L.valentine
ACTE I
Un cheval, un cavalier , une cape rouge sang trouée et une épée senfonce dans une trachée.
Les sans abris que cumule se labyrinthe quest la cour des miracles se tiennent dans lombre des bâtisses, ils murmurent, senfuient et peste contre le malheur pesant sur leurs misérables vies.
Les ennuient arrivent, ils le sentent, ils le savent et ils ny peuvent rien.
Le cadavre sécroule au sol en un bruit sourd au milieu de la rue, le temps semble sêtre arrêter, les quelques cris étouffés autour ont cessés la rue est désormais déserte le quartier reste néanmoins infesté de vermines il aura besoin daide.
On ne prend pas contrôle dun quartier seul quelques membres étaient en route afin de venir lui porter un coup de main.
Il les avaient prévenu avant sa petite chevauchée vers la rose pourpre afin de tirer quelques informations à la Succube, informations quil ne parvint pas à avoir.
Il trouverait bien un autre moyen de parvenir à ses fins pour le moment il attendait patiemment ses mercenaires et ses assassins qui laideraient volontiers dans cette tâche ingrate et dénué de toute morale.
Le maître essuya son épée sur le corps encore chaud de sa victime dun geste désinvolte et dune expression désintéressée.
Cétait son lot quotidien, il y était habitué et seul la façon de tuer importait réellement la dépouille nétait que passé et le resterait à jamais.
Un sourire à cette idée avant de regarder autour de lui par quelle maison commencer ?
Elles sont toutes semblables
Autant débuter par la première se dit-il . Il se dirigea vers la maison en ruine doù il entendait quelques bruits des gens tentaient de se cacher là dedans cela était certain.
Un sourire sadique dessina ses lèvres alors quil sapprêtait à donner un coup de pied dans la porte.
La rage monta en lui, il serra les dents et avec force abattît son pied sur la porte que les charnières eux peines à maintenir en place
Des cris de peurs retentirent dans la nuit alors que les habitants tentaient de sortir par la porte et la fenêtre
Valentine tira une dague de son ceinturon alors que lun deux pris de panique tenta de le bousculer pour sortir par la porte, le tueur le plaqua au mur avec force plantant sa dague dans sa main à travers le bois de la dite porte y laissant une coulisse de sang continue.
Un cris de douleur emplit la pièce alors quil se dirigeait vers une femme protégeant ses enfants dans le coin de la pièce.
Elle cassa la fenêtre dun coup de coude et lança ses deux enfants qui pleuraient à chaudes larmes à lextérieur cela ne lui faisait pas plaisir mais cétait son territoire de chasse maintenant
La dame sinterposa prête à attaquer telle une tigresse au contraire de son mari qui sétait enfuis à la première occasion tel un lâche et qui maintenant devait regretter son geste .
Son sourire fut béant Mais il avait une idée derrière la tête il attendit quelle tente une attaque avant desquiver pour lattraper par les cheveux la tournée vers la porte et la projetée à lextérieur.
De toute évidence elle voulait sortir du quartier, elle nétait pas assez stupide pour y rester ses enfants ne seraient pas orphelins, pas maintenant dû moins
De plus elle serait débarrasser de cette boule de gras sans courage qui abandonne sa famille au premier danger qui survient.
Valentine posa finalement les yeux sur lui et sortit une deuxième dague bien aiguisé, le gros suait à grosse goûtes et criait sa vie tirant sur le manche sortant de sa paume afin den déloger la dague en vain.
Il se décida finalement à tirer sur sa propre main au lieu de cela
Alors Valentine sarrêta net rangea sa dague et profita de la scène sen délectant
Plus il tirait plus la peau déchiquetait, plus il gémissait et plus la flaque de sang au sol sétalait.
Jusquau moment ou le bouseux hésita voyant quil perdait beaucoup trop de sang et que le maître Basilisk ne faisait rien
Pour lui rappeler quil était en danger de mort Valentine haussa les épaules et ressortit sa dague prêt à donner le coup final.
Mais lhomme se décida alors à terminer se quil avait commencer il tira dun coup sec, un cris sarracha de ses tripes sa main pendait de chaque coté de son bras, écarteler dans le milieu, il rabouta les deux bouts et senfuit dans la rue laissant une belle traînée de sang derrière lui.
La première maison était vide il se dirigea vers la deuxième qui était vide la troisième de même
Les cris semblaient être un bon moyen de persuasion, tous les habitants quittaient leurs maisons.
Cependant il restait beaucoup de terrain à couvrir afin de contrôler cette rue et ses ruelles et il y aurait beaucoup d'indésirables à chasser
Il espérait que ses renforts arriveraient sous peu afin d'accéléré le processus
Un cheval, un cavalier , une cape rouge sang trouée et une épée senfonce dans une trachée.
Les sans abris que cumule se labyrinthe quest la cour des miracles se tiennent dans lombre des bâtisses, ils murmurent, senfuient et peste contre le malheur pesant sur leurs misérables vies.
Les ennuient arrivent, ils le sentent, ils le savent et ils ny peuvent rien.
Le cadavre sécroule au sol en un bruit sourd au milieu de la rue, le temps semble sêtre arrêter, les quelques cris étouffés autour ont cessés la rue est désormais déserte le quartier reste néanmoins infesté de vermines il aura besoin daide.
On ne prend pas contrôle dun quartier seul quelques membres étaient en route afin de venir lui porter un coup de main.
Il les avaient prévenu avant sa petite chevauchée vers la rose pourpre afin de tirer quelques informations à la Succube, informations quil ne parvint pas à avoir.
Il trouverait bien un autre moyen de parvenir à ses fins pour le moment il attendait patiemment ses mercenaires et ses assassins qui laideraient volontiers dans cette tâche ingrate et dénué de toute morale.
Le maître essuya son épée sur le corps encore chaud de sa victime dun geste désinvolte et dune expression désintéressée.
Cétait son lot quotidien, il y était habitué et seul la façon de tuer importait réellement la dépouille nétait que passé et le resterait à jamais.
Un sourire à cette idée avant de regarder autour de lui par quelle maison commencer ?
Elles sont toutes semblables
Autant débuter par la première se dit-il . Il se dirigea vers la maison en ruine doù il entendait quelques bruits des gens tentaient de se cacher là dedans cela était certain.
Un sourire sadique dessina ses lèvres alors quil sapprêtait à donner un coup de pied dans la porte.
La rage monta en lui, il serra les dents et avec force abattît son pied sur la porte que les charnières eux peines à maintenir en place
Des cris de peurs retentirent dans la nuit alors que les habitants tentaient de sortir par la porte et la fenêtre
Valentine tira une dague de son ceinturon alors que lun deux pris de panique tenta de le bousculer pour sortir par la porte, le tueur le plaqua au mur avec force plantant sa dague dans sa main à travers le bois de la dite porte y laissant une coulisse de sang continue.
Un cris de douleur emplit la pièce alors quil se dirigeait vers une femme protégeant ses enfants dans le coin de la pièce.
Elle cassa la fenêtre dun coup de coude et lança ses deux enfants qui pleuraient à chaudes larmes à lextérieur cela ne lui faisait pas plaisir mais cétait son territoire de chasse maintenant
La dame sinterposa prête à attaquer telle une tigresse au contraire de son mari qui sétait enfuis à la première occasion tel un lâche et qui maintenant devait regretter son geste .
Son sourire fut béant Mais il avait une idée derrière la tête il attendit quelle tente une attaque avant desquiver pour lattraper par les cheveux la tournée vers la porte et la projetée à lextérieur.
De toute évidence elle voulait sortir du quartier, elle nétait pas assez stupide pour y rester ses enfants ne seraient pas orphelins, pas maintenant dû moins
De plus elle serait débarrasser de cette boule de gras sans courage qui abandonne sa famille au premier danger qui survient.
Valentine posa finalement les yeux sur lui et sortit une deuxième dague bien aiguisé, le gros suait à grosse goûtes et criait sa vie tirant sur le manche sortant de sa paume afin den déloger la dague en vain.
Il se décida finalement à tirer sur sa propre main au lieu de cela
Alors Valentine sarrêta net rangea sa dague et profita de la scène sen délectant
Plus il tirait plus la peau déchiquetait, plus il gémissait et plus la flaque de sang au sol sétalait.
Jusquau moment ou le bouseux hésita voyant quil perdait beaucoup trop de sang et que le maître Basilisk ne faisait rien
Pour lui rappeler quil était en danger de mort Valentine haussa les épaules et ressortit sa dague prêt à donner le coup final.
Mais lhomme se décida alors à terminer se quil avait commencer il tira dun coup sec, un cris sarracha de ses tripes sa main pendait de chaque coté de son bras, écarteler dans le milieu, il rabouta les deux bouts et senfuit dans la rue laissant une belle traînée de sang derrière lui.
La première maison était vide il se dirigea vers la deuxième qui était vide la troisième de même
Les cris semblaient être un bon moyen de persuasion, tous les habitants quittaient leurs maisons.
Cependant il restait beaucoup de terrain à couvrir afin de contrôler cette rue et ses ruelles et il y aurait beaucoup d'indésirables à chasser
Il espérait que ses renforts arriveraient sous peu afin d'accéléré le processus