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[RP] Commanderie Teutonique de La Chaux de Fonds

Magenoir
Répond à son Frère.

- Excellente idée que voilà. Délogeons les Réformés et organisons une messe.Le Teutonique sourit. Les deux commencèrent à prirent la route quand soudain un garde vint à la rencontre du nouveau Landmeister annonçant que quelqu'un était à la porte.

- Ah! Un imprévu Monseigneur, allons voir qui est-ce.

Arrivant devant la grande et massif porte de la bâtisse Teutonique, ils aperçurent un homme, que Magenoir connaissait fort bien.
Toutefois, il eut du temps à le reconnaitre, il avait bien changé depuis ces longs mois de pèlerinage.


- Bien le bonjour mon Frère Joel, quel plaisir que celui de te voir! Te voilà revenu de pèlerinage, allez entre.
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Joelismail
Voyant arriver Maric, Joël fit signe à l'écuyer qu'ils allaient demeurer quelques temps. Se retournant il dit.

En effet, me voici. Il suffit que je sois parti quelques mois et je constate que les réformés prétendent désormais s'exprimer au nom du "peuple" helvète. J'ai eu peur de faire quelques rencontres désagréables en arrivant icelieu. Le Très-Haut soit loué, ce ne fut pas le cas.
Et toi comment te portes tu?
Quelle belle histoire peux tu me raconter?

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Graoully
Tend son anneau à baiser à l'arrivant.

Frère Maric omettant de me présenter, je le fais. Je suis Monseigneur de la Louveterie, évêque, inquisiteur, et accessoirement Großhospittler teutonique. Nous comptions nous rendre à la cathédrale mon fils, souhaites-tu nous y accompagner ?

Tout en parlant, il prit la direction de la cathédrale.
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Magenoir
Maric dut exposé les problèmes de la CH à Joël.

- Et oui, les Réformés sont toujours aussi manipulateurs, cela n'a pas changé. Ils ont réussit à mobiliser toute la CH pour défendre la Réforme..
Les batailles successives d'Annecy puis de Genève m'ont donné du fil à retordre, mais au final, et j'ai eut de la chance, je ne m'en sors qu'avec de légères blessures contrairement à d'autres Milites qui sont en état grave ou bien ont rejoint le Très-Haut, paix à leurs âmes.
Mais, parlons de choses plus gaies, comme ton voyage par exemple. Je suis certain que tu as, toi, des tas d'histoires de tes aventures à nous raconter.


Puis, suite à la proposition de Monseigneur Graoully.

- Excellente idée, allons y tous les trois. Nous pourrons causer en chemin, ou bien reprendre la discussion du voyage de Joel plus tard dans la soirée au retour à la Commanderie. J'ai déjà hâte.

Ils prirent le chemin de la Cathédrale.


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Joelismail
Joël saisit l'anneau de l'évêque et y déposa ses lèvres, en se redressant il dit.

Enchanté Monseigneur, je suis Joël-Ismail du Valais. Nous aurons certainement l'occasion de mieux nous connaître. J'ai été, il fut un temps l'avoué de la Noblesse Noire. Combattre l'hérésie dans ces vallées occupa l'essentiel de mon temps jadis.
Je rentre d'un fort long pèlerinage en terre sainte et suis un peu fatigué.

J'aurai aimé voir messire Hobb. Je vous laisse aller à la cathédrale et vais vous attendre icelieu. J'ai beaucoup de correspondance à traiter. Priez pour moi.


Il prit ses quartiers dans la commanderie et dicta à Constant son valet un message à destination de Teramo dans le Royaume des deux-siciles.
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Notwen
Magenoir, mon frère,

tu peux continuer à décrire cette image d'horreur que tu as dans la tête, et continuer à exciter nos frères étrangers contre elle.
Mais pourquoi tant de haine ?

Pourquoi imaginer toutes ces horreurs ?
Pourquoi remplacer la réalité visible par cette ville imaginaire que vous appelez Genève ?

Tu sais bien que tous les Aristotéliciens sont les bienvenus à Genève, tu sais bien que les cultes y sont protégés, que la messe est dite en la cathédrale tous les dimanches.

Dire "c'est faux", c'est facile, mais ça ne change pas la réalité. Ça ne fait que :
  • perpétuer cette Genève imaginaire que certains bellicistes veulent toujours punir.
  • Chasser les croyants, les envoyer dans les bras de la réforme.

Les réformés sont très minoritaire en Helvétie, mais je crains fort que cette croisade n'ait déjà accru leur nombre.

Je prie le Seigneur Tout-puissant pour qu'Il répande la vérité sur toi, mon frère, et pour qu'Il t'aide à faire revenir davantage de Genevois vers notre culte plutôt que de les effrayer et les pousser à se réformer.
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Notwen de la Concorde aristotélicienne pour un monde de Paix et de Fraternité,
Doyenne de la Faculté de Théologie de l'Univ. de Berne,
Ancienne Chancelière,
http://chrrserk.xooit.com/t3237-Guide-comment-etudier-efficacement-en-Voie-de-l-Eglise.htm
Magenoir
Répondant à Notwen.

- Notwen, tes paroles sont sages. Mais ne sont pas tout à fait réelles.
Tu ne peux pas nier le fait que les Réformés sont majoritaires à Genève, et dans une bonne partie de l'Helvétie. Et cela depuis fort longtemps.
Il suffit de jeter un oeil sur la croisade actuelle.
Qu'ont fait les Sanctes Armées? Elles ont retirer les Hérétiques de Genève, par la force car le Verbe n'y avait rien fait. Nous avons, par l'intermédiaire de Son Eminence Mrgroar, annoncé à l'ensemble des Helvètes que la situation Genèvoise était provisoire. Que nous ne la controlerions pas éternellement. Qu'elle reviendra à la CH quand elle sera libre.
Or, qu'ont fait les Réformés majoritaires. Ils ont convaint les Helvètes que nous nous emparerions de Genève à vie sans jamais la rendre.
Donc tous ont suivis les Réformés, sous les bannières de Caméliane la Réformée et de Cendres le brigand associé aux Réformés.

Où en est Genève aujourd'hui? Au même point qu'avant, c'est à dire qu'elle est contrôlée par la Réforme... il ne faut pas laisser cela se faire.
J'aime Genève et l'Helvètie, mais celle de l'ancien temps, pas celle d'aujourd'hui qui est pourrie par la Réforme qui contrôle toutes les institutions.
Toi, tu es accepté par les Hérétiques car tu travaillent avec eux et que tu ne dis rien. Mais, dès que l'on affirme sa Foy Aristotélicienne on se fait rejeter et mettre dehors par les Réformés, comme j'en ai subit les frais.
Le temps de l'hérétisme en Helvètie est révolue! Nous débarasserons la CH de ce mal!


Puis, voyant son Frère Joel des plus fatigués, fit appeler des Neulings (Apprentis) afin de le débarrasser de ses affaires.

- Mon Frère, repose toi en la Commanderie, ce Neuling là-bas te guidera en le salon. Je ne sais si tu croiseras le Frère Hobb, il est fort occupé de par ses charges d'Hochmeister de l'Ordre Teutonique et de Commandeur des SA.
Si besoin, n'hésite pas à m'appeler.

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Notwen
Magenoir a écrit:
- Notwen, tes paroles sont sages.


Mage, mon frère, le ton de tes paroles m'apaise et me réchauffe le coeur.

Citation:
Mais ne sont pas tout à fait réelles.
Tu ne peux pas nier le fait que les Réformés sont majoritaires à Genève, et dans une bonne partie de l'Helvétie. Et cela depuis fort longtemps.
Fort heureusement ceci n'est que l'image de Genève qui circule à l'étranger. Mais la réalité est bien différente !

Fort heureusement les réformés sont minoritaires à Genève. Essayons donc de les compter :
- Izaac
- Cromwell
- Méliandulys
- Kirkwood
- Leprieure
- Tatoumi
- Barkus
- Calvin
- Nicbur (qu'on n'a pas vu depuis près d'un an)
- Andrew (qu'on voit 3 fois par an)
- Andaevinn (qui s'est installé à Genève pendant 3 mois mais je ne sais même pas s'il y est encore)
- peut-être Raiika qu'on ne voit jamais non plus.

Tu vois que je cherche vraiment.
Nous arrivons à 12... mettons que j'en oublie 2 ou 3, on arrive à 14 ou 15...
Si on cherche bien on trouvera d'autres réformés de longue date, mais qu'on ne voit vraiment jamais à Genève, comme PetitFrère ou Aileron.

Alors que si on veut une liste de non-réformés, on arrivera facilement à 20 ou 30 personnes au moins aussi actives que les réformés cités.

Alors certes la dernière croisade a engendré des conversions, si on continue à diffamer Genève on va bien finir par arriver à ce qu'une majorité se convertisse.
Mais si on cessait de créer le problème ?
Si nous prenions plutôt le chemin de sa résolution ?

Je l'espère de tout coeur.


Citation:
Toi, tu es accepté par les Hérétiques car tu travaillent avec eux et que tu ne dis rien.
Si "dire quelque chose", c'est invectiver les autres comme l'ont fait trop de nos frères et soeurs, alors en effet je ne dis "rien".

Je respecte les autres.
Je montre au quotidien qu'une aristotélicienne non-réformée, c'est autre chose qu'un soldat en armes qui veut prendre Genève par la force, qui voit des hérétiques majoritaires partout et les prend à partie.

Je montre au quotidien qu'une aristotélicienne non réformée, ça peut aussi être une personne qui enseigne l'Aristotélisme au quotidien. Qui guide ses frères et soeurs sur la Voie de la Foi et de l'Etude de la Religion.

Mais aussi quelqu'un qui respecte son prochain, et veut apaiser les conflits. Quelqu'un qui distingue le Verbe de l'invective, qui regarde la réalité de Genève et de ses habitants.

Tu me connais trop bien, Mage, tu sais que j'ai consacré ma vie à la poursuite de la Foi à Genève en réconciliant les hommes et femmes de bonne volonté.

En 1456, quand Genève luttait contre un groupe d'hérétiques averroïstes, notre Eglise a eu la fâcheuse idée de lutter non pas contre les hérétiques mais contre Genève.
Tu sais que là fût le départ d'une autre vision de l'Aristotélisme, une vision réformée que nous déplorons aujourd'hui. Nous avons malencontreusement créé la réforme, en nous trompant d'ennemi.
A nous à présent de réparer les dégâts et de faire revenir ces hommes et ces femmes dans l'Église.

Alors il y a la méthode Lorgol-MrGroar, la force.
Il y a la méthode Bardieu, leur promettre le bûcher.
Ma méthode est plutôt le dialogue, montrer l'exemple, montrer la voie du paradis solaire.

Qui sait où en serait aujourd'hui Genève si on n'avait appliqué que les 2 premières méthodes ?
Si on n'avait pas établi le simultaneum ?
Si on n'avait pas instauré la paix religieuse ?

Je suis fière du travail accompli.
J'aimerais beaucoup être davantage entourée par mes frères et soeurs dans cette voie du Verbe.

Mage, mon frère, je sais que ta Voie à toi est celle de la force, de l'épée. C'est ton droit, je le respecte.
Mais de grâce, pourrais-tu essayer de pratiquer aussi la Voie du Verbe, du Verbe apaisant, la Voie de la Paix ?

Je me souviens encore de ton arrivée à Genève, de ta première candidature à l'élection, nous étions bien jeunes toi et moi...
J'aurais aimé que tu restes, que nous sauvions ensemble l'Église à Genève.

Beaucoup a été sauvé par le travail accompli, par notre présence, le maintien de notre position fidèle à l'Église.
Quand je vois à quel point ces résultats sont ignorés par tant de nos frères, j'en ressens une profonde injustice.


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Notwen de la Concorde aristotélicienne pour un monde de Paix et de Fraternité,
Doyenne de la Faculté de Théologie de l'Univ. de Berne,
Ancienne Chancelière,
http://chrrserk.xooit.com/t3237-Guide-comment-etudier-efficacement-en-Voie-de-l-Eglise.htm
Magenoir
-Notwen, ma bien chère Sœur,

D'après ta liste, on pourrait croire en effet que le nombre de Réformés est faible. Or, quasiments toutes les personnes que tu as cités font ou on fait parti du Conseil des Bourgeois de Genève, donc le conseil municipal.
Soite les Réformés sont peu être surestimés en nombre, mais leur pouvoir lui est bien réel. Ce sont eux qui dirigent Genève et ses institutions, ce sont eux qui déclarent la guerre à certaines villes au nom de Genève et de la Réforme.
Et puis, beaucoup de Genèvois suivent les ordres des Réformés sans broncher. Sans forcément être Réformé, ce sont des païens en quelques sortes mais alliés aux réformés...

Donc soite, le Verbe est la première des armes a utilisé. Et c'est ce que nous avons fait Notwen. Combien de fois avons nous dit aux Réformés de partir.
Et puis, la Croisade résulte d'une action faite par la Réforme sur Annecy.
Donc la Croisade a été lancée par les Réformés eux mêmes. Ils n'ont que ce qu'ils méritent.
J'ajouterai ceci, l'Apötre Kyrène n'a t-elle pas dit que par le Verbe, il faut répondre par le Verbe, mais que par le Fer, il faut répondre par le Fer.
Et c'est ce que nous faisons!
Il suffit de voir un peuple, les Genèvois et beaucoup d'Helvètes, opressés et privés de libertés par la Réforme! Il suffit de voir les Aristotéliciens Helvètes persécutés par la Réforme!

Comme nos textes le disent, nous tolérons les autres religions, à conditions qu'elles ne s'affichent pas en public et qu'elles officient dans un seul et unique lieu privé. Chose que la Réforme ne fait pas!

_________________
Magenoir




Les semaines étaient passées depuis le retrait des Croisés de Genève.
En effet, après deux brillantes victoires consécutives, qui sont la reprise d'Annecy puis la prise de Genève, les Croisés Romains semblaient gérer la situation et avoir enfin libérer Genève du Lion.
Malheureusement, il n'en était rien puisque les bougres Helvètiques étaient plus nombreux que prévus.. c'est ainsi qu'ils avaient pu reprendre Genève.
Faisant de nombreux blessés dans les deux camps, cela avait mené à un retrait des troupes croisés de Genève.
Ce n'était point une fuite, simplement un retrait stratégique.. pour mieux revenir plus tard.
C'est ainsi que jours après jours, les Croisés s'étaient remit en forme. Ils avaient trouvé refuge dans la petite bourgade bourguignonne nommée Châlon, qui était devenu le point de rendez-vous.
Là-bas, tous avaient pu se remettre en forme et se réequipper, faisant appel aux braves forgerons de Bourgogne.

Après plusieurs semaines de préparation, ils avaient reprit la route vers Genève, tous bien décider à éradiquer une bonne fois pour toute la secte Réformée qu'est le Lion de Juda.
Le voyage fut rude, ils furent obligé de passer par les chemins, cachés des éventuels éclaireurs hérétiques venus prendre les positions croisés.
Tous avaient du subir ces quelques jours de marche, où la nourriture se faisait rare. Le seul remède a cela était de compter sur ses compagnons, des Frères et Sœurs d'Armes toujours dévoués pour aider son prochain.

[Tôt dans la matinée]

[i]Tout le monde suivait les indications du meneur, l'Ordenmarschall Teutonique, et récemment nommé Ritter (Chevalier) de l'Ordre Teutonique, aux côtés de Magenoir d'ailleurs.
C'est tôt dans la matinée, l'heure où le soleil se lève à peine, que toute la petite troupe aperçut enfin le lieu tant recherché : Genève!

Bien entendu, ils n'allaient pas pénétrer dans Genève en claquant des doigts, ils avaient reçu informations que deux armées gardaient Genève, deux terribles armées Hérétiques défendant leur fief.

Arrivant à Genève, enfin, aux abords de Genève, Maric-Geoffroy, plus communément nommé Mage, descendit de sa monture, qu'il donna à un écuyer et se mit à genoux puis, après s'être signé, murmura à voix basse.


-"Dieu, vous qui veillez sur nous du Très Saint Paradis Solaire, accepte mes prières dirigées vers les Genèvois, non point ces infidèles qui malmènent tes fils, mais guérit ces vagabonds, ces paysans ou même ces artisans venus de toutes les contrées Helvètes pour "défendre Genève". Pardonne les d'avoir été induit en erreur par les Manipulateurs, les Réformés. A ceux-là, guérit les et fait leur venir la raison. Amen. Ses mots lui vinrent naturellement, il ne priait point pour les hérétiques présents à Genève, mais pour le peuple qui, manipulé par les dirigeants réformés, allait combattre au péril de leurs vies sans savoir qu'ils défendent lHérétisme et le Mal.. le Sans-Nom.
Tout particulièrement, il pensait à certaines connaissances, qui n'était point réformé, mais contre qui il allait devoir se battre.
Cela fait, il se remit à prier.


- Seigneur, toi qui guide ma vie, entend mes prières, défend tes Enfants, nous, les Teutoniques, et tous les autres venus des OMR pour défendre ta cause.. pour défendre la vraie Foy, pour te défendre. Deus Manum Ducit (Dieu guide nos bras).

Ces prières terminées, il se releva, remit en place sa cape et, s'adressant à un Neuling qui le suivait, il sortit de sa poche des plans et les lui tendit.

- Il va nous falloir établir un campement pour la nuit au moins. Voilà des plans, fais appel à tous les Frères et Soeurs Aristotéliciens, qu'ils viennent aider à monter le camp. Souriant au Neuling, le Ritter se dirigea vers les charrettes contenant le matériel, pour préparer à l'installation du campement.

[/i]

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Aorine


Aorine enfin remise de ces blessures arriva à l'entrée du camps
Elle avanca au milieux des tentes qui ce montaient
Au loin sur une table elle vit son Mage qui visiblement avait pris la direction de l'etablissement du camp
Elle, elle devait rencontré de Ritter Makcimus. pour faire son rapport
Elle resta a bonne distance de son fiancé, meme si l'envie de ce precipiter dans ces bras lui devorait le coeur, mais elle sait trés bien, qu'elle devait tenir ces distances
Elle immobilisa Brume et mit pied a terre...
Un Beweber arriva pour s'occuper de sa monture elle l'en remercia et lui demanda par la meme


Savez-vous ou ce trouve le Ritter Makcimus votre commandant ?
Je doit me presenter à lui au plus vite...


Elle ne pouvait quitter Mage des yeux, il était vetu legerement comme elle aimait le voir...

Le beweber lui répondit par la négative
Ne sachant pas trop quoi faire, elle alla ce présenter a son Mage pour aidé a monté le camp

Bonjour Ritter...
En quoi puis-je vous aidé ?


Ces convenances la rendait malade
C'est tellement loin de leur jeu d'avant et de la folie de leur moment
Résignée elle le salua comme on lui avait appris

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Magenoir
En plein travaux, le Ritter fut interrompu par une voix familière.
Une voix douce et mélodieuse qui l'avait tant manqué.. celle de la Neuling Aorine, sa fiancée..


- Pax Vobiscum Neuling, vous semblez guérie et bien en forme. Cela est une bonne chose. Par contre, vous avez quitté Genève, et je pense que vous n'y rentrerez plus étant Teutonique. Vous allez devoir rester avec nous.

Il l'observait dans les yeux, et voyait sa gêne, lui aussi était gênait. Elle l'avait tant manqué. Par ces temps de guerre, il fallait pouvoir se confier, il fallait également être heureux.
Chuchotant à la Neuling.
-Suis moi.Le Ritter la conduisit à l'extérieur du camp, dans un coin un peu plus reculé, où ils étaient tout deux, seuls. Il se posa contre un arbre puis la fit s'asseoir et l'embrassa tendrement. -Ce n'est pas très réglementaire, mais,nous sommes un couple, un couple qui ne s'est pas vu durant plusieurs semaines.. et tu m'as tant manqué. Comment vas-tu?
_________________
Aorine
Aorine fut surprise de la réaction de son Mage
Elle ne s'attendait vraiment pas qu'il l'emene furtivement hors du camp pour la retrouvé
Elle en était tellement heureuse que son coeur aurait pu exploser
Elle l'embrassa en ce blotissant dans ces bras
Elle savait que ces moments deviendraient rare elle devait en profiter

Tu m'as tant manquer aussi si tu savais
Je vous attendait sur les rempart cette nuit
Dès que je vous ai entendu arrivé, j'ai préparer mes affaires et fermé la maison pour un moment...
J'avait besoin d'être avec toi...
C'est pret de toi chez moi...
Je t'aime mon Mage... tant si tu savais...



Les larmes lui montaient au yeux, des sanglos ce bloquaient douloureusement dans sa gorge
Elle était heureuse de pouvoir cacher tout sa dans le creu de son épaule
elle réalisait qu'ils étaient à nouveau réunis
Elle avait temps attendu ce moment
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Thibaut
Le jour se levait à peine sur la commanderie teutonique mais le soleil montrait déjà ses rayons, apportant lumière et chaleur en cette matinée. Au loin se découvrit un épais nuage de poussière, flottant au gré des vents. Une charrette puis une seconde se détacha du paysage et cet épais nuage, se dirigeant tout droit vers la commanderie. Pas un bruit, seulement le pas des chevaux. Arrivant devant les portes, le cocher mit pied à terre et frappa mais aucune réponse de la part des teutoniques. En effet, bien peu de personnes demeuraient en ces lieux, la plupart combattant pour le Tout-Puissant.

Les charrettes, pleines de paille, étaient emplis de soldats teutoniques, morts ou blessés. Thibaut était l'un d'entre eux. Occupant la seconde charrette, il se trouvait assis, les jambes étendus, dos contre l'une des parois. La tête basse, il était, pour la toute première fois, tombé sur le champ de bataille. Mais Dieu a décidé, dans sa grande miséricorde, de le sauver. Sa vie fut préservé mais jamais il ne fut aussi gravement blessé. Le combat fut le plus rude jamais mené. Son courage, sa foi, bien qu'infaillible, il reçu deux flèches, une dans l'épaule droite et l'autre dans le côté gauche du ventre. Sa tunique d'écuyer était pleine de sang, son sang mais aussi celui de ses frères, de ses sœurs et bien sûr de ses ennemies. L'on n'avait osé retirer les deux flèches sur place, ainsi donc, il avait toujours en lui ces deux morceaux de bois pointés de fer. Gravement blessé mais encore conscience, il se redressa péniblement, prit sa respiration, autant qu'il lui était possible et héla la garde.

De par Dieu...venez...

Pour se faire reconnaitre, il tenta de crier le devise de l'Ordre.

Deus Man...

A peine avait-il débuté sa phrase que sa voix faibli...perdant finalement connaissance ayant pour dernière image ce si beau soleil.
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Ecuyer à l'Ordre Teutonique.
Aorine
Aorine revient au camp aprés etre allé chez elle pour soigné son bras...
Elle avait recousu sa blessure elle meme en serant les dents...
Elle en avait vu d'autre maintenant...

Elle ce dirigea vers la charette qui venait d'arriver
Elle pris le premier blessé qui bougeai et l'emnena sous la tente sans un mots
Elle l'allongea sur une couche et lui enleva ces abils pour voir ce qu'elle pouvait faire...
L'homme avait deux fleches une dans l'épaule et une dans le ventre
L'homme visiblement commencait a perdre connaissance et sa l'arrangeai
Elle regarda autour d'elle si elle voyait une soigneuse
Il fallait paré au plus presser...
Ses connaissance en medecine était connu des Italiens et des Provenceau...
Pas par les teutoniques
Mais elle ne pouvait pas ne rien faire pour cette homme
Elle déballa ses affaires de medecine
Elle lui imposa du chloroforme sur le nez et pris quelque pince afain de sortir les deux fleche de sa chaire
Elle travailla machinalement...ses geste étaient precis et rapide...
Bien que son bras la faisait souffrir elle s'obligea a ne pas y penser
Elle recousu les tissus desinfecta minutieusement les deux blessures et appliqua l'ongan cicatrisant et pensement
Elle le nettoya un peu puis lui mit une chemise blanche avant de le couvrire d'une couverture
Puis s'arretant elle réalisa les gestes qu'elle avait fait machinalement
Elle regarda son blesser, elle ne le connaissait pas
Elle toucha machinalement son front il semblait tranquil
Elle soupira de soulagement et sortit de la tente...
D'autre blesser allaient surement arrivé...
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