Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, ..., 14, 15, 16   >   >>

[RP] Quand de brécey se fâche, au secours d'une enfant

Nerwendile
[Dans la demeure de Pitt, aux cuisines]

Nerwendile s'était donc assise, et la Berthe lui avait mis un bol de soupe devant elle.

Hooo ca oui, j'aime bien la soupe. Vous y avez rajouté du Beurre normand, hein ? c'est bon, d'dans !

Et comment ca, elle était maigrelette ? Baah, c'était parce qu'elle mangeait pas beaucoup de viande, et de ce fait, elle ne savait pas trop porter une arme. Une fois, Mabelle lui avait tendue une épée qu'elle avait forgée. Ben la bergère, elle n'avait pas su la soulever. Elle préférait largement son bâton de bergère, ca, au moins, c'était léger.

Tous les hommes n'aiment pas forcément les bourrelets...Et pis...quant à me marier, j'ai bien le temps ! J'attends que mes cousines et ma soeur le soient avant moi !

Et prenant un quignon de pain, elle trempa un morceau dans sa soupe, et mordit avidement dedans.

Humm...ch'est trop bon ! Vais rester avec vous, Berthe ! Au moins, on se sentira moins seules !
Et finissant son repas, elle regardait Berthe qui était occupée à s'affairer dans la cuisine. Et dans l'entrebaillement de la porte, elle vit ....

La duchesse d'Arcques en Aure. Bouche bée, elle bouge plus. Et du coup, la Duchesse, soeur de Pitt par le Mont, entra et fit sa p'tite surprise à la vieille Berthe.

Puis, Nerwendile de faire une mini révérence comme elle peut.

Bonjour Votre Grasce Anya. Vous voulez de la soupe ? Y'en reste encore !D'après Berthe, ca donne des bourrelets et ca attire les hommes !
Aubin Calva, incarné par Leandana
[Camp de fortune des troupes de Brecey mi journée

Aubin regardait la donzelle. Pour qui se prenait-elle? Non mais parfois je vous jure.

Le jeune varlet normand regarda ses troupes, et leur intima l'ordre de rester où ils étaient.

Tout le monde respectait les ordres d'Aubin, bien que toujours les premiers temps on se riait de son nom .

Faut dire que ses parents avaient eu là une riche idée, n'est ce pas? lorsqu'il avait fallu le nommer.
Son père, imbibé comme tout normand qui se respecte, avait répondu lorsque le curé lui avait demandé : "Et maintenant?" comprendre : "Et maintenant, le nom de l'enfant?"- et bien le drôle lui avait répondu : "Maintenant? Oh ben ! Calva"

C'est ainsi que celui qui deviendrait le brun au visage ténébreux avait acquis ses "lettres de noblesse".

Parce qu'il faut avouer qu'avec un nom comme ça, tout le monde le défiait au concours de boulasse. Et avec le temps, il avait fini par gagner en résistance, et désormais gagnait toutes ses compétitions.

C'est d'ailleurs au cours de l'une d'elle, alors qu'il n'était pas encore aguerrit à la tache du lever de coude, et ayant perdu à l'exercice, qu'il devint soldat.

Et oui m'sieur dame, on choisit pas toujours son métier, n'est-il pas?

Enfin bref, toujours est il qu'Aubin avait acquit un respect de la part de ses soldats et que suite à l'ordre qu'il avait intimé, il regardait au loin filer la demoiselle, riant sous sa cape. Enfin il aurait pu rire en dessous s'il en avait porté une.


Voilà pour toi ma drôlesse ! Bon vent ! J'espère juste que tu seras pas arrivée chez les bretons avant de t'apercevoir qu'on ne te suit pas

[Modo Ald'
Image trop grande retirée par mes soins. Cf Règles d'Or.
Bon jeu.]
--_alpaide_
{Cette fois on bouge}




Bientôt leur faudrait pousser les murs si ça continuait.....
Il allait falloir se décider à bouger et vite....

Alpaïde survola la pièce du regard.
Les odeurs de sueurs commençaient à prendre à la gorge au milieu de tous ces crasseux de plus en plus excités par ce qu'ils entrevoyaient dans un avenir de plus en plus proche.
Les yeux de certains disaient clairement qu'ils n'attendraient pas la conclusion de leur mission pour se défouler à leur tendre manière.

Elle étudia rapidement le plan griffonné par Lulu.
La ferme en question n'était en effet pas très loin de la falaise ...
Deux chemins semblaient y mener ...
Elle réfléchit rapidement.....

Elle relevait la tête pour leur expliquer les grandes lignes lorsqu'un gamin hirsute se faufila en jouant des coudes jusqu'à elle et s'arrêta ,essoufflé en se tenant les côtes:
AAhhh celui là ..Elle pouvait compter sur lui.....Les infos arrivaient toujours.....Il voyait tout...Entendait tout......
Une perle......

"Dame.....Pfff ...Pfff ...Dameeuu!!!.......Ya des troupes qu'on été vues......On m'a dit.....
Encore loin...Pfff...Pffff viennent du nord.....Plein.....
parait qu'y a le lion sur les drapeaux......Pis l'hermine......"


Les mots se bousculent et l'air lui manque...
Alpaïde lui tend un godet et pose une main sur son épaule:
"Calme toi.....C'est bien....."

Puis se tourne vers les autres:
"Bon.....Faut plus traîner...."

Elle redresse sa petite taille et les toise.
Tous plus vilains les uns que les autres bon sang....Mais bien efficaces la plupart du temps...

"Thars va partir en avant avec son groupe,elle contourne la ferme qu'on nous a signalé et pose son camp.
L'albinos ......Puisque t'as des envies d'action.....T'emmène tes gars vers le sud du lieu et tu me fouilles toutes les fermes sur ton chemin....On sait jamais ....sont peut être planqués ailleurs maintenant.
Carte blanche.......Amusez vous....."

La rouquine ne peut louper la lueur mauvaise et ravie dans l'oeil trouble du livide.

"L'italien......
Toi tu vas vers l'est.....Tu contournes......
Prends Lulu avec toi si tu veux.....Elle connait bien le coin......
Campement le plus près possible de la ferme sans que le bruits ne puissent les alerter."


Elle regarde les deux frères....
Bon .....Un qui est pas malin mais fort comme un turc et l'autre futé comme un renard....
"Vous vous venez avec moi...."
Regard oblique vers la muette...
"Tu veux quoi toi? venir avec moi ou suivre le beau blanc??"

Elle sait bien qu'avec lui la petiote risquerait pas grand chose...
Pour un coup il semblait l'avoir prise en affection.....Si tant est qu'il sache ce que ça voulait dire...
"Tu choisis...J'te laisse libre"

Puis elle tape dans ses mains et fait signe à la Berthrade :
"Tu nous suis...T'as raison....On aura b'soin de s'retaper ......T'es la bienvenue la Grosse!!!!
Ramène tes gamelles!!"


Alpaïde a un petit rire puis reprend d'un coup son sérieux:

"Dernière chose.......C'te gamine j'la veux morte ....."
Son regard s'est glacé d'un coup
"J'la veux morte et l'vieux aussi......
Si jamais on arrive trop tard ....."


Elle ne peut s'empêcher de grincer des dents:
"Si jamais son paternel arrive là bas avant nous....
Si les troupes qu'a vues le p'tiot sont c'que j'pense......
Alors pas de quartiers......
J'veux pas voir un seul d'entre vous filer.....
On tient tête .......Jusqu'au bout.....
JUSQU'AU BOUT!!!

C'est clair pour tout le monde?????"


Des souvenirs de commandement lui reviennent.....De quand elle était respectée et respectable.....Bien loin tout ça.....
Brecey ne reverrait pas sa fille.......Elle lui devait bien ça.....

"Allez y!!Par les c**** du Diable!! Je compte sur vous..."
--.berthe.



[Domaine de Brécey]

Soirée triste mais agréable au de ça, la jeune nerwen était une douce compagnie
Elle rapellait à la berthe tout ces sales gosses qu'elle avait allaité.

Le seul qu'était resté c'était Maurice, ahh ça pour sûre le vieux il aimait le sein pas de doute

Affairée à trancher une tarte aux pommes, elle sentit deux mains se poser sur ses yeux, puis une bise sur sa joue poilue



Citation:

Boujou Mamie !!


Elle se retourna en hurlant

MAAAAMMMMMIEEEE ohh euhh mes respects duchesse oulahhh ben je vois que ptt à ben fait son travail.
Comment allez vous serpilleuse???
Arff le gamin est parti déjà, y'a deux jours, mais avec sa troupe m'est avis que il a pas dût aller bien loin..... s'iou plaît duchesse.....
--L_italien
{Peu de temps avant de prendre les chemins}



Sans un mot il écoute les ordres, de l’action, enfin !

A l’est avec la Lulu, pourquoi pas, il a pût voir un peu plus tôt qu’elle sait manier le couteau et que selon ses dires elle se débrouille en forêt. A deux ils seront discrets pour sur quant au campement il sera plus de rudimentaire, aucun confort et bien sûr pas question de faire la moindre flambée pour manger ou se réchauffer. A ce qu’il entend, si la troupe d’homme qui arrive est pour eux ils n’auront de toute façon pas le temps de s’installer, il va falloir faire vite, très vite.

La Chef veut la gamine morte, c’est noté, il pourra donc s’amuser avec avant de la saigner comme un lapin. Il a hâte, quoi de meilleure que de goûter à une blanche colombe après avoir massacré toute sa garde avant, peut-être même son père au passage, peut-être même qu’il la prendra devant le corps sans vie de son paternel. Son sang bouillonne rien que de penser à ce qu’il va pouvoir lui faire, l’entendre pleurer pendant sa visite, peut-être même appeler père et mère mais en vain. Oh oui il a hâte !

Il sourit puis se concentre sur le projet du moment, se mettre en route et s’installer pour entamer la surveillance. Il regarde la chef et lui dit


Tout est en ordre, prêt pour le départ.

Puis se tournant vers Lulu

Prête ?

Attendant la réponse de sa partenaire du moment l’Italien regarde les autres, espérant qu’ils ont tout autant que lui cette envie de réussir, cette fougue qui va les mener à la victoire.
Anya_de_puycharic
[Domaine de Brécey - Les Cuisines - à la soupe !!!]

Nerwendile était là et lui fit une révérence, à laquelle Anya répondit par un sourire. ben oui, les deux mains sur les yeux de mamie Berthe, elle ne pouvait pas faire courbette, à moins de pencher la tête ?

Bonjour Votre Grasce Anya. Vous voulez de la soupe ? Y'en reste encore !D'après Berthe, ca donne des bourrelets et ca attire les hommes !

Anya écoutait ce que Berthe disait, tout en répondant à Nerwendile.

Bonjour Nerwendile, heureuse de vous voir ici.
Attirer les hommes ?? mais je ne tiens pas à LES attirer, un seul me suffit. Et je lui conviens tout à fait comme ça. Quoique...


Se regarde légèrement et grimace.

Vrai qu'il m'a fait une remarque il y a quelques temps. Après mes mandats et la fatigue, plus les soucis de santé récents qui ont fait que j'ai dû me faire discrète. Que j'ai peu mangé... il a peur que je m'évapore.

Mais quand j'ai pas faim, j'ai pas faim. Et il a beau vouloir que je mange, ben si ça passe pas, ben ça passe pas.
Ceci étant, la soupe de Berthe est toujours excellente. Aussi, je ne vais pas dire non.


Puis de répondre à mamie.

Bien, je vais donc aller les rejoindre. Mais avant cela, je veux bien goûter à vostre soupe. Je sais qu'on dit que ça fait grandir, mais c'est trop tard pour moi. Et je doute que ce soit vrai, vu ma taille. En même temps, quand on voit Al... il a dû en manger beaucoup beaucoup...

Et puisque je vais les rejoindre, avez-vous des choses que je dois leur apporter ? Autant en profiter. Je suis venue avec Arsène et Aristide.

_________________
--Tharsilla


[ c'est parti cocotte ! ]

Pataugeant dans le cidre renversé, jouant du bout de sa botte avec les morceaux de terre cuite des godets et du pichet, elle avait laissé tout ce petit monde s’égosiller. Parfois elle ressemblait à Mutie, c’est comme ça qu’elle avait moqueusement mais affectueusement dénommée la jeune muette. Quand elle causait pas la Thars, c’est qu’elle était déjà partie, déjà à anticiper et à calculer.
Puis lentement elle avait le tour de la salle sombre aux relents nauséabonds. Quelques affaires ramassées, sa cape enfilée elle avait ouvert la porte
.

La falaise .. Ça m’ va ! Un sourire narquois fend sa bouche. Qui m’aime me suive !
Ça c’est pas gagné d’avance, et risque fort de se retrouver seule la borgne. Sont peu à la supporter et encore moins à l’ aimer. P’être l’ Ausonien ? ! Et encore ! Pas parce qu’il a partagé sa couche quelques fois … le besoin rien d’autre !

On se pose, là bas et on surveille. C’est parti !
Elle franchit le seuil et se retourne
Eh Cap' taine ... si je suis chiante … t’es une emmerdeuse ! T’oublies … qu’ si on n'est pas sorties du même ventre, c’est le même bougre qui nous y avait mises !

Et elle sort éclatant de rire. Elle sait qu’ Alpaïde déteste qu’on évoque leur lien de sang.
Pitt.bull
Pitt se mit à lire le message de son suzerain, sourire aux lèvres, il parcourra le pli point étonné des mots, toujours fidèle, grand parmis les grands

Citation:
Mon vassal,

Je suis dans une rage folle et je compte t’aider pleinement dans cette affaire. Voici le capitaine Casmir, qui commande ma bonne ville de Mortain en mon absence et avec luy trente arbalétriers et dix hommes d’armes pour t’aider dans ta traque autant qu’il te le faudra.
Il sont à mes frais libère les qu’une fois ta fille saine et sauve.
Escris moi rapidement.

Vas, venges, tues.
A.


Puis il vit casmir le fixer


Citation:

A vostre disposition de Brécey


Pitt lui tendit la main

Bien , Capitaine, alors soyez bienvenu, je vous présente Léandana,c'est celle qui part seule en boudant et deedee, toutes deux folles mais douées, je suis fort heureux de compter vostre expérience parmis nous


puis regardant les soldats armés

Puisse donc messirs, qu'aristote nous épaule, Mortain et Brécey belle équipe, croyez que je vous remercie, en avant.....

Brécey au feuuu


Les deux bannières se levèrent côte à côte, les talons claquèrent dans un cliquetis métallique, Direction Bayeux, le rythme était soutenu, peu de pause , Casmir avait trouvé judicieux d'établir un campement après Avranches, le but approcherait dès la bas, en effet la frontière serait proche, Annah plus encore.
Pitt faisait confiance au Capitaine , après tout leur esprits avait été éduqués par le même maistre.

Bayeu n'avait été qu'une tache sur le parcours, à peine de quoi se rafraichir, un peu avant, un ruisseau calme, si tant est que le calme soit point pertirbé par les bruits d'hommes en armes.

Puis la distance au but s'estompait, plus Casmir mettait d'homme en surveillance lors des pauses.

Pitt et le capitaine avait longtemps discuter sur le comment faire, Deedee et léandana également, on ne savait ou était cette foutue ferme, le lieux dit était connu ," les trois chênes", aucune carte d'état major ne rendait ce lieu connu.

Entre fougères et la frontière, belle idée, Casmir ne connaissait pas cet endroit et pourtant la bretagne, beaucoup de ses hommes avaient donnés


En fin de journée la troupe fût en vue de l'endroit un des éclaireurs de Mortain avait continué et était revenu faire son rapport


Citation:
Frontières à 40 lieues


Ainsi donc Annah était si près , là bas.

Il avait trouvé refuge dans une petite anse à l'écart derrière des falaises, hautes beaucoup plus qu'une portée de flèches, devant la mer, quelques appoints rocheux les protégeraient obligatoirement, décidément soldats c'était un métier.

A l'écart un feu avait été allumé, les soldats disposés de si et de là , l'un d'eux avaient été en compagnie de léandana dans le bourg le plus proche, dissimulé sous des capuches de toiles, étaient revenus au bout de deux heures.

les nouvelles pas si bonnes , il paraissait que nombres de bandits étaient dans les parages, pitt avait du mal à comprendre, pourquoi être ainsi, qui avait il bien pût énerver à ce point, et Annah, qu'avait elle donc fait??.

D'humeur morose, il avait prétexté quelques envies de repos et de calme, s'était mis à l'écart, seul, bien que , les gardes si proche veillaient, une idée en tête , écrire comme il se devait.
La plume ballotée par les lieues parcourues ne semblait plus de prime fraîcheur, mais l'essentiel était là, dans son coeur.




Pitt de brécey
à
............ toi que se pigeon dressé spécialement trouvera

Ma tendre âme secrète, voilà des jours que j'ai le séant vissé sur ce cheval, la haine, bien accrochée au coeur.
Je dois dire mon aimée, que ce sentiment m'effroy, j'ai tellement peur que cette mauvaise chose qui me consume, finisse par prendre cette place qui t'es due.
Ma tendre aimé, depuis quelques jours déjà, nos bras ne s'enlacent plus, les plaies de mon âme se rouvrent, j'aurais tellement aimé vous dire, ces choses qui me blessent, et ces sentiments si fort qui m'unissent à vous
Diable Madame que je vous aime, diable que cela est fort.
Icelieu les nouvelles ne sont point bonne, mon suzerain nous a envoyé nombre d'hommes bien plus aguérris que moi, mais hélas il apparaît que nombres de mécréants sont à l'envers de cette frontière.
Ma fille au milieu de tout ceci, je ne sais encore pourquoi, je ne sais même qui ais je en face.

Sachez en tout cas Damoiselle que si le destin, le nostre souvenez vous, décidait qu'il était temps cette fois qu'aristote ouvre la porte, je partirais avec vos pensées.
Je ne sais chère ange, ce que l'aube décidera demain mais je sais une chose, certains en rirons, d'autre me prendrons pour un artichaud, oui madame je sais que malgrès vos maux, vos doutes et certainements vos peurs avenirs, je vous aimes, comme jamais.
Vous me savez extrémiste, mais surtout vrai et honnête, vous savez également que les mots me pèsent, et sont évalués avant de sortir de mon couac, alors vous comprendrez ce qu'ils veulent dire et représentent

J'éspère pouvoir vous le dire de vive haleine, vous regardez en face en goutant vos lèvres caresser vostre peau et vous voir sortie de vos pensées et de vostre tristesse et lassitude des choses.

croyez madame que vous avez le droit aux choses vraies, laissez moi une chance de vous aimer, si aristote se trompe encore

je vais me préparer madame, recevez toutes ces pensées, je suis à vous.



Il prit ensuite son fidèle PTT et le lança lui murmurant un faible


Trouves celle que j'aime

[Tailles des images.. Diantre lisez les règles d'or. Modo Cheffe Sad]

_________________
--Eymie



Elle qui se sert de ses mains comme eux se servent de leur langue, sait que la main d’ Opale sur son épaule est bien plus qu’un mot.
Petit frémissement, sourire léger elle acquiesce de la tête.
Quelques signes … ses mains qui dansent de son cœur à ses lèvres, de son front à ses oreilles et ses deux poings serrés qu’elle cogne l’un sur l’autre. Elle fait ainsi comprendre à l’homme qui la choisie qu’elle est d’accord, son contentement et qu’il faut maintenant se mettre au travail.
Ses mains qu’elle fait vite taire en prenant sa besace sur une table tout près. Faudrait pas que ses signes dévoilent plus qu’il n’ en faut. Pas maintenant. Et puis est-ce utile ?
L’ a autre chose à faire l’ Opale que de s’attendrir.

Elle regarde la chef et tirant sur des bretelles imaginaires elle secoue vivement la tête, tout en prenant un air grave elle tourne le dos. Dans son langage, celui des signes ce geste veut dire
" fini le repos " Elle se plante devant Opale et d’un regard lui dit " on y va ? "

[Taille des images, lisez les règles d'or. Modo Cheffe Sad]
Lestan
[Hum, pas moins de 8 interventions de modérateurs pour la taille des images... Alors vous allez tous me faire le plaisir d'aller lire les règles d'or des arpenteurs où la taille maximum est spécifiée. Prochaine intervention je verrouille.

Modo cheffe Sad.]

_________________

Je ne débats pas, je ne tergiverse pas; je joue (et avec qui j'veux).
--Sa_douce
[Ailleurs - Pas loin d'un nuage...]

Cela faisait à présent plusieurs jours que leurs chemins s'étaient séparés, les emmenant tous deux sur des sentiers inconnus et surtout bien différent. L'un à la recherche de sa fille et l'autre à la recherche de réponses.

Elle l'avait laissé partir, poursuivre sa quête, afin qu'il puisse à nouveau serrer ce petit trésor dans ses bras, l'aimer et l'aider à grandir. C'était tout ce qu'un père voulait, avoir la possibilité d'accompagner son enfant sur le long sentier qu'est la vie, panser les blessures et profiter des moments de bonheur.

Depuis, son départ de Brecey, elle n'avait eu que très peu de ses nouvelles. Elle ne pouvait que l'imaginer sur son destrier accompagné de ceux qui avaient répondu "oui" et qui avaient décidés de l'accompagner et de l'épauler.

Bien des soirs, au coin du feu, elle avait imaginé le pire quand, les yeux tournés vers l'horizon, elle ne pouvait distinguer aucun messager, pigeon ou autre qui serait venu l'aviser de quelques nouvelles le concernant.

Elle espérait au plus profond d'elle-même que cette histoire connaitrait un denouement heureux, mais rien n'était si certain. De nombreuses choses pouvaient arriver et encore de nombreux obstacles les sépareraient.

Ce soir là, un pigeon vint se poser devant elle. Surprise, elle detacha la missive accrochée a sa petite patte, c'est qu'elle n'en recevait que très peu des missives et à chaque fois, depuis quelques jours, son coeur s'emballait quand elle en dépliait une, se demandant quelles nouvelles elle lui apporteraient.

Elle sourit quand ses yeux parcoururent le parchemin. Enfin, il avait décidé de lui écrire. Ses mots l'émurent. D'un revers de main, elle essuya les quelques larmes qu'il avait déclenché, sans le savoir, du bout de sa plume.

Elle n'eut de cesse de la lire et de la relire.

Ce n'est que quelques heures plus tard, qu'elle décida de lui répondre. Elle ne savait que dire. Il l'avait touché en plein coeur et à présent il ne serait peut être plus jamais le même. Il se pourrait qu'il ne soit plus tout simplement...

Elle déposa quelques mots maladroits sur le parchemin, s'arrêtant de temps à autres pour lire à nouveau la missive qu'il lui avait envoyé.




A toi, Pitt de Brecey,

Que te dire? C'est la question que je pose après avoir plongé mon regard dans ton coeur. Tu as une telle facilité pour manier les mots, que cela en devient difficile pour moi d'y répondre.

Je suis heureuse d'avoir enfin reçu quelques unes de tes nouvelles. Je dois t'avouer que si tes mots me ravissent, ils ne m'en laissent pas moins songeuse et apeurée. J'ai l'impression que tu penses te trouver sur ce sentier, celui dont on ne revient jamais...

Je t'en prie, fais attention à toi. Je suis consciente que tu te dois de le faire. Laisser ta fille là-bas serait de la pure follie. J'espère seulement que tu reviendras avec la petite dans tes bras et qu'une fois encore je pourrai voir ce sourire se dessiner sur ton visage et m'emplir le coeur de bonheur.

Tu parles de certaines plaies qui se réouvrent, tu ne dois pas perdre la foy et continuer a croire que tout cela se terminera bien et qu'un jour, je serai à même d'exaucer tes souhaits les plus chers... Gardes toutes ces belles choses en tête, ces quelques jours passés, l'un avec l'autre à partager tant de bons moments... Cela n'était simplement qu'un aperçu de ce que l'avenir nous reserve...

Accomplies ton devoir de père. Tu y arriveras, je n'en doute pas.

En attendant de tes nouvelles, je penserai fort à vous deux. Toutes mes prières pour le Très Haut vous sont destinées.

A bientot.

Ta douce.


Une fois la missive écrite, elle l'attacha a la meme patte du pigeon et le laissa s'envoler.
--Lesfranginsdulf
[ Dans la taverne des trois lunes ]
L'un avait pris un sourire ravi lorsque la fureur rousse s'était exclamée qu'elle les voulait avec elle. Son rire détonnant masquant la tirade de son jeune frère...
Grumpf... On m'écoute jamais, moi ! J'avais dit qu'j'voulais pas être avec ce gros balourd !

Le premier ayant cessé de rire après un coup sur le nez, agrémenté d'un tranchant "T'vas te taire toi ?! " qui avait failli lui faire venir les larmes aux yeux, le second avait demandé à la patronne, fort à propos...
C'est bien beau tout ça, ils vont tous s'amuser... Mais nous, on va où ?
L'imbécile qui me sert d'frère fera parfaitement l'affaire comme viande à charpie, mais j'doute que j'sois d'une grande utilité au milieu d'la bataille.
T'ferais pas mieux d'me mettre avec l'Italien, dans les éclaireurs ?


Il rajouta pour lui-même ... N'importe quoi, mais par pitié, pas avec ce gros lourdaud !
--Albinos


Ils s'étaient éloignés dans la nuit suitante ,sous un ciel vaguement éclairé par instant par une lune que cachaient des nuages effilochés comme les guenilles du mendiant crasseux que l'Albinos avait envoyé s'écraser contre le mur de l'Auberge des trois lunes lorsqu'ils en étaient sortis.

Leur groupe excité par l'idée de la liberté d'action que la rouquine leur avait accordé se poussait du coude et ricanait derrière lui..
"Vos gueules vous autres!!
Pas la peine que tout l'village sache par où on part......"


Eymie est sur ses talons,il jette un oeil par dessus son épaule et d'un signe du menton lui intime l'ordre de venir à sa hauteur.
"Première ferme qu'on trouve je les laisse se défouler....
L'Alpaïde a raison....Faut qu'y s'défoulent,sinon j'en f'rais rien d'bon là bas....."


Il la regarde hocher vigoureusement la tête et sent monter lui aussi l'excitation du sang qui va bientôt couler.
Une brulure au creux du ventre...Presque sensuelle.......

Si la chance est avec eux y'aura bien quelques grognasses à culbuter avant de les occire.....

Son pas s'allonge imperceptiblement,faisant trottiner la muette à ses côtés.
Pitt.bull
Sale nuit, inquiet, un peu ivre, et conscient de la chose dans laquelle il avait engagé des amis, le jour se levait déjà,l'air de la mer avait un effet revitalisant, pitt sorti de sous sa peau de mouton, son premier réflèxe étant de regarder autour de lui, il comptait machinalement ses amis.

Il se redressa chassa quelques mites bien accrochées par les vapeurs de calva, essaya de faire surface.

En d'autres moments il aurait aimé à être icelieu en compagnie de son aimé.

Dormir sur la plage,face à la mer forcement me direz vous, dans les bras l'un de l'autre à réver de leur nuage secret.

Pour le coup le romantisme tomba très vite quand la douleur le sorti de sa torpeur et qu'il s'aperçut qu'il s'était tatoué dans le flanc la marque de sa dague et son épée courte sur a cuisse.

Dormir prêt au combat n'avait pas que du bon pffffff, et ces foutus brassards de cuir cousus, fais pour arrêter les careaux qu'on disait....

Bien mauvais réveil , usant et fatiguant, pitt regardait Léandana, la bas au coin du feu en train de rire avec des gardes, depuis des lustres qu'elle même était soldate,elle devait s'entendre comme cochon,paraît même qu'elle s'était un peu trop entendu avec certains, de trop près,certains aimaient à dire qu'elle aimait le corps à corps, d'autre qu'en échange d'une miche, l'armure tombait.
Pitt lui se disait que mal grès tout ce qui pouvait s'étendre comme palabres, ben elle était là prête à tout pour une gamine croisée une fois, une seule ...

Contrairement à la deedee là bas qui écrasait je ne sais quoi pour le mettre dans des fioles et autres boursinettes.
Elle connaissait bien Annah, la gamine avait aimé à jouer avec ses enfants lors de la énième construction de l'hospitallerie Dieppoise, et puis la deedee ben elle avait déjà prouvée sa valeur, au diable les liaisons, la rupture avec son ami, sa soif politique habile ou pas, Elle n'avait pas hésité un jour de mai de se drésser afin de dénoncer les agissements d'une tordue chef de la "bande de caniches" comme aimait à les appeler pitt.

En effet elle avait écrit et dénoncée les agissements de la blonde marraine fétide, celle qui depuis son enlèvement était suspecté d'être derrière tout ce qui de tramait, pour sûre si elle était dans le quartier, pitt n'aurait aucune pitié.


L'en manquait qu'une au palmares, enfin une doublette, les deux frangines, l'une aussi duchesse que l'autre tenancière , l'une aussi dure et violente que l'autre était caline et tendre et pourtant, quand on connaissait vraiment la première, on s'apercevait très vite que le coeur de pierre ressemblait à un coeur de miel, fondant doux , sincère , beaucoup aimait à dire qu'elle était différente,arrogante et assoifée de pouvoir, pure balivernes, pitt connaissait l'oiseau,lui devait beaucoup aussi, certes franche et douloureuses, mal habillitée guidé par une franchise qui blesse, deux ou trois fois déjà, mais au delà de tout cela, elle était avant tout une confidente, un guide et surtout un soleil dans sa vie, un être aimé par des relations très fortes.
La seconde grande histoire datant du premier jour, pilier , maman , femme , soeur , grand mère et amie, un drôle de mélange qui en faisait un être de lumière, quand l'un des deux souffrait d'un quelconque maux, c'est le second qui vomissait tripes et boyaux, quand l'autre pleurait, le premier se mouchait, le pitt s'était promis de lui écrire à la Mabelle, au cas ou.

Il fût alors qu'il flanait en regardant la pointe de ses bottes, tiré de sa torpeur par la vision du sable qui venait d'être jeté sur lui.
Il leva son nez endormi.

Le capitaine Casmir était là, lui tendant une outre de calva du mont,

Citation:

"Alors Brécey, bien dormis... vostre tête seigneur pardonnez moi, ressemble à celle des artésiens quand le chat leur court après...
Tenez buvez, et je crois messir de Brécey, que vous devriez détacher de cette animal, la missive qu'il vous amène, pour qu'il vous trouve ici, c'est qu'elle doit être importante


Il n'avait même pas vu le pigeon, quel sale nuit décidement

il sourit au capitaine


Décidement Casmir, tu es indispensable

Il se leva et doucement pris l'animal qu'il reconnu de suite, il n'y en avait qu'un comme celui-ci, il avait servi ses derniers mois très souvent porteur de plis officiels d'ayant droit.....
Il se mit un peu à l'écart et entama une lecture, inattendue, surprenante et tellement réchauffante


Citation:
A toi, Pitt de Brecey,

Que te dire? C'est la question que je pose après avoir plongé mon regard dans ton coeur. Tu as une telle facilité pour manier les mots, que cela en devient difficile pour moi d'y répondre.

Je suis heureuse d'avoir enfin reçu quelques unes de tes nouvelles. Je dois t'avouer que si tes mots me ravissent, ils ne m'en laissent pas moins songeuse et apeurée. J'ai l'impression que tu penses te trouver sur ce sentier, celui dont on ne revient jamais...

Je t'en prie, fais attention à toi. Je suis consciente que tu te dois de le faire. Laisser ta fille là-bas serait de la pure follie. J'espère seulement que tu reviendras avec la petite dans tes bras et qu'une fois encore je pourrai voir ce sourire se dessiner sur ton visage et m'emplir le coeur de bonheur.

Tu parles de certaines plaies qui se réouvrent, tu ne dois pas perdre la foy et continuer a croire que tout cela se terminera bien et qu'un jour, je serai à même d'exaucer tes souhaits les plus chers... Gardes toutes ces belles choses en tête, ces quelques jours passés, l'un avec l'autre à partager tant de bons moments... Cela n'était simplement qu'un aperçu de ce que l'avenir nous reserve...

Accomplies ton devoir de père. Tu y arriveras, je n'en doute pas.

En attendant de tes nouvelles, je penserai fort à vous deux. Toutes mes prières pour le Très Haut vous sont destinées.

A bientot.

Ta douce.


Il avait bien fait de se mettre à l'écart , il posa genou à terre , souffla, il la connaissait et savait que coucher des mots ainsi n'était pas chose habituelle pour elle, elle se livrait , il en rêvait mais savait que pour elle en ce moment ce n'était pas chose aisée, elle avait passé tant de temps à aimer dans la solitude, à pleurer qu'il n'était hélas pas temps de se laisser aimer juste comme elle le méritait, Pitt brulait de passion pour elle, depuis tant d'années déjà autant que son âme brulait de souffrance, jamais eu le courage de dire, toujours se cacher derrière des paravents, points de temps perdus pour lui, juste envie de rattraper des choses, d'être enfin vrai.....pour elle, avec elle.

Encore une fois fin de la rêverie, Casmir fît son apparition

Il eu à peine le temps d'écraser quelques larmes au dessus du parchemin.....la fatigue.....


Citation:
De Brécey nous avons un soucis, et de taille, mes patrouilles disent que les campagnes sont remués de bandits, on n'a pas la ferme de ta fille encore, en revanche cette nuit nostre camp à été pris, regarde il jeta trois rats morts aux pieds de pitt,
ces foutus de Bêtes ont mangés nostre pain, nous reste du calva et deux miches,il faut que quelques uns de nous partent chercher pitance, vite et discretement
Deedee
Le silence…. Doux refuge pour affronter les méandres d’une vie…
Le silence pour prier Aristote d’épargner une petite vie et celle d’un père fou de colère prêt a mettre a feu et a sang tout ce qui se mettrait en travers de son chemin…
Le silence…. Adeline s’y était réfugiée durant toute la chevauchée n’ouvrant la bouche que lorsqu’on lui demandait quelque chose. Le reste du temps c’était un mutisme inquiétant dans lequel elle s’était enfermée.

Attendre…. Juste attendre.
Attendre que le soleil se lève, et qu’il se couche, attendre de voir poindre les frontière bretonne, attendre de voir surgir des brigands… Attendre le combat et la fin ?
La jeune femme ne disait rien, mais ruminait… une colère sourde, un désir de vengeance… Mais pour qui ? Pour quoi ? Personne ne devait comprendre. Personne mis a part Pitt, dont le regard ne trompait pas. Il l’a connaissait par cœur. Il savait….

Un groupe de soldat vint les rejoindre et toujours silencieuse, la jeune femme et son Premier garde les suivirent alors jusqu’au campement…
Un arrêt qu’elle appréciait. Enfin !
Elle allait pouvoir descendre de ce cheval et faire bouger ses membres endoloris et peut être calmer le petit habitant qui grandissait au creux de ses entrailles et dont les coups se faisait de plus en plus depuis leur départ.
Mais tout cela, elle se gardait bien de le dire… ni même de le montrer. Malgré les coups d’œil de Justin, les regards de Pitt, Adeline faisait comme si… Au milieu de tout ces soldats, réuni pour une seul et même chose, porter secours a une enfant et un vieillard.

La vie d’un campement de soldat…
Chacun avait prit sa place, comme un automatisme. Certain en éclaireur, d’autre en veilleur, d’autre encore organisait les vivres, les plan et elle….
Elle était médecin, si l’arme qu’elle avait a la ceinture ne lui servirait qu’en dernier recours, elle devait se tenir prête pour soigner, le cas échéant ou il y aurait une bataille sanglante. Etre prête pour prodigué tout ce qu’elle pourrait pour la petite Annah. Etre simplement prête.
Une chance, elle avait fait le plein en bandage, onguent, herbes, et instrument. Une chance ? Qui sait ?

Elle aurait pu se contenter de se rôle là, la petite baronne, mais a voir tout le monde s’activer, elle se sentait bien inutile… vraiment inutile. Et lorsqu’elle vit Casimir revenir en jetant des bestioles au pied de son capitaine, Deedee se leva et s’approcha d’eux.


-Je vais y aller moi ! Elle avait parlé. Miracle aurait pu crier Pitt qui la regardait avec de grands yeux ronds. Justin sur ses talons s’y opposa immédiatement.

-Baronne vous n’y pensez pas !
-Je vais y aller, avec un ou deux gardes, habillé en civile, nous pouvons passer inaperçu ! Qui pourrait soupçonner de simple voyageur ?
De toute façon vous n’avez pas le choix, les trois quart des hommes ici ce sont déjà fait repérer dans les environs ! Et puis nous ne pouvons continuer sans pain ! C’est tout !


Adeline le retour, Adeline en mode : Louve. Il y avait bien longtemps qu’elle n’avait pas réagit de la sorte, bien longtemps que la rivière qui sommeillait ne s’était pas transformer en torrent. Mais là, le torrent dévalait, le torrent surgissait, il était temps de sortir de l’ombre, temps pour elle d’affronter ses fantômes…
Pas d’autre discutions, juste un regard envers Pitt, un simple regard. Ils s’étaient compris.

Elle fut prête rapidement, quittant ses habit de voyage pour arboré ceux d’une simple paysanne. Une jupe pour dissimuler tout de même sa dague cachée, Un simple chemisier pour dissimuler son ventre s’arrondissant et une cape, rien d’autre.
Deux gardes l’accompagnait, tout deux vêtu en civile, juste une épée caché par une cape. Passer inaperçu, tel était la mission.

Un dernier coup d’œil vers le campement et le trio prit le chemin de la campagne à la recherche d’une ferme où ils pourraient trouver du pain.

Et puis au détour d’un chemin… une ferme.


-En avant ! Nous allons voir ici s'ils peuvent nous vendre pitance !

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, ..., 14, 15, 16   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)