Domenja
Saumur la belle, adieu ou plutôt .. à bientôt !
C'est sur ces mots que Domenja quitta gaillardement les bords de Loire pour prendre la route vers la capitale angevine. Seule. La nuit était belle, et la jeune fille chantonnait, laissant sa monture aller au pas tranquille pour profiter de la douceur de cette nuit de fin de printemps. Une promenade qui la mena à l'aube aux pieds d'Angers. Quelques gardes à l'entrée, l'air sévère et pas engageant.
Halte là ! On n'entre pas !
Quoi on n'entre pas ? Pour quelle raison on n'entre pas ? Je n'ai pas fait ce trajet pour rien ! Laissez moi passer , je suis fatiguée et j'aimerai dormir !
L'air des gardes se fit plus menaçant et plusieurs hommes d'armes sortirent de l'enceinte de la cité, comme prêts à en découdre.
Un petit vent frais balayait leurs oriflammes.
Mais que se passe t il ? Je ne demande qu'une seule chose : laissez moi entrer que je trouve une auberge où me reposer !
La jeune femme ne comprenait rien à cette attitude. Elle tentait de parlementer à nouveau, quand un insecte, sans doute excité par le cliquetis des armes andegaves piqua violemment l'arrière train de son cheval qui s'emballa à galop serré vers la herse.
A l'attaque !!! On nous attaque !!
Interloquée, ne maitrisant plus ni sa monture ni les évènements, Domenja se trouva prise sous les coups de l'armée sans qu'elle ait eu le moyen de réagir.
Aieuh !!! Mais arrêtez bande de cloportes ! Je ne vous attaque pas !!! Cervelles de moules en rut !
Le sang gicla de son flan au premier coup d'épée. La douleur était intenable. Tentant de se protéger tant bien que mal, un second coup l'atteignit au bras faisant exploser son bouclier. Serrant les dents, elle tenta de se défendre avec hargne sous cet assaut non mérité.
Nolli Irritare Leonem ! lança t elle fièrement à ses agresseurs. La devise des Sabran prenait vraiment corps en ce moment. Faut pas chatouiller la lionne ! murmurait elle.
L'épée qu'elle brandit à ce moment là subit le même sort que le bouclier, tandis qu'un autre coup lassommait. Tombant lourdement de sa monture, elle s'évanouit.
C'est sur ces mots que Domenja quitta gaillardement les bords de Loire pour prendre la route vers la capitale angevine. Seule. La nuit était belle, et la jeune fille chantonnait, laissant sa monture aller au pas tranquille pour profiter de la douceur de cette nuit de fin de printemps. Une promenade qui la mena à l'aube aux pieds d'Angers. Quelques gardes à l'entrée, l'air sévère et pas engageant.
Halte là ! On n'entre pas !
Quoi on n'entre pas ? Pour quelle raison on n'entre pas ? Je n'ai pas fait ce trajet pour rien ! Laissez moi passer , je suis fatiguée et j'aimerai dormir !
L'air des gardes se fit plus menaçant et plusieurs hommes d'armes sortirent de l'enceinte de la cité, comme prêts à en découdre.
Un petit vent frais balayait leurs oriflammes.
Mais que se passe t il ? Je ne demande qu'une seule chose : laissez moi entrer que je trouve une auberge où me reposer !
La jeune femme ne comprenait rien à cette attitude. Elle tentait de parlementer à nouveau, quand un insecte, sans doute excité par le cliquetis des armes andegaves piqua violemment l'arrière train de son cheval qui s'emballa à galop serré vers la herse.
A l'attaque !!! On nous attaque !!
Interloquée, ne maitrisant plus ni sa monture ni les évènements, Domenja se trouva prise sous les coups de l'armée sans qu'elle ait eu le moyen de réagir.
Aieuh !!! Mais arrêtez bande de cloportes ! Je ne vous attaque pas !!! Cervelles de moules en rut !
Le sang gicla de son flan au premier coup d'épée. La douleur était intenable. Tentant de se protéger tant bien que mal, un second coup l'atteignit au bras faisant exploser son bouclier. Serrant les dents, elle tenta de se défendre avec hargne sous cet assaut non mérité.
Nolli Irritare Leonem ! lança t elle fièrement à ses agresseurs. La devise des Sabran prenait vraiment corps en ce moment. Faut pas chatouiller la lionne ! murmurait elle.
L'épée qu'elle brandit à ce moment là subit le même sort que le bouclier, tandis qu'un autre coup lassommait. Tombant lourdement de sa monture, elle s'évanouit.
Citation:
27-05-2011 04:05 : Votre bouclier a été détruit.
27-05-2011 04:05 : Votre arme a été détruite.
27-05-2011 04:05 : Finam vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
27-05-2011 04:05 : Brennus_de_reikrigen vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
27-05-2011 04:05 : Brennus_de_reikrigen vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
27-05-2011 04:05 : Salebete vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
27-05-2011 04:05 : Brennus_de_reikrigen vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
27-05-2011 04:05 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Abusus Non Tollit Usum..." dirigée par Brennus_de_reikrigen.
27-05-2011 04:05 : Votre arme a été détruite.
27-05-2011 04:05 : Finam vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
27-05-2011 04:05 : Brennus_de_reikrigen vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
27-05-2011 04:05 : Brennus_de_reikrigen vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
27-05-2011 04:05 : Salebete vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
27-05-2011 04:05 : Brennus_de_reikrigen vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
27-05-2011 04:05 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Abusus Non Tollit Usum..." dirigée par Brennus_de_reikrigen.