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[RP ouvert] Pour les beaux yeux de...

Mai
Une lettre était arrivée la veille dans les mains de la bretonne, signé du sceaux d'Hennebont. Marick?
Que lui voulait il donc? Voilà bien longtemps qu'ils ne faisaient plus que se croiser dans les couloirs du château de Rennes...
Les doigts emplis de curiosité ne mettent pas longtemps à détruire le fermoir de cire et déployé le vélin de qualité. Alwenna!
Oh surprise... Les sourcils se froncent et dévalent les lignes régulières que la petite avait écrit (ou plutôt dictée) à son attention.


Une joute en lices est organisée blablabla
dans le château d'Hennebont blablablabla
vous êtes invités blablabla...
Demain!


Demain. C'est dans pas longtemps quand même.
Ça va faire short pour trouver robe, accessoires et prince charmant.
Quoi que pour le dernier... La tête blonde se tourne vers une autre et d'une moue volontaire charmeuse...


Dites, vous accepteriez de m’accompagné à un tournoi chez un ami ?

Il aquiesce sans un mot mais d'un baiser délicatement déposé sur son épaule dénudée.
Soit!! Ils iraient ! Une inscription plus malhabile interpelle l’œil de la Kem au bas de la missive.

PS: j'ai invitée Eli aussi. Alwenna.


Il me semble que je vais pouvoir vous présentez ma sœur, mon cher.
Elle sera présente...


Un léger sourire apparaît sur le visage de Marie à cette perspective réjouissante.
En étaient ils déjà au stade des apparitions public? Quoi qu'ils fassent cela ferait jasé alors à quoi bon lutter ?
Elle déposa un baiser dans la paume du jeune homme et abandonna la lettre dans l'herbe ou ils étaient allongé.

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Francois_wv
Les invités étaient présents du moins , le chancelier les entendaient mâchouiller , lécher quelques petites sauces , grommeler , boire , il ne manquait plus que quelques rots , et la on se serait cru à un concours d'ogre.

François rafistola un peu ses cheveux d'or , puis aperçut une jeune fille , visage d'ange , pommette coloré d'un rouge clair , de petits yeux de biches....Le jeune jouvenceau ne fut pas insensible au charme de cette demoiselle.Malgré une jeunesse décadente virant dans les abimes du libertinage, son père veillé tout de même à un mariage en bon uniforme.

Soudain, la jeune fille s'approcha , laissant apparaitre un large sourire qui étonné le jeune homme.

Dite moi Sire, participerez vous aux joutes ? J'ai lu que les hommes qui en avaient le courage étaient auréolés de gloire...

Hum...heu...bonjour...heu...oui je compte bien participez aux joutes ! Ahhh la gloire dites vous ? Rien qu'en participant à des joutes ? Humm faut il encore être le gagnant de ses joutes pour avoir la gloire et le privilège d'avoir un baiser de votre part mademoiselle.

Un diplomate devait toujours tourné sa langue 7 fois avant de prendre la parole , lui avait on apprit.Il apparait clairement que devant la beauté d'une jouvencelle , ceci ne s'appliquait pas au contrat manichéen qu'est la diplomatie.François se contenta alors de sourire et de regarder fixement la jeune femme, après tout autant scruté sa proie que de la fuir , par quelques parades que ce soit , se disait il.
--Homme.de.maison
Alors que les gens de maison étaient déjà occupés, pas qu'un peu, d'ailleurs :
Entre ceux qui voulaient l'exact vin venant de l'exact vigne d'une fort lointain village inconnu, ceux se plaignant des boissons alcoolisés, ou encore ceux qui.. Passons, dis-je, passons !
C'est donc au milieux d'une virulence humaine et d'un mélange mouvant qu'arriva un autre Blond. Si notre société n'était régie par des coutumes de courtoisie, il est fort habile de parier que les jeunes filles se jetteraient sur l'homme, éjectant un strident sifflement, en criant :"Haaaan, c'est Engueraaaannnnnnnd!!!". Et en effet, elles auraient raison, le Baron d'Ittre avait fait son entrée, et au valet d'annoncer :


Monsieur Enguerrand de vaisneau, Baron d'Ittre et Champion de la Reyne !
Enguerranddevaisneau
L'annonce était faite, tous savaient dés lors qu'il était là, et c'est donc avec un sourire des plus satisfait qu'il prit la peine de fouler le sol de sa poulaine.

A son intendant de s'approcher alors, dans l'espoir de prendre les ordres. Une petite flexion du genoux en signe de soumission, il regard son maitre.
Maitre qui en l'occurrence préférait admirer les différents tons de broderie qui garnissaient de fort belle manière les robes des dames ici présente.
N'allez donc pas croire qu'il se rinçait l'oeil, tous savaient que l'Ittre était l'homme le plus vertueux que la terre ai portée.
Raclement de gorge du Bertrand, au Vaisneau alors de le congédier d'un mouvement de main nonchalant - Main recouverte d'un gant blanc, comme sa jumelle, pour l'occasion.


Faites donc ce que vous avez à faire, soit monter la tente, préparer lance, monture et armure. Enfin, occupez vous...C'est tout. Pour le moment.

Demi tour du sous-fifre, très vite rappelé:

Et trouvez moi du vin, je meeeuuuurrrssss de soif.

Chose dite, chose faite. Une fois le valet parti, à l'Enguerrand de s'approcher de l'huissier qui l'avait annoncé.

Pardonnez mon brave, serait il dés lors possible de rencontrer l'investigateur de ces joutes. Et bigre, pouvez vous m'expliquer pourquoi un tel panel de femelle en ces lieux? L'air empeste plus le parfum de luxe que l'excitation des combats.

Entendez par là la sueur bien masculine d'hommes prêt à se foutre sur la tronche.
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Mon artiste est 8eme mondiale d'art graphique, siouplait!
Marzina
La missive avait laissé Marzina pensive. D’abord, le sceau d’Hennebont. Hennebont, Duché d’Hennebont, Marick de Montfort-Laval…Le cousin donc. Des joutes ? C’était pas vraiment dans ses habitudes, d’organiser ou de participer à des joutes…Certes, le nom indiqué sur la missive, n’était pas le sien…Wolback, la famille de Pumae donc. Les joutes étaient un événement qui laissait dans la bouche de Marzina un certain goût amer, elle ne pouvait plus les apprécier, plus autant. Ira ? Ira pas ?
Elle se le demande un temps, s’enquiert de qui viendra, mais même le plus zélé de ses espions ne sait dire qui sera là, du moins la liste complète des invités est inaccessible. Soupir, tandis qu’elle joue négligemment avec une boucle blonde, la bouche en cœur.

Ira.

Elle se lève d’un bond, faisant rebondir sur ses épaules les ressorts dorés qui lui servent de chevelure, et très vite, elle est apprêtée. Elle est enjouée, en ce moment, comme à la période où elle rentrait d’Angleterre, elle semblait avoir recouvré une bonne partie de sa joie de vivre communicative. Et quand la blonde est de bonne humeur, elle perd un peu de son coté garce, et tiendrait presque de l’ange…Presque, parce Zina reste Marzina. En tout cas, comme elle sort sous ce chaud soleil de printemps, qu’elle va s’amuser, elle a envie de faire plaisir à quelqu’un. C’est ainsi qu’elle était venue chercher môsieur son mari, qui se trouvait un peu perdu en Bretagne, ca fait toujours ca au début.

Elle l’avait attrapé par le bras, s’était arqueboutée avec son tout petit corps pour tenter de le faire bouger. Il avait fini par bouger. Alors oui, ce n’était sûrement pas la force de mouche de la blonde qui l’avait fait bouger, mais sûrement le sourire rayonnant qu’elle lui avait adressé, si différent de la moue boudeuse qu’elle lui affichait depuis ce soir alcoolisé à Paris.

C’est ainsi qu’elle arriva sur les terres d’Hennebont au bras de son polak préféré, lumineuse dans sa longue robe rouge vif, ses fines lèvres gourmandes surlignées d’un rouge couleur de framboise, qui tranchait avec l’ébène de ses yeux. Ses boucles blondes avaient été laissées libres sur ses épaules, à peine démêlées, comme si elle était partie sur un coup de tête, ce qui était plus ou moins le cas…Elle fit quelques pas vers le terrain des joutes, ombrelle à la main, comme toujours lors de ce genre de temps, pour ne pas abimer le teint de nacre de sa peau.

Elle cherche Marick du regard, mais il n’est pas là. Par contre, sa petite est là, qui sautille de partout. Elle se tourne vers le polak et lui indique avec vivacité d’un petit signe de son nez hautain la petite Alwenna.


« Nous devons à tout prix l’éviter, je crois qu’elle m’aime bien…»

Ce qui signifiait, en langage marzinesque, qu’elle évitait le contact avec les enfants, et qu’un enfant qui l’aime bien risque, à un moment ou un autre, de venir vers elle. Un enfant, ca braille, ca a souvent les mains sales, ca casse des tas de choses, ca dit des choses qu’on a pas envie d’entendre, ou encore des choses qu’on tente de garder secrètes…Enfin bref, les enfants, ca la rendait toujours mal à l’aise, la blonde. Bien que ca ce soit arrangé un peu, avec Mini-Rousse.

Elle fait donc un angle de 90° sur le coté, afin de se mêler à la populace qui commence à s’amasser là, et pose à nouveau ses yeux curieux sur le duc. Il faut dire, elle ne le connait pas beaucoup, en définitive, et bien qu’elle n’ait pas l’intention que cette situation entre eux dure, par politesse, parce qu’il avait accepté de l’accompagner, elle ferait l’effort de le connaître un peu.


« Avez-vous déjà jouté, messire Dariusz ? »
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Le rp, ce n'est ni pour la gloire, ni pour les prises de têtes: c'est pour s'amuser, faut pas l'oublier.
Elizabelle
Elizabelle pose ses yeux gris sur le nouvel arrivant, enfin pas si nouveau puisqu'il était là avant elle, mais nouveau dans le sens qu'elle ne le connaissait pas... Il lui parle, répondant à la question qu'elle posait à un autre. Une ombre de contrariété passe dans son regard avant de s'envoler. Après tout, quelle importance, elle est là pour s'amuser...

Alors elle adresse un sourire au blond... Oui quoi, sont tous blond ici ou quoi ? Bref... Elle lui adresse donc un sourire et lui répond, gentiement en plus, même si elle a la tête un peu ailleurs parce qu'elle a bien vu à la tension des épaules de son amie qu'elle n'est pas contente... Sauf qu'elle ne comprend pas pourquoi... Elizabelle répond donc, quoi qu'un peu distraite... Juste un peu...


Un baiser ? Vous êtes bien présomptueux...

Et voilà un autre blond qui entre dans la salle... Celui là, elle l'a apperçu au Louvres... Des blonds, des blonds, que des blonds... Même Alice avec ses cheveux blancs semblent se fondre d'avantage dans cette assemblée que son amie avec ses lourdes mèches brunes. Décidément... Elle était telle la rose éclatante au milieu du parterre de lys. Alors autant resplendire...

Par contre... Si effectivement vous l'emporter... J'accepte de vous donner un baiser... A vous... Ou a un autre, s'il vient à l'emporter et à le réclamer...

Ben oui... Quitte à devoir patienter debout pour admirer les Sires se rentrer dedans avec des lances, juchés sur des chevaux et engonsés dans des armures... Autant rendre la chose amusante en se donnant l'impression d'être au coeur de l'événement...
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Francois_wv
François sourit à la réponse de la jeune demoiselle.Après tout , autant vanter ses mérites et etre un tantinet présomptueux.Il regretta cependant que personne d'autres viennent à lui.Au moins pour la connaissance formel d'un chancelier Gascon

Mais Mademoiselle , présomptueux certes ! Charmeur absolument !

Le chancelier depuis son arrivée dans sa contrée , avait le mal des femmes , effectivement à Florence il pouvait butiner au joie et aux plaisirs absolues de la chaire féminine.La jeune demoiselle était cependant polie et gracieuse , point de mal donc à cette jeune demoiselle , de plus le coeur battait plus que le vil du jeune homme.Néanmoins , il ne se refuserait pas décourvir autre pétales de roses présentes à ces joutes.En parlant de joute , le jouvenceau s'impatientait que cela commence , le protocole , les amuses geules étaient fort bien , mais cela déconcentrait les participants, sans nul doute.


Fort bien ! Alors je ferais tout pour gagner Mademoiselle , ce baiser sera ma plus belle récompenses !Sinon Mademoiselle d'ou venez vous ? que faictes vous ? Vous etes accompagner ?

Que de questions , il le fallait bien si le chancelier ne voulait pas s'ennuyer et rester seul à cette joute.L'ambassadeur royal était de nature curieuse , déformation professionnelle sans doute !
Alwenna
Tout s'enchaînait très vite, la petite n'était pas habituée à tant de mouvement dans le chateau, c'était un réel plaisir, mais un peu la panique aussi. Imaginez vous, en gosse de 7 printemps, qui vient de perdre une dent la veille même, qui se retrouve maîtresse des lieux, et que si même que c'est Ailvin qui l'a dit !, avec comme invités des personnes qu'elle ne connait même pas. C'est le stress complet, elle ne sait pas quoi faire, avec qui, où, quand, et comment ! Il faut alors prendre les choses dans l'ordre, calmement, en respirant.

Léger sursaut de la gamine en voyant la fillette, qu'elle comparait à un fantôme, à ses côtés, elle ne l'avait pas vue s'avancer, mais après cet instant de surprise, de gêne aussi, d'appréhension, ne savant pourquoi elle s'était déplacée vers elle, après donc, vint la joie. L'invitée semblait être très gentille, et Wéwé répondit en essayant d'être agréable également.


Moi aussi j'suis contente ! Et j'suis sûre qu'on va devenir amies, parce que on va rester un peu de temps ensemble, avec ce tournoi et tout et tout, moi j'avais peur que y'avait pas d'enfant qui allait venir;, parce que y'a que des adultes normalement qui sont ici, alors j'suis encore plus joyeuse !

Elle voulait hôcher la tête, les entraîner vers les jardins, qu'elle leur fasse découvrir le chateau de sa famille, elle aurait été fière mais un garde arrive pour la prévenir, elle et son cousin, que quelqu'un arrive. "Encore ?" s'écrie Lys, surprise, mais hausse les épaules, et affiche son habituel petit sourire satisfait. Faisant signe aux personnes présentes dans la pièce qu'elle s'absentait, la petite dévala les couloirs à toute vitesse, pour arriver dehors. Il faisait plutôt bon, le temps convenait pour une joute. Une scène s'animait devant ses yeux, ce n'était pas n'importe qui qui arrivait, on annonça un certain de Vaisneau. Bof. 'Connais pas. Juste entendu parlé, vite fait, mais on l'excusera, l'enfant.

La requête de l'homme avait été entendue, et la gamine s'empressa de s'approcher de l'individu. Révérence plus que soignée, la brune sourit largement, chtling !

Demat et bienvenue ! Je suis Alwenna Wolback de Montfort-Laval, temporairement maîtresse de ces lieux, enchan...

Alerte ! Alerte ! Marzina en vue ! Alerte ! Un signe d'excuse vers le Vaisneau, claquement de doigts pour qu'un garde s'occupe de lui, et hop, hop, elle sautille l'enfant vers sa cousine adorée, hop hop, deux trois pas, elle arrive derrière, elle, hop hop ...

Cousine Ziziiiii' !

Yeah.
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Le nouvel atelier qui en jette ? DTC !
Thorn
Alors qu'il conversait avec les jeunes filles, les claquements de sabots d'un bon groupe de cavaliers se firent entendre de par l'extérieur.
C'est donc avec révérence qu'il salua et prit congé de ses interlocutrices, avant de se rendre en l'entrée pour assister à cette non commune entrée.
Deux étendards se détachaient de la masse humaine, l'un aux couleurs de la couronne, l'autre, inconnu au Juge.
Il attendit donc que l'huissier-valet annonce le blond mâle -encore un autre, effectivement-.
Le Baron d'Ittre, donc, Champion de la Reyne qui plus est, voila qui promet d'être fort intéressant. Se précipita devant lui Alwenna, qui, à peine les courtoisies commencée, se remit à gigoter, sautillant en direction d'une autre personne, qui, elle aussi, venait d'arriver.
S'approchant du Sire Vaisneau, qui demandait qui était l’instigateur des joutes, le Wolback lança :


Ce n'est autre que moi Monseigneur.
Ailvin Wolback, ravi.


Les présentations terminées, il se permit de prendre quelques hauteurs, montant sur un siège.

Mes Sieurs, Mes Dames. L'heure n'est plus au vin et au sucrerie, est désormais venu temps de la sueur et du sang. Que tous se dirigent vers les lices, nous déclarons ces joutes ouvertes !

Applaudissements et acclamations jaissaient avec saccade du salon et de ses alentours, prélude d'un imposant déplacement, nombre de personnes se massant pour se rendre en les lices, les garçons d'écuries apportant les montures et les écuyers faisant claquer les brillantes armures.
Enguerranddevaisneau
Patiences, est mère de tout, parait il.
Alors il le serait.

Il patientait, attendait, ruminait, en espérant voir arriver le maitre des lieux.
Et ce fut le cas, en la personne de petit macaron de Bretagne, la jeune Alwenna, qu'il savait cousine de son ancienne maitresse, la princesse de Breizh.
Sourire à la parfaite révèrence, grimace aux présentations qui ne se terminent même pas.
Snobé, c'était un comble, cette gamine avait osée le snober!!!
Pour sûr qu'il lui ferait payer, d'autant plus quand il vit pour qui elle se cassait.
Marzina de Montfort Penthièvre, la garce Bretonne par Excellence, la dépravation à tout les niveaux. Et elle n'était plus enceinte.
Bien vite la moutarde lui monta au nez. Bien vite, il fut pris d'une colère placide mais mortelle, qui outre lui faire perdre tout ses instincts pacifique, le rongeait petit à petit.
Il remarqua à peine le nouvel homme, et répondit à sa présentation par un:


Ouai, 'chanté...

Et à lui de prendre la direction de la princesse et de son cavalier, pour venir s'arrêter devant eux, main sur le pommeau de son épée, regard assassin et lippe rehaussée de dégout.

Et bien, il semblerait que votre très cher héritier soit né, princesse.

Et de détailler son cavalier, qui mis à part une aisance certaine, ne valait en rien le Vaisneau, de son avis tout du moins.

Le père? Et l'Enfant, où est il? Placé dans je ne sais quel couvent Angloy qui à fait de vous la princesse la plus dépravée du monde? Marzina j'avale tout ce qui est long et rond, pourvu que cela m'apporte la gloire.

Il était mesquin, et c'est donc avec fureur qu'il s'esquiva, logeant son épaule avec violence dans celle du Polak tandis qu'il les dépassait.

Le Vaisneau s'était remplumé est devenait enfin un homme d''action. C'est pourquoi, arrivé à sa tente il claqua des doigt avec véhémence.


Fichtre, que l'on me passe mon armure, et VITE!
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Mon artiste est 8eme mondiale d'art graphique, siouplait!
Francois_wv
L'annonce fut ainsi faicte par le maitre de cérémonie , à croire que celui-ci avait lu dans les yeux du Chancelier.Pour le jouvenceau, il était temps de quitter la compagnie charmante de la jolie demoiselle aux cheveux d'or.Un regard persistant cependant , dans les yeux de la jouvencelle, histoire de se souvenir de son visage.On ne savait jamais ce que les chocs due aux joutes pouvaient causés comme traumatisme.
Il espérait ainsi se souvenir de cette radieuse demoiselle.

Marchant lentement vers sa tente,il sentait son corps se raidir, gonflant le torse,prenant sa respiration doucement,étirant ses mains , ses doigts, son cou.Arrivés, devant la tente, son personnel s'activait.Ses petits gens savaient que le maitre avait espoir dans ces joutes, les enjeux que cela pouvait représenter.

Dernière prière pour le jeune homme avant de rentrer dans l'arène."Aristote fait que je trépasse et outrepasse ma force" répétait le jeune homme devant un cierge scintillant.

La monture était prète, pur sang , nerveux , de robe marron, le meme tempérament que le Chancelier.Tout les deux, ne devait faire plus qu'un , une fusion entre l'animal et l'homme était nécessaire , afin d'appréhender la moindre faille chez l'Autre.Quelques caresses sur le museau du cheval,François se dirigea vers son armure.


Que l'on me passe l'armure, l'avez vous fait briller ?

D'une voix tremblotante , un petit jeune répondit

Heu...Oui V'otre Excellence , je l'ai fais moi meme...attendez je vais vous aidé !

François se laissa faire , passant l'armure , puis le casque , il était pret pour qu'on le hisse sur sa monture.

Parfait ! Mon épée maintenant , et Nous serons pret pour le depart !
Alice_liddell
Baiser ? Elle a bien entendu : "baiser" ? Nan mais ça va pas ça ! Pas du tout ! On promets des baisers comme ça à un inconnu même quand qu'on va à des joutes ! Ça se fait pas ! Pas du tout ! Juste voilà ! Donc voilà la Alice qui reste un instant sous le choc, la bouche à moitié ouverte, les yeux grand ouvert, avec un regard ahuri sur Elizabelle. Nan, mais nan ! Comment qu'elle a pu dire ça ? Et pis en plus, elle l'a complètement ignorée ! Comme si ces bellâtres là juste en face ils lui prenaient toutes son attention. Et pis du coup, même eux il la considérait comme si elle existait pas ! Nan, là, s'en est juste trop ! Va falloir faire quelque chose. Vouais, fait sortir Elizabelle de là ! C'est sûr, elle est en danger si elle reste là. Les hommes, ils sont fourbes, et vicieux, et violent. Si elle reste avec non même pas un, mais DEUX hommes, c'est sûr, elle est grave danger ! Pis en plus, comme elle semble l'avoir complètement, elle, la seule ici qui peut la protéger, ben, faut qu'elle fasse encore plus attention !

Bon, mais d'abord, faut se reprendre de la surprise. On peut rien faire tant que corps et esprits restent arrêté sur un évènement. Heu... Ah bah en fait c'est fait ça. Bon, la suite alors.

Bon, il y a une chose qu'il me faut vous avouer. La gamine, quand elle a fait toutes ses pensés, ben... Elle faisait pas vraiment attention autour d'elle. Alors elle a pas entendu que les joutes avaient commencé. Et en fait, elle a même pas vu que les deux blonds, ils étaient partis. Et ben donc, elle agit dans la suite logique des opérations. Et on prend sa copine par le bras. Pis on lui fait un grand sourire en la tirant à l'écart. On jette un coup d'œil derrière pendant qu'un l'entraîne. tiens, y a plus personne ? Y sont déjà partis ? Bah, alors, c'est vraiment des gens pour Eli. S'ils abandonnent aussi vite quand on leur enlève, ils ont même pas le droit de poser leurs yeux sur elle ! Vala ! Pis c'est tout ! Comment ça, il faut bien qu'il se prépare à un moment pour les joutes ? Ouais, ben pas quand ils parlent à sa meilleure amie, d'abord ! Sinon, c'est juste des coureurs de jupons. Pis c'est tout.

Bref, justement, on en revient à la brune. On sert un peu son bras pis on glisse à son oreille :


« Dit, on va dans un endroit un peu plus tranquille ? Comme ça, on pourra discuter sans qu'il y ait plein de gens qui viennent nous parler ! Et pis on pourra aller chercher des poussins pour voir comment qu'ils sont. »
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Jacklepetit
Après avoir été abandonné de manière tout de même poli par le Ailvin qui ne l'a laissé aucune chance de lui répondre, il se mit dans un coin de la grande salle en attendant des occasions de parler à quelqu'un, occasion qu'il n'eut pas. Si bien qu'il n'hésitait pas à se servir en amuses gueules et à embêter les valets passant par là, le démon des valets ? Lui !

Mais un évènement allait changer la donne...Les joutes ! Il s'était proposé avant à l'hôte et allait donc finalement participer même si il n'avait pas l'habitude de faire des joutes, faire de l'équitation oui mais pas de joutes...
Peut-être trouvait il ça trop barbare pour un ambassadeur ?
Direction l'extérieur du château, vers les joutes, en même temps que la foule.
Il prit alors le soin de se diriger vers la monture et de faire préparer son armure...La suite ? Au prochain épisode.

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Dariusz
L'invitation sonna si fortement, bravement dans quelques éclatements sonores qui fut tout bonnement impossible de la parer de quelques mots de refus, et même d'acceptation quelconques.
La tornade bretonne et blonde l'avait embarqué dans une fête dont il ignorait le pourquoi, le comment ainsi que la prestation à fournir. Le simple sourire, si rare car troublé par un événement passé d'il y a peu de temps, donnait le baume au coeur et ne pouvait se voir essuyer un refus égoïste. Il faut dire que le sourire d'une princesse vaut tout un trésor et bien plus encore.
Il offrit donc son bras et se laissa aller vers le lieu connu de sa compagne, sa femme (il faut s'y habituer à ce terme à présent) sans même se changer d'une tenue d'apparat plus classieuse et de circonstance. Quoiqu'un Duc reste toujours fidèle à son rang et ne se permet pas d'afficher une maladie de goût en empruntant les signes de la gueuserie.

Décorations, beau monde, fioritures sonores et odorants.
Oui, il était bien dans un endroit où le sourire que lui offrait inconsciemment sa blonde adorée était en concordance avec le thème. Il affichait se sourire assez niais mais décontracté qu'ont ceux qui connaissent un certain rythme ballotant du coeur et de l'âme heureuse. Il se laisse voyager, gaiement, en douce compagnie, passant entre la foule pour se frayer un chemin jusqu'à se faire arrêter d'un geste.
La belle devant lui faisait signe de ne pas croiser une jeune et petite fille qui, de loin, paraissait très charmante et en toute bonne éducation.
Il scruta la couronnée avec un air qui voulait absolument dire: "Ben pourquoi?"
Mais à peine eut-il posé ce regard-ci que la petite venait en se pressant et en appelant "Cousine Zizi".
Léger rire qu'il tenta de garder tout pour lui mais qui ne fut une grande réussite.
Tout comme lui, Marzina appréciait les enfants, mais de loin, très loin. Il avait l'envie de la voir se dépatouiller d'un de ces pots de colle gamin.
Il se posa devant la petite fille et prononça ces quelques mots:


-Bonjour jeune demoiselle. Désirez-vous que je vous laisse vôtre cousine "Zizi" pour vous seule?
Je m'en voudrai d'interférer dans vos retrouvailles


Redressement de son corps, "penchage" de tête vers sa compagne, large sourire taquin affiché au visage. Elle allait lui en vouloir, c'était certain. Mais elle comprendra que tout cela n'est que boutade et qu'il n'osera la laisser seule dans l'embarras.
Il s'autorisa même un léger baiser sur un coin des magnifiques joues marbrées de cette femme fabuleuse.
Baiser qui fut écourté par la venue d'un homme au physique hautain et fier.
L'allure discourtoise en tout point, sans aucun sourire agréable. Une simple main sur le pommeau comme dans l'optique de lancer un défis au duc.
Soupire intérieur, le polak ne lâcha guère son regard de l'inconnu et l'écouta baver un abominable venin excentrique.
Un frisson de colère parcourut l'échine de l'étranger qu'il camoufla par "pudeur" noble. Il n'était guère en ses terres, il n'était que nouvellement ici. Point de catastrophes ne fallait-il faire, aucune.
Il soupira intérieurement et n'interrompit en rien la scène de violence.
Une fois terminée, il se prit un coup dans l'épaule, se retourna pour voir le dos du malotru.


-Peut-être aurions nous la joie de vous voir, à vôtre tour, avaler quelque chose de long et de rond durant cette joute. Il me viendrait alors un plaisir considérable à ce qu'une perforation de vôtre vile tête ait lieu.

Sourire taquin toujours à l'affiche, il n'avait point usé de quelques violences de mots, mais il avait tout de même souhaité la mort de l'homme.
Enfin, tout cela n'est rien, aucunement.
Il se retourna vers la princesse et finit par répondre à sa question.


-En effet, ma chère, j'ai quelque adresse en l'art de la joute.
Enguerranddevaisneau
Alors que le Vaisneau passait une armure, aidé en cela par une armée de valet tous plus apeurés les uns que les autres, un autre servant, de moindre importance quand on voyait que l'Ittre ne savait pas son nom, vint à l'interrompre:

-M'sieur l'baron, m'sieur l'baron!!
-Fichtre qu'y a t'il?
-L'gus a répondu, mais semblerait qu'z'ayez pas entendu!
-Ah oui? Et que disait il?
-J'sais pô, c'était juste pas terrible, l'genre de tirade que l'on sort quand l'on est gosse... "C'toi qu'est moche, pas moi!"
-Fort aise, prions alors pour qu'il n'aille pas pleurer à sa mère, la mienne ne me serait plus d'aucun secours..Vu qu'elle est morte...


Et plusieurs rires tonitruant se font entendre dans tout le camps, avant un dernier appel au silence du baron.

Où est passée ma coquille? Je veux finir avec les bourses INTACTES!! Vous m'entendez!!!?!
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