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[RP ouvert] Pour les beaux yeux de...

Marzina
[So f*ck forever, If you don’t mind,
See I’m stuck forever, Oh I’m stuck in your mind…]


Apparemment, l’homme à son bras ne semblait pas comprendre l’urgence de la situation, qu’il fallait vite déguerpir avant que l’enfant ne se ramène à leur niveau, vu le regard interrogateur qu’il lui lance. Trop tard, l’alarme est déclenchée, l’enfant a entraperçu l’éclat doré de ses boucles, même cachée par l’imposante stature du polak. C’est puissant, le radar d’un enfant…

« Cousine Ziziiiii' ! »

L’alerte ne laisse aucun doute, c’est bien elle qui est visée. Le sourire se fait crispé, alors que la petite Alwenna se précipite vers elle. Trop tard pour fuir, il fallait l’affronter. La blonde ne fuit pas devant le danger, elle l’affronte, avec plus ou moins de courage, mais elle fait face. Ce n’est pas qu’elle ne l’aime pas, ou qu’elle n’avait pas envie de la voir, juste de loin de préférence…Elle n’était toujours pas très à l’aise avec ces petites choses fragiles et bruyantes…Si elle avait été moins angoissée, si elle n’avait pas la peur de la casser, ou qu’un quelconque malheur n’arrive, elle l’aurait enlacée alors qu’elle sautillait vers elle. Mais elle n’en était pas encore là, elle avait encore du chemin à faire, pour avoir ce comportement « normal » avec une enfant de la famille. Le sourire crispé est encore figé sur son visage, alors que Dariusz, qui semble s’amuser de la situation, commet une abominable traitrise.

« Bonjour jeune demoiselle. Désirez-vous que je vous laisse vôtre cousine "Zizi" pour vous seule? Je m'en voudrai d'interférer dans vos retrouvailles. »

L’enflure !
C’est le seul mot qui vienne à l’esprit de la blonde à cet instant précis. Ca et lui mettre un bon coup d’ombrelle sur le crâne. Mais non, ca non plus, elle ne le fera pas. Bien que ca l’arrangerait, d’être veuve, un mari gênant en moins…La moue se fait boudeuse devant le sourire taquin du polak, et malgré la délicate bise déposée sur sa joue, il n’en reste pas moins qu’elle grave dans un coin de sa mémoire que « ca se paiera » !

Tendre moment, ambiance agréable, le calme reposant, peut-être pas du bonheur, mais en tout cas ca y ressemble beaucoup…Puis l’arrivée du trouble-fête, de la méchanceté gratuite, de l’agression sans déclaration préalable, aussi puérile qu’inutile. Les piques ne l’atteignent pas à ce moment précis, les cicatrices sont bien cachées, il a beau tenter de les atteindre, la blonde est plus forte maintenant, bien plus que lorsqu’ils se sont connus. Il est de ces événements qui vous apprennent malgré vous la dureté de la vie, et vous changent à jamais. Elle était devenu femme lors de cette fausse couche, avait été arrachée brutalement à son innocence bienheureuse, lui était resté enfant, et ses réactions puériles.

Malgré tout ce qu’il pouvait dire, la blonde avait un léger sourire. Après tout, elle ne dirait rien, et sans le savoir, il lui serait redevable, parce qu’elle lui avait caché l’horrible vérité, et qu’il était resté dans sa douce ignorance grâce à elle. Elle avait acquis le comportement protecteur d’une mère, en quelque sorte…Lui était resté le même, toujours cette fierté mal placée qui l’empêchait de s’en tenir à sa place et à son rang, mis à part ce corps malmené, qui avait perdu sa superbe, et tout attrait aux yeux de la blonde. De toute façon, le baron se sauve, fuite salvatrice qui l’empêche d’entendre toute réponse qui pourrait lui être faite. Avec une grimace, Marzina pense à ces enfants, qui hurlent pleurs et cris censés représenter la frustration d’un caprice non assouvi, avant d’aller cacher leur honte en courant dans quelque coin à l’écart. Le baron ainsi, agit de même, et lorsqu’il passe près d’elle, elle susurre :


« Oubliez-moi. »

Une fois l’esclandre terminée, elle se tourne vers celui qui l’accompagne en ce jour, remettant en place la chemise froissée sur l’épaule d’un geste distrait, avant de lui préciser en murmurant :

« Il faut excuser sa réaction puérile…J’ai eu le malheur de porter un enfant lorsque nous nous fréquentions, et il l’a mal vécu. C’est un homme blessé, il faut laisser ses blessures se cicatriser, soyez indulgent Votre Grasce. »

Malgré tout, bien qu’elle n’aime pas la violence gratuite, elle a tout de même apprécié l’intention de Dariusz, de la défendre, égards auxquels elle n’avait que très rarement droit jusqu’alors. Elle hésite un moment, puis dépose à son tour un léger baiser sur la joue piquante du polak, et se retourne vivement, pour ne pas voir sa réaction. Sa gêne face à la petite est passée, après ca, du moins pour l’instant. Elle penche la tête de coté, récupère son sourire joyeux, et s’enquiert auprès d’Alwenna :

« Demat petite douceur sucrée. Je suis désolée du…dérangement, faut croire que j’y suis abonnée, n’est-ce pas ? »

Petit clin d’œil à l’enfant, avant de continuer :

« C’est toi qui a aidé à organiser tout ca ? N’as-tu pas invité quelque jouvenceau pour te tenir compagnie ? »

Que voulez-vous, le réflexe de la marieuse ne s’oublie pas…Et elle cherche du regard le jeune Palmier en Chocolat, persuadée qu’il ne devrait probablement pas être loin.

F*ck forever, Babyshambles
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Le rp, ce n'est ni pour la gloire, ni pour les prises de têtes: c'est pour s'amuser, faut pas l'oublier.
--Jolan_
Ces nobles, toujours à se chamailler. C'est qu'ils n'avaient rien de mieux à faire. Le travail, lui, était pour la roture, les gueux, les moins que rien.
Enfin, fit de ces palabres, ne narrons pas ces futiles combats de coqs plus longtemps.
Au maître des joutes de prendre place à l'endroit qui lui était réserve, et de faire annoncer :

Preux chevaliers, gentes Dames, que la gloire et la fierté prennent placent, que l'honneur et la force surgissent, car aujourd'hui sera le jour d'un Champion. Aujourd'hui sera le jour d'un homme, celui d'un homme heureux, heureux de ses vertus récompensées, de ses vertus reconnus. Venez, approchez, prenez place. Ceux se pensant prêt à relever le défi que s'offre à eux en ce jour, ceux qui se sentent de taille à manier la lance, à mener leur monture, à défaire leurs adversaires, se présentent à moi. Qu'ils inscrivent leur nom en ce parchemin, qu'ils inscrivent leurs couleurs en ces lieux, car reconnaissance leur sera faite, car ils pourront dire un jour, "Nous fumes victorieux".

Commença alors un jeu de tambours, l’étendard Monfort-Laval flottant, de concert avec celui des Wolback, le long des lices. C'est en ces moments que l'homme ressent le plaisir le plus intense, lorsqu’arrive enfin le combat, la confrontation. C'est alors que le théâtrale agon grec prend tout son sens, que les antiques poètes sont ravis et que les troubadours sont comblés. Mais outre cela, ces évènements ont une portée bien plus étendue, mais cela, tous le sauraient bien assez tôt.

[Pas HRP dans le RP, y'a les MP ou le topic spécialement créé a cet effet en tête de liste. Modo chef Lestan]
Enguerranddevaisneau
Ainsi était la volonté des organisateurs, ainsi se plieraient les futurs jouteurs.
Un valet aux couleurs d'Ittre s'avance alors, parchemin en main, pour tendre au Jolan ce qui est demandé.

L'Enguerrand en proie à un problème de coquille, ne pouvait décemment pas se déplacer.
L'Albert le faisait alors, pour lui.


V'la donc l'Inscription du baron d'Ittre, l'seul, l'unique...' fin, z'avez compris quoi.

Et de tendre le dit parchemin:

Citation:
En ce jour, joutera sous les couleurs d'Ittre et en l'honneur de sa majesté Béatrice Première, reyne de France et comme champion de la couronne, Enguerrand de Vaisneau, dicte l'Ignoble teigne.

[i]

_________________

Mon artiste est 8eme mondiale d'art graphique, siouplait!
Elizabelle
Décidément, ALice avait un comportement des plus étranges aujourd'hui... Ben qui, elle était pas heureuse d'être venue aux joutes ? Les méninges de la brune carburent à cent à l'heure pour tenter de trouver un truc pour dérider son amie... Faire en sorte qu'elle soit heureuse d'être ici... Elle propose d'aller voir les poussins... Oui, en voilà une idée qu'elle est bonne.

Mais alors qu'elle s'apprête à dire oui, les joutes sont annoncées ! C'est pour cela qu'ils sont tous partis les nobles sires. Ils sont allés se préparer ! Envolée l'idées d'aller voir les poussins, d'ailleurs, elle ne se rappelle soudain plus qu'elle avait eu envie de les voir. Là, pour l'instant, ne compte plus que les joutes et les chevaliers en armures qui vont s'affronter pour la gloire... Et peut-être pour une jolie dame à qui ils auront demandé la faveur...

Ses yeux gris brillants d'excitation, Elizabelle se tourne vers Alice et prenant sa main, s'exclame :


Oh ! Cela va commencer ! Nous y allons veux-tu ? Je ne voudrai pas rater le début...

Déposant un baiser sur la joue pâle de sa cadette, elle lui adresse un sourire éblouissant du bonheur d'être là et de pouvoir contempler ce que son imagination lui avait dépeind au travers de ses lectures jusqu'à présent.

Puis, tâchant de reprendre contenance, elle se dirige vers l'estrade réservée aux visiteurs et qui surplombe la lice, pour que la vue soit parfaite. Il s'agit de faire honneur à sa Majesté qui verrait d'un mauvais oeil que ses Pupilles se comportent comme des écervelées.

Une fois sur l'estrade, Elizabelle s'installa au premier rang, pour être sûre de ne rien rater. Puis tenant toujours la main d'Alice dans la sienne, autant pour se rassurer que pour s'assurer que son amie ne l'abandonnait pas, l'adolescente attendit le début des joutes, se demandant qui passerait en premier, et quelle dame aurait l'honneur d'être choisie pour soutenir les preux chevalier.

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Fildais
[Allez directement en lices sans passer par la case salon]


Le ciel est blond et la cavalière bleu -pastel.
Couchée dans l’herbe, nourrissant son regard de la limpidité céleste en ce jour de presque été, la Compostelle écoute le bruit à l’intérieur d’elle.
Les voix, ses voix pour être plus précis, toujours en belligérances internes, luttes incessantes des entités Hydriques en son for cérébral.

Trois votes contre, un en faveur, et une abstention.
Voilà comment se règlent les conflits intracrâniens de la blonde, par le biais d’un référendum à voix levées.
Trois des multi-personnalités fildaïques ont décidé que la Compostelle n’irait point aux mondanités de salon feutré. Les sourires affligeants d’hypocrisie, très peu pour elles, puis au vue des tensions sous-jacentes qui règnent en Anjou, elle n’est guère d’humeur.
Quant à l’abstentionniste, elle s’en contrefiche royalement, et de ces joutes, et des frivolités, préférant les parties de ramponneau avec la « cinq ».
« Numéro Cinq » qui justement boude, taiseuse, ses colocataires de placard à connerie de Fildaïs.

Le vent caresse sa joue, c’en est agréable de sensation.
Les paupières papillonnent, signe avant-coureur de son éveil au monde du dehors qui se fait en douceur, la ramenant lentement à rivage de réalité.
La jeune femme ne sait pas vraiment pourquoi mais un sourire confus se dessine à sa lippe.
Une chose échappe à son contrôle, elle ne le sait pas.
A voix haute et à l’adresse de ses mânes.


On est arrivé !

Annonçant par là, l’achèvement de leur voyage onirique.

Où ?
-Huuuuuuu ?

Froncement de sourcil à la voix masculine. La jeune femme en vient à fouiller sa mémoire pour se rappeler depuis quand le gynécée cérébral abritait une entité du type mâle.

-Argh… ne m’dites pas qu’une personnalité supplémentaire vient d’apparaître, y a pas de place déjà ici !!!
-Oh ? Un homme dans les hautes sphères de la blonde ? Chic chic chic… ça me changera des coincées de l’artiche qui…
-Héééééééééééééééééééééééééé !!!! Même pas vrai !!! Boudeuse.
-Nan pas toi Fifi, t’es juste une niaise qui perds toutes ses parties de ramponneau.
-Han !!!
-Dites, si les petites cruches veulent bien se donner la peine… suffit juste de tourner la tête…


Doucement, écoutant l’esprit, le corps s’exécute, et apparaît dans l’embrasure de son azur, un homme, un sourire aussi, le sien qui comble son vide et fait taire ses capricieuses personnalités internes.
Ce n’était pas le vent sur sa joue mais l’affleurement de sa main dans une caresse délicate.

Il est l’heure de s’inscrire et sa chimère, écuyer durant son temps perdu, l’avertit qui ne faut plus tarder.
Baiser furtif, et invisible pour sceller l’avis.

Aux organisateurs, un parchemin est tendu des mains fines d’une jeune femme à l’allure impavide et au sourire absent.


Citation:
Fildaïs de Compostelle, Dame de la Roche Majeure, joutera pour ses propres couleurs en ce jour.

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Frappée par le deuil et de plus en plus cintrée ! [Les voix rouges sont dans sa tête et personne d'autre qu'elle ne peut les entendre]
Thorn
Alors qu'il se présentait à l'autre blond, vous noterez d'ailleurs la conflictualité blondesque de la scène, et le vocabulaire très douteux du narrateur, cela va de soit; le dit blond, donc, (le second, ou le premier, nan, l'autre ! ou les deux), ne porta qu'un regard fuyant vers son interlocuteur, qui était notre blond (comment ça lequel ? suivez un peu !), avant de s'en aller, visiblement en direction d'une blonde !
Avertissement : attention, à tous les roux et autistes de la blondeur, ne lisez pas la suite, cela pourrait contenir des scènes choquantes non adaptées à un non-blond publique. Et donc je disais que le blond se dirigeait vers la blonde, qui était accompagnée de son blond. S'échappa du melting pot quelques exclamations, quelques regards qui-tuent-trop-de-la-mort, ainsi que... oui !
Mais le mainois (comprenez par là le blond) ne porta pas plus d'attention au groupuscule. Car ENFIN, et oui, il l'attendait aussi, le maître des joutes improvisé qu'était Jolan ouvra le recueil d'inscription, ou le breton-mainois-juge-méchant-tueur d'angevins, apposa sa patte.


Citation:
Ailvin Wolback, Seigneur de Rien-du-tout, joutera pour sa sublime personne.



[Image hors norme, cf règles d'or. Retirée par mes soins. Modo chef Lestan]
Alwenna
L'enfant à peine arrivée au niveau de sa cousine, que l'aut' blond rejoint le groupe, et commence à parler, si nous pouvons appeler ça comme ça. Alwenna ne comprenait pas tout, mais elle voyait bien de la manière qu'il le disait que ce n'était pas très sympathique. Plutôt agacée, la fillette se sentit prête pour dire ce qu'elle pensait au Môsieur de Vaisneau, mais se retint, elle était maîtresse des lieux et devait traîter avec soin ses invités, elle le gratifia alors d'un large sourire. Lys se rendit compte que l'accompagnateur de Marizna lui parlait.

Oh non messire, vous pouvez rester, moi c'est Lys ! J'suis la maîtresse des lieux !

La petite main potelée se glisse dans celle de la Princesse Bretonne, et au surnom croquignolet de "Petite douceur sucrée", la brune frémit de plaisir, toute contente d'être avec des gens qu'elle aime.

Bah en fait, Papa et Maman sont pas trop là, du coup, Ailvin a organisé les joutes, et moi j'suis la maîtresse des lieux, c'trop bien hein ? Et non, j'ai invité juste Marie, Elisabeth, et voilà ! Justement je me demande quand elles arriveront ...

Moue pensive, songeuse, le doigts est posé avec réflexion sur le menton poisseux de sucre. Haussement furtif d'épaules, Alwenna reprend sa mine enjouée, et son visage s'étire de joie quand les joutes sont annoncées, la tête est tournée vers la blonde.

Oh ! Oh ! Oh ! On y va ? Tu viens ? Faut vite y'aller sinon va plus y avoir de place ! Je sens que ça va être trop bien !

La petite bretonne attrape également la main de l'homme qui semble accompagner l'autre bretonne, ça porte à confusion hein, et Wéwé les emporte tous les deux en sautillant vers l'endroit où il fallait signer pour participer. Le doigts pointeur pointe en dans cette direction.

Toi ! Le Monsieur que je sais pas comment tu t'appelles ! Faut que tu t'inscrives là !

Et le vilain doigts pointe cette fois vers sa Zizi' 'dorée.

Toi ! Tu me suis, on va aller regarder !

Z'avez pas l'choix, moi qui décide, naméoh.
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Le nouvel atelier qui en jette ? DTC !
Mai
C’est à cet instant qu’une voiture aux couleurs de Bretagne fit son apparition dans un grand nuage de poussière.
Dans le petit coche, une jeune femme au ventre rebondis et aux boucles lumineuses avait la tête posé sur l’épaule
d’une autre jeune femme aux boucles toutes aussi lumineuses mais au ventre plat. La veinarde.
Les sœurs Kermorial firent donc leur entré alors que tout le monde semblait rejoindre la lice ou se dérouleraient les joutes.
Debout devant l’immense bâtisse de pierre Marie et Elisabeth.


C’est grand.
Oui.
Tu crois qu’Alwenna est là ?
Vaudrait mieux. C’est elle qui reçoit t’as oublié ?
Ah… Oui c’est vrai.
Il est ou ton lorrain ?

Marie se tourne vers sa sœur et découvre comme à chaque fois l’air féroce de son Attila de sœur.
Marie et les hommes… Un sujet sensible aux yeux d’Elisabeth qui n’aimait guère qu’on tourne autour de sa cadette.


Je ne sais pas… Je crois qu’il s’est défilé car il ne veut pas jouter.
Enfin je n’en sais rien… Je suis bien mieux avec toi de toute manière.

Ah ça c’est sûr ! Et mon neveu ?

Le regard de GodLisa se porte sur le nombril de la Baleine.

Il ne devrait pas venir au monde aujourd’hui, je ne le sens presque pas.
Bien.

Un sourire illumine le visage de Marie alors qu’elle glisse sa main dans celle de sa clone et l’entraine doucement vers les lices.
Quelques silhouettes familières se dessinent dont Alwenna, la princesse et le Polak.
Ni une, ni deux, Maï qui n’est pas tellement protocolaire, pose sa main en visière au-dessus de ses yeux pour confirmer l’identité
et se met à gueuler un coup. (Elle n’est pas gueuleuse de la Couronne pour rien !)


Madaaammee Polaaak !! Lyyyyys !!!!

Ça c’est fait ! Les deux photocopies blondes sont repérées !
_________________
Francois_wv
"Alea Jacte Est", ainsi le sort du jeune homme blond lui aussi (comme par hasard) fut ainsi fait.Sonnement des trompettes , bruit grondissant des tambours , c'etait l'heure!


Ainsi sous la célèbre devise familiale "Plus d'honneur que d'honneurs" le Chancelier, salua la foule installés sur les gradins, en guise de salut post mortem ? Va t'on savoir ?Dans tout les cas , le jeune savait qu'il aurait eu au moins l'honneur d'avoir rencontré deux charmantes demoiselles , qui puisait blondes aussi, décidemment, le coiffeur de la Reyne Jean Louis David , avait bien inventé une mode.....parce que nous le valons bien !!!Bhe tiens qu'es tu Crois !!!!!

[Image hors norme, cf règles d'or retirée par mes soins. Modo chef Lestan]

Post verrouillé temporairement suites aux interventions répétitives (6). Merci au joueur de Korrigans de mettre son post à jour à la reouverture du topic et aux joueurs de Francois_wv et Thorn de faire attention à la taille de leurs images. pour rappel:



Les règles d'or a écrit:
Les interventions répétitives seront sanctionnées:
-Au bout de cinq interventions sur un même topic, il sera verrouillé temporairement. Ensuite, le tarif est dégressif. si malgré ce premier verrou l'équipe de modération doit encore intervenir tout se passera comme suit.
-Pour le second : 3 interventions et nouveau verrou temporaire.
-Pour l'ultime verrou: 1 intervention qui verra le topic définitivement perdu.


Modo Chef Lestan.

EDIT: déverrouillé.
--Servante_mathilda
Après l'incident de la chambre pour lequel elle n'avait aucun regret, Mathilda retourna prestement dans sa modeste chambre pour se changer... Que Jolan l'ai surprise n'était pas un problème en soit... S'il l'aimait vraiment, il se déménerrai encore plus pour elle. Ce qui promettait d'être merveilleux... Surtout qu'elle saurait le recompenser de ses efforts pour lui plaire.

Après avoir revêtis sa plus jolie robe, certe modeste mais qui la mettait en valeur, elle se rendit aux lices. Et bien oui, c'était elle qui aurait le privilège de tendre le sac de soie dans lequel des petits cailloux de couleurs étaient mélangés par paire. Les combattants viendraient un par un pour en prendre... Au hazar bien sur... Et c'etait l'occasion rêvée pour exibée sa généreuse poitrine aux yeux des jeunes seigneurs... Au cas où y en aurait un d'interessé...

Adressant un sourire charmeur à Jolan, elle se plaça à ses côtés comme si rien ne s'était passé plus tôt ce matin... Elle tendit le sac entre ouvert au premier à se présenter.


Les premiers à jouter seront les bleus...

Puis viendraient les verts, les rouges... Et finalement le jaune... Ben oui, il n'y avait que 7 participants... De sorte que l'un d'entre eux passerait directement aux deuxième tour, obtenant un avantage sur les autres... Ou pas...

[Hrp retiré, décidément... vous avez un MP. Modo chef Lestan]
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