[RP] [Ducales] Guyenne, Lève Toi ! (et plus vite que ça !)

La jeune Martinne était fraiche et belle, elle allait tous les matins chercher de l'eau au puits, les hommes profitaient du moment pour la complimenter et la faire rire, c'était un moment agréable mais elle se disait qu'elle avait le temps de choisir...

Ce jour là, en s'y rendant, elle remarqua une nouvelle étale sur la place publique.

Tiens ! je ne l'avais pas remarquée ! se dit elle en se rapprochant.

Une nouvelle liste pour les ducales, si près du début du scrutin? étonnant...en même temps c'est malin comme ça on évite de montrer que le programme est vide et on limite la possibilité des critiques trop dérangeantes, oui en fin de compte c'est très fort !

Elle continua sa route...

Voilà que les pleurnichards professionnels tâchaient de se trouver une planche de salut en envoyant leurs commères soudoyées par quelque ruban bleu à aller parler toutes seules d'un stand à un autre dans le but d'y déposer une critique qui se voulait acerbe, sans aucune réelle volonté d'échange. Iohannes y coupa court.

C'est effectivement plus malin que de déposer une liste trois semaines avant sa présentation pour ne servir au peuple de Guyenne qu'une succession de navrants poncifs qui n'accouchent d'aucun projet d'avenir, mademoiselle. Il faut savoir le reconnaître.
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"Aux hommes la droiture et le devoir, et à Dieu seul la gloire !"
S.I. - Chevalier Errant de la Réforme Aristotélicienne.

Interpellée par la réponse d'un messire qu'elle ne connaissait pas elle revint sur ses pas.

Heu Messire bonjour, ah bah oui je vous reconnais je vous ai vu sur une autre estrade pour la défense d'une autre liste, mais vous défendez deux listes maintenant?

Se fend d'un frémissement de lèvres face à la fille du puisatier qui avait feint de tirer sa crampe. Merveilleux prélude à un sourire narquois.

Tout comme vous n'en attaquez que deux.

Ce n'était pas sa première campagne. Il ne s'interrogeait plus sur les motivations des anonymes qui ne fleurissaient que pendant les campagnes électorales. A croire que les demandes de confession auprès de monseigneur Bardieu devaient exploser durant cette période. Dédaignant son interlocutrice pour ce qu'il savait quels intérêts elle servait, il attendit calmement qu'elle en ait terminé avec la démonstration de son esprit basiquement partisan pour s'échapper très rapidement de ce stand où suintaient règlements de comptes et attaques gratuites de pure forme.
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"Aux hommes la droiture et le devoir, et à Dieu seul la gloire !"
S.I. - Chevalier Errant de la Réforme Aristotélicienne.

Val avait entendu parlé de la dernière liste et ce qu'il avait vu dessus lui faisait presque peur.

Il était donc aller au stand de la dite liste pour vérifier ce qu'il jugeait totalement improbable. Surement une erreur de retranscription, pas d'autres choix..

Il arriva donc devant le stand, scruta attentivement la liste des membres et là.. surprise.. c'était vrai.. son nom sur la liste ....

Et pas au plus bas en plus... en 8ieme place.. certes, quasi inéligible mais quand même...

Il se tourna vers l'estrade et parla, sans s'adresser à quelqu'un en particulier..

Excusez moi, votre liste était si dans le besoin pour engager un déficient mental ????

Bon je sais que d'autres listes l'ont fait aussi, la preuve, on en a un actuellement comme CaC mais bon.. allez chercher Garzimlebo, dont l'état de santé mentale est plus que bas, faut le faire quand même ...
La dernière fois que je l'ai croisé, il bavait dans un coin de chez HO, recroqueviller sur lui-même en balbutiant des choses incompréhensible ... Et sa maladie allait en empirant...

Enfin ça surprend quand même...

Et Val en resta là, vraiment choqué de trouver ce nom sur une liste Ducale ...
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Montalembert regarde Val, faire son nuémro d'indigné, ce n'est pas parce que sa liste ne propose rien, qu'il faut s'en prendre aux personnes.

Il attend que le calme se fasse et déclare :

bonjour y viens ici sur place non pour critiquer votre programme ou votre liste, mais pour faire un appel à l'aide?

Marmande à vue sans aucune raison, sans avis, sans décret signé, son unique mine fermée. Marmande est une ville de vergé comme la moitier de la Guyenne, Marmande n'a plus rien a offrir comme travail au pauvre de ses enfants.

Montrez s'il vous plait votre attachement à la Guyenne dans son ensemble, venez soutenir le peuple Marmandais en essayant de faire comprendre au CAC qu'il fait actuellement fausse route.

Prouvez que les valeurs que vous voullez défendre ne sont pas que du vent.
C'est un peuple à genou depuis 4 jours qui vous implore de venir l'aider.
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La Saint Just s'était entretenue un instant avec une petite flopée de messagers qui devait aller toquer à chaque porte de chaque hameau de Guyenne pour porter la bonne parole électorale. Aussi durant ce temps, l'on s'égosillait dans l'assistance, chacun ajouta sa manne sans véritablement attendre de réponse, semblait-il, puisque les uns les autres se coupaient la parole en crachant leur venin.

Rhaaa... Ca lui avait manqué ce bain de fiel propre aux élections. presque une fontaine de jouvance pour l'Infâme.
Mieux valait encore ça que l'atonie générale qui précédait les élections bien trop souvent en Guyenne.

Avec un constat des plus grisants, plus les interlocuteurs se faisaient agressifs, plus ils exsudaient la peur. Et si l'on fait peur, c'est que l'on vous donne donc ce pouvoir...
Ouais non, y'avait pas à tortiller, en bonne salamandre, la Saint Just renaissait au contact du feu.

Au pasteur réformé de Montauban et à sa pique que d'aucuns devaient probablement prendre au sérieux sans y déceler le cynisme latent, un discret sourire en coin pour l'accueillir

Messer Sancte, je ne saurai gager de ce que décidera la Reyne, mais pour qu'elle refuse de sceller le serment que lui prestent ses vassaux, il faut au moins avoir accédé au trône illégalement, ou avoir été déclaré félon, ou ennemi de la Couronne ou encore avoir porté préjudice au domaine royal.
Je ne crois pas qu'une promiscuité géographique aux relents méphitiques entre dans la liste de ces méfaits.

Se retenant de ricaner à la nouvelle intervention du Castelcerf, elle l'écouta tenter de lui faire à l'envers avant de reprendre.

Mon propos est loin d'être ridicule, Messer de Castelcerf, vous arrivez icelieu du fiel plein la bouche contre un 2e de liste pour ses attaches à la Couronne, et questionnant sur ce choix.

Je ne crois pas vous faire mentir en rappelant que vous avez dit qu'il valait encore mieux l'hérésie au conseil de Guyenne qu'un représentant de la Couronne. Et vous venez ensuite argumenter de votre profond royalisme ? Permettez moi de trouver votre volte face bien prompte.

De vos propres dires, vous vous fichiez bien alors de ce que cette liste pouvait prôner. Et vous ne parliez alors point de ma liste, mais d'un seul et unique membre que vous agitez comme un danger ambulant.
Le poisson c'est alors vous qui le noyez, Messer, et non moi.

Quand ensuite je mets en exergue le fait que votre critique est loin d'être amenée à des vues de débats pour le bien de la Guyenne, vous retournez tout soudain votre pourpoint et vous sous-entendez à demi mot que je pourrai ne pas respecter le choix des urnes. Passons sur l'insulte larvée que contient cette suggestion qui semble sortie d'un esprit un peu dérangé, et poursuivons donc.

Vous avez parfaitement raison, Messer, le meilleur argument politique pour se présenter à des élection ducales est de mettre en avant que nous sommes des incapables doublés de boulets, humbles et dociles, qui ne feraient pas de mal à une mouche et qui d'ailleurs ne feront rien de peur de blesser.

Vous me reprochez du mépris, alors que je ne fais que souligner ce dont se contente la Guyenne depuis des lustres. Je propose qu'elle relève la tête, cesse de se contenter de la médiocrité ambiante, des ducs absents, des conseillers invisibles, des peurs et crispations qui la façonnent puisqu'elle a toujours été le maillon faible.

Les mains se lèvent, l'une ouverte, paume en avant, doigts bien écartés, l'autre, poing fermé, seul l'index levé.

Six listes, Messer, deux qui ne se complèteront heureusement pas, et au soulagement de tous.
Deux qui sont composés soit de sombres inconnus soit de personnes qui ont été de plusieurs conseils sans qu'autre chose que le quotidien ait été plus ou moins bien géré.
La dernière bien loin du politiquement correct et qu'un idiot a voulu faire invalider en réclamant l'arbitrage de Paris, ce qui nous promet un merdier sans fin dans lequel la Guyenne aura bien peu à dire pour les deux mois à venir.

Nan, vous avez raison, je devrais faire campagne en argumentant sur notre manque de volonté, notre incapacité à réaliser des choses et notre médiocrité épousant parfaitement le moule du paysage politique guyennois. On a gagné des élections avec moins que ça...

En quoi, proposer des élus au conseil plus présents que nos trois derniers ducs, qui souhaitent se pencher sur l'amélioration de la communication du conseil, sur la délicate question de comment redorer le prestige de notre province et améliorer notre sécurité intérieure et nos systèmes de défenses serait plus de vent que quelques propositions couchées à la hâte sur un vélin ?

Est-il réaliste de se dire que de toutes les propositions faites par les listes en présence, peut-être deux ou trois seront réalisées durant ce mandat tant le fait d'avoir quatre listes en présence promet un gouvernement de coalition que n'importe quelle personne qui comprend un tant soit peu les rouages de la politique vous dira qu'aucune n'aura le pouvoir d'imposer ses idées ?

Alors le concret, c'est déjà le minimum que les précédents élus n'ont pas pu garantir.
Présence, expérience, et évidemment, audace.
C'est déjà beaucoup.


Mais de toutes façons, pour l'heure, cela n'intéresse guère les gens, puisque les interventions s'attachent surtout à salir les membres de la liste plutôt que de s'interroger sur ce qu'elles comptent faire.

Permettez donc que je prenne quelques instant pour répondre au sieur qui s'est doté d'un deuxième anus puisque sa bouche ne lui fait pas d'autre usage, ensuite à l'ami qui se mue en agressif insultant, peut-être qu'ensuite, nous pourrons tenter de parler de concret.
Profitez-en pour préparer de vraies questions...

Petit hochement de tête avant de regarder le Hatzfeld avec un regard profondément empli de pitié. Elle secoua tristement la tête un instant avant de ne répondre à sa longue tirade digne des courantes les plus carabinées de quelques phrases laconiques.

Coutumier de Guyenne, je cite : "Opus IV - Dispositions communes à l'ensemble des institutions de Guyenne, Article 1
Est Sujet Guyennois toute personne ayant un champ, une échoppe ou un fief en Guyenne. "

CQFD en ce qui concerne la présence sur la liste de Sa Grasce Chlodwig Von Frayner, Baron de Lesparre et de Castelnau du Médoc, fiefs de Guyenne, aux dernières nouvelles.

De mon capitanat, remettons les choses dans leur contexte.
Vous êtes consultant militaire à l'Etat Major de Guyenne.
VOTRE cousin Galaad prend la tête de VOTRE armée après que vous ayez été blessé.
Cousin dont vous vous portez garant.
Votre cousin à la tête de votre armée dont vous vous portez garant décide d'aller faire un tour en Périgord Angoumois sans l'aval de quiconque en Guyenne.
Le conseil en son entier, mis à part le Duc Garzim et moi-même, veut sa tête au bout d'une pique.
Je prend contact avec et lui donne accès à notre salle tactique.
Le sieur refuse d'obéir aux ordres alors qu'il a rangé sa bannière sous les ordres de la Guyenne et fait perdre 5 longs jours et autant d'écus à une mobilisation de l'Ost.
La Duchesse lui donne nombreux ultimatums auquels il ne se plie pas.
Une traque est lancée.
Etrangement, le Sieur semble au courant de tous les mouvement de l'Aguiane, armée chargée de le traquer, avec toujours un temps d'avance.
De fait, l'ensemble des ordres jusqu'à ce que cet oriflamme récalcitrant tombe à terre ont été donné bien loin de vos oreilles et donc bien loin de l'EM ou de la salle tactique. Par missive, personnellement, au chef d'armée, au maistre de camp et aux lieutenant.

Estimez vous heureux et chanceux de ne pas avoir été trainé devant un tribunal pour Trahison.

Je poursuis ou bien c'est inutile ?

Le temps de laisser réfléchir le Sieur qui rêvait d'avoir deux anus, elle poussa un profond soupir et souleva un sourcil de surprise à l'intervention de Valnorel.

Il y a en bien un à qui cela ne pose aucun souci de soutenir en huitième place une liste composée du second au cinquième de sombres inconnus, d'une sixième dont vous n'avez cessé de vous plaindre tant qu'elle a été bailli...

Le Duc de Blanquefort, quand je l'ai sollicité, ne bavait pas dans un coin comme vous vous plaisez à le décrire et donc à le salir, mais m'a répondu fort courtoisement et a été fort capable de faire porter en sénéchaussée une belle bourse bien replette et y confirmer son nom pour valider notre candidature.
Etes-vous medicastre pour juger des effets et suites d'une maladie sur quelqu'un ?
Je ne crois pas, donc en le traitant de déficient mental, vous diffamez.

Vous avez autre chose de plus intéressant à demander ?
Non ?
Je peux ?

Essayez toujours de l'avoir...
Et de siroter un godet de pif que paye le Von Frayner, faut pas déconner.
A côté des artésiens - ah les débats électoraux en Artois, école de la vie - et de ces empaffés de béarnais, en Guyenne, le débat électoral est d'une douceur suave et délicieuse.
Who's next ?

Oh ? Un gars qui venait vraiment demander une vraie chose. La comtesse faillit s'en étouffer avec sa gorgée de rouge et après quelques toussotements, prit la peine de répondre à la supplique.

Et bien Messer, vous avez pu le constater, faire entendre quelque chose à l'énergumène qui nous sert de CaC semble fortement compromis.
Toutefois, soyez sûr que je suis avec la plus grande attention les protestations des marmandais qui font doléance actuellement en place publique et que j'appuie les dictes protestations pour le simple fait qu'avant de prendre de telles décisions, les concernées doivent être consultés au préalable, surtout s'il ne s'agit que de gagner que 50 écus...
Toutefois, vous savez fort bien qu'avant les prochaines élections, vos protestations risquent d'être bien vaines. Ce n'est pas pour autant qu'elles ne doivent être pas clamées et à fortiori entendues.



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Stoïque, l'homme croisa les bras et renchérit d'une traite, visiblement indemne de la réplique que lui servait la tête de liste.

- Dites-moi Comtessa. Depuis quand rangez-vous les consorts et les nobles directs, c'est à dire ceux qui prêtent eux-mêmes allégeance à leur suzerain pour le fief qui LEUR a été octroyé, a fortiori lorsque les statuts de la noblesse de Guyenne font expressément la différence entre les deux cas ?

Son pouce gauche gratta machinalement sa joue droite. Il poursuivit sans ciller.

- De votre capitanat, remettons les choses dans leur contexte.
Vous êtes capitaine à l'état-major de Guyenne.
MON cousin Galaad prend la tête de MON armée suite à ma défaite lors d'une escarmouche le 18 décembre.
Mon cousin à la tête de mon armée dont je me porte garant rallie Bordeaux en coupant court à travers le Périgord 13 jours plus tard, sans pour autant avoir reçu d'ordres de ma part, du conseil ducal, de l'état-major ou de qui que ce soit et à raison : personne ne l'a contacté et personne ne s'est soucié qu'une armée soit dirigée par un inconnu, se satisfaisant du fait que son prédécesseur était fiable et digne de confiance, et qu'il est donc inutile de faire la conversation avec ledit chef d'armée.
Le conseil en son entier blablabla j'en sais rien, j'y étais pas.
Toujours est-il que vous vous rendez seulement compte de son existence et que vous réparez votre effroyable mépris - ou incompétence, difficile à jauger - en lui écrivant en quatrième vitesse avant de l'inviter à siéger en salle tactique, pour qu'il reçoive des feuilles de route et des instructions car il en va ainsi pour tout chef d'armée qui dépend de l'état-major de la régulière.
Le sieur obéit laconiquement à vos ordres et ne rallie la ville d'Agen pour une intégration SEULEMENT après que vous ayez formulé l'ordre de manière explicite - un sous-entendu glissé au travers d'un monologue surgit de nul part n'est pas un ordre, un ordre c'est une phrase courte et brève donnée de manière impérative et relayée par voie épistolaire -.
Son seul refus fut de VOUS NOMMER LOGISTICIENNE PARCE QU'IL L’ÉTAIT DÉJÀ. Et quand on sait qu'il est rare pour un chef d'armée de pouvoir gérer à la fois ses sections et la logistique, on ne vient pas chialer comme une pleureuse que le chef d'armée veut votre mal et qu'il est trop méchant. Le mettre à pied parce qu'il refuse, c'est compréhensible. Le faire déclarer non grata et le traquer pour ce motif-là, c'est disproportionné.
Étrangement, si un capitaine suspecte un tiers qui a accès à la salle tactique de renseigner un chef d'une armée jugée illégale - puisque j'en déduis que vous m'accusez d'avoir sorti des informations de l'état-major d'après votre sous-entendu méprisable -, il démet ledit tiers pour couper court à toute tentative d'espionnage plutôt que de faire du politiquement correct en ne voulant froisser personne. C'est la base du commandement.
Donc de ce fait blablabla j'en sais rien, ça c'est vous qui le dites.

Vous m'estimez vraiment heureux de ne pas avoir écopé d'un procès pour trahison, alors que votre version des faits bancale et douteuse vous discrédite plus que moi dans l'affaire ?

Poursuivez je vous prie. C'est hautement utile au contraire.

Il toussota.

Quid des réponses à mes questions sur votre projet sur l'indice du prestige ?
Sur votre réforme de l'armée ?
De la prévôté ?
De votre ardent désir d’écoper un nouveau fief en Guyenne ?
De votre effroyable arrogance ?
De votre capacité à fédérer un conseil ducal ?

Tapotant du pied sur le sol et des doigts sur le coude, il patienta.

- Vous êtes conne ou quoi ? Est-ce que vous y connaissez seulement quelque chose, aux mines, aux capacités de production, aux coûts d'entretien, à leur positions et à leur fréquentation maximale ? Je vous rappelle qu'il y a une ÉNORME MARGE entre se faire +400/+450 écus par jour en MATÉRIAUX et +550/+600 écus en OR ! Comment pouvez-vous désirer gaspiller de l'argent dans l'indice du prestige alors que vous sortez une énormité pareille ?
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Trafiquant d'armes, d'esclaves, d'alcools et d'influence. (cri de guerre)