[RP] Chez Alwenna et Lavatar, 9 rue des Remparts

Lavatar salua son ami... Il le regarda monter les escaliers et tourner sur la gauche, en direction de la chambre d'amis... Les enfants dormaient dans la grande chambre et Alwenna s'était assoupie devant la cheminée ...

— Bonne nuit, Cel... Si tu as besoin de quoi que ce soir, n'hésite pas... je serai là, devant la cheminée.

La table était propre et la vaisselle dans le baquet.. Il la ferait demain, lorsque tout le monde serait réveillé. Là, hors de question de faire du bruit...

Il s'assit à côté d'Alwenna... Garda ses yeux fixés sur elle un long moment, suivant la courbe de ses lèvres qui dessinaient un léger sourire sur son visage encore juvénile... Elle avait l'air sereine, enfin reposée, malgré sa journée de cuisine... Il hésita puis décida qu'elle ne pouvait passer la nuit sur le fauteuil...

Il se leva, passa un bras sous les siens, l'autre sous ses genoux, et la souleva lentement, suivant des yeux les mimiques de son doux visage, s'arrêtant lorsque ses paupières diaphanes remuaient un tant soit peu...
Il embrassa son front, sourit et , sans faire de bruit, grimpa les escaliers pour la déposer sur le lit familial...
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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh

Dans mon sommeil, je sens des bras me soulever, je cligne légèrement des yeux, n'ayant plus la force de les ouvrir, me sentant transporter puis déposer dans un lit douillet, je me laisse border comme une enfant, et plonge dans un sommeil lourd et sans rêves comme depuis de longues semaines.


[Le Lendemain]

Je cligne des yeux, les ouvrant doucement je vois un rayon de soleil, transpercer les lattes des volets, je tire le drap, et me sort du lit en m'étirant, je regarde autour de moi apercevant mes deux petits bouts déjà bien droit dans leur lit, et sourit

Bonjour mes anges,

Je me lève et me dirige vers eux, les enlaçant de mes bras et les embrassant avec amour

Je vais me préparer et je reviens vous cherchez mes amours, soyez sage.

Je me dirige vers la salle d'eau, faisant une toilette rafraichissante, j'enfile une tenue printanière, et relève mes cheveux dans un chignon sauvage, puis repart dans la chambre préparer les deux petits monstres qui s'impatientent.

Chut vous allez réveiller papa,

Les prenant dans mes bras, je redescend avec eux passant devant la cheminée, je souris tendrement en voyant Lav encore endormi et pose doucement les enfants

Allez mes petits anges, allez réveiller papa avec douceur.

Je les vois trottiner jusqu'à lui, et l'assaillir dans des petits cris d'amusement, je souris de plus belle, et me dirige vers la cuisine faire du rangement, en attendant que toute la famille rejoigne la table du déjeuner, faisant chauffer lait au miel et eau pour la tisane, je sors confiture, et brioche que j ai préparé la vieille, disposant bol et tasse, sur la table, une fois l'ensemble fais je m'approche de la pièce principale, m'appuyant sur le mur, je les regardent tout les trois les couvrant d'un regard tendre.
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Lavatar faisait un beau rêve.. Il se voyait sur la Mélusine, lançant une cordelette au bout de laquelle il avait fixé un hameçon gros comme son poing garni de trois anchois aux yeux aguicheurs.
La pêche s'annonçait bonne car déjà un banc de bonites suivait le navire, la langue pendante et l'oeil alerte. Athris tenait la barre, Saphyra servait de figure de proue, avalant les vagues qui lui ressortaient par les oreilles... les enfants tripatouillaient la réserve d'anchois qui tournaient dans un seau rempli d'eau, et Alwenna se faisait rôtir les gambettes * ou plutôt rougir, vu sa rousseur de peau * au soleil, souriante et toute pimpante.

Tout à coup, une des bonites, plus affamée que les autres, attrapa la ligne et commença à tirer sa proie loin de la Mélusine...

— Ahahaaaa !!! Ça y est, les enfants, j'en ai un !!! et un gros !

Aaron et Abigail accoururent et se penchèrent en avant...

— Saleté de morue !!! Mais c'est qu'elle tire, la bribonne ! allez, oh hiiiiiisse ! Oh Hiiiiiisse !!! A moi, les enfants !

Les deux marmousets, excités comme des puces par les éclats de leur père, se mirent à sauter avec force sur le ponton...

— Oh hiiiise, Padagon ! Oh Hiiiiise , Padagon !!!!

Plus ils sautaient , et plus le bateau tanguait et roulait.. Jusqu'au point où l'embarcation faillit piquer du nez et Lavatar avaler plus d'eau qu'il n'avait bu de chouchen dans toute sa vie de breton...

— Heyyyyy !!! Ça suffit, les enfants !!! Ça suffit !!! Arf ! vous allez faire couler la barque !

Mais les garnements riaient , criaient, sautaient , tiraient sur les braies du chevalier, sautaient à nouveau, et rien ne semblait pouvoir les calmer, bien au contraire...

Tout à coup, un énorme thon, aussi gros qu'une baleine bleue et que l'appétit de Lavatar ensemble, vint à la rescousse de sa fille et fonça vers la Mélusine ... Soulevant devant lui une vague gigantesque qui eut tôt fait de bousculer le navire..

— Crénom de Zeus !!! cette fois, c'est la fin ... Aaron !!! Abi !!! Allez vous accrocher aux girons de votre mère !!!! Je vais tenter d'arrêter ce monstre ! AAAAAAaaaaaaaaah !!!!

A peine eut-il dit cela qu'une énorme secousse souleva le frêle bateau !!! Réveillant le marin en herbe... et en sueur...

— Groumpfffff !!!! ... Gné ? ... Ah... heu... demat , les enfants... HUmpf, bien dormis ? héhé...

Le chevalier s'assit sur sa peau d'ours, le coeur encore chaviré de ce rêve si réaliste... Il sourit en recouvrant ses esprits et prit Abigail dans ses bras... son sourire le fit chavirer encore plus... Dieu qu'elle était belle... le portrait fidèle de sa mère..

— Oh, demat, Alwenna, tu es déjà réveillée ? et Celiano, est-il déjà parti ?
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Je regarde Lav, et fronce les sourcils un peu inquiète, m'approchant je passe un main sur son front,

Tu vas bien Lav? Tu as l'air tout chamboulé?

Je le regarde en dodelinant de la tête, lui sourit voyant serrer sa fille contre lui, fille qui bien sur n'en demande pas mieux,quand enfin il parle

Oui Celiano est partit, je lui ai fais un panier avec plein de bonnes choses dedans, et pour nous ce matin, je nous ai fais un bon petit déjeuner, qui nous donnera un peu de force.

Je souris aux enfants accrochés a leur père.

Ils sont heureux ici, vraiment,et moi aussi d'ailleurs alors si ta proposition est toujours d'actualité, je veux bien prendre le grenier comme appartement et toi tu récupères ta chambre.

J'attrape Aaron le serrant dans mes bras, l'embrassant avec tendresse, puis les regardant tous.

Hé bien dites moi, cela vous dis aujourd'hui que nous faisions des gâteaux, et attention on ne met pas ses doigts dans les bols!!!.

Je leur sourit et me dirige vers la cuisine

Mais avant tout en avant pour le déjeuner!!
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C'était bien le premier endroit où la brune posait les pieds, à Vannes. Elle se rappelait de tout, l'adresse, la lourde porte en bois, le doux chant des vagues, la fenêtre sur le côté et ...
La fenêtre. Elle ne put s'empêcher de regarder à travers le petit morceau de verre, et ce qu'elle vit fut un retournement de coeur et un tourbillon d'émotion ... Ils étaient là, tous les quatre, attablés, comme une joyeuse famille qui se préparait à prendre le déjeuner, comme la rêve que Lena avait fait tant de fois ... tant de fois espéré, et c'est comme si la promesse qu'on lui avait faite se réalisait comme par magie. Oh oui, elle y croyait toujours, c'était sa part de petite enfant naïve qui persistait. "Un jour, je te promet, on sera heureux rue des Remparts, avec ton père, Aaron, Abigail, et nous deux ... On sera heureuse, ma princesse ..." Et la brune, elle continuait d'espérer, encore et toujours, à cette image idéale qui lui avait filé entre les doigts ... Elle avait vingt ans, la brune, mais elle continuait d'espérer ...
"Je ne la verrais plus jamais." elle avait pensé. Mais n'était ce pas si comblant de la voir là, souriante, les enfants dans les bras, son regard vif, son coeur battant, et elle entendait sa voix étouffée par la cloison. Une, deux larmes coulèrent dans le frais matin d'Avril, et Lena toucha le petit coquillage à son cou que jamais, oh grand jamais elle n'avait perdu. Offert par sa mère, elle ne l'avait jamais enlevé de sa gorge gracile. C'est alors boulvesrée qu'elle se redressa, et doucement, timidement, toqua à la porte.
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Et sinon je suis tribun de Rennes.
Keep calm and carry on !

Levant les yeux de la joyeuse tablée, j'entends toquer la porte, déposant les petits dans les bras de Lav, je lui dis

Tiens prends nos deux petits démons, je vais aller voir, et fais attention que Aaron ne renverse pas tout.

Je souris et me dirige vers la lourde porte, tournant la grosse clinche, j'ouvre doucement celle ci, et la le temps se fige, devant moi, sous mes yeux s'inondant immédiatement, ma fille, ma Lena, ma princesse, les mots ne passes pas mes lèvres, je la regarde longuement, regard plein d'amour et de tendresse, de pardon aussi, et la serre contre moi, le bonheur inondant mon cœur, de les avoir tous prés de moi.

Oh ma princesse, ma petite fille!!!!,

Je me recule la regarde, touche doucement ces cheveux, puis la serre a nouveau contre moi.

Ma fille que tu m'as manqué, que je suis heureuse de te voir ici.

Je lui prends la main et l'emmène avec moi a l'intérieur.

Lav, Abi, Aaron regardez qui est la!!!

Je souris folle de bonheur, voyant les petits trottiner vers leur grande sœur et m'approche de Lav passant instinctivement mon bras autour de sa taille.
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Lavatar se réveillait petit à petit, il faut dire que les piaillements et remue-ménage des petiots y étaient pour quelque chose, ainsi que les bonnes odeurs du petit déjeuner d’Alwenna..

si ta proposition est toujours d'actualité, je veux bien prendre le grenier comme appartement et toi tu récupères ta chambre.

— Le grenier ??? Heu.. bah, il faudra que je le débarrasse un peu… et que je vire pigeons et chats huants… Ma foi, pourquoi pas… Et bien, c’est une fort bonne idée… Je vais l’aménager, mais c’est moi qui y dormirai ! Hors de question que les enfants et toi grimpiez par la petite échelle.. En attendant, je reprends la chambre d'amis !

Ils allaient se mettre à table lorsque quelqu’un toqua timidement…

— Tiens, qui peut frapper de si bonne heure ? Est-ce jour de paie de la laitière ?

Alwenna posa d’office Aaron et Abigail sur ses genoux et partit prestement accueillir le visiteur matianl… Lavatar commençait à peine à sortir quelques écus de sa bourse que la rouquinette revenait, la voix toute émue et guillerette.

Lav, Abi, Aaron regardez qui est la!!!

Il se retourna et écarquilla des yeux grands comme les écus qu’il tenait à la main… les enfants sautèrent de ses genoux, hurlant de joie… Il se leva, un grand sourire se dessinant à ses lèvres. Son « éclopée » vint se poster à ses côtés et le prit naturellement à la taille… Lavatar ne s’en fâcha pas, sa fille Lena était de retour à Vannes !!!

— Toi ici ??? Mais, comment cela se fait-ce ? Je pensais te retrouver au baptême d’Idana !... Viens là que je te croque !

Il tendit les bras et la serra fort contre lui, tachant de ne point écraser les deux crevettes qui tentaient de lui grimper dessus…

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Lena serra si fort sa mère qu'elle en pleura de joie. L'endroit avait un air de "chez moi" qui lui emplissait le coeur d'insouciance.
Elle la regarda, les yeux brillants, et l'embrassa sur les deux joues.



Et bien oui, moi ici ! J'ai eu envie de vous rendre visite, et puis je rentre avec vous à Rennes pour le baptême d'Ida.

La brune rit lorsque les grosses palourdes de son père l'enlacèrent alors qu'elle le serrait fort dans ses bras, encore plus quand ses petits monstres de frères et soeurs lui grimpèrent sur la tête. Elle les prit dans ses bras à leur tour, et les couvrit de baisers.

Oh, que je suis heureuse d'être ici avec vous ...
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Et sinon je suis tribun de Rennes.
Keep calm and carry on !

— Et bien oui, moi ici ! J'ai eu envie de vous rendre visite, et puis je rentre avec vous à Rennes pour le baptême d'Ida.

— Parfait ! héhé, mais si nous partons fissa, ma fille adorée , prenons le temps de boire à ta visite ! Alwenna a une prune dont tu me diras des nouvelles , puis, grande attraction, nous allions faire du pain ! Veux-tu mettre la main à la pâte ?


Oh, que je suis heureuse d'être ici avec vous

— Et nous donc... Et bien, raconte nous tout... Comment cela se passe-t-il à Rennes ? et montre moi ta médaille, héhé !
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Je souris a ma princesse, heureuse oui je l'étais comme je ne l'avais pas été depuis longtemps, tous réunis sous un même toi, je sèche mes larmes, en entendant Lav

Euh ben avec tout cela je penserais plutôt a préparation de panier pour le départ, y a du monde a nourrir sur la route, les pâtes pour les tartes sont prêtes il faut les garnir de quartiers de pommes, et il me faut quelqu'un qui coupe les tranches de jambon, mais avant tout en avant le verre de prune.

Je souris et me dirige vers la table du déjeuner, sortant trois verres et servant les prunes, levant mon verre

Alors a la notre, et au bonheur.
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— A la nôtre !!! A la famille !!!!
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[Quelques jours plus tard]

Après une nuit de chevauchée, je pose enfin le pied sur le sol Vannetais, flattant Espoir, je souris en regardant Typhon

Dis donc cela fais quelques années qu'il partage ta vie le gaillard, mais toujours aussi vigoureux.

Je souris a Lav tout en enlevant la scelle, et en l'emmenant a l'éurie, donnant a manger et a boire.

Bon hé bien eux c'est fais et moi j'ai envie aussi de la même chose ainsi que de retrouver nos petits, tu crois que Lena sera la?

Je le regarde un sourire aux lèvres et me dirige vers la maison, n'ayant pas le temps d'attendre sa réponse, la faim me tenaillant, ainsi que l'envie de revoir mes petits.

Entrant dans la maison, je surprend un calme des plus étonnants, tiens me dis-je pourtant il n'est pas si tôt que cela.

Nanie tu es la??

Je monte les marches donnant aux chambres, et pousse la porte de la leur et sourit, ils sont la endormis, mes deux anges mes deux amours, je reste un instant appuyé sur le mur la a les regarder, le coeur battant de les savoir bien, et heureux.
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Dis donc cela fais quelques années qu'il partage ta vie le gaillard, mais toujours aussi vigoureux.

— Héhé, tel maître, tel étalon !!! Je dois dire que tu montes encore assez bien… pour avoir eu deux charmants enfants !

Le chevalier sourit , amusé, et ouvrit la porte menant à l’ arrière de la maison.

Bon hé bien eux c'est fais et moi j'ai envie aussi de la même chose ainsi que de retrouver nos petits, tu crois que Lena sera la?

— Je n’en sais rien, Alwenna … J’espérais déjà la voir au baptême d’Idana… elle a dû avoir un énorme empêchement. J’avoue d’ailleurs que cela m’inquiète quelque peu…

Ils tentrèrent dans une maison bien paisible… Lavatar alla fouiller dans la réserve alors que la rouquinette montait voir les enfants.

Nanie tu es la??

Il irait les voir avant de se coucher... Le légionnaire s’'accroupit devant la cheminée et alluma un grand feu… Le temps était mitigé et les nuits cncore fraîche… et puis, il aimait regarder les flammes s’étirer à la tombée de la nuit, et la douce chaleur qu’elles prodiguaient… Il servit deux verres et attendit Alwenna.
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Ayant embrassé mes petits et laisser Nanie rejoindre son auberge, je retourne prés de la cheminée ou Lav a allumé un bon feu crépitent, je m'installe sur la peau de l'ours repliant mes jambes sous moi, et accoude mon bras sur le fauteuil, posant sur lui un regard emprunt de tendresse, et sourit avant de reprendre

Mum je vois que tu nous a servis de quoi se réhydrater,

Je lève mon verre

Alors a nous, au bonheur, au voyage, a un certain coffre, et a l'avenir,je crois que j'ai tout résumé

Je ris doucement portant le verre a mes lèvres ne le quittant pas des yeux.

Alors dis moi, toujours prés pour le grand départ?
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Le chevalier se poussa légèrement pour laisser Alwenna s'installer à son aise... Un doux parfum emplit alors les narines de Lavatar, mélange de souvenirs du passé et de promesses futures...
Il lui tendit le verre.

— Alors à nous, au bonheur, au voyage, a un certain coffre, et a l'avenir,je crois que j'ai tout résumé
—Au bonheur, et à toutes ces bonnes choses qui égayent les coeurs et .. les sens.

Il soutint son regard, étirant son sourire et plissant les yeux, pleins d"espiéglerie.

Alors dis moi, toujours prés pour le grand départ?

— Oui, nous partirons dès le lendemain du mariage de Valeyriane... Je passeraila veille prendre victuailles et de quoi nous désaltérer... La route sera longue, il faudra que nous trouvions quelques endroits où dormir... j'ai souvenir d'une cabane pleine de paille sur la route de La Tremouille... T'en souviens-tu ?
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