Pitt.bull
Quiconque aurait été observateur, aurait été interloqué, par cette scène si étrange dans une campagne normande.
Une femme aux allures de démon, autant fluette que l'air décidé, armes à la main face à un homme froid, concentré les traits dur et les yeux noirs.
Le vent soufflait comme pour donner plus de terreur à la scène.
Le cavalier solidaire tournoyait, on aurait pût penser qu'il délimitait ainsi une arène, de combat, de mort.
Car combat il allait y avoir, pour sûre que l'herbe grasse finirai à prendre la couleur du sang avant la tombée de la nuitée.
Pitt était face à elle, pas de question à poser, plus de belle à penser, adviendrait se qui devrait arriver.
Alcalnn l'avait enseigné, lors d'un combat, celui qui se dissipe, palabre, pense à autre chose, se voit mourir dans l'instant.
Pitt se trouva bien interloqué lorsque le corps de cette femme vu comme possédé, ainsi donc les bruits de feux de camps étaient bien vrai, personne d'humain face à eux, juste des gens habités par le malin, il la regardait faire des gestes étranges, comme habitée
Il fixa cette danse étrange, inattendue, incontrôlée le pensait il....
Surpris, la créature comme sortie d'un cauchemar, disparue dans l'instant, sorcellerie, amatrice de bucher, pour sûre, le malin, marrionettiste confirmé, tirait des fils invisibles d'une scène bientôt macabre...
L"épée se baisse s'affaisse, pointe le sol, plus bas que prévue.
Douleur de traitrise douleur de faux jeton, il sent son genou plier, il s'est à présent ou elle à ré apparue, dans son dos, il plie pose son articulation à terre, incapable de réagir.
Aucunement toujours lorsqu'il la sent sur son dos, telle une furie, il à le temps d'apercevoir le cavalier solitaire, épée à la main qui tournoi, l'homme surpris lui aussi....
Il sent sa tête partir en arrière, il ressent la douleur infime mais présente de ses cheveux blonds tirés à l'arrière, offrant sa gorge nue à quelconque lame éffilée.
C'est à cet instant que dans une imagination troublée que choisisses d'apparaître Annah, tenue par la main par une perle secrète.....tel un mirage, un brouillard, disparu aussi vite que venue .
L'épée n'est plus tenue que d'une main, la scène dure peut de temps, pitt genou au sol inverse sa garde, la main gauche vient attraper la main dans sa chevelure , l"épée tourne pointe vers le sol, pitt grimace , plante son arme dans le sol, un bruit sec de la terre qui s'ouvre à la lame, sa main droite ainsi libéré, il sent son adversaire s'armer, elle va vouloir sa gorge, il sert bien fort la main dans ses cheveux, plie ferme son point droit, le relève sur son côté gauche, et envoie le tout en arrière, passant sur son flanc droit, il vient ainsi cueillir les côtes de son adversaire, frôlant au passage la main qui allait s'armer.
Sous la douleur il la sent fléchir la main dans ses cheveux se desserre, , lui la serre plus, la fait passer rapidement au dessus de sescheveux , la pliant contre sa clavicule droite, inversement à l'articulation , il pivote vers l'avant, la possédée passe par dessus son épaule, pitt roule avec elle en avant, l'écrase de son poids, la lâche dans la roulade.
Il reprend appui sur son genou face à elle, sans attendre, il la cueille d'un magistral coup de points au menton, elle part en arrière, au sol sur le dos appuyée su ses deux coudes.
Pitt recule, un pas , puis deux la main dextre attrapant le pommeau de son épée, il tire en arrière, la lame sort du sol, siffle dans un mouvement circulaire
Il fléchit ses deux coudes et fit pivoter ses poignets pour que la lame vienne se placer à l'horizontale, au niveau de son regard, la prise au niveau des oreilles, la pointe droit devant lui.
la mise en garde était nettement plus rocambolesque puisqu'il fallait faire une torsion des poignets. Mais la maîtrise complète et future de l'art de l'escrime imprégnée par Alcalnn la douleur des coups reçus de Mortain à l'entrainement porta ses fruits.
Pitt était revenue dans le combat, noblesse humaine ou bêtises humaines, il ne changea aucunement de position.
Même haineux, il ne tuerait qu'un chien qui l'attaque mais aucunement à terre, il était face à elle attendant qu'elle se relève, juste façon de lui faire comprendre, qu'il était bien là.
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Une femme aux allures de démon, autant fluette que l'air décidé, armes à la main face à un homme froid, concentré les traits dur et les yeux noirs.
Le vent soufflait comme pour donner plus de terreur à la scène.
Le cavalier solidaire tournoyait, on aurait pût penser qu'il délimitait ainsi une arène, de combat, de mort.
Car combat il allait y avoir, pour sûre que l'herbe grasse finirai à prendre la couleur du sang avant la tombée de la nuitée.
Pitt était face à elle, pas de question à poser, plus de belle à penser, adviendrait se qui devrait arriver.
Alcalnn l'avait enseigné, lors d'un combat, celui qui se dissipe, palabre, pense à autre chose, se voit mourir dans l'instant.
Pitt se trouva bien interloqué lorsque le corps de cette femme vu comme possédé, ainsi donc les bruits de feux de camps étaient bien vrai, personne d'humain face à eux, juste des gens habités par le malin, il la regardait faire des gestes étranges, comme habitée
Il fixa cette danse étrange, inattendue, incontrôlée le pensait il....
Surpris, la créature comme sortie d'un cauchemar, disparue dans l'instant, sorcellerie, amatrice de bucher, pour sûre, le malin, marrionettiste confirmé, tirait des fils invisibles d'une scène bientôt macabre...
L"épée se baisse s'affaisse, pointe le sol, plus bas que prévue.
Douleur de traitrise douleur de faux jeton, il sent son genou plier, il s'est à présent ou elle à ré apparue, dans son dos, il plie pose son articulation à terre, incapable de réagir.
Aucunement toujours lorsqu'il la sent sur son dos, telle une furie, il à le temps d'apercevoir le cavalier solitaire, épée à la main qui tournoi, l'homme surpris lui aussi....
Il sent sa tête partir en arrière, il ressent la douleur infime mais présente de ses cheveux blonds tirés à l'arrière, offrant sa gorge nue à quelconque lame éffilée.
C'est à cet instant que dans une imagination troublée que choisisses d'apparaître Annah, tenue par la main par une perle secrète.....tel un mirage, un brouillard, disparu aussi vite que venue .
L'épée n'est plus tenue que d'une main, la scène dure peut de temps, pitt genou au sol inverse sa garde, la main gauche vient attraper la main dans sa chevelure , l"épée tourne pointe vers le sol, pitt grimace , plante son arme dans le sol, un bruit sec de la terre qui s'ouvre à la lame, sa main droite ainsi libéré, il sent son adversaire s'armer, elle va vouloir sa gorge, il sert bien fort la main dans ses cheveux, plie ferme son point droit, le relève sur son côté gauche, et envoie le tout en arrière, passant sur son flanc droit, il vient ainsi cueillir les côtes de son adversaire, frôlant au passage la main qui allait s'armer.
Sous la douleur il la sent fléchir la main dans ses cheveux se desserre, , lui la serre plus, la fait passer rapidement au dessus de sescheveux , la pliant contre sa clavicule droite, inversement à l'articulation , il pivote vers l'avant, la possédée passe par dessus son épaule, pitt roule avec elle en avant, l'écrase de son poids, la lâche dans la roulade.
Il reprend appui sur son genou face à elle, sans attendre, il la cueille d'un magistral coup de points au menton, elle part en arrière, au sol sur le dos appuyée su ses deux coudes.
Pitt recule, un pas , puis deux la main dextre attrapant le pommeau de son épée, il tire en arrière, la lame sort du sol, siffle dans un mouvement circulaire
Il fléchit ses deux coudes et fit pivoter ses poignets pour que la lame vienne se placer à l'horizontale, au niveau de son regard, la prise au niveau des oreilles, la pointe droit devant lui.
la mise en garde était nettement plus rocambolesque puisqu'il fallait faire une torsion des poignets. Mais la maîtrise complète et future de l'art de l'escrime imprégnée par Alcalnn la douleur des coups reçus de Mortain à l'entrainement porta ses fruits.
Pitt était revenue dans le combat, noblesse humaine ou bêtises humaines, il ne changea aucunement de position.
Même haineux, il ne tuerait qu'un chien qui l'attaque mais aucunement à terre, il était face à elle attendant qu'elle se relève, juste façon de lui faire comprendre, qu'il était bien là.
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