[RP] Chez Alwenna et Lavatar, 9 rue des Remparts

M'installant a ses cotés, je saisis le verre et trinque, ne quittant pas ses yeux, ni son sourire fossette, portant le verre a mes lèvres, je l'écoute

Je ferme les yeux un bref instant revenant bien des mois en arrière et je me souviens, je me souviens un sourire aux lèvres, de ce soir ou moi la rouquine j'ai débarqué le cœur effiloché a Vannes, ou j'ai passé la porte de la taverne de chez Centi et Doo, je me souviens de ce blondinet qui se baigner dans un baril de chouchen a s'en noyer, et du mal que j'ai eu avec Alynea a le faire monter sur le bon vieux Typhon, mon sourire s'élargit encore, je trainais dans mon cœur des souffrances, il trainait dans le sien les siennes..

Je pose a nouveau mes yeux sur lui, me perdant dans son regard,

Bien avant cette cabane je me souviens de notre rencontre en taverne le premier soir, ou tu te baigner dans un baril de chouch', a l'époque j'avais un compagnon qui se nommait Virgile une parade qui cachait les souffrances que j'avais vécues, et toi tu sortais d'une séparation douloureuse, de la est née les éclopés de Vannes, je me souviens de ce que j'ai dis ce soir la, dans la confidence a une amie, "cet homme vient d'apporter la tempête dans mon cœur, il sera le dernier que j'aimerais".

Je m'arrête un instant, lui souriant, m'approchant un peu de lui passant un doigt tendre sur ses fossettes qui me font toujours fondre comme au premier jour.

Et puis il y a eu ce voyage, et La Trémouille, cette cabane, comme si je peux l'oubliais, on devait se rendre en taverne et au final y'a pas eu de taverne, il y'a juste eu nous et cette cabane, ce soir la je t'ai dis "fermons la porte sur les gens, ne pensons qu'a nous", je n'ai rien n'oublier, car ce que nous avons vécus été unique, et restera a jamais unique, tu restera toujours cet homme qui a apporter la tempête dans mon cœur, le dernier que j'aimerais.

Je lui souris, prenant une gorgée du délicieux breuvage, le regardant comme je l'ai toujours regarder, douceur et tendresse, il a souffert je le sais, l'attendre je l'attendrais jusqu'au bout.

Ce voyage ne peut pas nous faire de mal, et nous en reviendrons encore plus fort.
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[Le lendemain a quelques heures du mariage]

Le jours se lève tranquillement, les premiers rayons de soleil pointe le bout de leur nez, je souris, un réveil plein de charme comme je les aimes, une bel journée s'annonce, je me lève, m'étire, et me dirige vers le lit des petits, les voyant déjà bien éveillé.

Bonjour mes petits, allez on va se préparé, y a plein de chose a faire avant le mariage.

Je les saisis avec douceur, direction la salle d'eau après une toilette de nous tous, je leur enfile une tenue en attendant de leur enfiler leur belle tenue de mariage, quand a moi j'enfile une robe printanière légère vue la douceur du temps actuel, et relève ma longue chevelure rousse.

Descendant les escaliers je ne vois Lav nul part,

Tiens déjà sortie me dis je en repensant a la soirée de la vieille un sourire éclairant mon visage, souvenir doux et tendre, parole échangée, parole prometteuse d'un avenir merveilleux.

Ouvrant la porte de la cour arrière je pose les enfants, prés de Kerlith et Lover, et repars dans la cuisine, voulant fêter le retour de Cel je me suis permise de le convier au repas du midi.

Sortant le cuissot de sanglier et les légumes, je prépare le tout dans une grande marmite et le pose sur l'âtre, pour qu'il mijote le temps qu'il faut afin qu'il soit fondant a souhait, a présent passons au désert far breton pour les gourmands et me voila dans la pâte mélangeant ingrédients, une fois le tout de fais et en pleine cuisson je pars m'assoir au dehors prés des petits les regardant jouer avec bonheur.
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Entendant toqué a la lourde porte je me diriges vers celle ci, et l'ouvre un sourire aux lèvres se dessinant voyant Cel.

Bonjour Cel, entre, Lav ne devrait pas tarder il est partie a l'aube et je ne l'ai pas encore revue, doit pas être bien loin, l'appel du ventre le fera revenir.

Je lui souris et me dirige vers la cuisine.

Je me disais qu'un repas dans la cour par ce magnifique temps serait bien qu'en penses tu? Bon un petit verre de prune bien frais en attendant que le grand maitre se pointe?

Je lui souris et sort deux verres, tout en ne quittant pas les enfants des yeux.

Cel je te laisses quelques instant les petits je vais vite enfiler ma robe et je redescend, vaut mieux être prêt a partir de suite après le repas.

Je file a l'étage en courant,

Ma robe, groumphh, pfiou quel truc pas possible une robe pour moi, pfiouu!!

Je l'enfile, me regarde dans le miroir, moui potable, pas trop voyante parfait, et redescend direction dans la cuisine.


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Et hop le voila tiré irrésistiblement à l'intérieur.

Un repas dehors parfait ! On a du beau temps pour une fois autant en profiter. Et volontiers pour le verre de prune.

Je vais garder un oeil sur les petits t'en fais pas.
Il la regarde filer à l'étage puis reporte son attention sur les enfants.
Ils étaient mignons les deux petits. Il les regardait en souriant puis entendit Al redescendre.

Ouah mais c'est que t'as la classe comme ça ! Il lui sourit gentiment.

Le chevalier était arrivé le pas pressé… Il avait travailler dur à la forge et était allé chez le tailleur…
Il se coiffa rapidement avec ses doigts et ouvrit la porte , guettant l’effet sur la damoiselle qui depuis quelques temps habitait chez lui…



Quelle surprise de voir son ami Celiano chez lui !

— Hey, demat, Cel ! Content de te voir ! Tu es enfin rentré ! Par les babines mouillées du Cerbère ! Qu’est-ce que ça sent bon ici !

Il s’avança et serra le légionnaire dans ses bras, puis attrapa les marmots qui déjà tentaient de grimper sur lui… Un bruit dans les escaliers… Il se retourna, les enfants dans les bras… et là… Le chevalier crut en perdre les billes qui lui servaient d’yeux ! Alwenna toute joliment dessinée par un robe plus que seyante… Il sourit, admiratif…

— Tudieu ! Alwenna ! Tu as le don de recevoir les invités ! Les enfants, vous êtes sûrs que c’est votre mère ?

Il rit et s’adressa à Cel…

— Héhé ! Je ne sais pas si tu te souviens des cailles , mais ce soir, je sens que nous allons au moins autant nous régaler !

Il embrassa puis posa les enfants à terre, et tendit sa main à Alwenna, afin de l'accompagner jusqu'à la table...
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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh

Il vit arrivé son ami Lav et content de le revoir le serra aussi dans ses bras.

C'est que tu t'ai fais tout beau aussi dis donc !
Oui je suis enfin rentré... Mais je vais pas rester longtemps à vrai dire, je crois que j'ai besoin de me voyager en ce moment.

C'est Alwenna qui avait raison, sûr que le repas allait te faire venir ici !

Il leur sourit à tous les deux, voyant un Lavatar bouche bée devant une Alwenna resplendissante.

Bien sur que je me souviens des cailles de la dernière fois, c'est qu'elle cuisine comme une vraie chef Alwenna. On va encore se régaler mon ami.

Je leur sourit prenant la main de Lav, en faisant une petite révérence,

Me voila prête pour la cérémonie j'espère que ma tenue vous plais, bon les enfants le temps que nous sommes a l'église je vais vous laissez avec Nanie ce sera le mieux.

Je prends mon verre de prune, le portant a mes lèvres puis pose mes yeux sur le sablier.

Oh euh je crois que le cuissot de sanglier et le far Breton vont attendre un eu la dégustation on va nous attendre pour la cérémonie.

Prenant la main de Lav je me dirige vers la porte.

Allez en avant sinon on va être les derniers, coulant un regard tendre vers Lav je lui dis doucement

Désolé tu vas devoir attendre un petit peu avant de gouter a mon petit plat.
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[ retour du mariage de Val et Wari]

La mort avait encore frappé.. cruellement, théâtralement, et comme bien souvent , de façon inattendue.

Wari s'était effondré dans les bras de sa promise... Il n'était plus... ne laissant que doux souvenirs et un coeur laminé par le désespoir..;

Lavatar n'avait cessé de penser sur le chemin du retour à sa petite protégée, comme il l'aimait à l'appeler... Il serait une Alwenna toute tremblotante et larmoyante... Il sentait la mollesse de ses pas, la fragilité des peu de paroles qu'elle prononçait..

Il ouvrit la porte, la laissa monter se changer dans la chambre... Nanie n'était pas là, sûrement au parc avec les enfants , à dix lieues de penser au malheur qui s'était abatu sur Val et ses aimés.

Il alla ouvrir la bouteille de prune, en but une grosse goulée..

— Al.... Tu as besoin... de quelque chose ?
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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh

Étant sortant de l'église sans un mot de plus, les mots de toute façon n'avait plus de sens dans cette situation, je suis la accrochée a son bras, mon homme, mon pilier, je sens sa force, son soutien silencieux, passant la porte de la maison, je me laisse guider jusqu'à l'étage retirant ma robe, je la laisse la sur une chaise, la regardant plus de sens, plus rien,je m'assois sur le rebord du lit posant mes mains sur mes jambes, mon ami m'a quitté, mon confident, mon épaule quand je chavirais,une larme roule sur ma joue et vient s'écraser sur ma main, j'entends la voix de Lav

Mon amour, je l'appelle doucement le voyant la devant moi, besoin de ses bras, besoin de sa douceur, de puiser sa force.

Je le sens a mes cotés, et me blottit tout contre lui comme une enfant l'aurait fais, mes larmes coulent librement et au travers de mes larmes les mots viennent

Mon amour, ma vie, je comprend a quel point je t'aime dans ce drame, a quel point je ne veut plus perdre l'homme de ma vie, tu es mon tout Lavatar, plus jamais je ne veux vivre loin de toi, plus jamais être sans toi, je n'ai jamais quitté ma bague qui m'unissait a toi car je me savais ton unique.

Je me lève et me dirige vers un certain coffre, certes nous n'avons jamais pus nous unir devons le très haut, qu'a cela ne tienne, je sais qu'il est mon homme dans mon âme dans mon cœur, je n'ai pas besoin d'un échange de vœux pour cela, j'en sort un petite poche de velours ou il y'a deux anneaux



Je glisse son anneau a son doigt, les larmes continuant de couler sur mes joues,

Mon amour, face a l'injustice de cette vie, face au malheur quelle peut produire je sais que notre amour est le plus fort, je me suis juré de t'aimer tout au long de ma vie dans cette chapelle et je renouvelle ce vœux aujourd'hui, je t'aime et t'aimerais toute ma vie, da garan mon Lav.

Je prend ses lèvres avec douceur, puis referme mes bras autour de lui gardant mon anneau dans ma main, me sentant soulagée d'avoir pu parler de tout ce que j'avais sur le cœur.
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Après plusieurs jours de marche nous voila enfin chez nous, j'ouvre les yeux doucement sentant déjà les embruns de la mer, et la fraicheur de l'air si bien connue, Vannes.., je me redresse m'étirant, regardant ça et la, avant de sauter en bas de la charrette.

Lav??? je me diriges vers la porte de notre maison, y entra avec plaisir, cherchant du regard mon ange,

Bon il doit être déjà partis a la forge, pensais je en souriant.

Ressortant je commence a sortir les malles de la charrette, quand des petits murmures se firent entendre derriere moi, je me retourne et sourit voyant mes petits anges débouler, m'abaissant je les réceptionne avec tendresse et affection, les embrassant de tout mon amour

Mes anges, mes amours, je suis si contente de vous revoir.

Puis posant mes yeux sur Nanie

Dis moi Nanie ils sont été sage les ptits monstres?
Oui Alwenna ne t'en fais pas, ils vous ont juste beaucoup réclamer pendant votre absence.

Je souris caressant la tête de mes deux petits bouts.

Bon hé bien les enfants, on va faire un jeux tous ensemble en attendant papa, nous allons découvrir ce qu'il y'a dans ses malles, comme une grande chasse au trésor.

Les voyants déjà trépigner d'impatience je souris, et a l'aide de Nanie je rentre les malles une a une dans la grande demeure.

Bien on commence par ou les enfants?? dis je posant mes poings sur mes hanches.
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Me voila déjà courant partout le soleil a peine levé,les petits galopant dans tout les coin sachant le retour imminent de leurs parents,entendant un bruit de charrette, je les regardent

Les enfants je crois que les voila!!!

J'ouvre la porte, les voyant déjà partir telle une attaque sur leur maman, et voit l'étreinte de tendresse entre parent et enfants dans un sourire.

Bonjour Alwenna, ils sont heureux de te revoir, mais dis moi ou est Lavatar?

Je m'approche d'elle déposant un baiser sur son front a cette petite rousse, a la taille menue, l'air enfantin, mais qui a tout déjà d'une femme.

Pour les enfants ils ont été adorable, mis a part qu'ils vous réclamer tout les soir, notamment leur padagon.

L'aidant a défaire les malles de la charrette je la scrute un instant, je peux vois dans son regard l'éclat de son bonheur, cet amour pour les siens, elle n'a jamais abandonnée même pendant sa maladie, et encore aujourd'hui ou certain ne trouve pas mieux de la critiquer au lieu de la laisser en paix avec son bonheur.


Alwenna, dis moi, tu m'as l'air radieuse, je penses que tu as retrouvé ton bonheur auprès de lui,.

Posant ma main sur la sienne.

Alwenna écoute je te connais depuis un certain temps déjà, et je connais ta force de caractère, et ta diplomatie, ainsi que ta réplique, on répond au imbécile par le silence, sache que tu es une jeune femme qui mérite d'être heureuse alors ne te retourne jamais sur les langues vipérines, et accroche toi a ton futur époux c'est un homme merveilleux, qui sera toujours te soutenir.

Je lui souris a nouveau, puis regardant autour de moi

Tiens dis moi en parlant de futur époux il est ou le tiens??

[Le lendemain]


L'aube vient de se lever, je m'étire doucement, glissant ma main sur le coté je souris déjà envolé mon oiseau de futur mari, sortant les jambes du lit je me lève et me diriges vers la fenêtre l'ouvrant en grand prenant une grande bouffée d'air marin,

Vannes.. ma terre, ma renaissance, lieu unique ou est né un amour absolu, merveilleux pour un homme, un unique.

Je secoue ma tête me dirigeant vers la salle d'eau me préparant pour le grand départ a la nuit tombée, il est temps de se secouer, après avoir revêtue une tenue convenable pour un voyage, braie chemise et bottes, je dévale les escaliers, les enfants avec Nanie, me laissant tout loisir pour finaliser le départ, je me diriges vers la cuisine, prenant les paniers, les remplissant de victuailles, une pensée s'envole pour mon ange, un autre sourire éclaire mon visage, oui je l'aime, même si d'autre prétende que non, cet homme je l'aime plus que tout au monde, fermant les paniers, je les dépose devant la porte.

Partant a nouveau a l'étage, je descend les malles, une femme qui voyage, c'est quelque chose croyait moi, et enfin le clou de ce voyage, enfin le clou des malles je dirais le coffre.. mon coffre.. notre coffre...



Ouvrant grand la porte je commence a ranger le tout dans la charrette, préparant aussi, les laines et coussin pour les futures nuits a la belle étoile.

Une fois le travail terminer je jette un œil a la charrette, parfait tout est prêt bon ou est mon homme me dis-je..

Lav???? je tourne sur moi même le cherchant du regard, c'est pas que je m’ennuie mais j'aurais bien aimé un baiser au réveil moi!!!
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Depuis son arrivée à Vannes, Lavatar n’avait cessé de courir à droite et à gauche, et même en profondeur (vu qu’il avait visité les caves pour ravitailler la charrette ! )…
Tout d’abord, il avait déchargé le « carosse », puis était passé embrasser ses enfants qui avaient été gardés par la brave Nanie, sans prendre le temps même de vraiment dîner avec eux, vu les préparatifs qu’il restait à faire , car ils auraient dû partir dans la nuit…

De par l’heureuse présence du frère d’Alwenna, Squall, ils avaient d’un commun accord décider de rester le lendemain à Vannes.. Le chevalier en profita donc pour se lever tôt et aller au marché faire des emplettes.

Quelle ne fut point sa surprise en voyant sa rouquinette bien affairée à inspecter la carriole, fortement chargée de divers bagages... Il s’en voulut d’être resté un peu trop longtemps à discutailler du prix des marchandises, notamment
un châle brodé du meilleur effet qu’il destinait bien sûr à sa rousse dulcinée, car il savait qu’il allait traverser des contrées où les vents pouvaient être frais et bien houleux. Le marchandage, comme le voulait la bienséance, s’étant passé autour de quelques verres de chouchen.

— Et bien, mas belle, te voilà debout bien tôt ! * douce embrassage, délicieux parfum envoûtant * Les enfants t’ont réveillée ? Tu sais, nous ne partirons que ce soir, nous aurions pu la charger ensemble ! Bien, laissons-la bien à l’abri dans le jardin, et allons déjeuner… Je suis passé à la taverne aussi, la remplir un peu, faire des commandes et laisser quelques consignes pour Lanaelle, mais il faut bien dire que je ne m’y connais point trop… d’habitude, je vide les tavernes plutôt que de les remplir !

Lavatar rit, prit sa belle par la taille et rentra avec elle… lui mordillant tendrement le cou et se disant que la vie lui souriait à nouveau…

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En avant pour Vannes - Mon sang pour Breizh

Souriant voyant l'homme de ma vie a mes cotés, je l'enlace tendrement et dépose un léger baiser sur ses lèvres.

Non me suis réveillé car tu n'étais plus a mes cotés, et tu connais mon coté frileux quand je n'ai plus mon ours avec moi.


Je lui souris taquine, lui mordillant le cou, lui jetant un regard amoureux

Tout est chargé et pour notre collation, je me suis dis qu'un diner léger serait bien, alors j'ai pris une miche de pain fraiche et un bon jambon, et en dessert ma fameuse tarte aux fraises.

Je lui souris a nouveau, entrant avec lui

Une prune cela te dis??

Servant les deux verres de vieille prune je lui tends le sien

Mon amour dis moi, je veux savoir si je te rends vraiment heureux? Si il ne te manque rien? Et si tu as des attentes particulières?

Je plonge mon regard dans le sien, attendant sa réponse.
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