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[RP] Chez Alwenna et Lavatar, 9 rue des Remparts

Meiline
SPLAAAAAAASH !!!!!!

Je plissais les yeux, trempée jusqu'aux os. Je me disais qu'il ne perdait rien pour attendre. Prenant l'air de rien, remontant ma tenue de nuit légèrement des deux mains jusqu'au dessus des genoux, me reculant afin de ne pas chuter.

- Un petit bransle ? Si je me souviens bien c'est ainsi non?

Je ne savais pas trop danser mais les cours que j'avais pris jadis à Fougères me revenaient peu à peu.
Je m'essayais donc c'est parti et un deux petits pas à gauche et un grand pas à droite. et deux petits pas à gauche et un grand pas à droite.


- Moué pas top, mais ca va le faire on terminera par la pavane, c'est plus lent et au moins c'est collectif j'aurai moins l'air cruche.

Je rigolais de bon coeur, me tenant assez loin de lui et comme il m'avait trempée il fallait bien qu'avant que je ne chope la mort que je me débarrasse.

- Donc comme ça tu m'as trempée. Hummm...Reste à ta place tu es très bien, je passe au baquet avant toi !!!

Je lâchais ma longue tenue de nuit, la laissant retomber sur mes jambes longues et fines, je ramenais mes mains au lacet entourant ma poitrine que je délaçais.
Mes gestes étaient lents afin qu'il effleure ma peau de ses yeux et non de ses mains, qu'il se souvienne quand il se tiendra loin de moi en pensant que je ne lui manque pas, un homme à toujours un manque tôt ou tard de la peau de sa tendre épouse.

Je laissais glisser au sol ma tenue, j'étais nue, entièrement nue face à ce baquet, je lui adressais un sourire, enjambant le linge au sol puis je montais dans le baquet.
Je m'installais, assise dans un premier temps puis posant ma tête sur le rebord, tout en fermant les yeux.
L'eau arrivait à hauteur de ma poitrine laissant la moitié de mes atouts à la vue de mon cher et tendre, qui rigolait comme un enfant mais il avait eu la super bonne idée de me mouiller, maintenant il allait être spectateur, douce punition pour l'éclabousseur.
Finalement sans lui bander les yeux c'était bien plus marrant.


- Diantre qu'elle est bonne. Je me sens finalement détendue moi, pas toi?

J'ouvrais les yeux, un regard taquin et coquin, arborant un joli sourire en coin.
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Lavatar
- Donc comme ça tu m'as trempée. Hummm...Reste à ta place tu es très bien, je passe au baquet avant toi !!!

Le chevalier sourit… Cela était bien ce qui avait été prévue ma veille. Mais le spectacle auquel il assista par la suite le laissa pantois d’émerveillement…

Elle était là… sublime… permettant longuement à sa chemise de glisser sur sa peau exquise… découvrant son corps aux mille atouts, l’œil charmeut tout autant que moqueur…

Il savoura cet instant où la belle aux yeux langoureux se laissa fondre dans l’eau… cachant tout en les dévoilant les promesses des voluptueuses nuits qui les attendaient.

Il s’approchant, sourire aux lèvres, mains inopérantes, prêt à répondre à la première invitation d’un savonage intime… au premier regard aguichant.


- Diantre qu'elle est bonne. Je me sens finalement détendue moi, pas toi?


Détendu ? Lui ? Les flammes de l’enfer lui brûlaient le bas-ventre, et la situation était plus que tendue… prête à craquer même !
Tonnerre de Dieu ! Cette femme est un embrasement perpétuel !!!! Que le Très Haut me pardonne si je ne suis qu’un homme….

Et le sourire enjôleur apparut… délicieusement émoustillant…


— Moi.. Tendu ? Nonon… Par contre, si tu désires un petit massage de légionnaire, héhé, je suis ton homme ! Oups ! Crénom de Zeus ! J’oubliais quelque chose !

Il alla vers la porte et tira le verrou de l’intérieur… Il valait mieux que certaines choses ne se fassent pas aux vues de cette chère nourrice…
Il revint, grand sourire fossettes éclatant et une lueur pleine de sensualité dans les yeux… Il se dit que le baquet était bien petit, aussi, au cas où, approcha-t-il une peau de loupet une d'ours qu’il posa au bas de la bassine.


— Hummm…. Lorsque tu sortiras, tes pieds me remercieront de tant de douceur…


Il s'accroupit , posant les mains sur le bord du baquet de bois et déposa sur ses lèvres le plus tendre des baisers.
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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
Meiline
Quand il se déplaça jusque la porte, je fis un sourire, un sourire qui en disait long, voir qui ne disait rien. Il avait pensé au verrou, pas bête l'animal.
Mon regard se posait sur lui, détaillant chacun de ses mouvements que ses vêtements épousaient avec tant de précision, je ne pouvais empêcher mon regard de s'attarder sur son fessier, je me pinçais la lèvre machinalement.


- Je te remercie au nom de mes charmants pieds d'avance de ta délicate attention pour eux.


Mes yeux se promenaient sur lui, je me disais à cet instant que la peau aurait bien servie à autre chose, mais bon...
Pour le moment, j''avais envie de découvrir ce qu'il cachait sous ses vêtements. J'allais tenté de lui faire enlever encore fallait-il trouver le bon stratagème.


- Et tu comptes me masser voir venir au baquet..habillé? Non car tu sais tu risques de te mouiller..Les vêtements humides sur le corps tu sais ce n'est pas bon et j'en sais quelque chose n'est ce pas !

Il s'approcha lentement et posa un baiser sur mes lèvres, je profitais du moment avec délectation, passant le bout de ma langue sur celles-ci pour en dessiner leur contour, dévoreuse de lui, désir de lui...ma poitrine durcissait, je commençais à découvrir mon corps petit à petit et les effets qu'il avait sur celui-ci.
Je fermais les yeux et je me laissais porter au loin dans mes rêveries.
Puis, me revient à l'esprit l'idée de son massage, c' était une bonne idée mais était-elle sage? En même temps je suis Sage de Bretagne mais pas sage !
Je sortais un pied de l'eau, le posant sur le rebord.


- En parlant de pieds, peut être voudrais-tu commencer ton massage de Légionnaire par eux?
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Lavatar
- Et tu comptes me masser voir venir au baquet..habillé? Non car tu sais tu risques de te mouiller..Les vêtements humides sur le corps tu sais ce n'est pas bon et j'en sais quelque chose n'est ce pas !


— Roooo, comme tu peux voir , ma liquette ne tient que par un lien de cuir et … hop ! Elle ne tient plus ! * il la jeta au loin, dans un aguste geste plein de désinvolture. Il avait déjà retiré son bandage et sa cicatrice était maintenant à l’air, dévoilant la taille de la morsure du duel * En voilà une qui ne sera pas mouillée !


Le chevalier s’avança encore, admirant ces courbes qui se prélassaient dans l’eau… Il sentit le désir le gagner à grande vitesse et se vit maintenant bien mal à l’aise… habillé.
Lavatar entrouvrit alors sa bouche amoureuse et glissa une langue coquine entre ses lèvres carminées… Il ferma les yeux, prêt à laisser quartier libre à ses baladeuses de main lorsqu’un clipotis le tira un instant de son emprise.


- En parlant de pieds, peut être voudrais-tu commencer ton massage de Légionnaire par eux?


Il sourit… Se détacha avec regret de sa gourmandise et se rendit à pas de cygne à l’autre bout du baquet. Ma foi, pourquoi pas, se dit –il…. la vue sera tout aussi ravissante…


Il saisit son pied avec délicatesse , le tira doucement à lui, commença à le masser lentement en le posant entre ses cuisses… Il sourit grandement , l’air espiègle, et ajouta :

— Alors, cela fait du bien ? Rooooo, ton mollet me semble bien fatigué… il est bien tendu...je m’en vais le dorloter aussi…

Il allongea son geste jusqu’au derrière du genou, et continua le massage sans la quitter de ses yeux brûlants… enfin, par moments , une petite mignonnerie du regard les faisait basculer là où l’eau, de ses vaguelettes audacieuses, venait caresser sa délicieuse poitrine, et ses douces éminences pointaient toutes guillerettes… ou alors sa vue déviait un peu plus bas où, à travers la transparence de l'onde se devinait une fine et exquise toison… qu’une main fine et taquine cachait par moment.

— Un peu plus haut, mon cœur ? Je crains que mes braies ne se mouillent aussi, si j'allonge encore un peu la distance....

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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
Meiline
[Quelques jours plus tard]

Je profitais de l'absence de Lav qui est sur les remparts pour rentrer en catimini. J'allais ranger un peu sa maison, effacer mon passage, nettoyer, aérer, mon parfum devait quitter cette pièce.

Je devais faire vite, le temps de terminer de faire mes malles, le moindre bruit me faisait sursauter, je ne voulais pas le croiser, je ne voulais plus le revoir.

Un dernier regard sur cette maison que je n'ai pas connu longtemps, un sourire en regardant certaines pièces.
Je devais me dépêcher j'avais juré à Anthon de ne pas m'éterniser, c'était préférable pour tout le monde.

Je refermais la porte derrière moi, je fermais la porte comme lui avait fermé celle de notre relation. Un murmure "Kemiad Lav, Adieu Lav".
Un autre avenir m'attendait, lui n'avait pas su me garder, il n'avait pas voulu me garder, tant pis un jour un autre le fera, comme une autre le fera.

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Lavatar
Lorsque Lavatar rentra chez lui, il trouva la maison bien vide... Plus rien...
Elle était passée en coup de vent , avait emporté ses affaires, ses coffres , sans rien lui dire, pas un mot.. telle une pie, elle avait préféré le faire en son absence...

Seuls restaient les souvenirs des moments heureux... la cheminée, les peaux de loups , les matelas qui restaient là... Il sourit en voyant le baquet... Un autre, il s'en doutait bien , avait prit sa main et son coeur, peut-être même était-il venu l'aider, sourire aux lèvres et paroles doucereuses... Il se doutait bien de qui il pouvait s'agir... Il espérait seulement qu'elle serait heureuse avec lui.

Quant à lui, il posa son épée, défit son lourd manteau et s'allongea sur le dos, face à l'âtre éteint... Il allongea le bras, trouva le matelas à ses côtés vide et sentit un grand trou dans son coeur... Pfff....

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Lavatar
Le lendemain, il trouva un mot de Meiline par terre..celui-ci aurait mieux fait de s'envoler directement dans l'âtre , misérable bout de parchemin aux mots tranchants comme une lame orientale... Lavatar sut alors que tout était bien fini...

Il s'en doutait vaguement mais il voyait bien maintenant dans quel délire son aimée était tombée. La folie la guettait, et ses réactions changeantes et destructrices avaient toujours préoccupé le chevalier au plus haut point...

Il avait tenté de l'aider , de lui expliquer les choses, de lui prouver que ses peurs n'étaient que pure invention, mais elle ne pouvait pas comprendre, tant elle s'était enfermée dans sa bulle irréelle...

Réalisant que le mariage ne pouvait se faire dans de telles conditions, il avait préféré tout arrêté, sublimant à la fois l'amour et l'agressivité de son aimée... Il pensait que le temps arrangerait tout cela... mais cette dernière missive ne lui donnait plus aucun espoir.

Il jeta la lettre dans les braises du feu endormi et ouvrit les volets... Un hennissement de Typhon l'acclama, il ferma les yeux, laissant la chaleur du soleil transpercer ses paupières et sortit se rincer le visage à l'eau du puits..

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Alwenna.
Arrêtant la charrette devant la maison bien connue, je saute en bas et regarde les enfants en souriant et murmure

Nous voila les enfants
, je prends Aaron dans mes bras et le pose a terre, puis fait de même d'Abi, jetant un œil sur Nanie je lui dis

Nanie va a l'auberge et réserve deux chambres pour le séjour.

Je lui adresse un sourire, et me tourne voyant les enfants trépignant devant la porte, et m'avance a mon tour, je toque a la porte, j'entends un grincement et la vois s'entrouvrir

Tiens me dis je Lav a encore mal fermé sa porte certainement en rentrant de taverne hier.

Je la pousse un peu plus et laisse entrer les petits, qui gambadent déjà dans la grande pièce, je regardent et leur murmure

Il est ou papa??? Mum il se cache?? Alors on va le dénicher!!


Je sors les deux gamelles de ferrailles et les deux cuillères en bois les donnant aux petits

Allez faut trouver papa!!!


N'ayant pas besoin de répéter deux fois la même chose je les vois taper avec amusement la cuillère sur la gamelle et sourit amusée, croisant les bras j'écoute la cacophonie attendant de voir le propriétaire.


BAM BAM BAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Lavatar
Lavatar venait de s'éclaircir le visage et les pensées lorsqu'il entendit un tintamarre de mille feux ! Et cela venait de son intérieur !!

BAM BAM BAM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

par les couilles boursoufflées du Pape !!!! Qui donc se permet ????

Le chevalier jeta à terre le foin qu'il destinait à Typhon et alla d'un pas vif et décidé à l'intérieur de la maison...

Crévin de la bourre !!! Que se passe-t-il donc ici ????

et là.... stupéfaction...

Deux petits marmots aux boucles d'or se tenaient devant lui, gamelle et cuiller à la main, et lui adressaient un sourire radieux...


— Pa ' ! Pa' D'ag'on ! Padagon !!!!

Fou de joie, le chevalier s'accroupit et tendit ses bras en avant... ils coururent à lui et il les serra fort contre lui, les yeux légèrement embués...

— Groumpf !!! Mais... comment ?... Abi !... Aaron !

Il les embrassa avec effusion et leva le regard... Alwenna se tenait là, debout, et l'observait tout en se triturant les doigts...

— Alwenna...? ... Oh... Comment vas-tu ? Vous avez fait bonne route ? Heu... comment se fait-il ???

Il se redressa, un enfant à chaque bras et s'avança pour accueillir la mère de ses enfants d'un large sourire... Il la serra contre lui et se recula, afin de mieux entendre sa réponse.

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Alwenna.
Restant les bras croisés, j'entends venant de l'extérieur des mots pas possible et sourit, tiens ça ne change pas ça

Citation:

par les couilles boursoufflées du Pape !!!! Qui donc se permet ????


Et je le vois entrer comme une furie, les cheveux en batailles, avant de le voir fondre devant ses enfants, aussi fou que leur papa je vois les enfants dire des petits mots encore tout hésitant, et sourit, le voyant lever les yeux sur moi je l'entends me dire dans un bombardement de questions

Citation:

Alwenna...? ... Oh... Comment vas-tu ? Vous avez fait bonne route ? Heu... comment se fait-il ???


Bien euh qu'es ce que je fais la pour commencer alors je suis venue te rendre visite avec les petits qui me réclament papa,

Ensuite oui j'ai fais bonne route et comment se fait il? pour finir c est que je m'inquiète pour mon grand ami Lav

Je souris amusée avant de reprendre

Mes réponses sont convenables, puis m'avance et le bise

Sinon je vois que cela va, j'ai des choses pour toi dans la charrette, des choses a mon souvenir que tu aimes beaucoup.

Je me tourne et ressors par la ou je suis entrée et reviens les bras chargés d un énorme cageot, le posant sur la table

Alors nous avons de la liqueur de prune, des cailles bien dodus et une tarte aux pommes, cela te conviens?,

Je pose les yeux sur les enfants et sourit les voyant accrochés a ses braies.
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Lavatar
Bien euh qu'es ce que je fais là pour commencer alors je suis venue te rendre visite avec les petits qui me réclament papa,

Regard attendri du papounet vers ses crevettes qui tirent sur ses braies…

Sinon je vois que cela va, j'ai des choses pour toi dans la charrette, des choses à mon souvenir que tu aimes beaucoup.

Alwenna sortit en vitesse, toute excitée, et revint devant les yeux aux sourcils étonnés du chevalier… Intrigué , il la suivit alors jusqu’à la table et lança un sifflement admiratif.

Alors nous avons de la liqueur de prune, des cailles bien dodues et une tarte aux pommes, cela te convient ?,

— Héhé, tu devrais passer plus souvent ! * rires * Alors, si en plus du plaisir de revoir mes petits diablotins, tu m’offres un tel repas, je t’offre quant à moi le logis !

La voyant faire une moue du genre c’est pas nécessaire, il enchaîna sans attendre.


— Ecoute, où comptais-tu dormir ? Tu sais, j’ai toujours la chambre d’amis à l’étage… Je remonterai les matelas tout à l’heure, je vois que les enfants se roulent dessus , héhé, voilà de sacrés acrobates ! Tu es donc mon invitée… et , tetete, interdiction de refuser ! sinon, je mange pas tes cailles !

Il rit, souleva une bouteille de prune pour admirer sa transparence et la reposa avec cérémonie… Il sourit à Alwenna puis à ses deux galopins qui revenaient à lui.

Bien, les enfants ! Et si nous allions voir Typhon ? Il doit se poser des tas de questions, pour son foin qui est resté à terre…et pour le foin que vous avec fait !

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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
Alwenna.
Je le regarde faisant une drôle de moue a son invitation, et je lance un

Euh... ben... quand pfiout il l'écrase de sa grosse voix de chevalier

Citation:

Ecoute, où comptais-tu dormir ? Tu sais, j’ai toujours la chambre d’amis à l’étage… Je remonterai les matelas tout à l’heure, je vois que les enfants se roulent dessus , héhé, voilà de sacrés acrobates ! Tu es donc mon invitée… et , tetete, interdiction de refuser ! sinon, je mange pas tes cailles !


Je le regarde en inclinant la tête,

Pas de négociation possible je vois, mais tu sais enfin euh j'aurais pu m'installer a l'auberge, le voyant froncer les sourcils je me dis bon tais toi Al

Posant les yeux sur les enfants mettant un branle bas de combat partout je me mords les lèvres pour ne pas rire.

Je t'avais prévenue ils font un de ces retournements dans les maisons..

Je regarde a nouveau Lav, qui regarde ses petits avec tant d'affection, et de bonheur, que je ne cherche plus a négocier pour partir a l'auberge, et l'entends lancer

Citation:
Bien, les enfants ! Et si nous allions voir Typhon ? Il doit se poser des tas de questions, pour son foin qui est resté à terre…et pour le foin que vous avec fait !


Je souris les voyant piaffer encore plus fort,

Bon alors j'accepte, je te laisse t'occuper des enfants je vais me charger de ranger les provisions et ensuite je préparer le diner, et tout le long séjour pour te remercier de ton hospitalité, je me chargerais de la maison et des repas, et c'est a mon tour de dire pas de discutions possible.


Me rendant compte qu'en disant ma dernière phrase, j'ai levé la cuillère en bois, je ris doucement, avant de me détourner et partir ranger et préparer le repas du soir.
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Lavatar
Je t'avais prévenue ils font un de ces retournements dans les maisons..

Lavatar rit…

— Aurais-tu oublié que c’est moi qui me suis occupé d’eux lors de ta longue maladie ? Ils m’ont obligé à faire le dragon, à tel point qu’en fin de journée je n’avais plus de voix ! Imagine ! Et je te parle pas des énormes châteaux de sable faits à la plage, que les vagues mettaient trois jours à démolir ! Bougeons, oui… mais surtout adorables !


Bon alors j'accepte, je te laisse t'occuper des enfants je vais me charger de ranger les provisions et ensuite je préparer le diner, et tout le long séjour pour te remercier de ton hospitalité, je me chargerais de la maison et des repas, et c'est a mon tour de dire pas de discutions possible.

— Héhé, et j’y compte bien, Alwenna ! mais demain, je ferai tôt le marché en allant à la forge.. Alexis m’a encore donné du travail, et j’aime que celui-ci soit vite fait et bien fait… et je rapporterai de quoi faire un dîner dont tu me diras des nouvelles !

Il fila aussi sec dans le jardin, car les petiots, ayant entendu le nom de Typhon , ne tenaient plus en place…

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Alwenna.
Je l'écoute me dire tout en m'affairant
Citation:

Aurais-tu oublié que c’est moi qui me suis occupé d’eux lors de ta longue maladie ? Ils m’ont obligé à faire le dragon, à tel point qu’en fin de journée je n’avais plus de voix ! Imagine ! Et je te parle pas des énormes châteaux de sable faits à la plage, que les vagues mettaient trois jours à démolir ! Bougeons, oui… mais surtout adorables !


Mon visage se ferme, et je range avec nervosité le reste des choses dans la cuisine, prenant une marmite que je pose sur l'âtre

Non Lav, je n'oublie pas,même si je le voulais je ne le pourrais pas de toute façon, chaque jour, j'ai le droit a la ribambelle de reproches, chaque jours on me rappelle ce qui s'est passé a Rennes, et chaque jours on me dit des choses qui me blessent, je te serais éternellement reconnaissante de ce que tu as fais pour eux, même si je le sais que tu as agis en tant que père aimant, j'aimerais sans jamais oublier ce que j'ai vécut que tout se qui se dit sur moi s'arrête, qu'on me laisse au moins une chance de prouver, que je ne suis pas l'égoïste que l'on dis et toute ces autres choses.


Je me tais pose les yeux sur mes deux amours,je m'agenouille et les embrasse avec amour.

Allez mes deux anges, allez aider papa, a donner a manger à Typhon.

Je me relève préférant couper court a la conversation, restant la a mes fourneaux avec ma douleur nichée au fond de moi, mais une douleur qui est devenue ma force, celle qui m'a permise de découvrir les vrais amis quand tout va mal..
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Lavatar
Lavatar donna le foin qui traînait à terre aux enfants tout excités, puis les mena à l’abri de Typhon…
Là, les mômes hésitèrent... Voilà longtemps qu’ils n’avaient approchés le grand frison noir… Mais ils furent rassurés quand le brave animal tourna lentement la tête , les renifla… et frotta ses naseaux contre leurs visages émerveillés, ce qui les fit éclater de rire…

Dans la foulée, les voyant en confiance, leur père les souleva et les posa sur le dos de l’étalon… Ce fut alors un grand moment d’émotion, lorsqu’Abi s’accrocha de toutes ses forces au cou de Typhon et lui murmura, tendrement…


— T’aime, Ti’ton… T’aime …

Lavatar sourit, les fit redescendre et rentra avec eux dans la maison
.
Alwenna s’affairait à la cuisine, un foulard noué autour des cheveux, splendide dans son rôle de grand cordon bleu.
Le chevalier lui laissa les enfants, qui se mirent à jouer avec les bûches de bois, enroula les matelas posées devant la cheminée et en maintint un sur chaque épaule…

Corne drue ! Humpf, c'est qu'ils pesaient leurs poids !

Il alla ensuite les installer à l’étage…
Un pour la chambre d’amis, qu’il occuperait le temps du séjour d’Alwenna à Vannes, l’autre dans sa chambre, le plus grand, qu’il posa sur le sommier et qui servirait pour Al et les enfants…
Il aéra la grand chambre, ouvrit la lucarne de la chambrette et descendit au rez-de-chaussée, d’où s’échappait une délicieuse odeur de cailles grillées, agrémentées d’herbes subtiles que la belle avait du trouver dans des pots de l’étagère.


— Hummmm, Alwenna…. cela sent drôlement bon ! Bien, les chambres sont prêtes ! Je pense que les enfants sont éreintés, après toute la route qu’ils ont faite, non ? et toi aussi d’ailleurs… Ont-ils déjà mangé ? Tiens, regarde, Aaron baillotte sur la peau de d’ours ! Il s'accroche aux poils comme s'il s'agissait de mes cheveux ! Héhé, l’est pas mignon ?
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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh
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