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Les Portes de Castillon - Arrivées et départs

pnj
[Après une année d'inactivité je suis de retour pardon à mes amis que j'ai connu et que j'ai abandonné soudainement.]

Il faisait jour, un matin d'hivers, froid et neigeux, un peu de brouillard était tombé sur la contrée. Cela faisait fort longtemps qu'elle n'était pas venue proche de la civilisation, elle ne s'était réveillée qu'il n'y a peu, nue, au plus profond de la forêt, dans une grotte. Elle avait erré et survécue pendant ce temps ne se souvenant de rien à part de ce qu'elle était et de certains gouts, certaines habitude qu'elle avait eut dans le passé.
Elle revint après longtemps dans la ville à Castillon, retrouver sa demeure qu'elle avait presque oublié, elle se souvenait de l'emplacement, retrouva sa boucherie et son champ en jachère. Elle en sourit entra sans se faire remarqué n'ayant pour seul vêtement alors qu'un drap abimé qu'elle avait trouvé.
Elle murmura en sa langue natale qu'elle n'avait jamais oublié, quelques mots: "tadaima..." un sourire affiché au lèvre elle était de retour. Peut-être pour longtemps, peut-être pour peu de temps, elle n'avait plus grand chose chez elle et devait se reconstruire... reconstituer sa mémoire peut-être en retrouvant ses anciens compagnons qu'elle a malheureusement oublié, ou presque. Elle ne se souvient que d'une jeune femme qui l'appelait "Oiseau" sans se souvenir du nom de cette douce personne.

C'est ainsi que Michiyo revint en Castillon, inconnu de beaucoup, oublié peut-être aussi. Elle n'en voudrait à personne et si elle ne retrouvait pas la mémoire elle se débrouillerait pour se construire une nouvelle vie.
Michiyo fut discrète pour son retour, caché par le brouillard épais sur la ville personne ne l'avait remarqué, elle allait se réinstaller avant de faire un tour en taverne et peut-être aussi de se balader dans les rues.
Dragones
A peine arrivé et les voilà déjà reparti…

Dragones accompagné jusqu’au porte de Castillon Dea et Lae…

Promesse de se revoir chez l’un et promesse de l’autre de revenir…
Sourire aux lèvres malgré la tristesse du départ pour eux et de la tristesse pour elle de les voir partir…
Embrassade et accolade et les voilà s’éloignant retournant a Marmande…

Elle reste la a les observé s’éloigner…resserre le châle sur ses épaules et s’enfonce dans les rues de Castillon…
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Opusone
Opus accompagné de Sibille, du petit Winbill juché sur l'ânesse Caprice et de son chien Barack franchit les portes de Castillon.

Après plusieurs semaines passées ici, il était temps de continuer le voyage.
Castillon avait été une belle découverte, la plus belle du voyage commencé fin août. Ils y avaient rencontrés des castillonais chaleureux et accueillant. Ils y avaient vécu de belle aventures. Ils avaient découvert une halle animée par des habitants plein d'imagination et d'humour.


MERCI A TOUTES ET A TOUS !!! ON SE REVERRA CERTAINEMENT ENCORE EN 1457.
QU'ARISTOTE VOUS GARDE !!!
Sibille
Sibille avait passé un dernier moment avec ses amis et s'était mis en route auprès de son tendre compagnon Opusone, de son chien et de l'ânesse qui portait maintenant bien assis son fils Winbill.

Allons-y tendre amour, après nous n'aurons plus le courage, je crois que je me suis attachée ici... Que de beaux souvenirs, une baignade, une fête, la cuisine avec toi, la bataille de neige...

Sa voix s'estompa au fur et à mesure qu'ils avançaient.
pnj
C'est avec tristesse que Honhon regarda s'éloigner la petite famille ; vrai qu'à cause de la tyrannie... de l'état de santé de sa pauvre mère, je veux dire, il n'avait pas réellement pu partager avec eux comme il l'aurait souhaité.

C'est cependant le coeur léger qu'il accueillit l'annonce de leur probable retour.

Il eut l'idée d'agiter son mouchoir pour leur faire signe... mais comme avec les rigueurs du climat il avait chopé un bon rhube, il préféra remettre rapidement l'objet dans sa poche après l'avoir déployé...
Seamus
Seamus arriva trop tard aux portes pour les derniers adieux, le réveil avait été trop dur

Il apercevait dans le lointain la neige qui volait en tourbillon derrière le petit groupe.

Le tonton sourit en repensant à la soirée de la veille... Un bon moment oui

Il allait rentrer lorsqu'il vit Honhon


Je vous souhaite bien le bonjour messire dit il en souriant avant de retourner doucement vers la ville
Seamus
Seamus passa les portes et s'aventura hors des murs.

Il signala aux gardes en faction qu'il allait chercher des plantes médicinales, mais il allait aussi à la recherche d'une amie

Chemin faisant, il récolta des écorces de Bouleau, de Frêne et en voyant des Chênes il en profita pour ramasser également leur mousse
Les forêts de Castillons étaient verdoyantes et l'humidité ambiante leur donnait une odeur unique

Il avisa des Violettes sur le bord du chemin et s'en approcha.
Il en cueillit quelques poignées et remarqua enfin une trace...

Un loup était passé par là, mais la trace était sèche depuis longtemps avant qu'il ne se mette à pleuvoir

Il reprit espoir en même temps que la route ; encore deux heures avant de déjeuner, il lui restait un peu de temps

Il parcourir tous les chemins et les pistes qu'ils pratiquaient ensemble par le passé, mais ne trouva que peu de traces, encore moins de traces fraiches

Dépité, il fit demi tour
--Wolfen
Il était a l affût depuis un bon moment quand il vit une forme se profiler se plier vers terre !
il huma l air et sentit quelque chose d indéfinissable mais connu en meme temps il allait montrer les crocs quand la pluie se mit a tomber et vit la forme s en aller Il décida de la suivre son instinct de male dominant lui disctait de le suivre il va le conduire il le faut quitte à en mourrir !
Mais il faut qu il sache il le suivit tout en se profilant dans les moindres recoins en restant sur ses gardes

--Dalen
L'homme était arrivé depuis peu dans le village.

Il errait depuis des semaines sur les routes et vivait de peu.

Exilé, il faisait son possible pour subvenir à ses besoins, mais trop épuisé pour faire mieux, il survivait plus qu'il ne vivait... Il n'en pouvait plus de cette existence là.

Il aperçu enfin les portes de cette cité dont on lui avait tant vanté les mérites.

Il s'attendait à rencontrer des soucis avec la douane ou la garde, on aimait peu les vagabonds de nos jours, mais son espoir le poussait de l'avant

Le soleil était encore haut cet après-midi, mais le vent et l'humidité avaient presque eu raison de lui

Une fois de plus, il fit le compte de ses maigres possessions et espéra sans grand espoir qu'il pourrait trouver du travail et une salle commune ou au moins une écurie au sec pour se reposer

C'est les épaules basses, mais l'espoir le portant qu'il passa les portes de la ville
--Cabotine


La louve allait passer la porte lorsqu'un lapin passa à sa portée
Était-elle devenue une ombre que même ses proies ne la remarquent pas ?

Elle fit un bond puissant, l'attrapa par la nuque, et d'un mouvement la lui brisa

Elle le dévora sur place, affamée qu'elle était

Elle allait repartir lorsqu'elle senti de nouveau cette odeur autrefois remarquée

On était entré sur son territoire en son absence ; et c'était récent

Son esprit se vida, blessure, faim, tout cela disparu : son instinct reprenait le dessus

Elle marqua de nouveau son passage et fila
Robinus70
Robinne arriva à Castillon, derrière elle un petit homme laid et coquin, une sorte de conscience noire ….
Il ne cessait de lui parler, et elle répondait à peine.


Foutre : Dis tu vas fêter ça dans le pétrin ?
Robinne : Hum ?
Foutre : Non mais tu sais Mordock m’a promis de venir regarder derrière ta fenêtre.
Robinne : ça ne m’étonne pas ….
Foutre : Si ça se trouve ton Gawin il s’en fiche !
Robinne : n’importe quoi !
Foutre : Il a peut être trouvé quelqu’un d’autre.
Robinne : t’as pas une autre chanson ?
Foutre : Elle te plait pas ?
Robinne : Nan elle est trop courrante, trop classique !
Foutre : ahhhhhh parce que Mâdame fait dans l’originalité ?
Robinne : ouep
Foutre : T’as l’air d’un bisounours à l’espérer comme ça ton éleveur de cochons !
Robinne : tais toi t’y connais rien !
Foutre : T’es vexée ?
Robinne : …..
Foutre : allez boude pas regarde, y a deux grands bras qui s’ouvrent.
Robinne : bon ben alors tu me laisse dac ?
Foutre : pffffff jamais le droit de voir ton coté croustillant !
Robinne : Ben non c’est privé ces affaires là !
Foutre : bon ben salut j’vais voir Mordock…
Robinne : Salut Foutre !
*silence*
Voilà ! C'était fait ! Elles s'en allaient vers ailleurs... vers le soleil... vers la chaleur... vers la lumière... vers la douceur de vivre... vers la terre de Silence...
Deux filles se tenant par la main, menant un petit âne blanc bien chargé, en route vers Bordeaux, le port où embarquer pour la Cité...
Deux amoureuses rescapées d'un naufrage... alors que d'autres devaient encore se débattre dans la tempête qu'elles avaient déchaînée, sans vraiment le savoir...
et qui avaient tout de même eut encore la force de tendre la main à qui voudrait bien la saisir...
Silence baissait la tête en traversant le village, ne sachant plus même interpréter les sourires et les signes que faisaient les villageois sur leur passage... Soulagement ? Regret ? Ironie ? Dégoût ? Jalousie ? Dépit ? Compassion ? Non ! Elle ne comprenait plus... ce qu'il y avait derrière les masques... Tout avait changé si vite ! Les regards, les paroles, les gestes... sur elles... et c'est pour cela aussi qu'elles allaient ailleurs... Pour elles ! Pour les autres ! Comme elle avait hâte, Silence ! Hâte que tout cela soit derrière, loin derrière elles !
Pour la première fois de sa vie, Silence ne releva pas la tête, ne se retourna pas, en passant les portes de la ville. Elle accéléra même le pas, tirant comme elle pouvait la corde de l'âne qui ne comprenait pas, serra davantage la main d'Ulayha, fermant douloureusement les yeux, pour qu'on ne vit pas comme ils brillaient, murmurant entre ses lèvres serrées.


Fais comme moi, mon amour... Regarde pas... Entends pas... Dis rien... Va tout droit... tout droit... Te tourne pas... On avance pas là... Plus vite... Plus vite... Tire-moi... Traîne-moi... Arrache-moi... Avant que tout ça me déchire...
Dragones
Dragones arrive en courant, elles sont trop loin…Elle regarde autour d’elle…La tour, mais oui

Elle monte à la tour espèrent qu’elle l’entendrait…Dragones met les mains en porte voix et se met à crier…

Silenceeeeeeeeeeeeeeee !
Bonne routeeeeeee, Soyez prudenteeeeeeee !
Revenez viteeeeeee !


Dragones se met à agiter les mains au-dessus de sa tête secouant un foulard en soi blanche qu’un ami lui avait donné et qui était toujours sur elle...
_________________
*silence*
Elle entend la voix, Silence ! Elle reconnait... et elle pleure... sans bruit... passe que y a encore quelqu'un ici qui souhaite qu'elles reviennent un jour... qui leur en veut pas... qui juge pas... qui condamne pas...
Elle regarde, Silence ! Elle voit... un drapeau blanc sur la colline... Elle aurait mieux aimé dans le coeur des autres... mais ce drapeau là qui flotte... comme la grande voile carrée de l'Argo... c'est déjà beaucoup...
Elle lache la corde un instant... Elle lève la main... fait un signe...
Reprend la corde... tire... tire... Aubain... Ulayha... elle... irrésistiblement... vers l'horizon... le point de fuite... où convergent et se rejoignent... toutes les lignes du tableau...
Dragones
Dragones espère qu’elle la voit, le foulard blanc se fait voir au loin.
Elle perçoit un arrêt, elles l’ont entendu et à présent la regarde…Un signe lui est fait…

Une amis s’en va, un ami est triste…Dragones pense a Lotx et Julia…soupire…

Dragones reste un moment à regarder au loin, le cœur et gros…
Elle ne peut s’empêcher de penser au prochain départ d’amis cher a son cœur et des larmes de tristesse envahi son visage…

Elle quitte enfin la tour retournant dans le cœur du village…
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