Marzina
De mémoire de témoins, Marzina avait presque défoncé la porte de léglise donc, abandonnant derrière elle le polak qui préférait faire la conversation à la loque humaine. Tant mieux ! Elle pourrait alors profiter de son absence pour convaincre le prêtre doublier tout ca, et de brûler le certificat de mariage en même temps que les souvenirs. Et la bague Monopriks. Malheureusement, le polak bien quivre, avait fini par remarquer quil parlait dans le vide, et les rejoindre, rendant sa mauvaise humeur à la blonde, qui finit par grogner à lattention de Marie :
« Cest toi que jaurais du épouser tiens ! »
Si elle avait eu des poches à sa robe, elle aurait enfoncé ses mains dedans. Elle passe la porte de léglise donc, à sa gauche une splendide blonde avec un ventre plus que proéminent, à sa droite un polak avec la gueule de bois. Quelle joyeuse équipée ! Soudain, la blonde relève son petit nez hautain, se met à renifler. Ca sent le sucre. Et un truc bizarre, quelle ne remet pas. En même temps, la blonde elle ne connait pas la montagne, alors les sapins Si elle voyait une montagne, probable quelle simaginerait que vous élevez des taupes géantes !
Tout en titubant, elle se rapproche du bénitier, renifle. Intéressant, cette odeur-là par contre, lui rappelle bien quelque chose Etrange quelle se retrouve là, cette odeur. Elle trempe un index dans leau, le glisse à sa bouche. Oups. Du chouchen !!
Doué a des pouvoirs merveilleux, il change leau en chouchen !!
Elle allait se diriger vers le prêtre pour parler avec lui de son métier avec ses bons et ses mauvais cotés respectivement de pouvoir demander à changer leau en chouchen, et de marier de pauvres âmes innocentes- , quand un cri deffroi retentit.
« OHHHHH NON ! PAS VOUS ! Par pitié, Seigneur ! »
La voix, tout comme lodeur des bénitiers, lui semblait étrangement familière elle aussi. Elle pose ses yeux sur lhomme qui fuit, dont elle remet la silhouette, en même temps que Marie laisse éclater la vérité :
« Arzhyyyyy !!! »
Stupeur et tremblements ! A cette annonce, la blonde allait manifester sa désapprobation, mais lhomme continuait de fuir, et la princesse par lodeur du chouchen alléchée était restée près de la porte dentrée, trop loin pour tenter un plaquage en règle sur le fuyard. Heureusement, sa baleine avait un neurone en plus quelle, ou une once de vicieuse malignité en plus, et trouva le moyen de stopper la course de lodieux traitre.
« Aaaaahhh !! J'accouuuuccchhhheee !!! Bordel de queuuuueee !! »
Seulement, Marzina ce jour-là avait laissé ses propres neurones au placard, on ne peut pas à la fois trainer la gueule de bois et un peu dintelligence, cest pas compatible.
« Aaaaaaaaah ! Par Doué ! Le ciel nous tombe sur la tête ! Le roux va venir au monde dans une église ! Le chouchen des bénitiers laura attiré, cest un breton !! »
Elle aurait bien été au secours de Marie, mais elle avait pas franchement envie dêtre sage femme, alors elle resta plantée dans son coin, le visage grimaçant par sa couardise du moment, sempêchant de fuir pour vérifier quand même que quelquun allait porter secours à la baleine échouée. Par bonheur, Arzhel se dévoua pour cette tâche, et retourna vers Marie. La blonde allait pouvoir prendre ses jambes à son cou, et cest ce quelle sapprêtait à faire lorsquelle entendit.
« Bon bon, allez, relèves toi, tu m'as encore eu à ton petit jeu. »
Haaaaaaan !
Cétait juste une stratégie de Mariiiiiie ! Futée, la co-reine des blondes !
« Bon ba entrez, bande d'ivrognes, qu'on puisse au moins fermer la porte pour qu'on ne me voit pas avec des tarés dans votre genre. »
La blonde laisse le polak avec ses interrogations et la porte à fermer, tandis quelle se précipite vers Arzhel, le visage rendu un peu blafard par le faux accouchement et la nuit blanche. Elle attaque directement :
« Tonton Arzheeeeel ! Traiiiiiitre ! Comment as-tu pu me faire caaaa ? Moi, mariée ! Quelquun doit payer pour ca ! »
Et tout en savançant vers Arzhel pour létrangler, léviscérer, lémasculer, le maraver, ect Elle se tourna vers Marie :
« Trugarez pour la diversion ma baleine ! »
Et se tournant à nouveau vers Arzhel, levant ses petites mains denfant vers sa gorge:
« Crèèèève, suppôt du Malin ! »
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Au ralenti du 12 au 19 juillet!
« Cest toi que jaurais du épouser tiens ! »
Si elle avait eu des poches à sa robe, elle aurait enfoncé ses mains dedans. Elle passe la porte de léglise donc, à sa gauche une splendide blonde avec un ventre plus que proéminent, à sa droite un polak avec la gueule de bois. Quelle joyeuse équipée ! Soudain, la blonde relève son petit nez hautain, se met à renifler. Ca sent le sucre. Et un truc bizarre, quelle ne remet pas. En même temps, la blonde elle ne connait pas la montagne, alors les sapins Si elle voyait une montagne, probable quelle simaginerait que vous élevez des taupes géantes !
Tout en titubant, elle se rapproche du bénitier, renifle. Intéressant, cette odeur-là par contre, lui rappelle bien quelque chose Etrange quelle se retrouve là, cette odeur. Elle trempe un index dans leau, le glisse à sa bouche. Oups. Du chouchen !!
Doué a des pouvoirs merveilleux, il change leau en chouchen !!
Elle allait se diriger vers le prêtre pour parler avec lui de son métier avec ses bons et ses mauvais cotés respectivement de pouvoir demander à changer leau en chouchen, et de marier de pauvres âmes innocentes- , quand un cri deffroi retentit.
« OHHHHH NON ! PAS VOUS ! Par pitié, Seigneur ! »
La voix, tout comme lodeur des bénitiers, lui semblait étrangement familière elle aussi. Elle pose ses yeux sur lhomme qui fuit, dont elle remet la silhouette, en même temps que Marie laisse éclater la vérité :
« Arzhyyyyy !!! »
Stupeur et tremblements ! A cette annonce, la blonde allait manifester sa désapprobation, mais lhomme continuait de fuir, et la princesse par lodeur du chouchen alléchée était restée près de la porte dentrée, trop loin pour tenter un plaquage en règle sur le fuyard. Heureusement, sa baleine avait un neurone en plus quelle, ou une once de vicieuse malignité en plus, et trouva le moyen de stopper la course de lodieux traitre.
« Aaaaahhh !! J'accouuuuccchhhheee !!! Bordel de queuuuueee !! »
Seulement, Marzina ce jour-là avait laissé ses propres neurones au placard, on ne peut pas à la fois trainer la gueule de bois et un peu dintelligence, cest pas compatible.
« Aaaaaaaaah ! Par Doué ! Le ciel nous tombe sur la tête ! Le roux va venir au monde dans une église ! Le chouchen des bénitiers laura attiré, cest un breton !! »
Elle aurait bien été au secours de Marie, mais elle avait pas franchement envie dêtre sage femme, alors elle resta plantée dans son coin, le visage grimaçant par sa couardise du moment, sempêchant de fuir pour vérifier quand même que quelquun allait porter secours à la baleine échouée. Par bonheur, Arzhel se dévoua pour cette tâche, et retourna vers Marie. La blonde allait pouvoir prendre ses jambes à son cou, et cest ce quelle sapprêtait à faire lorsquelle entendit.
« Bon bon, allez, relèves toi, tu m'as encore eu à ton petit jeu. »
Haaaaaaan !
Cétait juste une stratégie de Mariiiiiie ! Futée, la co-reine des blondes !
« Bon ba entrez, bande d'ivrognes, qu'on puisse au moins fermer la porte pour qu'on ne me voit pas avec des tarés dans votre genre. »
La blonde laisse le polak avec ses interrogations et la porte à fermer, tandis quelle se précipite vers Arzhel, le visage rendu un peu blafard par le faux accouchement et la nuit blanche. Elle attaque directement :
« Tonton Arzheeeeel ! Traiiiiiitre ! Comment as-tu pu me faire caaaa ? Moi, mariée ! Quelquun doit payer pour ca ! »
Et tout en savançant vers Arzhel pour létrangler, léviscérer, lémasculer, le maraver, ect Elle se tourna vers Marie :
« Trugarez pour la diversion ma baleine ! »
Et se tournant à nouveau vers Arzhel, levant ses petites mains denfant vers sa gorge:
« Crèèèève, suppôt du Malin ! »
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Au ralenti du 12 au 19 juillet!