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[RP]Banquet d'élection ducale avec une invitée de marque

Floralise
Toujours aux côtés de Wou, Flo n'en finissait pas d'admirer les belles toilettes.
Même les paysans avaient mis leurs habits du dimanche....
Et les Messires !!!
Ah les messires, fiers, forts, les épées rutilantes, d'autres en vêtements de velours...

Elle riait sous cape, ils devaient avoir bien chaud sous son beau soleil de Normandie.

Et puis.....La Reyne !!!!
Belle, si belle.....
Flo n'entendait pas ce qui se disait sur l'estrade; tous ces charabias de nobles, de soldats, de bourgeois ne l'intéressaient guère.

Elle n'avait d'yeux que pour La Reyne, normal elle n'en avait jamais vu, scrutant tant qu'elle pouvait tous les détails de sa toilette.

Regarde bien ma Wou, je suis certaine que tu pourras te servir de certains éléments et détails dans la confection de tes vêtements.


Elle sourit à son amie et son regard se reporta sur "" Elle""
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A la recherche du temps perdu....
Matouminou


Le temps s'arrêta, les cris et le brouhaha de la foule semblèrent s'estomper, un peu comme dans un brouillard.
Matou regarda Alizarine, ouvrit la bouche, fut sur le point de lui demander de répéter ce qu'elle venait de dire. Elle secoua la tête, quelques peu interloquée, ne mesurant pas tout de suite la portée de ces paroles. Comme un livre dont on tourne les pages mais en arrière, elle se répéta silencieusement ce que venait de dire Alizarine:

Alizarine a écrit:
Voici Dame Matouminou de Saint Amand de Thorigni.Elle est notre chef douanière et l'accueil que vous avez reçu en Normandie est en grande partie du à son excellent travail.
Aussi à ma demande Normandie à présenter une patente pour annoblir dame Matouminou. Cette demande à été acceptée.
Si vous le voulez bien cette dame qui ignorait tout jusqu'à présent va vous présenter son premier serment.


Dame Matouminou de Saint Amand de Thorigni....oui, pas d'erreur, il s'agissait bien d'elle...Elle espéra ne pas avoir l'air trop stupide devant la Reyne et toute cette assemblée. Il lui sembla que tous les regards étaient tournés vers elle....Qu'avait dit encore Alizarine? Elle avait parlé de sa fonction de chef douanière...oui...C'est la suite que Matou essayait confusément de comprendre. Elle inspira doucement en tentant de comprendre la situation. Lentement, les mots se firent phrases et elle réussit à en percevoir le sens.

L'effet ne se fit pas attendre, elle chancela légèrement, se tourna affolée vers la foule, tentant d'accrocher le regard de son époux pour y puiser une aide dans un sourire qu'il aurait pu lui adresser. Mais en vain, il y avait tant de monde et s'il la voyait, elle, elle ne le voyait pas.
De nouveau, elle ouvrit la bouche, sous le coup d'une profonde surprise et roula des yeux.
Elle essaya de se donner une contenance, tentant de ne pas défaillir. l'annonce était de taille, la surprise aussi.
Comment Alizarine s'y était-elle prise? Qu'avait-elle dit? Une demande pour l'anoblir avait été acceptée....
Matou sentait son cœur battre à tout rompre, elle croisa son regard moqueur et eut un hochement à peine perceptible de la tête.
Les pensées se bousculaient dans son esprit: mélange de "oh, Alizarine, je vais te tuer"...." comment une telle chose a pu se faire"....'j'aurais du mettre ma nouvelle houppelande", mais surtout un grand bonheur la submergea, non pas qu'elle tint particulièrement à cet anoblissement, mais elle était fort consciente de l'honneur et de la confiance que cela supposait.

Tout ceci ne dura que quelques minutes. Matou s'approcha pour se trouver à côté de Alizarine. Elle fit une révérence et attendit que la Reyne l'invite à prêter serment.

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--Perrinne
[Je poste pour Perrinne qui ne se trouve pas en Normandie.]


Elle avait tout suivi du coin de l'oeil, sa besace à son coté, toute prete au cas où. Puis faut dire qu'elle s'attendait un peu au déroulement des choses, vu les questions qu'on était venu lui poser auparavant sur l'ordre dans lequel paraitre, ce qu'il fallait faire, et patati et patata. Elle était là, toute proche puisqu'elle aurait à intervenir sous peu.

Bon, il lui manquait encore un velin qui devait arriver au plus vite lui avait-on dit. Espérons.

La duchesse "entrante" avait donc fait serment et cadeaux, le tout dument et élégamment recu de la Reyne.
Arutha avait manifesté sa joie... resterait à voir si cela entrait dans le "discret" ou pas et s'il aurait bien droit à une virée à Paris ou pas suite à cela...
Puis se présenta la duchesse "sortante". Elle s'approcha encore un peu.

Le fief avait été choisi après quelques discussions parfois surprenante. Son emplacement avait finalement le plus joué. Aux fiefs de la marche méridionale de la province, là doù elle provenait, elle avait préféré un fief non loin de l'embouchure de l'Epte et de la Seine. Haut lieu stratégique où les eaux étaient assez profondes pour permettre le passage de certaines nefs déjà conséquentes.
Etonnant ? Peut-etre pas.

Ce faisant que le serment était accepté, elle sortit le parchemin validant l'octroi, conservant la copie qui lui demeurait dans la besace pour en faire l'enregistrement final à Paris. Tendant le document* à qui de droit pour la transmission, elle l'accompagna d'un bref


Voici

Puis affrontant le regarde de la dame des Andelys, elle inclina légèrement la tete et l'invita de la sorte :

Dame, il vous revient d'annoncer votre souhait et faire l'épitaphe justifiant votre choix...

Ce qui fut promptement fait.
Se reculant, elle scruta la place, cherchant un signe de l'imb... euhh l'id... euhh... du pigeon qui devait lui apporter le velin promis.


*Contenu du parchemin tendu à la Reyne et Alizarine :
Citation:
Par la présente, nous, Tsampa d’Eusebius, Maréchal d'Armes Royal dite Alençon, Vicomtesse de Montgommery, dame de Gaudigny,

A toutes et tous que la présente liront ou entendront,

Par la présente, et le blancseing transmis, après consultation du collège héraldique, faisons acte de la demande de Dame Alizarine d'Everlange , quant à l'octroi d'un fief de retraite de qualité vicomtale pour elle-mesme comme les lois Héraldiques l'y autorisent, sis à Andely en les terres de Normandie.

Attestons après recherches héraldiques dument entérinées, que le fief d'Andely est bien fief ducal du Duché de Normandie.

Attestons après consultation d'armoriaux, que l'écu se référant au dicte fief est:
D'azur à 3 tours couvertes d'argent, girouettée de sable, au chef cousu de gueules, chargé de 3 fleurs de lys d'or

Soit, après dessin :



Qu'afin que nul ne puisse contester la vigueur et l'autorité de la présente, apposons notre scel.

Faict le vingtième jour du mois de mai de l'An de Grasce Mil Quatre Cent cinquante neuf

Arutha_gisors
[Arutha quittant prochainement la Normandie, et souhaitant faire mon jeu quand même, je prends un petit peu d'avance temporellement. Merci d'en tenir compte, et de ne pas considérer qu'il double Chatminou... euh, Matouminou. Je reste par ailleurs assez vague sur la partie pas encore écrite par @Matouminou, pour ne pas l'empêcher de faire ce qu'elle souhaite.]

Alizarine venait de passer et recevait son fief de retraite d'Andelys. Déjà vieille, et oui.
Elle avait, d'ailleurs, préparé une petite surprise pour Matouminou. Petite, me direz-vous. Elle venait d'être anoblie.

Le jeune garçon s'avança, à son tour, vers la Reine.


Coucou Bea...
Chiotte. Boujou Majesté Beatrice. Comment que tu vas bien ? Bien, hein ouais ?
Alors, moi, Arutha de Gisors-Breuil, fils de papa et de maman, futur baron de Falaise, amoureux de Yolanda, jure... aide, conseil, et fidélité !

Yolanda, elle va bien ?

J'ai aussi un cadeau pour toi.
Le pire est à craindre. Le pire est à venir. Il lui tendit, avec précaution, un macaron. C'est un macaron à qui j'ai fait un bisou. Comme ça, si je deviens un véritable Pie-Pôle du Monde, que je vis à Holli Wood, et si j'ai des femmes, ou des fans, ben tu pourras le revendre super cher !
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@Yoli : C'est l'amour explosif qui fait sauter les boutons de braguette.
Aaron
Le prince d’Église avait fait route depuis la Champagne. Tout le monde se plein toujours des routes… mais pour une fois, le trajet s’était passé sans encombre grâce à la présence du Duc de Jouarre et de son écuyer qui avaient accompagnés le cardinal.

Ce dernier retrouvait sa terre natale, le goût salé du vent, l’odeur suave de la mer, le doux parfum des normandes dont le souvenir qu’il avait emporté avec lui à Reims revenait à sa mémoire comme s’il n’avait quitté la Normandie que la veille. Une lustre maintenant qu’il était parti pour son devoir, mais aujourd’hui, il revenait pour s’acquitter d’une tâche qui le tenait à cœur alors qu’une double vicomtesse venait d’être portée au trône ducal de Rouen. Comment rater cette occasion unique de revenir sur ses terres ?

Le cardinal de Reims arriva à cheval, habillé d’une longue soutane pourpre, d’un pardessus et d’une pèlerine du même, le tout protégé par un grande cape noire qui recouvrait l’ensemble jusqu’au bas-ventre de sa monture. Le banquet était déjà commencé ainsi que les prestations d’hommage. Le prélat, inconnu de la plupart, se fraya un passage à travers la foule et s’approcha de la nouvelle duchesse de Normandie… Sans s’annoncer, et avec surprise, il saisit sa main pour l’approcher de son visage tout en courbant le buste avec déférence, mais non sans afficher un sourire courtoisement malicieux…


Madame de Vernon et Bolbec, c’est un honneur de vous revoir alors que la santé et les embruns semblent vous avoir fait plus admirables que jadis… – dit-il en relâchant doucement la ducale mimine…
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--Docinda_mazenda
Il y a des choses d'une relative importance , la venue de la reyne en faisait partie .Par contre , la venur du cardinal Aaron relevait de la plus haute importance ..
Soeur Docinda se hata donc pour revoir celui qui avait ete son camerlingue à l'epoque beni ou elle avait tenté de faire entendre raison aux heretiques de la côte d'or ...
Peut etre se rappelerait il d'elle ?
s'approchant de lui , elle esperait secretement que celui ci tendrait vers elle la bague qu'elle desirait ardement embrasser en signe de soumission


Votre eminence .
Je suis votre humble servante , si indigne de paraitre devant vous et qui fait humble penitence pour toutes les fautes qu'elle a commise durant sa vie de debauche , avant d'avoir connu la lumiére solaire du tres haut ...

Je suis Soeur Docinda Maria Helena Mazenda .
Aaron
Alors que le prélat se redressait pour admirer la duchesse, il aperçu quelqu'un s'approcher par devers lui... Une femme dont l'habit indiquait sa dévotion envers Dieu l'interpela... Interloqué, il lui fallu le temps de se ressaisir, de remettre ses idées en place. Pris au dépourvu, et toujours effrayé de répondre "non" à quelqu'un qui lui demandait si il se rappelait de lui, le cardinal garda un moment le silence...

Ma sœur... - dit-il en en écartant les bras en signe d'accueil. Il raccrochait son visage à la communauté cistercienne dont-il avait lui même fait partie. Visage qu'il se rappelait sec et marqué par les âges sinon les missions.

Je vous remets, je vous remets... Cistercienne et romaine à ses heures perdues ce me semble !?
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Beatritz
[Serment de Matouminou]

Un regard à la nouvelle vicomtesse, un regard à la duchesse de Normandie, un autre au Héraut, et enfin à la future Dame.
La vraie question c'est : quel est le nom de la terre ? Elle l'apprendrait avec un peu de change au cours du serment, car... ce n'était pas sur la liste.


-"Dame Matouminou... Veuillez vous agenouiller et prêter serment."

[Après Matouminou : un Arutha et un Cardinal]

La Reine considéra le macaron et le prit avec un sourire pour le blondinet Gisors, qui avait déjà croisé son chemin au Louvre, lorsque le garnement avait tenté de se faire admettre à la Pairie. Et lui avait offert un verre de jus d'orange.

Elle ne comprit pas la moitié de ce qu'il dit mais se promit de demander à Yolanda Isabel de quoi le jeune garçon parlait ; un langage dont les plus âgés étaient déjà privés, sans nul doute. L'évolution de la langue... Les expressions d'jeunes...


-"Bonjour, Arutha, et... merci..." Et... va jouer plus loin... J'attends les autres hommages des assoupis normands... "Votre frère et tuteur n'est pas là pour prêter votre serment à tous deux ?" Ca ferait d'une pierre deux coups, deux lignes de la liste à biffer d'un coup.
D'ailleurs, cela éviterait à la Reine de se rappeler les raisons qu'elle avait de se trouver courroucée que le Cardinal de Nagan l’eut si superbement ignorée, alors même qu'il venait de saluer celle qui siégeait à sa droite, la Duchesse de Normandie...

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[JE NE LIS PLUS MES MP ; Béa est en arrêt maladie, cf. MDRPRR
Toute requête doit être envoyée à Dotch (GMF) ou Chlodwig_von_Frayner (Régent) ]


Arutha_gisors
[Après Matouminou, toujours]

Elle semblait perturbée, la Royale Beatrice.
De rien, c'est normal, c'est un cadeau pour ton n'anniversaire ! Et parce que t'es viendue, aussi !

Pourquoi c'était pas Gabriel qui était là. Ben pourquoi pas ?
Ben en fait, moi, je dis le serment, comme ça, tu sais que ça vient bien de moi. Et ouais, c'est pas un usurpationnement de titre ! Et après, Gabriel il fait l'officialisationnement du serment !

Are you agrii ?
Ouais. Paraît que c'est une phrase importante, en Angloiserie, "are you agrii".
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@Yoli : C'est l'amour explosif qui fait sauter les boutons de braguette.
Perrinne
Toujours à proximité de la Reyne et vu qu'un page avait suppléé à l'idiot pigeon qu'elle avait initialement envoyé, elle disposait des documents. D'une petite génuflexion, sensée l'excuser et attirer l'attention de la monarque, elle s'approcha le rouleau à la main et le tendit à celle-ci pour qu'elle puisse le remettre à la nouvelle dame normande. Pour sa part, ses oreilles et sa copie suffiraient pour rédiger ultérieurement la confirmation du serment.

Elle leva alors les yeux au ciel devant les fanfaronnades de son frere qui s'était rapproché. Heureusement, la Reyne ne semblait pas trop mal le prendre... Mais où était donc Gabriel ???

Vint à ce moment le cardinal qu'elle croisait régulièrement à Paris. Petit signe de tete, si cela ne suffisait pas, tant pis. Qui passait en premier ? Le cardinal ? le Vicomte normand ? le collègue héraldique ? No lo sé.
Mais comme il était présent, il pourrait faire son hommage directement après.

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Matouminou


Les choses s'enchainèrent, ne laissant que peu de temps à Matou pour se préparer. La Reyne posa son royal regard sur elle. Elle tenta de se remémorer les mots qu'avait prononcés Alizarine, car bien entendu, elle n'avait jamais, un instant, songer à apprendre ce serment.

Moi, Dame Matouminou de Saint Amand de Thorigni, épouse du seigneur Horloger de Saint Amand de Thorigni viens ce jour présenter mes hommages à la Couronne de France . Je vous promets aide, conseil et fidélité en......elle fut un instant distraite par un mouvement sur le côté, et vit Arutha se faufiler. Décidément ce gamin était partout, elle se retint de sourire et termina sa phrase...en toutes circonstances.

Puis elle baissa la tête en signe de respect et puis, aussi parce qu'on lui avait dit qu'il ne fallait pas trop longtemps regarder la Reyne, c'était une marque de familiarité à éviter. Elle retint son souffle, encore abasourdie de ce qu'elle était en train de vivre, ignorant toujours les détails de cet anoblissement.

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Beatritz
[Anoblissement de Matouminou]

Heureusement que la blonde héraldique était là... Sourire reconnaissant de la Reine, qui écouta alors le serment de sa future vassale. La jeune femme ne s'était pas agenouillée et parfois la regardait, et la Reine durcit ses traits, pour montrer qu'à défaut de lui en faire le reproche, elle ne l'en félicitait pas.
Elle prit le temps de regarder le document que lui avait remis 'Normandie', puis dit :


-"Matouminou de Saint Armand de Thorigni, nous vous recevons ce jour comme notre vassale, dame de Guilberville, et vous promettons protection, justice et subsistance. Symbole de cet échange qui vous lie à la Couronne de France, recevez..."

Main qui erre dans le paquet de babioles.

-"Cet anneau de bois poli et ciselé de feuilles, signe de l'alliance nouée ce jour, une alliance que seule la mort, le parjure ou la renonciation peuvent défaire.
Faites toujours honneur à votre noblesse."


Elle lui remit alors ses lettres de noblesse.

Citation:
Nous, Thomas de Clérel, magnanime Duc de Dun-le-Roy, Roy d'Armes & Pair de France,

A toutes et tous que la présente liront ou entendront,

Par la présente, après consultation du collège héraldique, faisons acte de la demande de Dame Alizarine d'Everlange, Duchesse régnante de Normandie, quant à l'octroi d'une Seigneurie se trouvant sur les terres normandes et sise au fief nommé Guilberville, à Dame Matouminou.

Après recherches héraldiques dument entérinées, le Fief de Guilberville est bien Seigneurie (de mérite) du duché de Normandie.

Après consultation d'armoriaux, l'écu se référant à la dicte Seigneurie est Écartelé d'argent et de gueules, à la bordure du second, semée de merlettes du premier. , soit, après dessin :



Qu'afin que nul ne puisse contester la vigueur et l'autorité de la présente, apposons notre scel.

Faict le premier jour du mois de Juin de l'An de Grasce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf.


C'est à ce moment qu'Arutha, à la suite de Matouminou, se présenta à la Reine et commença à bavasser comme il savait si bien le faire...

[Un peu plus tard, Arutha toujours là]

Avec une forme d'affection comme la Reine savait en concevoir pour les jeunes orphelins ou abandonnés de leurs parents, comme elle l'avait elle-même été, elle répondit au jeune garçon :

-"Et bien, jeune baron, présentez votre serment, et nous attendrons ensuite la confirmation par votre tuteur !"
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[JE NE LIS PLUS MES MP ; Béa est en arrêt maladie, cf. MDRPRR
Toute requête doit être envoyée à Dotch (GMF) ou Chlodwig_von_Frayner (Régent) ]


Arutha_gisors
Et bien, jeune baron, présentez votre serment, et nous attendrons ensuite la confirmation par votre tuteur !

Elle est gentille, la Reine. Elle veut que le gamin répète encore son serment. Et, bien entendu, le dit gamin, s'exécute.
Moi, Arutha de Gisors-Breuil, fils de papa Vinkolat et de maman Kirah, futur baron de Falaise, amoureux de Yolanda, jure... aide, conseil, et fidélité !

C'est ça, hein ouais ?


Le gamin n'était déjà pas très grand. Mais, désormais agenouillé, il paraissait encore plus ridicule, devant la Reine.

Et, quand la Reine aurait accepté ou non, son hommage, il pourrait lui parler de plusieurs choses importantes :
- Yolanda.
- Les macarons.
- Yolanda et les macarons.
- Lui.
- Lui et les macarons.
- Falaise.
- Falaise et les macarons.
- Ses parents (sans les macarons, ça existait pas, à l'époque !).

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@Yoli : C'est l'amour explosif qui fait sauter les boutons de braguette.
Maitre_aupyl


Il s'était tenu à l'écart. Pour lui, la Reyne, c'était une chose inaccessible. Dans son esprit de bourgeois, même parler à la Reyne, c'était encore pire.
Mais pour son projet d'invasion qui avançait relativement doucement, une intervention de la Reyne en sa faveur était le meilleur moyen d'accélérer les choses. Surtout pour que tout soit prêt pour l'anniversaire de la bataille d'Hastings.
Il s'habilla du plus propre qu'il put. Il se sentait vraiment mal à l'aise dans ses vêtements amidonnés.
Il fit le tour auprès de toutes les personnes présentes et influentes et leur tint, à peu près, le même discours:

Dites, vous pouvez parler à ma faveur à la Reyne concernant mon petit projet? Ou m'introduire auprès d'elle?

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Capitaine du Ville de Fécamp
Père d'Alkemie
Pour l'invasion de l'Angleterre, c'est pour bientôt


Rien n'est vrai dans un jeu virtuel.
Nothing is real in a virtual game.
Aaron
Alors que le cardinal était apparu par derrière aux yeux de la duchesse de Normandie (désolé, petite erreur de cohérence de RP de ma part, je n’avais pas compris qu’elle était assise aussi à côté de la Béatriz), il n’avait pas voulu déranger la souveraine de France alors en pleine séance d’anoblissement. Il semblait être l’un des premier nobles à se présenter pour prêter serment, ne voyant dans l’assemblée présente que peu de ses pairs… Y aurait-il eut un cocktail dînatoire avec cidre et calva avant la cérémonie ? Une sorte de « bifaure » comme le disaient ses domestiques rémois, terme que le cardinal ne comprenait pas…

Le héraut de Normandie, l’héritière Breuil, fit un signe de tête au prélat… Était-ce celui d’un coup d’envoi, « Presses-toi mon grand, c’est à toi, on a faim ! », ou d’un bonjour timide ?

Son énergumène de frère qui ne cessait de faire l’éloge des macarons, ce qui en passant énervait sagement le prélat qui se trouvait là le ventre vide après plusieurs lieues de voyage, posant genoux à terre attendait la confirmation de son courageux tuteur… Le prélat devait-il y aller ? Devait-on attendre ?

Le cardinal de Reims s’avança tout de même, au devant de l’estrade, se posant ainsi comme « suivant » dans l’ordre de passage. Il inclina la tête lorsqu’il croisa le regard de la reine, et attendit un signe…

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