attention, je n'ai pas envie d'un enfant non désiré vois-tu.

Ceci était un autre sujet, pas un projet proche, je caressais sa joue, tendrement, prenant son menton du bout des doigts pour lui poser un baiser passionné.

- Je sais aussi que tu as tes envies, tes projets qui deviendront les nôtres, pour ce voyage en Italie comme je t'ai dit il faut que je vois à pas mal de chose et ca ne sera que dans plusieurs mois, sauf si on en trouve un autre entre temps.

Un sourire taquin sur mon visage, quand on veut on peut !

- Dans quelques jours, je deviendrais ta femme, tu deviendras mon époux, un jour tu seras le père de nos enfants, fin un seul me suffit, pour le meilleur et pour le pire que jusqu’à jamais nos existences restent unies.
Tu fais et tu feras dorénavant toujours partie, de chacune de mes pensées, de mes projets, de mes rêves et de chaque moment de ma vie.
Toi mon adoré, mon unique amant, mon inspiration et mon incessante admiration, dans tes bras chaque jours j'y serai.
En tout cas, je ne peux pas vivre sans toi dans un monde où tu n’existes pas, dans un monde où je ne suis pas avec toi..


Ecrasant ne larme à la naissance de mes yeux, j'étais émue et également je sentais le trop plein de stress des dernières semaines s'en aller.

- Lavatar, si à chaque seconde que je pensais à toi une fleur poussait, le monde serait un immense jardin..et nos enfants pourraient y gambader sans danger.
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Lavatar
La nuit suivait son cours , mais le couple de tourtereaux était désormais en dehors du temps et de l'espace... Il n'y avait qu'eux et les paroles que Lav' buvait comme de l'eau bénite chouchénisée...

Ils étaient d'accord sur tout, peut-être pour la première fois ... Le chevalier se sentait rassuré, ému, et des ailes lui poussaient ... Il l'aimait comme un oiseau aime le ciel et la liberté, pleinement et naturellement...


— ...je n'ai pas envie d'un enfant non désiré vois-tu.

— Je te comprends , et je n'en voudrais pas non plus... mais je sais que de toi ne peut découler que beauté , amour et perfection...aussi, cet enfant sera le bienvenu, et je saurais attendre que tu sois prête...

Le grand légionnaire à la chevelure d'or sauvage sourit... Il aurait pu continuer toute la nuit ainsi , et bien d'avantage... Il se sentait si bien, si reposé, si confiant...

- Lavatar, si à chaque seconde que je pensais à toi une fleur poussait, le monde serait un immense jardin..et nos enfants pourraient y gambader sans danger.

— Si le monde était un jardin, il n'y aurait qu'une fleur digne de ce nom... Meiline... et je serai son bourdon, pardi !!!!

... Le rire réveilla quelque peu sa blessure qui le rappela à l'ordre, cruelle chaperon de la mi-nuit... Il la regarda fixement, éperdu d'amour, et s'allongea à la lumière des flammes... Voilà longtemps qu'Adèle était montée dans la chambre d'amis... Il poussa le banc vers le haut puis se coucha sur le côté, ne pouvant se résigner à la quitter des yeux alors qu'elle prenait place sur sa couche, rapporchant doucement le matelas de lin...

— Plus que dix jours, mon coeur, et mon rêve, notre rêve, se réalisera... Da garan !, ma sirénette....

Il tendit sa main, caressa sa joue et lui sourit , les yeux enflammés...

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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
Meiline
Je m'installais contre lui, doucement, de dos, je fermais les yeux mon coeur qui continuait sa folle cavalcade habituelle.
La barrière entre nos corps étaient nos simples habits, il allait falloir se réveiller avant la nourrice, si on ne voulait pas qu'elle se questionne.
Son bras se levait et m'entourait, me serrait contre lui, je me sentais si bien, en sécurité que demander de plus.
Notre première nuit ensemble sous un toit, dans un lit, une porte fermée, une simple nuit.


- Da Garan Lavatar, il va falloir que j'invente d'autres mots, car je me répète..

Je fis un sourir en moi-même, puis sa phrase se répétait en boucle dans ma tête telle une douce mélodie "plus que dix jours..et mon rêve, notre rêve.. se réalisera...".
Paisible et heureuse d'être sienne bientôt, je m'endormais tout contre lui.

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--Mortadel_nourrice
Il était tôt quand je me réveillais dans cette somptueuse chambre d'ami. Il restait que quelques jours avant les préparatifs des épousailles, il fallait encore que la demoiselle termine sa commande sans doute sans oublier les troubadours et le repas, les tonneaux.
Il était l'heure d'aller préparer le déjeuner. Je descendais les escaliers, quand dans la pénombre, mes yeux distinguait deux personnes l'une contre l'autre.
Ma main sur la bouche je réprimai un cri.
Que faire? La demoiselle était en âge, la tête sur les épaules, non je ne dirais rien, je vais faire comme si de rien n'était. Puisse le Très-haut leur pardonner s'ils avaient consumés avant le mariage.

Faisant du bruit volontairement dans la cuisine, je préparais un copieux petit-déjeuner pour la petite famille.
Meiline
Je m'éveillais lentement, les yeux encore endormis. Des bruits de verres, des grincements, je clignais les yeux avant de les ouvrir en grands. Je remuais lentement mon aimé et lui murmurais tout bas.

- Lavatar, Lavatar nom d'une pipe réveilles-toi....La Nourrice..elle est réveillée !! Si tu veux je lui demande de se rendre au marché..et on passe au baquet...Chuuuuut


Je posais mes lèvres sur les siennes descendant le long de son cou, taquine, caressant sa peau du bout des doigts, je soupirais.. avant de sauter de la couche comme si une guêpe venait de me quitter.
Essayant d'être présentable, je regardais ma tenue de nuit que je resserrais puis j'allais en cuisine, m'étirant.


- Demat Nourrice, bien dormi ? Que nous prépares-tu de bon?


Je posais sur son front une bise avant de respirer la bonne odeur du déjeuner de ce matin, je m'installais à une place qui était en plein soleil, rêvassante de la nuit précédente..
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Lavatar
- ....tar, ....vatar ...om d'une pipe .....La Nourrice..elle est réveillée !! Si tu veux je lui demande de se rendre au marché..et on passe au baquet...Chuuuuut

Le chevalier passa du flanc sur le dos et grogna légèrement...

— MMMMMMMmmmmummpf !!!! Gné ? Oui ?.... Aaaaah, la nourrice... très bien la nourrice... oui, qu'elle achète un biquet au marché... Hummmpf....

Il sentit alors un doux baiser se déposer sur sa bouche... et ouvrit enfin un oeil encore endormi..

— Oooooh... oui, bien sûr, corne de bouc !!! le baquet !

Leurs paroles de la veille lui revinrent vite en mémoire... Yeux bandés.. baquet... toilette... La dame nourricière dehors... Voilà de quoi mettre en appétit un grand gaillard comme Lavatar, qui aimait décidément bien ces matins...!!

Il regarda le corps de sa belle onduler avec grâce sous sa chemise et sourit avec malice.
Après le parfum de sa belle, les odeurs de déjeuner eurent raison de sa paresse matinale...


— Adèle..? Etes-vous sûre de vouloir retourner chez les parents de Meiline ? Vous n'avez jamais penser à vous installer à Vannes ? ... Héhé...

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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
--Mortadel_nourrice
Les deux complices se levaient enfin, ils s'installèrent chacun à une place afin de déjeuner. J'avais tant à faire encore.

- Il faut manger, prendre des forces, vos épousailles arrivent à grands pas. Je vais préparer le baquet si l'un de vous ai envie de se laver après le déjeuner et je vais remettre du linges propres.

Tournant les talons prête à quitter la pièce.

- Non Messire Lavatar, je suis au service des parents de demoiselle Meiline depuis si longtemps, je ne veux pas les quitter. Cependant si un jour cette maison est remplie de cris d'un enfant je reviendrais vous aider si besoin est. Je vais me rendre au marché dans la matinée , Demoiselle avez vous besoin de quelque chose et vous Messire, pour pouvez y réfléchir je reviens.

Je leur adressais un sourire avant de m'en aller dans l'autre pièce.
Lavatar
Le chevalier attendit que la porte d'entrée se referme pour attirer à lui sa douce promise.... Il sentit le désir grandit en lui et embrassa tendrement son cou et la naissance de son épaule.

— Bonne idée , que ce baquet auprès du feu... tu as toujours des idées succulentes ! Crénom de Zeus, je me sens une force de lion ! ohoh , crotouille , faut que j'enlève ce pansement ... Groumpf !

Il s'écarta doucement et commença à délacer sa chemise... le sourire coquin et le regard brillant...
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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
Meiline
Pendant qu'il délassait sa chemise des mots me reviennent en tête "je reviens". Je grimaçais j'avais trèèèès envie de passer un doux moment avec mon promis.
Je levais ma main caressant sa nuque et je descendais lentement sur ses épaules, ma main se fit douce et aimante.


- Est ce que ca va mieux? As tu encore besoin de pansement ?

Je me penchais afin de mieux regarder, posant mon index autour de sa blessure sans la toucher, effleurant sa peau si douce qui me donnait envie de l'explorer plus en détails.
Puis posant ma tête sur son épaule je murmurais à son oreille.


- Un bain ne te fera pas de mal, ca va te détendre.

Je croisais son regard, si mes yeux avaient été des mains, elles l'auraient déshabillé en quelques secondes.

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Lavatar
Lavatar soupira de bonheur en sentant les fins doigts de Meiline glisser le long de son échine….. puis légèrement se poser autour de sa plaie qui était presque cicatrisée..

- Est ce que ca va mieux? As tu encore besoin de pansement ?

— Un pansement ! Ma foi oui, mais après le bain, mon amour de princesse ! Oui, je pense que nous pourrons danser pour nostre mariage, héhé, un petit bransle bien enlevé !

- Un bain ne te fera pas de mal, ca va te détendre.

— Me détendre… ? * sourire * Hummm… oui… mais pas trop… Tu sais que je t’aime, toi !....

Il avança son visage vers le sien et déposa un tendre baiser sur ses lèvres quémandeuses.

— alors ? Qui commence à entrer dans le baquet ? Moi ?.... ou toi ?...

Le chevalier se pencha alors vivement vers le baquet, puis une pleine poignée d’eau dans son immense main et aspergea son aimée de plein fouet, en riant comme un enfant !

SPLAAAAAAASH !!!!!!

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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
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