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[RP] Fête en l’honneur de Guyhom

Tohacca
Il était à la bourre pour assister a la fête, mais pô grave hein ? Et en plus ils le connaissent et devaient un peu s'y attendre....n'étant pas un grand bavard, il n'allait pas discutaiiler pendant trois plombes , alors il se contenta de déposer lui aussi un petit parchemin.

Citation:
'lut Tyran moisi

Déjà....merci à toi de ne plus essayer de me bouffer^^...Ensuite, quoi te dire, à part merci pour tout ce que tu as fais pour nous tous...pour son peuple, ta famille, tes amis, en temps que Crapullec d'abord et ensuite en temps que Tlatotyan^^....même si tu as un caractère de chien....enragé.....mais même ça on voudrait pas le changer.^^
Joyeux anniversaire et que cette année de plus accordée par les dieux t'apporte la sagesse....enfin^^.
Que les dieux te gardent toi ainsi que ta p'tite famille.

Longue vie à toi mon ami
Toha
Pachacamac


Pacha arrive enfin à la fête en l’honneur du tyran, c’est qu’elle était longue et tortueuse la route…

Il y avait foule, il salua à droite et à gauche les connaissances, jeta un œil approbateur sur le buffet copieusement achalandé, pris au passage une coupe de pulque et chercha du regard Guyhom. Il le voit en charmante compagnie, verre de pulque à la main… Pacha s’approche, le salue

Salut à toi Oh grand Tyran, je viens te souhaiter un bon anniversaire, te présenter l’hommage de mon village et t’offrir ce cadeau

Il fait signe à l’esclave qui l’accompagne de déposer le présent au pied de Guyhom

Accepte ce masque qui terrorisera tes ennemis, il a été réalisé dans un unique bloc d’obsidienne par les meilleurs artisans du village…



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Irae
Irae était un peu perdue au milieu de tous ces gens dont elle ne connaissait pas la moitié !
Heureusement son Quetzoal, beau comme un dieu avec sa tunique toute neuve et sa nouvelle coiffe en plumes d'ara, était venu la prendre par la taille et la présentait à ses amis :

- Comme promis il y a plusieurs lunes déjà, je te présente ma femme Irae.

- Enchantée de te connaître Irae et très heureuse de te voir Quetzoal, ça faisait longtemps que je n'avais pas de nouvelles de toi.


- Ca me fait grand plaisir aussi de te connaître, j'espère que nous serons amies Florestine .

Si on faisait un peu de musique pour faire danser les gens ? On sort les bongos et les maracas ?

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Oulaup


Elle avait reçu une invitation de Sirena pour participer à l'anniversaire de Guyhom. C'est qu'il prenait de l'âge le vieux singe! Mais ça n' empêchait pas sa générosité et ses grands coups de gueule, qui faisaient rire Oula, depuis maintenant bien des lunes. Etant toujours coincée dans cette fichue guerre du nord, elle lui rédigea un poème à sa façon...

Citation:
ÔO Grand Tlatoani
Toi qui par tous les temps
Même courant sous la pluie
Sait braver tes enfants

Je suis très honorée
En ce beau jour de fête
De là-bas, chez les metzs
De t'anniversairer

Avec toute cette smala
T'as pas encore fini
De bercer des petits
Dans tes puissants gros bras

Quand tu seras bien vieux
Le soir au coin du feu
Tu leurs raconteras
Ces histoires de combats!


Un peu hilare après son écrit, elle appela un serviteur... lui tendit la feuille de bananier bien roulée...

"Porte ça à la femme du Tlatoani d'Occident, à Mazapa... Et ne traîne pas en route, tu dois arriver le jour de l'anniversaire de son époux"

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Sirena
Sirena voyait les gens arriver en grand nombre. Certains qu'elle connaissait bien, d'autres moins.

Guy buvait, trinquait et buvait encore... Sirena avait le sourire, tout était parfait.


A la mienne alors! à mes...hum ans! héhé...je vous dirais qu'une chose: buvons et mangeons tous ensemble! fêtons ce qu'il y a à fêter et passons du bon temps tous ensemble!

Santé!


Sirena se rapprocha de son mari, elle aurait aimé l'embrasser mais en public comme ça il n'aurait surement pas aimé le tyran. Alors elle lui murmura seulement dans le creu de l'oreille....

Bon anniversaire mon amour, j'espère que ça te plait?

Sans attendre un sourire ou une réponse. Parce qu'un tyran ça sourit pas bien sure...
Sirena lui attrapa la main et l'emmena vers le panier rempli de messages....


T'as vu tout le monde t'a laissé un p'tit mot!Tu vas avoir de la lecture.

Ne résistant plus, Sirena déposa un baiser sur sa joue et lui adressa un grand sourire. Elle était si heureuse de partager ce moment avec lui, si heureuse pour une fois d'oublier la guerre, le tlatocan, les problèmes de famille....

La fête était parfaite, tout le monde semblait s'amuser... Sirena allait attendre un petit peu et ensuite, elle offrirait son dernier cadeau à Guyhom...

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Florestinne
Florestinne trouvait que Quetzoal n'avait pas menti, son épouse était vraiment charmante.

- Ca me fait grand plaisir aussi de te connaître, j'espère que nous serons amies Florestinne.

- Je le souhaite également Irae

- Si on faisait un peu de musique pour faire danser les gens ? On sort les bongos et les maracas?

- Oh oui c'est une excellente idée!


Joignant le geste à la parole, Flo sortit de son sac coloré, qu'elle portait en bandoulière, un tambourin orné de pompons aux couleurs vives et de petits grelots et commença à taper du bout des doigts sur la peau tendue, tout en secouant l'instrument.
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Boulangère - Reine de la Tortilla, haricoticultrice, étudiante, pêcheresse.
Alexis
En Occident. Et Oui. Que voulez-vous. Une fête. Pourquoi pas. Fallait-il une invitation, certainement. En avait-il une, absolument pas. Et bien tant pis.

Alexis se présenta donc à la fête en l'Honneur du pére d'une vague connaissance Lya. Les nombreuses opportunités pour qu'ils se croisent avaient été un échec. Peut-être inconsciemment fuyait-il...Pas facile de faire la part des choses par instant.

Le laisserait-on entrer, mystére. Il patienta donc pour voir si on lui ferait un signe pour l'y inviter.

Un cadeau ? Il était pourtant venu les mains vides.

Sa présence devrait suffir.

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Hules
Un enfant se présenta avec une immense jarre de pulque



Ceci est un cadeau de Hules pour Guyhom dit l'enfant d'une voix claire
Hules ne peut venir car il besogne reprit l'enfant ensuite il tendit une lettre





Guyhom je travaille encore ou j'étudie je sais plus ... un petit cadeau à ta mesure... j'espère tu en fera bonne usage...

la vie est faite pour être vécu .... et les ÂGES sont fait pour être traversé...

à ta longue vie Tlatoani

Hules

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Irae
Au son du tambourin de Florestinne, Irae commença à onduler tout en battant le rythme en frappant dans se mains.
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Ralthea
Ralthéa avait vu avec étonnement un volatile passer à travers les barreaux de sa prison Metz.
Une invitation à la plus grande des fêtes d'occident pour le seul chef omnipotent que ralthéa ai eut le chance de connaitre.
Comme ça le vieux bougre de Mazapa vieillissait et Ralthéa simple forgeronne guerrière ne pourrait le lui fêter.
Qu'à cela ne tienne! La jeune femme déchira un morceau d'huipil en guise de support d'écriture, mélangea un peu de salive avec de la poussière de la geôle et quelque gouttes de son sang en guise d'encre et arracha une plume de l'animal messager avant de la tailler sommairement. Se pliant en trois, genoux contre menton , les pieds sous le derrière, Ralthéa entreprit de rédiger un commentaire pour cet évènements à des jours de lama d'ici. Mais rien ne lui venait.
Comment condenser sur un si petit support tout le respect qu'elle pouvait garder au fond d'elle envers cette crapule qui l'avait initiée à un style de soirées si particulières?
Comment décrire la place qu'il avait prit dans sa vie comme dans celle de tant de monde en occupant la place publique par son auguste gueule enivrée et la langue bien pendue du soir au matin?
Son œil pulqué et pourtant attentif au moindre détail, toujours un mot pour faire sentir à chacun qu'il est important, sans materner et en laissant la liberté de pensée, des copies des lettres du calpullec lorsqu'elle était loin de son clan pour combattre, des attentions pour chacun, et un accueil bourru et sans manières. Voilà ce qui lui venait à l'esprit qu'elle repensait à ce mâle si charismatique.

La tête dans ses souvenirs, l'esprit fouillant dans les recoins de son esprit, la plume se mit en mouvement.




'Tzé crapule de tyran.
Alors comme ça y parait qu'ils t'ont organisé une surprise? J'aurais bien aimé voir ta tête devant tout ce beau monde. Mais bon, la contre partie de notre vie poussiéreuse. Enfin on saura bien se rattraper quand tu nous rejoindra pour tâter de la massue. Mais je te préviens, les Metz ne sont pas digne de nous. Faudra trouver d'autres souris à faire danser.

Que les Dieux te protègent.
Ralth


Ralthéa prit soin de faire sécher longuement "l'encre" improvisée, rajouta quelque touche à certain endroit jugé illisibles, et finit par rouler précautionneusement le tissus avant de l'attacher à la patte de l'oiseau. Le volatile mit un moment à comprendre qu'il ferait cette course pour rien, pas de récompense ou de pulque ou barbaque offerte. Il finit par se lasser de demander et reparti chercher sa pitance plus loin.
Ralthéa espéra qu'il aurait la présence d'esprit, pour peu qu'un oiseau ai un esprit, de revenir d'où il arrivait trouver refuge dans un clan plus accueillant.
Sergiolebougre
Sergio, toujours sur les routes avait enfin un peu de temps.
Il prit la route pour la fete en l honneur de Guyhom, mais comme il y avait encore des jours de marche il envoya son esclave le plus rapide, pour annoncer sa venue.....


Malinche apporte ceci au tyran et lambine po en route sinon, tu connais la sanction!!!

Oui maitre, mais....

Pas de mais qui tienne tu ne mange po, tu ne bois po, et tu regarde meme po les pagne, tu crapahute point !!!!


L esclave partit dare dare.....
Polya
Polya, qui ne lésinait pas pour siroter son pulque, après tout c'était réputé que celui de son frère Guyhom était le meilleur, oui oui parce que celui de Burst est d'une moindre qualité tout de même, laissait son regard glisser sur l'assemblée. L'air de rien, la prêtresse notait tout et avait remarqué que Burst n'était toujours pas là. Elle espérait le voir pourtant. Mais c'est le petit manège entre ses deux nièces qui attira son attention. Elle connaissait le caractère de la seconde mais pour une fois, c'est l'aînée qui attira son attention. Oui, oui, Lya, sa nièce.
Quelques échos étaient parvenus aux oreilles de la prêtresse, le vent porte loin même jusqu'en Orient, au sujet de l'un de ses esclaves. Et forcément, un esclave oriental, ça ne pouvait qu'attirer l'attention de la prêtresse. De plus, esclave de sa nièce.
Dans l'immédiat, elle voyait bien que les deux pestes tyranniques formentaient quelque chose et Polya, tout en dégustant ce fameux pulque et se déhanchant légèrement aux sons de la musique qui résonnait en ces lieux se rapprocha des deux chipies.

Ayyo les filles, dites-moi, qu'est-ce que vous faites toutes les deux ?

Puis regardant Lya, très sérieusement de rajouter.

Ma nièce, j'aimerais que nous discutions toi et moi. Mais pas ici, un petit entretien de tante à nièce quand tu auras un moment...C'est important.

C'était bien la première fois que la prêtresse exigeait d'avoir un entretien avec sa nièce.

_________________

-A la mémoire d'Atecoatl-Coyote tonalamathlèque.
Lya
Bien Lya avait gagné un point, sa soeur ferait la sale besogne à sa place. Elle évita la question du pourquoi papa ne l'aime pas, parce que c'est gênant et que sa soeur n'a pas à savoir toute sa vie, non plus.

J'veux bien faire ça alors. Mais faudra bien que tu dise à papa les bêtises que tu fais un jour.

Ca y est la p'tite accepte en lui faisant la leçon.

Bah oui, Bah oui il le saura un jour, mais là cours vite...

Elle s'arrêta net de parler quand sa tante Polya s'approcha, elle avala avec difficulté sa salive -par faute d'avoir du pulque-

Ayyo les filles, dites-moi, qu'est-ce que vous faites toutes les deux ?

Fallait bien que ses paroles dépassent la vitesse lumière. Lya ne pouvait pas attendre que Tekila dénonce son stratagème, fallait faire vite et sans réfléchir.

Mais rien, mais rien!

Elle n'osa même pas la regarder pour dissimuler sa gêne et son malaise et espérait que Tekila ne fasse pas une bêtise. Surement que ces joues étaient toutes rosies déjà, du à l'extrême chaleur qui montait en elle.

Ma nièce, j'aimerais que nous discutions toi et moi.

Quand Lya s'aperçut du regard sérieux de sa tante en s'adressant à elle, elle figea. Elle lit dans les pensées la grande prêtresse? Elle devine ce qui se passe dans la tête des gens? Oh non! fallait pas qu'elle le dise à son père le jour de la fête.

Mais pas ici...

Un petit soulagement se fit voir, ses épaules descendirent.

un petit entretien de tante à nièce quand tu auras un moment...C'est important.

Wow! c'est vraiment sérieux l'affaire. Lya se sentait toute petite dans son pagne et en même temps un peu fière que sa tante veuille lui parler à elle. Elle fit un sourire à Tekila, puis lui chuchota en se levant.

Trouve ma note, on se rejoint plus tard sur le balcon.

Puis regardant sa tante, avec un faux sourire de joie, elle hésita un peu avant de formuler sa phrase, car bien qu'elle soit une grande prêtresse qu'elle estime beaucoup, elle était aussi sa tante. Je vouvoie pour la forme ou tutoie parce que c'est comme ca qu'elle fait avec presque tout le monde?

Je vous suis tante Polya.
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Amanalia
Ama sa longue chevelure qui était maintenant des plus longues et dépassait largement ses fesses observaient le monde. Personne était venu la voir, personne, ni son frère, ni ses frères en fait, ni sa belle soeur et oh sa soeur! Et pas elle non plus ni leur nièce... Elle soupira et se demanda si finalement rester recluse l'avait rendu invisible, elle prit son courage à deux mains et alla voir Polya.

Elle portait encore le masque de tristesse qui l'avait habité pendant plusieurs mois après... bref.


- Ayo Polya.
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Polya
Un sourire alors qu'elle regarde sa nièce prête à la suivre.

C'est pas si pressé, profitons encore un peu de la fête j'aimerais bien voir ton oncle figure toi !!!

Puis notant son empressement à la suivre, elle jette un oeil à son autre nièce, qui est légèrement en retrait.

Vous traficotiez quoi donc toutes les deux ? Je te trouve bien hâtive de partir Lya ....

Et un sourire malicieux qui s'étire sur les lèvres de la prêtresse. Pour une fois qu'elle est en famille, elle n'a pas l'intention de s'en priver. Les occasions sont trop rares de se retrouver tous réunis et elle bénit l'initiative de sa belle-soeur.
Une voix soudainement près d'elle.

- Ayyo Polya.

Les améthystes se posent sur le visage de sa jeune soeur.Elle note la tristesse qui émane d'elle, la prêtresse sait pertinemment quelle en est la cause. La souffrance de sa soeurette, elle la connait. Et il y a si longtemps qu'elles ne se sont pas vues. Amanalia n'a pas changé hormis une certaine dureté qui s'est formé dans les traits. Dans son coin elle l'avait bien aperçue arriver et s'attendait à la voir la rejoindre. La guerre et les épreuves les ont renfermées autant l'une que l'autre. Les deux soeurs se ressemblent énormément, surtout dans le côté fragilité de leur caractère. Seulement l'une le montre moins que l'autre.
Des bras qui s'ouvrent et viennent recueillir sa jeune soeur.

Ayyo Ama, je suis tellement heureuse de te revoir enfin. Comment vas-tu ?

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-A la mémoire d'Atecoatl-Coyote tonalamathlèque.
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