Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3   >   >>

[RP] Mon frère, ouvre les yeux !!

Cendres
Cendres arriva, lame à la main.

Salvé les invalides... Allez en rang par deux, on se donne la main et on en profite pas pour se tripoter l'air de rien...

Cendres regarda le jeune à la petite barbe et à l'accent méditerranéen

Même combat la danseuse du maquis... Tu prends la main de ta copine qui boîte et c'est parti.

Le nettoyage avait commencé, les trois armées s'étaient étendue dans tout Genève, à chaque coin de rue, la loi martiale était en place.
_________________
Blue
Regardant le messire , il sourit machinalement et lui tends une tulipe noire.

Messire prenait donc cette tulipe noire peut être qu'un jour elle vous sauvera la vie elle est signe de reconnaissance chez nous , mais pour l'instant je n'ai point envie d'être arrêté il va falloir être bien plus nombreux que cela.

Faisant le tour du messire doucement le regardant de haut en bas gardant son sourire aux bords des lèvres.


Hum dites moi, vos bottes sont pas trop grande ? Parce que pour courir cela va être dur la.................

Dites moi au faites c'est quoi votre petit nom, je me présente Je suis Blue et enchanté de vous connaitres ou pas mais je suis sur que vous êtes pleins de bonnes idées et plein de zêle en plus.

Dites moi on ce la joue à chifoumi ou bien ?


Prenant un regard espiègle, il lui colle une flûte en bois dans le bec.

Dites moi essayer donc de me jouer un air la dedans, peut être qu'à par avoir l'air vous aurez la chanson cette fois çi.

Lui faisant une légère révérence des plus comiques, se disant qu'il ne faut pas insister car se rappelant qu'il n'a pas d'épées sur lui, une retraite stratégique s'impose dans les plus bref délais.
--Vereboten


Verboten et trois lance de la milice bourgeoise arrivent à leur tour sur les lieux par le chemin de ronde. Même si Vere s'avère à l'usage moins passionnant qu'un verre d'eau tiède, il a quand même des qualités (si, si).

Tout le monde n'appréciera pas chez lui le fait d'être aristotélicien réformé. En particulier les membres des troupes d'occupation de l'EA qui viennent d'être battues.

Par contre, tout le monde peut reconnaître la célérité et l'efficacité d'un sergent, qui attend que tout le monde soit en place et bloque les issues avant de se faire connaître.

Archers et arbalétriers sur la muraille, l'épée prête à prendre le relais.
Hallebardiers dans les rues pour soutenir les autres.

Les mains en prote-voix, il annonce enfin la couleur :


Messires croisés, la situation est sans issue pour vous.
Vous êtes ennemis combattants, et à ce titre prisonniers de guerre ou morts, choisissez. La liberté aristotélicienne n'est point un vain mot à Genève quand la ville se débarrasse des envahisseurs. *
Nous vous saurions gré de ne pas nous obliger à tirer et ainsi abimer nos armes sur vos chairs...

* Si Verve Boten se met à faire de l'humour, on est mal barré...
Blue
Regarde l'innocent aux mains pleines arriver, inconnu au bataillon ce gredin se dit -il, tourne la tête à droite et à gauche se dit bon, dans tout les cas peuvent aller se brosser, plutôt mort que vif pour ma part.

Et bien messieurs on a plus ce respect qui doit être de mise ?


Sourit intérieurement, sachant qu'il avait mentit et sort son épée.


Qu'à cela ne tienne messire, je suis à la disposition de vos hommes et de vous mêmes pour une dernière joute.

Se demande ce que fou Ed la, normalement l'ACL n'est jamais très loin.

Heu au faite vous avez pris un bon déjeuner tout à l'heure cela me génerai que vous en mettiez partout la .

Lui fait un large sourire attendant la première réaction pour le sabrer.
sampieru_corsu
le corse affiche son large sourire,
et degaine son épée,


eh bien soit, allons y pour une danse, mon petit chaton de juda...

épée en main, il fait face aux heretiques...
_________________
Korrigans
Le brun se leva en voyant que son compagnon d’arme, Le général blue ainsi que Sampirus fut complètement encerclés par l’ennemi ; levant les yeux au ciel, il put apercevoir de nombreux archers et arbalétriers. Abasourdi, il lâcha une Grimace de son visage comme jamais auparavant ; comme-ci les Genevois étaient aussi fourbes et lâches que cela, mais les lionceaux oui...

S’approchant d’un pas lent, mais décidé, le brun s’approcha du milicien en Chef, - évitant du regard l’homme au chapeau ridicule - et vint se mettre devant lui pour soutenir ses frères, d’un geste brusque, il…se gratta le menton pour mieux réfléchir à une issue qui semble des plus funèbres.

Alors que le soleil continuait de frapper sur son visage, Korrigans eut une idée : Un duel!

Relevant son regard vers le milicien, il s’adressa à lui d’un ton sec et glacial.

Ahem…allons, c’est ainsi que vous prouvez votre victoire ? En venant avec une armée pour trois hommes ? Allons, Allons, soyez plus courageux, messieurs.

Il sourit doucement, regardant ses deux camarades en coin avant de se retourner vers l’homme, et dans un élan de provocation, il poursuivit.

Vous n’allez pas me dire que vous allez nous tuez, à hum… - petit pause pour compter rapidement le nombre de soldats présents – un nombre bien plus supérieur que le notre, si ? – Oui, pas eut le temps de tout compter le bougre ! -.

Il fallait dire que cette légère provocation n’était pas pour les énerver en premier lieu, mais pour éviter un massacre en jouant sur leur fierté.

Soudain, il se tût et recula, rejoignant ses frères, il changea au dernier moment de stratégie.

Voyons voir si vous souhaitez vraiment nous tuer lâchement, messieurs.

Son regard se détourna de l’homme pour aller trouver refuge dans celui du Général, puis du Lieutenant, essayant de deviner leurs réactions sans grand succès pour l’instant, car en effet, ces hommes là étaient bien plus courageux que toute la milice Genevoise venue au nom du lion pour arrêter trois fidèles Aristotéliciens. Patient, le brun attendit l'ennemi.

_________________
Leo...
Après la bonne nouvelle, genève était enfin libérée, était venue la mauvaise: pour l'instant personne ne rentrait chez lui et on restait pour sécuriser la ville. Même si leurs armées avaient été défaites, il y'avait encore beaucoup des fanatiques qui avaient accompagné Groar dans les rues.
Du coup, après des mois de campagne leo... s'était retrouvé à patrouiller dans les rues. Les ordres étaient simples: tant que la loi martiale est en vigueur on fout au gnouf tout ce qui cause des troubles ou ressemble à un croisé. On ferait le tri plus tard.
Ah, on dirait que les affaires reprennent.

Blue a écrit:
Qu'à cela ne tienne messire, je suis à la disposition de vos hommes et de vous mêmes pour une dernière joute....
Lui fait un large sourire attendant la première réaction pour le sabrer.

A moi la patrouille! Arbalétriers en position, les autres avec moi et n'oubliez pas de dégager la ligne de tir!

Les arbalétriers, au milieu de la rue, formèrent une ligne et se préparèrent à tirer, dégainant leurs armes les autres membres de la patrouille se répartirent à droite et à gauche de la chaussée et progressa prudemment dans le dos du petit groupe de croisés.

Oh les marioles, vous êtes cernés, alors soit vous obéissez gentiment au monsieur et vous déposez vos armes par terre soit on vous troue comme une tranche de gruyère. On vous laisse jusqu'à 10!

1
_________________
sampieru_corsu
le guerrier franc se tient toujours droit face à l'armée genevoise, car ce n'est plus une garde, mais bien une armée.

vous nous faite un honneur immense messire, une armée de chef, rien que pour nous trois...... whaoouuu , on est si terrifiant que ça.

en plus, au dela de mettre en branle toute la defense genevoise pour trois hommes, vous vous ridiculisez en menaçant tous a tour de role, comme si personne ne commandait ici.


regardant cendres,

je pense que le chef des chefs c'est vous, je le vois a votre regard.
en plus de tout les chefs a avoir parlé, vous etes de loins le plus convaincant.

alors ecoutez moi,
nous n'allons pas vous suivre, et vous, vous n'allez pas nous tuer et passer pour une armée de pitres qui mobilise une centaine de soldat pour trois hommes.
et en plus d'etre nombreux, seul des archers et arbaletiers nous menace, certainement par peur de nous approcher.

donc, que proposez vous ?

arretez les menaces et autre court d'arithmetique pour enfant de deux ans, car cela ne marchera pas.

Meme si l'idée de devenir un martyr ne me rebute pas, le mieux serait certainement que chacun regagne sa couche, en attendant de se croiser sur un champ de bataille et mourir en soldat....


alors chef, que proposez vous ?

ne quittant pas des yeux le vrai chef, il attend une sortie honorifique pour chacun...
_________________
Jehane
Rendez-vous, vous êtes cernés!

C'est la Jeje qui crie, perchée sur sa charrette et entourée d'ses amis d'la maison d'retraite du coin.
Derrière la carriole, le Bekut, Bertha et sa sœur Gene, Bernardin, Antoine et le vieil Orest attendent.
A leurs pieds, un panier rempli de gros cailloux.


M'dame Jeje, j'peux, dites? Le grand brun avec une tite turlute, s'vous plait?

Attends, l'barbu, c'est pour moi, j'l'ai dans ma ligne de mire!
Et puis d'ailleurs, comment tu sais qu'il a une tite turlute?


Mais non, pas l'barbu, c'est l'autre, celui qui s'prend pour un grand et qui raconte toujours la même histoire de manipulation.
C'est lui qui a une tite turlute, c'est sa grenouille qui l'a dit en taverne!


Hihihi même celle de Blue est rikiki. Hihihi j'l'ai vu qui urinait sur les rhododendrons de Groar, pouvez m'croire!

Alors, m'dame Jeje, sont pas loin, on peut pas les rater là!

Bon ça va mais juste deux pierres chacun et sous la ceinture, hein, c'est qu'ils nous les faut vivants pour les juger...quoi que...
Attendez, j'vais d'mander au grand manitou!

PAAAAAAATRONNNNN? ON PEUT LAPIDER OU ON ATTEND?

_________________
Cendres
ça c'est fait...

Il entendit Jehane brailler

Non... On ne lapide pas... Economisons, avec la pendaison, nous pouvons nous servir de la corde plusieurs fois. Par contre en attendant, pour l'éphèbe de Lausanne, tu peux lui mettre la paille au c... Je veux dire la tulipe...

Cendres regarda le méditerranéen

Je ne propose rien le gueux... Je ne suis pas chef, mais patron... Ce n'est pas un problème d'arithmétique, mais de vocabulaire...

Vous tuer ? Si évidemment... Et avec plaisir, je suis là pour ça... Seuls les Lions de Judas hésitent à tuer, ils ont encore du respect pour des gens comme vous, je n'en suis pas, donc peu m'importe...


Se retourne vers Blue

Allons Blue traine pas la patte... Je sais que Durer t'a mis une déculotté sur les remparts, mais bon... Il y a un moment où en avoir et ne pas se défiler tous les quatre matins devient original...

Jehane, aide le gars du Languedoc, depuis le temps qu'il se prend des roustes par l'armée du Bonheur, il doit aussi avoir du mal à marcher.


Cendres parti sans attendre de réponse pour s'occuper de choses plus importantes.

Alors... Parait qu'il y a une taverne sympathique dans le coin...
_________________
sampieru_corsu
le corse entend une gueuse brailler d'une charette,
s'il était sans education, il aurait repondue à cette fille de joie, mais étant polie, il la laisse crier.
Surtout qu'apparement, elle parle en connaisseuse, veritable experte en bistouquette.

malgré ses tentatives pour parlementer, la horde desorganiser, continue ses menaces.

comptant bien se defendre et ne pas mourir en halles, il reste souriant, épée à la main.


vous avez raison patron, a parlementer avec vous, j'y perd mon temps et ma salive.
_________________
Blue
Voyant de plus en plus de brigands autour d'eux, plus une femme de petite vertu à la langue bien pendu qui avait du lui servir souvent à des oeuvres de charités derrière un tonneau, il appréçiat le calme et la tenu de ses compagnons d'armes.

Ecoutant chaque paroles de ces tristes sir, se demandant si Cendres savait lire les rapport que l'on lui fournissait ne voyant pas du tout de quoi il parlait à propos de sa jambe qui se portait très bien et sa blessure au bras étant déjà remise d'un fameux soir ou Cendres et ses amis sont partie la queue entre les jambes face à eux.


Bon trêve de parlotte, tiré ou retirez vous.

Il n'avait pas franchement l'intention de discuter longtemps avec ce genre de gredins qui n'avait aucune éducation, la différence certainement entre ceux qui avait été nourrit et éduqué, ceux la certainement n'avait été que nourrit et encore à la pisse d'âne.
Korrigans
Le brun sourit aux retours de provocations données par les têtes de lions d'en fasse, pas très belles d'ailleurs, mais soit, ils menaçaient encore de plus les croisés, et c'est sur cet optique que le brun décida de répondre.

Petit sourire en coin, il s'approcha de façon à s'aligner à ses frères : Blue et sampirus. De suite après, il prit la parole.

Hum....Ayez, z'avez repris Genève et vous commencez déjà à reprendre vos magouilles et vos lâches massacres au nom de Genève ? Qu'elle réputation je dois dire : Genève massacre ses prisonniers !

Large inspiration suivie d'une pause qui perdura quelques secondes. - Ouais, le temps de reprendre et de réfléchir à la prochaine stratégie -.

Il se tût définitivement, laissant la parole à ses frères Aristotéliciens, tout en regardant l'ennemi.

_________________
Edwige60
edwige avait rassemblé la garde de l'ACL se frayant un chemin parmi ceux présents là quelques brigands une femme qui devait faire coureuse de remparts a ses heures perdues, bousculant un peu tout le monde au passage, qui surpris les laissèrent passer.
La garde se plaça autour du général arbalètes a la main épée au côté


Alors général y as du grabuge ici? pouviez pas appeler qu'on s'amuse nous aussi?
_________________
--Vereboten
Vere Boten est limité par bien des aspects, c'est certain, mais on ne peut lui dénier un bon vieux reste de bon sens bien genevois, si ce n'est helvète, voire, soyons fous, aristotélicien...

Hum, messires, j'ai le regret de rappeler que pour massacrer des prisonniers, ce qui serait à grand dol j'en conviens, encore faut-il que ceux-ci soient captifs, non ?!?!?!

Or, ne vous étant point rendus, vous n'êtes point nos prisonniers et si massacre il y a, ce qui se profile lentement, en effet hélas, ce sera celui commun à toute guerre et toute bataille, puisque vous êtes là tout vifs, armés et peu propices à la reddition, semble-t-il ?!

Adonc, revenons à une certaine logique commune, qu'Aristote nous a enseigné à tous.

Adonc, rendez-vous, en noms que vénérons tous ici, Aristote et surtout Deos, lequel est tout pardon et miséricorde à qui demande merci !

Vous êtes cernés et inférieurs en nombre, et aurez votre part quelque prochaine fois. Quoiqu'on nous accuse des pires vices, la charité nous est chère, et le regard de Deos nous pèse autant qu'à vous !
See the RP information <<   <   1, 2, 3   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)