Aliena.

Après un cours séjours à Lyon, la caravane était repartie. Direction: Le Bourbonnais-Auvergne. La première halte s’était bien passé, le petit groupe s’entendait bien, et Aliéna était plus que ravie de parcourir les routes du royaume avec son époux, sa fille et sa belle-famille.
Mais comme elle n'avait vraiment plus l'habitude de voyager, dès la seconde halte, elle avait senti la fatiguée la gagner.
Aussi en fin de soirée, alors que tous papotaient en taverne avant de repartir elle s'était retirée du groupe:
Alix s'agite, elle a faim surement. Je vais aller au calme dans le carrosse la nourrir. Puis je me reposerai un moment sur la banquette arrière en attendant le départ.
Je suis un peu fatiguée ... je n'ai guère l’habitude de voyager moi.
Elle était donc allé à l'arrière du carrosse, elle avait tiré le rideau qui permettait de séparer la banquette arrière du reste de la voiture afin d'avoir un peu d’intimité.
Comme à son habitude, Alix avait tété voracement, avant de s'endormir assez rapidement.
Mais Aliéna n'était pas bien elle, il avait fait un temps lourd toute la journée, et l'air à l'intérieur du carrosse était étouffant.
Elle décida donc de sortir, et s'allongea sur un banc de bois, non loin du véhicule. Là, elle se sentait mieux, là elle respirait !
Elle se sentait tellement bien, qu'elle finit par s'endormir, sa fille couchée sur la poitrine.
Ce fut les cris d'Alix affamée qui la réveillèrent en pleine nuit. Elle se redressa, un peu surprise de constater que malgré l'heure tardives, ils n'avaient pas encore pris la route. C'est alors qu’elle réalisa que le carrosse n'était plus là.
Mais ! Où est passé le carrosse ?
Elle pensa que, pour une raison qui lui échappait, il avait été décidé de déplacer le carrosse autre part dans la ville. Elle fit donc rapidement le tour du patté de maison en espérant l’apercevoir à un coin de rue. Puis elle agrandit son cercle de recherche avant de se rendre à l'évidence: Il n'y avait plus de carrosse !
M'enfin ! Ils sont quand même pas partis sans moi ...
Alix braillait toujours dans ses bras, étonnée de ne pas être nourrie aussi rapidement que d'habitude. Aliéna entra donc dans la première auberge venue et demanda une chambre.
Une fois la porte refermée, et enfin à l’abri des regards, Aliéna laissa échapper ses larmes, pendant qu’Alix tétait goulument.
Ils étaient partis sans elle, la laissant seule avec sa fille dans une ville inconnue ! Qui le premier, allait s’apercevoir qu'elles n'étaient pas à l'arrière du carrosse ?
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Et Aliénor devint Aliéna ... une vraie lyonnaise
Mais comme elle n'avait vraiment plus l'habitude de voyager, dès la seconde halte, elle avait senti la fatiguée la gagner.
Aussi en fin de soirée, alors que tous papotaient en taverne avant de repartir elle s'était retirée du groupe:
Alix s'agite, elle a faim surement. Je vais aller au calme dans le carrosse la nourrir. Puis je me reposerai un moment sur la banquette arrière en attendant le départ.
Je suis un peu fatiguée ... je n'ai guère l’habitude de voyager moi.
Elle était donc allé à l'arrière du carrosse, elle avait tiré le rideau qui permettait de séparer la banquette arrière du reste de la voiture afin d'avoir un peu d’intimité.
Comme à son habitude, Alix avait tété voracement, avant de s'endormir assez rapidement.
Mais Aliéna n'était pas bien elle, il avait fait un temps lourd toute la journée, et l'air à l'intérieur du carrosse était étouffant.
Elle décida donc de sortir, et s'allongea sur un banc de bois, non loin du véhicule. Là, elle se sentait mieux, là elle respirait !
Elle se sentait tellement bien, qu'elle finit par s'endormir, sa fille couchée sur la poitrine.
Ce fut les cris d'Alix affamée qui la réveillèrent en pleine nuit. Elle se redressa, un peu surprise de constater que malgré l'heure tardives, ils n'avaient pas encore pris la route. C'est alors qu’elle réalisa que le carrosse n'était plus là.
Mais ! Où est passé le carrosse ?
Elle pensa que, pour une raison qui lui échappait, il avait été décidé de déplacer le carrosse autre part dans la ville. Elle fit donc rapidement le tour du patté de maison en espérant l’apercevoir à un coin de rue. Puis elle agrandit son cercle de recherche avant de se rendre à l'évidence: Il n'y avait plus de carrosse !
M'enfin ! Ils sont quand même pas partis sans moi ...
Alix braillait toujours dans ses bras, étonnée de ne pas être nourrie aussi rapidement que d'habitude. Aliéna entra donc dans la première auberge venue et demanda une chambre.
Une fois la porte refermée, et enfin à l’abri des regards, Aliéna laissa échapper ses larmes, pendant qu’Alix tétait goulument.
Ils étaient partis sans elle, la laissant seule avec sa fille dans une ville inconnue ! Qui le premier, allait s’apercevoir qu'elles n'étaient pas à l'arrière du carrosse ?
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Et Aliénor devint Aliéna ... une vraie lyonnaise