Deedee
Il faisait noir, il faisait froid, elle aurait bien pu croire quelle était passée de vie à trépas la Baronne, si la douleur navait pas été présente lui déchirant le cur et les entrailles.
Elle souffrait, elle entendait vaguement du bruit, cest donc quelle était encore en vie. Encore
Mais par tous les saints, pourquoi narrivait-elle pas à ouvrir les yeux ?
Les bruits autour delle se faisaient de plus en plus forts et précis, les sensations aussi. Elle sentait quon la touchait, quon la trainait, elle sentait la brulure de son épaule, la pression quon exerçait dessus, et les mains fraiche qui se posait sur elle.
Des voix, encore, du mouvement encore et Adeline luttait intérieurement pour ouvrir les yeux, leur montrer quelle était toujours là, toujours en vie, leur montrer simplement quelle navait pas perdu le combat.
Ses pensées allait et venait vers son frère darme, vers son compagnon de lombre. Les souvenirs de quelque moment passé dans la tempête, des moments ou tout deux avait fait le pacte secret dêtre là lun pour lautre quoi quil arrive. Les souvenirs de trahison, pour lequel ils avaient combattus, des souvenirs qui lui rappelait pourquoi elle était là en ce moment. Des souvenirs bien plus fort que les blessures, plus fort que la douleur. Cétait au nom de ces souvenirs quelle devait ouvrir les yeux maintenant.
Elle ne savait pas ce que faisait Pitt, ni où il était encore, elle ignorait comment sétait terminé le combat, mais la jeune femme sentait quil sétait passé quelque chose. Un sentiment inexplicable, comme un sixième sens.
Un sentiment qui eut tôt fait de lui faire ouvrir les yeux.
Elle nétait plus au même endroit. Lherbe dans lequel elle était tombée sétait transformé en terre battu, le bosquet en mur de bois et devant elle, un jeune Roderic en train de barricader la porte avec un tas de chaise, table et tout ce qui pouvait servir.
Que se passait-il ? Que faisait-il ? Quétait-il arrivé ? Que
Une violente douleur dans lépaule la rappela à lordre tandis quelle essayer de se lever.
Impossible...
Impossible de faire un seul mouvement...
-Roderic ! Quest ce qui
Un signe du gamin lui ordonna de se taire. Derrière eux, de lautre coté du mur, des bruits de pas, le frôlement de quelquun qui longeait le mur.
Par Aristote, quand finirait ce cauchemar ?
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Elle souffrait, elle entendait vaguement du bruit, cest donc quelle était encore en vie. Encore
Mais par tous les saints, pourquoi narrivait-elle pas à ouvrir les yeux ?
Les bruits autour delle se faisaient de plus en plus forts et précis, les sensations aussi. Elle sentait quon la touchait, quon la trainait, elle sentait la brulure de son épaule, la pression quon exerçait dessus, et les mains fraiche qui se posait sur elle.
Des voix, encore, du mouvement encore et Adeline luttait intérieurement pour ouvrir les yeux, leur montrer quelle était toujours là, toujours en vie, leur montrer simplement quelle navait pas perdu le combat.
Ses pensées allait et venait vers son frère darme, vers son compagnon de lombre. Les souvenirs de quelque moment passé dans la tempête, des moments ou tout deux avait fait le pacte secret dêtre là lun pour lautre quoi quil arrive. Les souvenirs de trahison, pour lequel ils avaient combattus, des souvenirs qui lui rappelait pourquoi elle était là en ce moment. Des souvenirs bien plus fort que les blessures, plus fort que la douleur. Cétait au nom de ces souvenirs quelle devait ouvrir les yeux maintenant.
Elle ne savait pas ce que faisait Pitt, ni où il était encore, elle ignorait comment sétait terminé le combat, mais la jeune femme sentait quil sétait passé quelque chose. Un sentiment inexplicable, comme un sixième sens.
Un sentiment qui eut tôt fait de lui faire ouvrir les yeux.
Elle nétait plus au même endroit. Lherbe dans lequel elle était tombée sétait transformé en terre battu, le bosquet en mur de bois et devant elle, un jeune Roderic en train de barricader la porte avec un tas de chaise, table et tout ce qui pouvait servir.
Que se passait-il ? Que faisait-il ? Quétait-il arrivé ? Que
Une violente douleur dans lépaule la rappela à lordre tandis quelle essayer de se lever.
Impossible...
Impossible de faire un seul mouvement...
-Roderic ! Quest ce qui
Un signe du gamin lui ordonna de se taire. Derrière eux, de lautre coté du mur, des bruits de pas, le frôlement de quelquun qui longeait le mur.
Par Aristote, quand finirait ce cauchemar ?
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