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[RP]Cérémonie d'intronisation et allégeances ducale

Hansreudi
Le balafré venait de reprendre sa place au milieu de la population qui attendait que cette cérémonie reprenne enfin. Après son coup d'éclat sur la porte, ceux qui avaient été enfermées par un ecclésiaste dont le comportement semblait plus commandé par la colère que par la raison. Tous et surtout son épouse.

Au vu des réactions de certains, ses deux, trois petits coups de hache dans la porte avait fait un tollé, voir même un scandale. Il ne fallait tout de même pas chier une pendule solaire pour ça. Enfin, après tout, ce que les autres pensaient lui importait peu. Il y avait des comportements bien plus graves que celui-ci et exposés en toute impunité en place publique au vu et su de l'église elle même. Il irait chez le quincailler du coin acheter une serrure et le menuisier ferait bien un truc pour réparer le bois à peine entaillé. Il vit sa Belle venir à ses côtés, après avoir salué ses connaissances et amis. Elle s'accrocha à son bras. Lui fier comme un paon de l'avoir près de lui, le torse bombé, un rictus sur les lèvres presque de suffisance. Fier, pour sûr qu'il l'était.

Il acclama le nouveau Duc et souhaitait enfin assister à cette cérémonie qui se devait d'être sans commune mesure avec les autres. Sûr que ce n'était pas une célébration emprunte de niaiseries comme ce fut parfois...souvent le cas. Il écouta le peuple acclamer le Duc, d'une seule et même voix.

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Nebisa
Se retrouvant presque en famille, la Malemort se sentait fort en aise et d'une humeur plus qu'heureuse, le temps d"échanger quelques banalités avec son Chancelier que son vassal, le Duc de Touraine, s'avance avec sa fille...


Pierre, mon très cher, je constate que la Touraine sait toujours recevoir avec entrain et que vous êtes loin de donner dans les cérémonies fades et banales qui assomment et endorment... Une bien belle façon de recevoir couronne à son front... Toutes mes félicitations pour ton avènement sur le Trône de Touraine, j'ai toujours vu en toi un garçon intègre et intelligent, je ne doute pas un instant que tu serviras la Touraine avec ces vertus et qui feront honneur aux plus grands des Régnants t'ayant précédé ici... Sois fort en chaque instant, humble jusque dans la grandeur et n'oublies jamais quels sont tes devoirs envers ton peuple...


Prenant sa fille dans ses bras, elle dépose une bise sur son front... sa petite perle de Touraine... née en Limousin mais portant en son sang les rives de la Loire... La Malemort n'était pas surprise que son avenir se soit révélé ici, et rassurée de la voir aux cotés d'une personne fiable et loyale comme Pierre Louis... Ils étaient si beaux tous les deux, si jeunes encore et si pleins d'espérance... Un instant il lui semble sentir au creux de son oreille le souffle d'un rire venant la frôler... l'écho enfuie de son propre passé et du temps ou, elle aussi, pouvait croire d'avoir encore quelque chose à construire, croire que tout restait possible...


Ma chérie, tu es ravissante, mais ce n'est pas une surprise, tu es une Malemort après tout... Saurais tu quand nous rejoindrons l'intérieur ? Et quel est ce raffut ? Le Duc aurait engagé des bohémiens pour divertir la foule sur le parvis ?
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Burin_khazad
Une lettre cachetée du sceau de Fouchault arriva au château. Destinée au Duc, elle lui serait assurément remise au plus tôt par son porteur.

Citation:
De nous, Burin Khazad de Fouchault, Baron de Vallères et Seigneur de Saché.
À vous, messire Pierre Louis, nouveau Duc de Touraine.

Vous savez combien je suis occupé par les affaires militaires. En cela, je m'excuse de ne pouvoir me rendre au château de Tours pour faire acte de présence à cette nouvelle cérémonie. Ma place est parmi mes pairs : les gens de guerre.

Je ne puis cependant que vous adresser une lettre emprunte de vérité. Sachez que je vois en vous un nouveau Duc comme la Touraine n'a pas connu depuis longtemps. Aucune comparaison ne pourrait être faite avec la gueuse qui vous précéda. Votre début de mandat ducal est pour moi un encouragement, une vision de renouveau pour la Touraine.

Aussi, qu'il soit su de tous que moi, Burin Khazad de Fouchault, Baron de Vallères et Seigneur de Saché vous reconnaît comme mon légitime suzerain et Duc de Touraine. Je prête de nouveau allégeance à la Touraine et mets mon bras à son service comme je l'eus fait déjà pendant de longues années.

Vous trouverez en mes gens et en moi-même tout l'aide, le conseil et la fidélité que nous pourrons vous porter.

Fait à Loches, le vingt-cinq mai de l'année mille quatre cent cinquante neuf,

Burin Khazad de Fouchault



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Elisa.
[Parvis]

Toujours sur le parvis, de côté, pas trop près de la foule, mais trop près des portes non plus. Elle observait la Malemort, écoutait, même si ses jambes commençaient à devenir douloureuse. Combien de temps qu’elle était là à attendre ? Déjà trop.
Mais sa douleur fut rapidement dissipée quand elle vit son tendre Duc faire son arrivée, il se dirigea vers différent groupe et Elisa aperçue alors sa mère.
Un sourire vint inonder ses lèvres.
Pierre arriva à ses côtés, ses mains vinrent rejoindre les siennes. Elle le regardait admirative, il était gracieux, noble, d’une grande prestance. Les lèvres du Duc virent se loger à moitié sur sa joue et ses lèvres, elle frissonna, tandis que ses joues s’empourpraient de ce geste en public.
Il murmura à son oreille. Elle en fit de même.


Je vous retourne le compliment votre grâsce.

Elle lui sourit, attrapant son bras, il l’amena un peu plus en avant de la scène. Nul doute qu’aujourd’hui Elisa ne pourrait passer incognito, mais il lui avait demandé d’être présente en cette journée, elle s’était donc exécutée et avec plaisir. Pierre prit la parole, tenant toujours son bras, son regard se partageait entre le Duc et son peuple, avant de s’écarquillait quand il annonça son nom.
« L’est devenu fou ! », s’était-elle dit intérieurement… Certains badauds la dévisageaient, Elisa releva le menton, se redressa le mieux possible et garda un merveilleux sourire sur les lèvres.
Son regard croise celui de Pierre. Son regard en dit long…
« Tu perds rien pour attendre. »
M’enfin pas sur que Pierre comprenne cela avec juste un regard… Bon au moins leurs fiançailles devenaient officielles désormais. Très bientôt, ils devraient organiser une cérémonie afin de réunir amis et famille pour fêter cela dignement avant le grand jour.
Mais il n’était pas l’heure de penser à cela, sa mère vint les rejoindre.

Grand sourire de nouveau, quand elle se blottit dans ses bras. Comme les bras d’une mère peuvent être rassurant et apaisant, Elisa aurait pu y rester des heures, malheureusement et encore une fois ce n’était pas le moment.


Bonjour ma chère mère. Je suis ravie de te voir. Je ne suis que la digne fille de ma mère mélangée à un merveilleux tourangeaux comment ne pas être de toute beauté ?

Elle sourit à sa mère. Elisa parlait peu de son père, l’ayant peu connu, mais ses origines Tourangelles étaient bien présentes et la Malemort Lahaye ne s’en cachait pas… Elle était fière d’être la fille du grand Fransou, et surtout de sa mère.

La cérémonie ne va sûrement pas tarder à commencer. Le Camerlingue Clodoweck devait s’occuper de la cérémonie religieuse, je ne sais pourquoi il est parti…
Le curé de Chinon a fermé les portes de la Cathédrale enfermant les tourangeaux à l’intérieur. Très étrange comme coutume… Hum, enfin les soldats voulant que le Duc entre par la « grande porte » ont semblent-ils ôté la serrure de la cathédrale…avec une hache, je crois. Rien de bien méchant, le Très-Haut n’en voudra à personne… Hum…


Grand sourire à sa mère, puis un regard vers le Duc. Il était temps de commencer…
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{A la recherche d'une dame de compagnie}
--L.aphonsine
Misère de misère, comment fallait il faire quand un hareng fumé à moitié sentant la putréfaction profonde qui ne savait faire que penser mais qui restait aussi hagard qu'un merlan frit tentait de baver quelques immondices de sa bouche pour émettre des grognements bestiaux. Voilà la triste vue qu'elle avait d'un Falso, Fal truc, bref un nom si inintéressant aux possibles que même insignifiante souillon qu'elle était, n'arrivait à le retenir.

Elle avait mené ses moutons à boire à la fontaine du village et s'en retournerait bientôt à pâture. Elle avait trouvé si décevant qu'un homme qui se prend pour un grand, vêtu si richement enfin toujours un tout petit peu plus qu'elle en haillon troué puisse faire autant de foin pour montrer qu'il existait mais qui n'existait que pour lui, bref pour personnes d'autres. Cet homme avait bien peu de dignité pour se montrer comme un bouffon devant les nobles de Touraine tant soit peu qu'ils savaient l'être, ça aussi rien n'était sûr.

Ah voilà était ce sans doute une représentation de saltimbanques venus faire spectacles et animer un peu les rues tristes, sauf des couples faussement amoureux qui passaient leur temps à forniquer en taverne, ou elle n'osait plus venir après avoir ramené les moutons nourris de bonnes herbes grasses printanières. Ils avaient choisi un endroit pas très conventionnel pour leur représentation, tout de même, cela était fort inquiétant...

Elle secoua la tête de dépit plus que de négation, elle venait d'apprendre qu'il valait mieux parfois s'abstenir de se montrer en spectacle et de ressembler à un bouffon drôle ou intéressant que pour lui, et de reprendre ses moutons les faire paitre un peu dans les pourtours. La ville ne comprenait que fous et aliénés : noblesse, bouffon et autres villageois et revoir la douceur de la campagne ou ils avaient oublié depuis longtemps, certain le sachant moins que d'autres mettre les mains à la pâte, au lieu de faire le hareng pas frais, empestant une église qui n'avait rien demandé et surtout pas un bouffon, ridicule au possible, que même les gardes ne voulaient s'occuper ayant pitié de cet être dénué d'intérêt.

Si un jour, il puisse dire quelquechose d'intelligent mais ça encore cela on ne pouvait en être certain. Mais ce genre d'olibrius après avoir foutu le ouaille, préférait se sauver que d'assumer ses actes ou ses paroles. N'ayant sans nul doute que deux bourses pendantes séchées et rien d'autres entre les jambes pour dire en face ce qu'il devait penser. Mais son regard morve ne présageait pas qu'il puisse penser, ça le laissait là comme un benêt qu'il était à faire le mariole pour tenter d'épater la galerie.

Elle poussa ses moutons d'un coup de tape sur les fesses et s'en repartit vers la sortie du village.
Linexiv
Lexhor. Duc d'Alluyes, Baron d'Auneau. L'homme dont Pierre lui avait souvent parlé mais qu'elle n'avait jamais eu l'occasion de rencontrer. Voilà qui était fait, et c'était plutôt bien de rencontrer l'officiant avant le mariage non? Surtout lorsqu'on était aussi à l'aise que Line dans ce genre de situation.
Attendez, mariage, officiant? Là, il y avait quelque chose à jouer. Une chose que n'apprécierait pas le clergé tourangeau et en premier lieu l'archevêque breton mais cela pourrait être si savoureux... Et en terminer avec cette matinée de folie.


Votre grâce, je suis enchantée de faire votre connaissance, et j'avoue avoir assez hâte d'arriver à ce jour que nous attendons Pierre et moi depuis si longtemps maintenant... Non, elle ne rougit absolument pas, non, non, je vous l'assure Mais avant de permettre la réalisation de ce rêve, je crois que vous pourriez aider quelqu'un! Et démêler ainsi quelque peu cette panade..

Voyez-vous, vos confrères ayant écouté la voix de leur maître avant celle de Dieu, nous nous retrouvons avec un duc à couronner... Et ce serait pour nous tous! une grande joie si vous acceptiez d'officier!

N'est-ce pas Pierre?


Pourvu que sa demande rencontre un avis favorable mais déjà Line s'imagine la suite et adresse un sourire à Felian venu à sa rencontre grâce à l'intervention de Pierre-Louis.


Felian, je te présente, Lexhor d'Amahir, Duc d'Alluyes, Baron d'Auneau également diacre à ses heures perdues. Ne crois-tu pas qu'il serait temps d'avancer un peu? Non, non, elle ne tente pas du tout de forcer la décision de Lexhor Et qui mieux que toi pourrait donner un peu d'ordre à cette cérémonie? Enfin, rassure-toi, je considère que ta charge ne va pas jusqu'à ces malheureux moutons égarés au milieu de la cohue... Quelle idée aussi de martyriser ainsi ses bêtes!
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Lexhor, incarné par Linexiv
Lexhor écouta Pierre en souriant. Il hocha la tête puis détourna son regard vers le parvis avant de tourner de nouveau la tête vers son ami.
Il s'inclina légèrement lorsque celui-ci lui présenta sa fiancée.


Dieu vous garde gente dame. C'est un plaisir que de vous rencontrer.

A Pierre.

Et bien ma foi pourquoi pas, je serais heureux d'assister à une cérémonie d'allégeance autre que celles d'Orléans. C'est toujours plaisant pour un héraut d'assister à de telles cérémonies.

Il regarda de nouveau la noble assemblée tourangelle puis tourna rapidement la tête vers Line et l'écouta attentivement en fronçant les sourcils.

Et bien, si j'avais pensé qu'on m'aurait fait une telle requête! C'est assez surprenant je ne vous le cacherait pas.
Je ne suis pas dans mon duché, encore moins dans ma paroisse...et je ne suis que simple diacre.
Les conditions idéales et habituelles pour un couronnement dans les règles de l'art sont bien loin d'être réunies...


Il tourna la tête vers P3, cherchant à obtenir son avis puis donna un léger coup d'oeil aux alentours et tenta d'apercevoir le visage de celui qu'on lui présentait...
Llyr


Le Cygne flanqué comme il l'était d'un chien et d'une valetaille qui n'était pas des siens, vint venir à lui... Ca...

Le truc là, L'espèce de chose à laquelle il aurait aimé botter le fessier durement vu la dernière entourloupe que l'homme lui avait fait.

Mais voici que ce dernier ployait le genou, garde l'épée en avant. Et ça pour le coup c'était une façon de faire amende honorable s'il en fallait.

Je vois que tu t'es découvert publiquement. Où est donc ton heaume à tête de mort ?

Le Cygne prit l'épée en main.

Belle facture pour une arme de mercenaire.

Il lui tendit le bouclier frappé des Armes de l'Oserez.

Tu dis vouloir garder l'Oserez, j'y conviendrait si tu me prouves que tu peux t'en remontrer digne et donc faire amende honorable de ta dernière... bévue.

Pour le reste archives ou pas, peu me chaud, je n'ai crainte de chose futiles. j'ai mon honneur pour moi et pour la Touraine c'est le principal.

Relèves toi, et suis moi nous deviserons plus en détails une fois les allégeances finies.






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Felian
Ainsi l'homme était Duc. Lexhor d'Amahir ? Héraut d'Orléans, donc ... Felian l'observa quelques instants, se demandant in peto quel était le degré de probité de l'homme. L'Hérauderie ne s'était pas distinguée, ces derniers temps, pour sa grande impartialité. L'ancien héraut, postulant en Touraine, s'inclina devant le Duc.

« Monsieur le Duc, je suis ravi de rencontrer votre grâce. Je m'appelle Félix Barrauld. J'ai postulé pour la marche héraldique de Touraine. Si je suis retenu, j'aurai l'honneur de travailler à vos côtés. »

Il se retourna alors vers Line. De l'ordre pour la cérémonie ? Eh bien pourquoi pas après tout.

« Assurément, Line. Voyons voir, j'ai ma petite idée. Vous allez bientôt pouvoir entrer. »

Felian se dirigea vers la porte fracturée. Il fallait un promontoire ... Hep ! toi là ! Une table ici, et que ça saute ! La table placée, le huissier improvisé se jucha dessus et commença par s'éclairci la gorge. Fichtre ! c'est qu'il y avait du monde là-dessous ... Bon, commençons.

« Or oyez, or oyez. Gentes Dames, nobles sires, les portes de la métropole de Tours étant rouvertes et le Duc de Touraine, notre sire, étant présent, la cérémonie de couronnement va pouvoir commencer. Veuillez vous écarter pour laisser passer Sa Grâce Pierre Louis de Villefort, Duc de Touraine, accompagné d'Elisa de Lahaye-Malemort, Dame de Saint-Bonnet-de-Bellac. »
--Kislapete
Et moi ! Et Moi ! Et Moi.


Je suis Nobleuh...
Qu'est ce que toute cette piétaille infâme qui pollue notre parvis. Faites les dégager, c'est moche, le peuple !
Vous avez vu comment un noble c'est beau, c'est grand, c'est fort ?
Dégage avec tes moutons, ça pu les moutons !


Dédaignant la bergère, avec tout le mépris dont il était capable le NOBLE s'approcha de l'attroupement.


Et les curetons...Pourquoi ils ont pas attendu que la manif des nobles soient finie, tranquillement dans leur église, pendant deux mois ?
Pourquoi ils sont pas à nos ordres les curetons ?

C'est scandaleux, je dirais même plus Scandaaaaallleeuuux !
On devrait avoir nos propres curetons, qui feraient tout comme on veut.
Les mariages, les baptêmes, les enterrements...

Et pis d'abord, pourquoi est ce que c'est que l'église qui a des curés...La noblesse est mieux que l'église...Puisqu'elle est noble !

Mais Euuuuh !

Faut faire des lois, plein de loi pour empêcher Dieu de préférer les curés, nous, les nobles nous sommes les vrais … les vrais...nobles ...donc.
Même que c'est nous qu'on devrait baptiser les curés ...Nah !

D'abord vous avez vu qu'on est fort nous les nobles. On casse une porte à la main. On allait quand même pas laissé sortir les gens qui n'étaient pas rentrer par la porte qui était ouverte. Il fallait bien casser celle qui était fermée. Hein ? C'est plus intelligent puisque ça vient de nous, les nobles !

Gnah gnah gnah …

Trépignant sur place et tapant du pied

Pourquoi personne ne m'écoute ? Je suis noble. CROTE à la fin !


Et Pis quand on est capable d'ouvrir une porte fermée qui pése plusieurs quintaux à la main en moins d'une journée.
De faire une cérémonie pour dire trois mots en six mois
On pourrait construire notre propre cathédrale en cinq minutes...

Je veux et j’exige qu'on construise une cathédrale !


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