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[RP] Cérémonie d'allégeance à la Franche-Comté

Lysiane
Petit clin d'oeil amusé au Comte Debenja.

Regard chaleureux sur la Comtesse Lluna. Lysiane ignorait pourquoi elle avait de l'estime pour elle mais c'était ainsi. Sans doute parce qu'elle appréciait sa façon de contester toute aristocratique avec des mots si personnels, sans doute parce qu'elle appréciait sa subtile franchise dans les débats.


Merci, Comtesse de Mélincour, Vicomtesse d' Amancey au nom de cette Franche Comté que nous aimons.

Elle remercia ensuite sincèrement le Baron de Fougerolles pour son allégeance, un léger sourire aux coins des lèvres en le voyant s'éclipser rapidement.
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Lysiane d'Ormerach, fille du Comte de Morteau Duncan_Idaho
Comtesse de Morez
Kiboki
Kiboki arriva comme à son habitude un peu à la bourre pour porter son allégeance.
Cette affaire ne l'intérassait nullement mais bon fallait le faire ne serait-ce pour une question de respect dû à la personne qui l'avait annobli il y a de celà un bon petit temps maintenant.
Elle alla très vite car le boulot n'attendait pas et elle avit un peu de retard.
Elle finit, après s'être mise dans la position adéquate, par dire.


Moi, Kiboki de Sparte, Baronne de Villersexel, renouvelle mon allégeance à la Franche-Comté, à son Peuple et son Parlement.
Je leur jure fidélité, aide, conseil et service armé, sur ma vie, mon honeur et ma foi.

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Kiboki de Sparte, soeur de Occorax et de Salbator
Ambassadrice en Touraine et en Berry
Baronne de Villersexel
Bailli de FC
Jasona
La Comtesse de Villers Buzon arriva sur la place pour les allégeances. Elle avait reçu courrier de son suzerain lui demandant d'aller pester allégeance pour lui.
Jasona avança donc au milieu de toutes ces personnes richement vêtus et salua d'un signe de tête celles qu'elle connaissait.
Elle souleva légèrement sa robe pour ne pas marcher dessus et continua d'avancer.
Arrivée devant la Franc Comtesse, Jasona attendit que son amie Kiboki est fini de prêter allégeance.
Elle posa alors un genoux sur le sol. Pas du tout a l'aise devant tout ce monde, elle allait pour la première fois prêter allégeance au nom de son suzerain Jontas De Valfrey.
Si seulement son corset était moins serré, elle aurai été un peu plus a l'aise pour respirer calmement. Elle leva les yeux et récita le petit discourt.


-Moi Jasona de Mazière von Riddermark, Dame de Patornay,
renouvelle l'allégeance de mon suzerain Jontas de Valfrey, Baron de Clairvaux-les-Lacs, envers la Franche-Comté, à son Peuple et son Parlement.
De plus, il leur jure fidélité, aide, conseil et service armé, sur sa vie, son honneur et sa foi.


Après cela, elle se releva et laissa la place au suivant.

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Lysiane
Sourire amusé en regardant Kiboki toujours l'air un peu énervée mais que la Franc Comtesse appréciait pour ses capacités de travail.

Merci Baronne de Villersexel au nom de la Franche Comté.

Regard amical sur Jasona la femme du Comte Debenja. Et elle lui demanda de remercier le Baron de Clervaux-Les-Lacs pour son allégeance.

Alors que Lysiane se retournait, le page arrivait avec un plateau de boissons rafraichissantes. C'est à ce moment, que deux enfants qui jouaient, se fauflèrent en riant et bousculèrent le page involontairement. Voulant s'excuser, un des enfants s'arrêta. La main devant sa bouche, il ouvrit de grands yeux en regardant deux verres perdre l'équilibre et le page décontenancé qui tentaient de rattraper les verres de sa main libre. L'enfant préféra s'eclipser et il fila rejoindre l'autre déjà parti se cacher.

La Franc Comtesse s'était vivement écartée et ne reçut qu'un peu de boisson sur le bas de sa robe. Soupir. Désespoir du page qui la regardait presque tétanisé. Léger sourire fataliste de la Comtesse. Elle prit un verre non renversé tout en le rassurant.


Ce n'est rien. Continuez votre service.

Ayant rapidement oublié le petit incident, elle but doucement une petite gorgée et continua à bavarder avec quelques nobles présents en attendant que les allégeances continuent. Elle était toujours à quelques pas du trône.
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Lysiane d'Ormerach, fille du Comte de Morteau Duncan_Idaho
Comtesse de Morez
Loicisdumb
Moi, Loïc le viking, dit Loïcisdumb, baron de Mouthe, Comte de Sochaux, renouvelle mon allégeance à la Franche-Comté, à son Peuple et son Parlement.
Je leur jure fidélité, aide, conseil et service armé, sur ma vie, mon honneur et ma foi.
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Lysiane
Petit haussement de sourcils et léger sourire devant la sobriété de gestes du Comte Loicisdumb.

Merci Baron de Mouthe, au nom de la Franche Comté.
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Lysiane d'Ormerach, fille du Comte de Morteau Duncan_Idaho
Comtesse de Morez
Loola02
Revenue de sa retraite, Loola sourit au discours de Valaraukar, fidèle à lui-même. Elle lui réservait même une belle surprise, mais il n'était point là le temps de faire scandale.
Elle attendit patiemment que quelques nobles fassent leur devoir, les écoutant attentivement.
Elle devait renouveler son allégeance, et ainsi s'avança au devant de la Franc-Comtesse, pour déclamer :


Moi, Loola02, baronne de Laviron, comtoise de cœur, par devant vous, Franc-comtesse Lysiane, je renouvelle mon serment d' allégeance à l'Empire, à la Franche Comté et à son Parlement.
Je leur jure fidélité, aide, service armé et conseil, sur ma vie, mon honneur et ma foi en Aristote.

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Loola02, Baronne de Laviron
Gundard
De retour du sud de la france, Gundard se présenta prestement devant la Comtesse pour renouveler son allégeance

Bonjour Comtesse je viens ici jurer devant mes paires que moi Gundard, Baron de VernierFontaine renouvel mon allégeance à la Franche Comté à son peuple, et son parlement.
Je leur jure Fidélité, aide conseil et service armé, sur ma vie ma foi et mon honneur.


Il la salua et souris de toutes ses dents et reparti aussi rapidement qu'il était venu tant les cérémonies l'incommodait.
Fauconnier
- " Raaaah, laissez moi passer, bande de nains! "

C'est à peu près en ces termes que le jeune vicomte pénétra en la large et majestueuse salle de Dole où devait se dérouler la cérémonie. Les portes s'ouvrant devant lui, le petit bonhomme de 11 ans se fraya un chemin au milieu des courtisans, conscient de sa peur qui lui tenaillait le ventre, et de la pression sur ses épaules.
Il avait galopé à bride abattue, accompagné de deux des maures au service du vicomte de Delle*, et était arrivé en deux jours à Dole, à temps pour la cérémonie. Il ne pouvait bien sûr pas être en avance, car les voies du seigneur interdisent une arrivée à temps aux êtres pressés, mais n'était en tout cas pas TROP en retard. Il arriva avec Sirius, son cousin et tuteur pour la journée, et alla avec toute la petite famille se ranger dans un coin, sous les regards certainement étonnés que l'on ne manquerait pas de lui jeter.

Les rapports avec Sirius avaient beaucoup évolués, pendant ces quelques temps avec lui: et bien qu'ils ne soient pas cordiaux (première impression négative faisant foi), ils étaient en tout cas familiaux, ce qui tenait notamment de ce que le jeune Fauconnier avait pris conscience du fait qu'il devait avant tout montrer son union autour de la famille du grand Condé. C'est ainsi qu'il fit preuve de prévenance envers son cousin, l'invitant à s'asseoir même si leurs rangs de noblesses étaient égaux, cette Adams de fiente à ses côtés. Il ne parvenait pas, là, à se montrer aimable. Mais une sorte d'ignorance teintée de neutralité absolue quand lui parler était inévitable évitait pas mal de conflits pour le jeune garçon qui, même s'il ne pouvait encore commander sa maisnie, avait en tout cas pris en assurance et en noblesse.
On disait qu'il tenait beaucoup de son père. Et c'était sans doute vrai. Il ne menait pas encore d'hommes, mais un certain sens de l'introversion et un visage dont on reconnaissait les yeux et le menton ne mentaient pas. Quant à la mère, elle lui avait au moins donné la tignasse et les yeux. Ce qui ne le rendait pas beau, mais en tout cas agréable à regarder pour qui aimait un tant soit peu le noir, bien entendu.

Il était mal à l'aise. Tous ces visages, il en avait entendu parler. Des Adams, ou des alliés. Il y avait peu d'amis des Riddermark dans la pièce. Mais baste! Il savait que sa destinée était de venger son père. Il attendrait donc son heure, et prendrait son mal en patience. Il vît Debenja, au loin, et le salua, ainsi que Jasona, comme il convenait. Il sautillait d'une jambe sur l'autre, peu à l'aise sous sa lourde cape de fourrure qu'il avait mise pour entrer dans Dole, et peu enclin à en sortir, par la température peu chaude de ce début d'automne. On disait dans les campagnes que les légumes avaient la peau épaisse: signe de grand froid. Et Adrian, l'ayant entendu de certains serfs, ne pût s'empêcher de le croire. L'hiver serait bien rude...D'autant plus s'ils le passaient en Savoie. Mais l'excitation de partir à la guerre prît le pas soudain, et il se mit à attendre avec tranquilité.

Son tour n'était pas encore venu. Car il se devait, de par ce que son précepteur lui avait appris, d'attendre que son tuteur eût géré ses allégeances auprès de la Comtesse pour en faire de même. Il se força donc à attendre, laissant à Sirius le soin de démarrer les allégeances du groupe.



* : voir les "tribulations d'un vicomte en SRING".
Artifice
Le Prévôt Artifice était présent à la cérémonie d'allégeance, pas pour la même raison que la plupart des personnes qui venaient devant la Comtesse. Il n'était pas noble mais était là de part son poste et de la sécurité du territoire, et plus particulièrement de la Comtesse. Plusieurs de ces hommes étaient postés dans la pièce discrètement comme s'ils étaient des badauds curieux de voir la noblesse venir prêter serment.

Lui-même surveillait l'entrée et vit arriver un groupe dont il reconnut que quelques personnes, il ne savait pas trop qui étaient les autres. Il donna l'ordre de surveiller de loin les personnes inconnues. Il leur barra la route quand un des garnements de Sirius ne pu s'empêcher de se faire remarquer cria en le bousculant au passage :


" Raaaah, laissez moi passer, bande de nains! "

Il lui aurait bien foutu une trempe à ce gosse de 11 ans, mais n'eut le temps de pas faire grand chose, le reste du groupe rentrant dans la pièce. Il les regarda suivre leur chemin à travers la populas. Roturier qu'il était, il ne pourra rien faire même malgré la confiance qui lui était porté et l'avait fait occuper le poste d'Officier des gendarmes. Un jour peut-être pourra-t-il enfin faire quelque chose contre ces enfants se croyant tout permis, toujours de lien de parenté proche de Sirius, simple coïncidence ou pas...
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Prévôt des Maréchaux de Franche-Comté
Greenwarrior
Green était avachi dans un coin de la pièce, vautré sur un des bancs... Fort confortable pour un banc. Normal, puisque c'était un banc pour noble avec coussin rempli de plumes pour fesses de nobles aux multiples titres pompeux à rallonge.
Mouais, ça semblait sympa mais en fait, très mal réfléchi pour qui portait épée, dagues et couteaux en permanence.

Bref, il dormait à poings fermés quand soudain, un gringalet se permit de traiter d'autres personnes de nains.

Il entrouvrit l'oeil gauche... En effet, on ne peut pas dire que la droite soit bonne, en même temps, à part le mur, il n'y avait rien à droite. A si, le bureau du CAC. Il entendait le bruit des écus de l'autre côté.

Enfin soit, il vit qu'Artifice tapait du pied en entendant l'autre garnement geindre dans son manteau qui devait sûrement couter plus cher que tout l'argent reçu par les gens à son service. Celà l'énerva. rien d'anormal jusque là.

Alors il le regarda et cracha dans un... crachoir. Quoi d'autre?

Il se releva correctement, et observa les gens qui se faisaient déranger et bousculer par un plus petit qu'eux.


Il y'a un manque indéniable d'instruction du respect chez certains.

Dit-il en effectuant un clin d'oeil à l'intention d'Artis.
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Lysiane
Alors qu'elle venait de remercier avec chaleur la Baronne de Laviron ainsi que le Baron de Vernier-Fontaine pour leurs allégeances, rendant même à ce dernier un sourire aussi prononcé car la jeune Franc Comtesse n’avait pu y résister. Charmant Baron même s’il avait paru ensuite pressé de se retirer. Elle était toujours un peu éloignée du trône, recevant les allégeances au milieu de la salle, la foule restant près des murs à part quelques nobles discutant avec elle.

Légère bousculade un peu plus loin vers l’entrée qui attira son attention mais surtout les paroles insolentes d’une jeune voix au milieu d’une foule constituée principalement de nobles. La Franc Comtesse se rapprocha un peu et jeta un regard interrogateur au Prévôt Artifice avant de plisser les yeux en examinant la portion d’homme qui avait baptisé de nains les personnes qui gênaient son avancée.

Petite moue perplexe. Qui peut être cet enfant qui se permet de parler de manière aussi insolente. Sirius… juste à côté. De sa famille ? Encore un fils ? Lysiane connaissait le Vicomte de Saulx surtout de réputation même si elle avait été membre du Conseil lors des trois semaines de son mandat de Comte. Elle savait bien qu’une opposition régnait entre les Riddermark et les Adams. Mais elle ignorait pourquoi.De toute façon, la fille du Comte de Morteau ne se préoccupait guère des querelles de familles. Elle avait eu la fortune d’être la fille d’un homme bon et protecteur et elle n’imaginait ni fourberie ni malfaisance dans les personnes qu’elle rencontrait ou sinon il fallait que cela soit manifeste pour qu’elle le réalise. Ce qui lui importait c’était l’efficacité et le dévouement au service de la Franche Comté.

Elle continuait de regarder d’un air intrigué ce petit bout d’homme qui sautillait sur ses jambes l’air embarrassé. Petite moue ironique aux propos de Green. Elle ne se mêla pas aux remarques mais reproduisit rapidement le même clin d’œil à l’attention d’Artifice et prenant un sourire altier, elle posa un regard pénétrant sur Sirius. Elle avait beau n’avoir que dix neuf ans, rien ne l’intimidait et elle avait souvent une petite lueur d’impertinence au fond des yeux.

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Lysiane d'Ormerach, fille du Comte de Morteau Duncan_Idaho
Comtesse de Morez
Artifice
Artifice trop concentré sur le groupe, entendit de loin les paroles du Baron rouge et détourna son regard pour lui montrer qu'il était bien d'accord. Ces yeux qui revenant se poser dans la salle croisa le regard de la Franc-Comtesse qui lui fit un signe complice sur son travail, il leva les yeux au ciel et afficha un sourire en coin pour lui montrer son désarrois de ne pouvoir rien faire.

Il fit quelques pas dans la salle pour se rapprocher de la foule et surveiller d'un peu plus près sans pour autant devoir se faufiler dans la foule...

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Prévôt des Maréchaux de Franche-Comté
Monifred
Monifred avait suivi les ordres du Prévôt et se tenait dans un coin de la salle .
C'était la première fois qu'elle assistait aux allégeances et n'avait jamais vu autant de nobles à la fois .
Qu'elle ne fut sa surprise , lorsqu'elle vit un" gamin" entrer dans la salle sans aucune politesse .


Certains nobles se croient vraiment tout permis , pensa t 'elle

Son regard croisa celui du Prévôt , elle comprit de suite que celui ci était inquiet .
Ils n'avaient pas besoin de se parler pour pour se comprendre , c'était ça , la complicité dans le travail .
Elle posa une main sur son épée , prête à défendre si il se passait quelque chose .
Elle protégerait la Comtesse au péril de sa vie si il le fallait .
Imladris
Le juge releva la tête face aux tumultes.

Tient donc, cela va devenir intéressant.

Il vit le prévôt réagir et laissa faire. Peut être qu'on allait s'amuser pour une fois. Il fit un signe à sa suzeraine pour lui faire comprendre que le spectacle en vaudrait le détour.

Il veilla à se mettre à l'ombre et observa tranquillement.

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