Quiou
Une Teigneuse sommeille en les limbes du repos mérité après avoir mené une énième journée dans les frivoles flâneries napportant nullement un quelconque sentiment de félicité.
Telle une désuvrée, sans but précis depuis larrêt brutal de sa destinée en les platitudes flamandes, elle sétait exhortée à la patience, ne jurant plus quà travers ces mots : « Jattends mon heure. »
Lubie saugrenue, sil en est. Cest ainsi que, le temps aidant, le vent nordique sen alla balayer la détermination de la presque Vicomtesse, luser, leffilocher pour mieux laisser place à une seconde idée persistante, idée que, plus jeune, elle sétait pourtant jurée de ne jamais soulever, de ne jamais mettre en uvre.
Partir.
Diriger ses pas en des lieux connus uniquement de par leur situation géographique sur des cartes étudiées. Abandonnant ainsi sa terre natale, les contrées sur lesquelles elle avait régné, la Deswaard, juchée sur un étalon tout aussi sombre quelle et accompagnée de son page plus ou moins dévoué, avait mis pied en la capitale royale : Paris la Grande, Paris la Majestueuse, Paris la Fangeuse.
Elle navait point lintention de sy éterniser plus que de raison, et ce, dans le but premier de ne guère se replonger en les réflexions destructrices qui lassaillaient allégrement.
Adoncques « Sa Sombritude » ne souhaitait-elle que découvrir les bouges crasseux des bas quartiers parisiens, la Cour des Miracles et ses dépravés pouvant octroyer aisément quelques pouces afin que denrichir sa propre sanguinaire collection, et tout ceci, à labri dune société rebutante, dun pandémonium où la justice royale était proscrite, inapplicable malheureusement.
La Terreur y avait ainsi déjà effectué une rencontre des plus intéressantes et, quelques jours sétant écoulés par la suite, tous chargés dexpéditions semblables les unes des autres, elle avait enfin cédé à la fatigue qui semparait delle, insidieusement fracassante.
Dès lors avait-elle laissé aux tentateurs bras de Morphée le droit de se saisir de son corps lessivé, soctroyant ainsi quelques instants de repos au sein dun établissement respectable de la capitale dans lequel elle avait élu domicile en la plus belle chambre quon pouvait lui offrir.
Des rêves dacier se présentaient ainsi à limagination de la notable flamande, emplis de fluide carminé, sur le pelage dune brebis galleuse déjà trépassée, sur le faciès délicat dun perfide poète, sur la blanchâtre peau dune Ethérée, sur
Un cri.
Strident, perçant laube naissante dune note de douleur.
La Deswaard ne souffre point de son cauchemar quelle aurait dailleurs plutôt tendance à apprécier.
Non.
Un mal tout aussi juvénile que la nouvelle aurore vient à linstant de comprimer la poitrine de la Teigneuse avant que de sattarder à lacérer implacablement ses entrailles, marquant son visage redevenu silencieux dinnombrables crispations, laissant ses pâles mains refermées telles des serres sur le tissu de sa couche.
Comateuse, elle est ailleurs, en un monde vide, sombre, semblable au cur quelle prétend ne guère posséder.
Telle une désuvrée, sans but précis depuis larrêt brutal de sa destinée en les platitudes flamandes, elle sétait exhortée à la patience, ne jurant plus quà travers ces mots : « Jattends mon heure. »
Lubie saugrenue, sil en est. Cest ainsi que, le temps aidant, le vent nordique sen alla balayer la détermination de la presque Vicomtesse, luser, leffilocher pour mieux laisser place à une seconde idée persistante, idée que, plus jeune, elle sétait pourtant jurée de ne jamais soulever, de ne jamais mettre en uvre.
Partir.
Diriger ses pas en des lieux connus uniquement de par leur situation géographique sur des cartes étudiées. Abandonnant ainsi sa terre natale, les contrées sur lesquelles elle avait régné, la Deswaard, juchée sur un étalon tout aussi sombre quelle et accompagnée de son page plus ou moins dévoué, avait mis pied en la capitale royale : Paris la Grande, Paris la Majestueuse, Paris la Fangeuse.
Elle navait point lintention de sy éterniser plus que de raison, et ce, dans le but premier de ne guère se replonger en les réflexions destructrices qui lassaillaient allégrement.
Adoncques « Sa Sombritude » ne souhaitait-elle que découvrir les bouges crasseux des bas quartiers parisiens, la Cour des Miracles et ses dépravés pouvant octroyer aisément quelques pouces afin que denrichir sa propre sanguinaire collection, et tout ceci, à labri dune société rebutante, dun pandémonium où la justice royale était proscrite, inapplicable malheureusement.
La Terreur y avait ainsi déjà effectué une rencontre des plus intéressantes et, quelques jours sétant écoulés par la suite, tous chargés dexpéditions semblables les unes des autres, elle avait enfin cédé à la fatigue qui semparait delle, insidieusement fracassante.
Dès lors avait-elle laissé aux tentateurs bras de Morphée le droit de se saisir de son corps lessivé, soctroyant ainsi quelques instants de repos au sein dun établissement respectable de la capitale dans lequel elle avait élu domicile en la plus belle chambre quon pouvait lui offrir.
Des rêves dacier se présentaient ainsi à limagination de la notable flamande, emplis de fluide carminé, sur le pelage dune brebis galleuse déjà trépassée, sur le faciès délicat dun perfide poète, sur la blanchâtre peau dune Ethérée, sur
Un cri.
Strident, perçant laube naissante dune note de douleur.
La Deswaard ne souffre point de son cauchemar quelle aurait dailleurs plutôt tendance à apprécier.
Non.
Un mal tout aussi juvénile que la nouvelle aurore vient à linstant de comprimer la poitrine de la Teigneuse avant que de sattarder à lacérer implacablement ses entrailles, marquant son visage redevenu silencieux dinnombrables crispations, laissant ses pâles mains refermées telles des serres sur le tissu de sa couche.
Comateuse, elle est ailleurs, en un monde vide, sombre, semblable au cur quelle prétend ne guère posséder.
Rp ouvert et libre à tous ceux voulant incarner médicastre, tenancier ou que sais-je. Il ny a quune chose à respecter : ma marionnette ne meurt pas.
Oh Un truc encore : laissez moi juste le temps de poster avec le PNJ Galéran, le page de Quiou, avant dintervenir.
Merci et bon amusement à tous.
Oh Un truc encore : laissez moi juste le temps de poster avec le PNJ Galéran, le page de Quiou, avant dintervenir.
Merci et bon amusement à tous.