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[RP ouvert] Pour les beaux yeux de...

--Servante_mathilda
Ceci est une joute à cheval où les participants doivent être nobles. Par contre, tout le monde, gueux ou noble, est invité aux festivités et à admirer les participants. Pour ceux qui voudraient concourir, m'envoyer un MP pour valider leur inscription, je leur enverrai les règles du tournoi. Si votre personnage est noble, faites comme si vous aviez reçu l'invitation envoyé par Thorn.




Mathilda jeta un coup d'oeil par la fenètre de la cuisine où elle s'affairait avec les autres servantes. Dehors, les ouvriers avaient terminés de préparer la lice en vue du tournoi, et les banderoles multicolores claquaient joyeusement au vent. Chacune dans les cuisines y allaient de son avis sur les raisons de ces festivités.

La blonde servante ne mouchetait pas mots, car si elle était le coeur de nombreuses rumeurs, elle avait pour habitude de garder les informations qu'elle recoltait deci delà auprès de ses différents soupirants... L'information est plus précieuse quand peu nombreux sont ceux qui la détiennent...

Après avoir remplis son devoir à la cuisine, elle se rendit dans la chambre du jeune Ailvin Wolback, le maître de Jolan, son soupirant le plus pressant en ce moment. Le valet était plutôt mignon et avait accès à des endroits que le petit personnel ne fréquentait pas d'ordinaire, aussi Mathilda avait vite compris l'avantage de lui planter sous le nez sa plantureuse poitrine.

Elle avait ainsi obtenus de monter en grade dans les rangs des servantes, et avait donc le droit de s'occuper de la chambre du maître... Elle entra d'ailleurs dans la pièce, les bras chargés de vêtements propres. Ailvin était à son bureau, il rédigeait visiblement des lettres en marmonnant pour lui-même... Jolan avait immédiatement braqué ses yeux sur le décoleté de Mathilda, ce qui permit à la servante de rester un peu plus longtemps que necessaire... Et ainsi d'entendre quelques noms de jeunes filles titrés non encore promise...

Ah... Ainsi voilà la raison de ces joutes... Il est vrai que quoi de mieux qu'un tournoi pour faire montre de sa valeur et ainsi emporter le coeur, et pourquoi pas la main d'une belle héritière... Le sourire aux lèvres, elle rangea les vêtements puis sortit de la chambre, après que Jolan lui ai volé un baiser en posant une main de propriétaire sur sa croupe. Un dernier regard au jeune maitre, un balancement de hanche d'invite... Peut-être cela l'attirerait-il et lui ferait envisager de mettre la servante dans son lit... Sait-on jamais...

Et Mathilda de retourner aux cuisines pour préparer le festin...


____________________________________________________________
--Jolan_
Le Valet-écuyer-bras droit du "Juge incontesté et incontestable", comme il aimait à s’appeler, était en faction près la porte ouverte du bureau de son maître.
Bureau communiquant avec sa chambre, ou arriva bien asser tôt Mathilda, la blonde servante qui ne laissait pas le Valet indifférent.
Sa -très- généreuse poitrine gardait pour prisonnier son regard, qu'il ne put libérer qu'après une ardue lutte. Elle déposa du linge sur le lit, resta là quelques instants, pour son plus grand bonheur (celui du valet), puis s'en alla, non sans jouer des hanches.
C'était forcément un message subliminale qui lui été adressé ! Ou en tout cas, c'est ce qu'il pensa.
Il entendait au loin son nom, puis, le temps de reprendre ses esprits suite à cette troublante rencontre, il réalisa qu'Ailvin l'appelait, et cela faisait vraisemblablement quelques instants déjà qu'il le hélait, au vu du ton de son maître...

Il s'agissait des lettres d'invitation que le Juge venait de rédiger, il lui fallait envoyer messagers pour les porter, et au plus vite !




Nous, Ailvin Wolback,
Avons le plaisir de vous inviter en le Duché de Hennebont pour assister à joutes, bouffonneries et moult divertissements.
Repas et autres festivités suivront alors, et pour le plus grand plaisir des damoiseaux et damoiselles, un bal sera donné.
Vous êtes priés de décliner votre identité pour qu’accueil méritant vous soit fait.

Bien à vous,
Ailvin Wolback,
Blond Juge.
Francois_wv
Dans la nuitée, au domaine familial d'Espelette.

François n'avait pas pour habitude de sommeiller, surement l'instruction Jésuite qu'il avait reçu , lui avait formaliser à cela.Le plus clair de son temps il le passait dans la bibliothèque.Ainsi,Chevaliers, guerres,femmes ect ....animé l'esprit du jeune jouvenceau.

Soudain, la porte en bois de la pièce se mit a toquer.Le jeune chancelier de Gascogne , fut surprit, qui pouvait bien toquer dans la nuit ?


-Oui ? Entrez !

-Bonsser Votre Excellence , je suis désolé de vous dérangez , mais un pigeon voyageur est entré et a déposé ceci.Alors , moi ! vous voyez , je me suis dis , tiens Robert , pourquoi ne monterais tu pas cette lettre au canceller, mais j'ai reflechis hein ...

Le chancelier , tapa du poing sur la table , à en faire frémir la bouteille à liqueur.

-ASSEZ ! Robert merci vous pouvez disposé !

François , lut la missive , c'était une invitation , une invitation pour des joutes au duché de Hennebont.Le jouvenceau connaissait assez bien certains membres de la famille Wolback , notamment l'ancienne régente de Gascogne.Pourquoi pas ? se disait il , après tout un peu de divertissement ne faisait pas de mal.

-ROBERTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTT !!!! Préparez mes malles , on part de suite à Hennebont.Prevenez , les cochets , pour le carosse !

Pendant le voyage

Les routes étaient toutes autant magnifiques , le voyage se passait relativement sans encombre , bien qu'il fut débroussaillés une route infestés de brigands.Durant, le bivouac , François profitait de répondre à l'invitation un pigeon voyageur etait partis dans la direction du chateau d'Hennebont.



Nous, François Von Wittelsbach,
Chancelier de Gascogne,

Avons l'aimabilité de nous avoir invités , à vos divertissements et déclarons avec plaisirs que nous serons présents , pour les festisivités.

Bien à vous,
François Von Wittelsbach,
chancelier de Gascogne.
Elizabelle
Elizabelle de Castelnau de Montmiral, jeune demoiselle de 13 printemps, depuis peu confiée aux soins de Sa Majesté la Reyne, au sein des Pupilles, lisait tranquillement un de ses romans de chevalerie, tranquillement agenouillée sur une couverture dans les jardins du Louvres, à l'ombre d'un grand arbre.

Ses longues mèches brunes encadraient son visage d'ange alors que les doux yeux gris parcouraient les lignes d'écriture fine qui couvraient les pages. Sa silhouette était dessinée par sa robe d'un vert pâle qui épousait son jeune corps.

A côté d'elle, la pâle Alice tentait de se concentrer sur un livre elle aussi, mais avec moins de succès. Elle préférait de loin discuter de tout et de rien, et Elizabelle lui répondait avec plus ou moins d'attention.

Un serviteur apporta alors une missive. Il la lui donna, celle du haut, sur une pile toutes identiques de lettre. D'ailleurs, il en tendit une à Alice aussi. Elizabelle abandonna son livre pour lire le message, jetant un oeil pour vérifier que son amie avait la même.


Regarde Alice ! Un tournoi ! Avec des chevaliers, et des joutes ! Oh... Cela à l'air magnifique.... Qu'est-ce que tu en dis ? On y va ?

Et de se redresser vivement, déjà toute emballée par la perspective de ce tournoi. Elle se saisit d'une plume et d'un parchemin, et de son écriture fine et déliée, elle répondit.



A Ailvin Wolback
D'Elizabelle de Castelnau de Montmiral

Je vous remercie pour votre aimable invitation. Sachez par la présente que je viendrai donc me joindre aux festivités et admirer les prouesses des preux qui participeront au tournoi. Mon amie Alice Liddell Melani viendra avec moi.

En espérant que ce message vous trouve en bonne santé.
Elizabelle de Castelnau de Montmiral
Pupille de la Reyne


Sitôt le message cacheté et confié au serviteur, Elizabelle se tourna vers Alice.

Alors ! QUelle robe va-t-on emmener ?
_________________
--Geux.family
Le domaine était en ébullition aujourd'hui, gardes, valets, servants, cuisiniers, tous se pressaient pour que tout soit prêt à l'arrivée des convives.
Et bientôt, les premiers arriveraient, et il faudra les annoncer puis les accueillir en attendant la venue de l'hôte.
La salle d’accueil était presque prête, quelques détails étaient encore à définir.
Deux gardes légèrement armées gardaient la porte principale, un valet était avec eux, il annoncera les invités, de l'autre côté de la porte, trois autres servants étaient là, l'un ôtera les lourds manteaux, l'autre décrassera bottes et chausses, et le dernier, enfin, mènerai chacun jusqu'au salon. Luxueux endroit ou maintes réceptions avaient été faites, une lourde tapisserie Artésienne jonchait le sol, et de nombreux sièges en bois ornées de broderies garnissaient la salle. Au centre trônait le trône (vous remarquerez le sublime jeu de mots) ducale, que nul n'était en droit d'arborer, hormis le Duc et la Duchesse, tout deux absents des terres.
Les troubadours prenaient place sur une estrade, cachée d'un rideaux aux couleurs des Wolback, « De sable à la tête de loup hurlant contourné d'or, accompagné de trois fleurs de lys du même, au chef de contre-hermine. », disait le hérault. Quelques valets de cuisine apportaient tonneaux et bouteilles : bière parfumée, vin de grand cru, chouchen, calva, et bien d'autre alcools demeuraient tel les gardiens de la bonne humeur et de la joie, au dessus de tous, perchés sur un comptoirs derrière lequel se masseront bientôt les invités.
Jacklepetit
[Domaine des Virloinval, Bourgogne]

Jack arrivait exténué dans son bureau poussiéreux, par la suite d'un grand "voyage" si on peut appeler ça comme ça...Les allers-retours qui suivaient le fatiguaient. Et bientôt le déménagement en Champagne qui le rendait de temps à autres joyeux ou pas.
Il vit un papier qu'il n'avait pas laissé là avant son départ...Étrange hein ?


Baptiste !

Vint alors un homme de maison, nommé ainsi, arriver en courant.
Il était plutôt fort mais dépourvut d'une intelligence quelconque. Grand, fort et rien dans le crâne, tel est son dilemme.


Que ce passe t-il ?


D'où vient cette lettre, tu sais ?


Bah...Non. Je l'ai juste déposé là.


Ah, on va voir ça alors.

Il ouvrit le courrier et lu alors son contenu, fort intéressant.

Citation:

A vous, Jack de Virloinval,

De nous, Ailvin Wolback,

Avons le plaisir de vous inviter en le Duché de Hennebont pour assister à joutes, bouffonneries et moult divertissements.
Repas et autres festivités suivront alors, et pour le plus grand plaisir des damoiseaux et damoiselles, un bal sera donné.
Vous êtes priés de décliner votre identité pour qu’accueil méritant vous soit fait.

Bien à vous,
Ailvin Wolback,
Blond Juge.


Cela va me changer, enfin une fête, même si je ne connais que de nom ce Ailvin Wolback j'espère qu'il me fera bon accueil...


Il prit sa plume et un papier poussiéreux sur le bureau du même état.

Citation:

De moi, Jack de Virloinval,
A vous Ailvin Wolback,

Je suis ravi de recevoir votre invitation et me vois dans l'obligation de vous annoncer que j'y réponds positivement.
Aussi puis-je vous conseiller d'inviter son Excellence Della de la Mirandole que vous avez déjà croisé dans les couloirs de la Basilique Saint André, ne vous ayant pas vraiment parlé je ne puis le savoir...

Bien Cordialement,
Jack de Virloinval.


Il tendit la lettre à Baptiste, et dit d'un ton sec :


Envoies le !

Lorsque celui-ci partit, il resta là immobile, impassible à regarder à travers la fenêtre vers les jardins, pensif...

_________________
Korrigans
[A Motarde D'Ascalon, Forteresse Épiscopale]


Le brun était comme à son habitude en train de se reposer dans un pré bordant la forteresse d’Ascalon, bastion de la Garde Épiscopale, fixant le ciel comme un enfant en essayant de deviner les différentes formes que prenaient les nuages – Jeu assez enfantin, mais il aimait cela ! – ainsi que leurs nombres.

Paisible, serein, un large sourire se dessinait sur son visage aux bruits des oiseaux…STOP ! Sans déconner, se calme et ce « tout est beau » était tellement à mourir d’ennuis que le brun se leva sans plus tarder pour aller s’entrainer avec ses frères et sœurs d’armes, appréciant plus le son des lames que celui des oiseaux, sans oublier les messes qui se situaient en deuxième position – Ouais, Aristotélicien pur souche –

Tandis que les épées s’entrechoquaient, une légère ombre menaçante avançait rapidement en direction du Sergent Épiscopal, tout d’abord curieux, il devint inquiet, et ne put s’empêcher de lever hâtivement la tête en écartant le soleil de sa main - Sens métaphorique - qui l’éblouissait pour apercevoir ladite ombre qui n’était qu’un pigeon. Certes, cette inattention lui coûta une jolie bosse sur la tête due à la poignée de l’épée de son adversaire, mais au moins, sa curiosité était conquit.

A terre, le brun n’eut d’autre choix que d’accorder à son adversaire un bref sourire niais pour s’avouer vaincu – Une honte pour lui, mais bon, c’est la vie ! – alors qu’au fond de lui, son être bouillonnait de retourner au combat, mais l’envie de lire le message du pigeon qui s’était maintenant posé sur une pierre était beaucoup trop forte, et son engouement curieux prit le dessus.

S’approchant d’un pas lent en direction du pigeon – Technique Lenteur pour ne pas effrayer la bête – pour l’attraper, chose qu’il fit, et sans tarder déplia soigneusement le parchemin pour le parcourir du regard, d’abord de gauche à droite, puis de haut en bas.

Citation:
A vous, Korrigans d'Acoma,
De nous, Ailvin Wolback,


Avons le plaisir de vous inviter en le Duché de Hennebont pour assister à joutes, bouffonneries et moult divertissements.
Repas et autres festivités suivront alors, et pour le plus grand plaisir des damoiseaux et damoiselles, un bal sera donné.
Vous êtes priés de décliner votre identité pour qu’accueil méritant vous soit fait.

Bien à vous,
Ailvin Wolback,
Blond Juge.


C’était Ailvin qui lui envoya une invitation pour une Joute ! Une joute, oui.

Le brun resta figé un moment, profitant de cet instant pour s’échapper dans ses pensées – On dit que la décision est prise dans les 30 secondes, donc il met tout les chances de son côté – réfléchissant à la décision qu’il va prendre, sachant qu’il n’a jamais participé à de Joute par manque de temps, donc, va-t-il y aller par risque de se rétamer dès le premier tour et de se taper la honte de sa vie ? Où ne va-t-il pas y aller pour préserver sa petite réputation ? Hum…

Légers mouvements de tête pour signaler son immersion dans le monde réel, et sa décision était déjà prise : C’était Non…Oui…non….Bon, Oui !

Bon, avant de partir, il prit un parchemin est répondit au juge du Maine.

Citation:
De moi, Korrigans d'Acoma,
A vous, Ailvin Wolback,


Salutation,

C’est sur ces quelques mots que j’accepte avec plaisir votre invitation en votre domaine pour participer à votre tournoi de joutes.

Je ne puis évidemment pas me retenir de vous remerciez pour cette invitation, et ne vous cacherai pas mon expérience chevronnée pour les joutes…

Au pire, on dira que j’ai trop bu, hein. Je plaisante, je tiens trop à mon honneur pour le salir sur pareil mensonge.

Allez, au plaisir de jouter à tes côtés, Ailvin.

Salutations amicales,



D’un air décidé il scella personnellement son cheval et partit au domaine des Walback.

A peine parti qu’il était déjà perdu, le bougre ! « Les Wolback », c’est où ça ? Soudain, il se rappela de son nom qui était Breton, et devina alors que cela devait être en Bretagne – Trop fort celui-là – Mais le château lui était en Maine.

De nombreux jours à cheval ne suffirent pas à arriver jusque en Maine, terre qu’il atteignit au bout de quelques jours ET une heure. Quelques heures plus tard, il arriva sis au domaine des Wolback. Sa carrure était droite, et son regard fendit le paysage, observant dignement sur son cheval le domaine, car mine de rien, jamais il n’avait vu les terres Bretonnes, lui qui croyait qu’ils vivaient dans des terriers…Ce fut un immense soupire de soulagement qui s’échappa de ses puissants poumons.

[Au domaine des Wolback...]



Sans plus attendre, ses bottes retentissaient pour la première fois sur les terres du Maine, et sa carcasse se dirigea vers la dame qui semblait accueillir les arrivants.

Elle avait l’air charmante, mais pas noble, sûrement une Dame de compagnie.

C’est dans une extrême politesse qu’il l’aborda pour lui signaler sa participation.

Bien le bonjour Dona, Je suis Korrigans d’Acoma. Participant aux joutes.

Son regard feuilleta une nouvelle fois le paysage d’un air pensif, puis rétorqua.

Dites-moi… Suis-je le premier à être arrivé où les autres participants ont eu vent de ma venue et se sont désistés au dernier Moment ?…

Un peu d’humour remué avec de la provocation pour masquer sa faible expérience des joutes, tout à son habitude, ça.

Patient, il attendit.



[Mode Modo On]

La signature de la lettre étant d'un taille supérieure à celle autorisée par les Règles d'Or, je l'ai retirée. Bon jeu à vous.
Baile

[Mode Modo Off]

_________________
Thorn
Les gardes croisèrent leurs hallebardes devant l'inconnue qui était là, face aux portes du salon. Ils avaient pour ordre de faire prisonnier tout intrus, chose qu'ils n'auraient pas fait, courageux comme ils sont.
C'est donc fermement qu'ils barrèrent la route à l'invité, et l’empêchèrent d’accéder au paradis terrestre. Du moins, jusqu'a ce qu'il se présente.
Korrigans d'Acoma, avait il dit, un rapide coup d'oeil à la liste qui leur avait été donnée, et enfin les armes se délièrent, et permirent à l'homme de s'avancer.
Des hourras j'aissaient de toute part et.. Aheum, oui. Je disais donc que les gardes firent un pas sur le côté, laissant le valet faire son travail.


Mon Seigneur, bienvenu.

L'invitant d'un signe de la main.

Messire Korrigans d'Acoma, Sergent Espiscopal et Chancelier ecclésiastique de Narbonne !

L'homme franchit donc enfin la porte, dénouement glorieux d'une rude lutte, le bien l'emportait finalement sur le mal, et comme dans les contes, les méchants étaient vainques. Vraisemblablement, le narrateur a une imagination débordante. Soit !
Le Sieur Korrigans s’avança donc, et deux valets vinrent le soulager de ses armes et autre objets encombrants, avant de lui désigne un siège, déclarant en choeur :


Sire, votre hôte ne devrait pas tarder à arriver, vous prendrez surement un de nos alcools, nous avons tout ce dont vous avez toujours rêvé.

Vous pouvez faire entrer vos gugus à présent, et si possible, m'envoyer leur blason vierge par MP ( à Thorn ), pour les futurs classement de joutes etc.




[Mode Modo On]

L'image n'étant pas à la bonne taille (cf les Règles d'Or), je l'ai retirée. Bon jeu.
Baile

[Mode Modo Off]
Alice_liddell
Bon, elle savait lire, maintenant. Après tous les cours qu'on lui avait donné, ça, elle savait lire. Tous ces petites caractères, ils avaient plus de secret pour elle. C'était pas ça, le problème. Nan, le problème, c'était que là, sur la page, ben ils étaient trop petiiiiiiiiiits ! Elle avait l'impression qu'ils mélangeaient tous pour donner un espèce de truc illisible. Comment que vous voulez reconnaître un "a" d'un "e" quand que c'est comme ça ? Pis je vous parle même pas des "p" et des "b". Et encore moins des "m" et des "n". Tous, ça, c'est la faute du soleil, d'abord ! Même à l'ombre, il lui fait quand même mal aux yeux quand qu'il se reflète sur les pages, et puis du coup, elle arrive plus à voir bien. Bref.

Ben du coup, on cherche d'autres moyens de s'occuper. Puis comme y a Eli à côté d'elle, elle lui parle. Ça sert aussi à ça un amie. Alors elle essaie d'aborder plein de sujets, mais Eli, elle semble toujours plongée dans ses lectures, et elle lui fait des réponses monosyllabiques. C'est pas juste d'abord ! Pourquoi qu'elle arrive à lire sous ce soleil, elle ?! Le monde il est injuste ! Elle aussi elle voudrait pouvoir lire comme son amie. Mais le Très-Haut, il l'en empêche. C'est pas juste d'abord, même si c'est le Très-Haut !

Enfin, c'est pas non plus comme si les lectures d'Eli l'intéressait. C'était partout peuplé de beaux chevaliers, et de princesses qui tombent amoureuses, et de grand mariage, et d'amour, et tout et tout. Bref, pas du tout la réalité quoi. Là dedans, ils disaient que les hommes, ils étaient beaux gentils et serviables. C'était bien la preuve que c'était faux. D'abord, les hommes, ils sont pas beaux. Et puis en plus, ce qu'ils aiment, c'est se battre entre eux, comme s'ils voulaient savoir qui était le plus fort. Elle avait vu des joutes, elle savait ce que c'était ! Mais comment on pouvait croire qu'ils pouvaient être gentils, après ça ? Et on vous même pas de la chasse ! C'était vraiment que des brutes. Vous en voulez encore des preuves que c'est tout faux ce qu'ils racontent, ces bouquins, où je m'arrêtent là ? On va faire, hein, vous êtes d'accord.

Mais bon, au final, la monotonie de cette après-midi est rompue par l'arrivée d'un serviteur qui leur apporte des lettres. On les ouvre. Bon on parcours rapidement des yeux. On fait comme si on lisait, hein. Ça le ferait pas si Eli elle voyait qu'elle arrivait pas à voir les lettres. Après, elle voudrait plus d'elle comme amie. Et elle, elle veut juste aux côtés de son amie. Parce que même si elle des trucs pas intéressant, ben c'est ça meilleure amie ! Alors on attend. De toute manière, sa réaction lui diras bien le sujet.

Et paf ! Ça n'y manque pas. Tournoi ? Joute ? Chevalier ? Elle peut déjà voir les étincelles dans les yeux de sa meilleure amie, à quelques centimètres des siens. Des belles perles grises. Vraiment belles. L'albinos se perd dedans quelques instants. Puis réalisant qu'elle l'a fixé un instant un peu trop long du point de vue de la décence, elle détourne ses rubis tandis que ses joues se colorent. Prend rapidement une décision. Se tourne vers Eli pour lui en faire. Eli qui s'est déjà mise à la rédaction de la réponse. Bon ben elle va y aller hein. Ça lui fera plaisir, après tout. Elle lève un instant les yeux au ciel... avant de les rabaisser prestement, prise d'une violente douleur dans le nerf optique.

Et puis Eli lui ressaute dessus. Elle lui s'écarte à peine, histoire d'éviter les mésaventures de tout à l'heure.


« La robe ? Ben... »

On s'offre quelques instants de réflexion. C'est quand même quelque chose d'officiel. On peut pas mettre n'importe. Bon, on est en été. On va éviter toute la houppelande, quand même. Elle a quoi en surcot, déjà ? Ah mais oui !

« Je pense que je vais mettre mon surcot azur et rouge. Comme ça je porterais les couleurs de ma famille. T'en pense quoi ? »

Puis elle lui fait un grand sourire. Ça lui fait plaisir de la voir dans cet état. Et puis... elle aime bien toutes ces discussions avec son amie !
_________________
Eilinn_melani
Non loin d'Alice, Eilinn Melani, vicomtesse d'Avize, lisait des parchemins l'air distrait. Bien qu'elle ne possédait plus la tutelle d'Alice depuis qu'elle l'avait confié à sa Majesté, elle se retrouvait parfois à devoir jouer les chaperons pour des activités annexes.
Eilinn avait fini par céder pour aller assister à un tournoi de chevalerie, auquel devait assister la meilleure amie de la petite fille, même si le cœur n'y était pas vraiment, ainsi que la santé. Cela faisait aussi partie des mondanités que les pupilles de la Reyne auraient à affronter pour trouver époux seyant à Béatrice 1ère.
Le teint plus pâle qu'à l'ordinaire, le Premier Maitre d'Hotel tentait de faire abstraction du babillage incessant des deux enfants dans le carrosse, et rêvait plutôt d'une couche confortable sur laquelle s'allonger, et dormir, dormir, dormir. Oublier peut-être aussi.

Le coche annonça aux gardes à l'entrée les noms d'Eilinn Melani, Vicomtesse d'Avize et Premier Maitre d'Hotel de la Reyne, de sa fille adoptive Alice Melani, et de la jeune demoiselle Elizabelle de Castelnau Montmirail. Ces trois-là ne venaient qu'en spectatrices, mais une tente fut tout de même montée, ou la Vicomtesse alla se réfugier dès que possible, espérant faire passer son malaise, laissant les deux pupilles profiter des festivités.

_________________

Service minimum jusqu'à début juin
Elizabelle
[Durant le voyage du Louvres au Château d'Ailvin Wolback]

Le voyage en carosse entre le Louvres set le Maine n'était pas très longs, aussi Elizabelle n'avait-elle emporté qu'un seul livre, son favori, qu'elle avait glissé dans son sac. Mais plutôt que de lire, Elizabelle s'était lancé dans une conversation avec Alice. Elle lui avait soufflé un ou deux truc à retenir sur la manière de se tenir, puis avait fini par lui dire de copier sur elle pour plus de sécurité.

Puis, elle s'abima dans une conversation d'une grande importance sur la couleur véritable des poussins, Elizabelle étant sur d'en avoir déjà apperçu de loin des jaune et d'autre noirs, et ce, tout en nouant des rubans de couleurs dans les cheveux de sa pâle amie. Ses doigts fins entremélaient les rubans et les mèches couleurs du rayons de lune avec l'habitude qu'on acquiert enfant à coiffer les poupées.

Elle jetait de temps à autres un regard à Eilinn, qui leur servait de chaperon pour cette équipée... Chaperon bien étrange en vérité tant la Vicomtesse semblait secouée par ce voyage. Il était fort peu probable qu'elle puisse profiter des festivités...

Puis les yeux gris se portèrent sur le paysage. Son attention fut attirée par le chateau qui se dessina au loin. Ah... Bientôt la fin du voyage... Elle tendit la main.


Regarde Alice, nous arrivons !

[Au Château d'Ailvin Wolback]

Elizabelle regarda avec plaisir la tente qu'on avait dressé pour elles. Même si elles n'étaient pas des participantes aux joutes, elles disposaient d'un endroit où se reposer, un pavillon portant les couleurs de sa famille, de celles d'Alice et bien sûr celles de la Reyne en tant que Pupille Royale. Eilinn ne tarda pas à aller se réfugier dans leur petite zone réservée afin de se reposer du voyage.

Aussi Elizabelle et Alice étaient-elles livrées à elles-même... L'adolescente descendit du carosse en premier, elle avait encore pris quelques centimètres. Sa poitrine naissante se dessinait à peine dans le corsage de sa robe d'un vert profond. Elle avait coiddé ses longus cheveux bruns en un chignon complexe d'où s'échappaient des boucles fines qui reposaient sur sa nuque nue et ses épaules à peine découverte par le col large ouvert de la robe.

Elle était presque femme, et faisait un peu plus âgée qu'elle ne l'était. Son visage d'ange se tourna vers le serviteur qui l'invita à le suivre. Tachant de se tenir comme il faut, Elizabelle le suivit jusqu'à la salle de reception. Elle murmura à Alice.


Ne t'inquiète pas... Tout ira bien... Je ne laisserai personne dire du mal de toi, je te le promet...

La brune suivit de l'albinos, pénétra sans difficulté, accordant un doux sourire aux gardes en faction. Elle fit une entrée remarquée dans le salon d'aparat, tenant sa tête droite, tachant de faire honneur à la Reyne et à sa mère, Dame Angèle. Les yeux gris observèrent la foule, curieuse de voir quels étaient ceux qui avaient le courage de relever le défis de la lice.

Le serviteur annonça.


Demoiselle Elizabelle de Castelnau de Montmiral, Pupille de la Reyne de France, sa Majesté Béatrice 1er !

Demoiselle Alice Liddell Melani, Pupille de la Reyne de France, sa Majesté Béatrice 1er !


Et Elizabelle de se fendre d'une révérence en tout point impeccable.
_________________
Francois_wv
Arrivée devant le domaine des Wolback

Le voyage fut long, jonché de quelques embuches.Son Excellence François Von Wittelsbach,d'habitude toujours serein , avait ce jour un peu d'anxiété.En effet, ce fut la première fois que le jouvenceau, se jetait dans l'arène impitoyable des joutes.

Le carosse arrivait à l'entrée du domaine fut stoppé sous les ordres du chancelier.Toujours soucieux de son apparence,le jouvenceau geulait sur Jeannette la servante de son père, spécialement affrété avec lui pour ce voyage et l'évènement du jour.

-JEANNNETTTTEEEEEE,ma bassine ! mes poireaux pour mon haleine !! mon rasoir!!!! mon eau de toilette ou est mon Parfum ?????!!!!!

-L'es la m'sieur François, Eau Chauvage de Givenchie !!!!!

-Et Jeannette elle veut en chier aussi ??? Je me demande pourquoi tu utilise ce mot "Givenchy" tsssss allez file à l'arrière la geuse !!!![/b]

Pendant que François se toilettait , Jeanette lui tendit sa tenue d'apparat, une tenue digne de ce nom , un mantelet noir en peau de renard , et d'une chemise bouffante rouge magenta , assorti d"une collerette blanche confectionné par les tisserands de Mont de Marsan.

L'homme était pret le carrosse arriva dans la cour principale du domaine.François aidé de son bossu, -ou celui-ci se mit à quatre pattes-descendit de la voiture.Regardant, l'horizon , il scrutait l'horizon, le monde arrivait aussi , rassuré il n"était pas en retard.

Un valet s'empressa de venir à l'Homme, le jouvenceau s'annonça.

[b]François Von Wittelsbach , ambassadeur Royal auprès de la Reyne et Chancelier de Gascogne.


au tour du valet d'annoncait l'homme mondain.

François Von Wittelsbach , ambassadeur Royal auprès de la Reyne et Chancelier de Gascogne !!!!!
Jacklepetit
[Voyage Bourgogne-Bretagne]

En partant il prit le soin de prendre quelques dossiers, histoire de lire durant le voyage qui promettait d'être assez long...
Quelques brigands qui n'osèrent aucunement l'attaquer sachant bien qu'ils auraient été battus dans l'immédiat préférant alors s'attaquer aux pécores.
Il était toujours pensif, rien qu’à l’idée de rencontrer de nouvelles personnes et qui plus est peut-être d’importance. Il regardait aussi le paysage, il n’eut pas vraiment l’occasion de visiter l’ouest du Royaume, voir même la Bretagne, par le passé.


[Bretagne, Domaine des Wolback]


Il arriva au final face au château qu'il n'eut jamais vu...
Il salua les deux gardes et souffla à l'oreille du valet les quelques mots que celui-ci devait dire.

Au valet d'annoncer :


Jack de Virloinval, Procureur en Cour d'Appel et Ambassadeur Bourguignon.


Même si Jack n'aimait pas vraiment se faire voir, cela pouvait avoir une certaine classe et puis des petits excès de temps à autres ne peuvent pas faire de mal...

_________________
--Servante_mathilda


[Tôt le matin, au château]

Alors que Jolan était envoyé pour préparer les armes et la côte de maille de son maître en vue du tournoi, Mathilda elle, avait gagné le privilège de préparer Ailvin, enfin gagné.... Disons qu'elle n'avait pas laissé le choix à l'autre servante... Cela sert de connaitre différents secrets comme la personne avec qui elle avait passé sa dernière soirée et qui n'était pas son mari...

La blonde frappa à la porte de la chambre avant d'entrer. Le maître était à la fenètre, comme s'il voulait vérifier que tout était prêt. Lorsqu'il se tourna vers elle, la servante s'inclina profondément, dévoilant son décoleté généreux. ben oui, autant en profiter pour se faire remarquer un maximum...

Elle commença à préparer le bain, rempliçant la cuve de cuivre avec de l'eau chaude. Puis elle prépara le drap de bain et la tenue qu'il porterait pour acceuillir ses invités. Une autre serait prête pour après le tournoi, pour le bal qui suivrait.


Maître, votre bain est prêt...

Et d'attendre à côté du bain qu'il y entre pour l'assister dans sa toilette.

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Thorn
Bien des carrosses, bien des suites, bien des escortes avaient fait leurs entrées dans le Domaine depuis ce matin. Quelques convives attendaient déjà dans le salon, mais le blond breton ne se pressait pas.
Accoudé à une fenêtre, il observait les valets montant la lice, l'esprit rêveur.
Du moins, jusqu'a ce que l'on frappe à la porte de sa chambre, réflexe, il pose sa main, ferme, sur le pommeau de son épée, et, d'un magistrale coup de genou, il se retourne, jambes fléchies, prêt à dégainer son épée.
Ba oui, après avoir fait pendre plusieurs innocents et torturer de simples paysans, le Tyran était souvent pris pour cible.
Mais ce n'était pas là un assassin qui se présentait à lui, tout du moins, pas le genre d'assassin qu'il avait l'habitude de côtoyer, celui là, ou plutôt, celle ci, usait d'armes bien plus efficaces, et le blond juge ne put que suivre du regard l’appétissant décolleté qui se courbait là, face à lui.
Le bain, lui dit elle, soit, allons y. Il se contenta d'approber en hochetant la tête. Il se dévêtit là ou il était, le juge n'était pas connu pour avoir un semblant de gène.
Glissant le pied dans l'eau de la cuve, il frémit, avant de s'y enfouir, ne laissant que la tête dépasser. Il présenta sa main ouverte à la servante.


Veuillez trouver mes huiles sur mon bureau, je vous prie.

Mathilda se dandina en exagérant ses mouvements jusqu'au bureau, donc, avant de revenir, avec dans sa main une fiole blanchâtre, à elle d'en verser le contenu dans la bassine, une odeur de Lilas s'en dégageant et emplissant la salle de son doux parfum.
Et au juge de surprendre -ou pas, la blonde servante et de lui demander


Rejoignez moi dans mon bain, désormais.
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