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Les Portes de Castillon - Arrivées et départs

Colhomban
Le brun avait un gamin sur l'épaule et avançait à grandes enjambées vers la port défoncée. Sorianne suivait derrière, l'épée aux aguets, prête à en découdre. Ha quelle femme ! En extase devant sa mie il oublia bien vite ces désirs amoureux quand Lysi piqua une grosse colère. Il la fit décoller à son tour sur son autre épaule et avança vers l'intèrieur du village avec aucune intention de les poser. Il aurait deux mots à dire à Sorianne sur l'éducation de ses enfants...

Perdu dans ses pensées une douleur fulgurante lui traversa les fesses. Sa brunette avait une épine coincée entre son pouce et son index, et un regard interrogateur dansait dans ses prunelles.

Ne t'inquiète pas il y'en aura d'autres... Le ton était boudeur.

Les monstres je vous pose seulement si vous marchez calmement à côté de nous et si aucun de vous deux ne tentent de s'échapper ou de se venger... Compris ? Sinon la punition sera terrible...

Il avait pris sa voix de capitaine, celle qu'il avait aimé arborer quand ses troupes devaient suivre la cadence.

Un panneau de taverne grinçait sur ses gonds dans une ruelle non loin d'eux. Il était temps de se restaurer, de se reposer, et surtout de récupérer charette et amies !
Lotx
'ttendez moua, 'ttendez moua! L'es lourd mon saqueuh!!
-Tu veux pas que ze te... soulaze choubinet?
-Nan!


Lotx trainait péniblement le sac contenant toutes ses affaires pour le voyage. Ses habits, quelques provisions... Mais aussi tout son matériel à prières... et tous les saucissons invendus qu'il comptait bien refourguer à quelques unes de ces langues de vipères...
C'est dans un effort inhumain qu'il hissa le tout sur une vache qui tréssaillit sous le poids.


Vala, on peut y aller maintenant!
-Allez les enfants, en rut... enfin ze veux dire... en route! Et tassons d'éviter les brigands qui pourraient nous détrousser, nous déshabiller nous... violer...


Air songeur du clerc, regard noir du garçonnet. Sifflard n'était pas initialement prévu dans l'escapade mais il avait réussi à nouveau à s'enfiler Lotx... enfin à s'enfiler dans son groupe et prenait à présent la route de Bergerac.

Au revouareuh Castillon... Je vais reviendre... Te laisse pas séduire par les épines de la calomnie pendant mon absence...
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Pasque y a pas que les poneys dans la vie d'abord: l'hymne de Lotx
Aurelien_le_ninja
raa! raaaa! raaaaa! Attendez moi quoi !
Hey Lae ! Ness ! Dea ! Rob !
Oh Ca va ! On est pas aux pièces là !
On est arrivé non ?

Auré s’arrêta sur la borne au porche d’entrée du village et enleva ses bottes
Pas vrai çà toujours pressés ! Je viens plus avec vous si ca continue !!!!
Hé vous m’attendez oui !!!
Hé !!!!!

Auré courut ses bottes à la main pour rejoindre ses amis qui avaient déjà disparus dans une rue du village
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Robinus70
Robinne arriva toute essoufflée aux portes de la ville, torchons en main.
C'est qu'elle faisait son petit ménage, et elle n’avait pas vu le temps passer...


Le départ, je ne veux pas rater ça, avec la caravane qui vous lance tout plein de cadeaux, pis le gros Mordock avec ces bouées sur le toit de la diligence et son sourire en forme de croissant heureux.

Alors elle agita ses chiffons, dans un nuage de poussière et se mit à chanter la chanson de Kahhlan.


Moi je file un rancard
a ceux qui l’voudront bien
Sans idéologie discours ou baratin
je vous promettrai pas
Les toujours du grand soir
mais juste pour un temps
du rire et de l’espoir

Aujourd'hui on n' a plus le droit
De voir not’ capitale avoir si froid
Dépassé le chacun pour soi
Quand je pense à toi je pense à moi

Je vous promets pas le grand soir
Mais juste à manger et à boire
un peu d’humour, un peu d’espoir
et un grand bal en fin de l’histoire
Aujourd'hui on n' a plus le droit
De voir not’ capitale avoir si froid

Autrefois on gardait toujours une place à table
Une chaise, une soupe, un coin dans l' étable
Aujourd'hui nos paupières et nos portes sont closes
Les autres sont toujours, toujours en overdose

J' ai pas mauvaise conscience, ça m' empêche pas d' dormir
Mais pour tout dire ça gâche un peu l' goût d' mes plaisirs
C' est pas vraiment ma faute si y' en a qui n’ont rien
Mais ça le deviendrait si on n' y change rien

Refrain

On a pas de solution pour leur changer la vie
Mais si on peux aider quelques heures allons-y
Y' a bien d' autres misères trop pour un inventaire
Mais ça se passe ici, ici et aujourd’hui

Aujourd'hui on n' a plus le droit
De voir not’ capitale avoir si froid
Dépassé le chacun pour soi
Quand je pense à toi je pense à moi

Je vous promets pas le grand soir
Mais juste à manger et à boire
un peu d’humour, un peu d’espoir
et un grand bal en fin de l’histoire
Aujourd'hui on n' a plus le droit
De voir not’ capitale avoir si froid
Robinus70
Alors qu’elle agitait encore sa petite main sur des points au loin, une autre silhouette apparut à l’entrée de Castillon, alors Robinne se mit à courir, courir, et se jeta dans deux bas maigres.
Un visage pâle maladif la regarda et lui offrit un pâle sourire.


Elle tendit une main.

Viens…

Sa petite main le guida vers les bleuets, au chaud, avec pour seule richesse, toute la chaleur humaine que la maison de Gawin et d’elle pouvait offrir…
Dragones
Les portes sont franchit…

Dragones regarde le village et sourit…Willow toujours entrain de tété…
Rentrer à la maison se poser un moment, puis faire le tour du village…

Va falloir tout organiser car Griselda étant resté en Périgueux, Dragones se retrouvait seule avec les enfants.
Seamus étant parti travailler à la mine il n’était pas revenu avec eux…
Willow avait enfin lâché son sein, Dragones remet son vêtement en place et pose Willow avec son frère et sa sœur…

Elle descend de la calèche aider par le cochet…Ils avaient lié connaissance durant le voyage et il avait été patient avec les petits…

La jeune mère tout en préparent le transport des enfants vers la maison remercia le vieux cochet et lui fit de grosse bises sur ses joues barbue…
Les enfants dans leur panier sur son dos, le troisième contre elle entourait du drap, la voilà traversant le village en direction de sa demeure…


Plus tard Dragones revint près des portes de Castillon…Un regard en arrière, un sourire et la voilà reprenant la route…
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Alea...
Les filles avaient dû quitter Eleusis. Bien vite. Trop vite. A peine arrivée ici, qu'Ulayha regrettait déjà Eleusis. Elles revenaient en terre barbares, comme disait si bien Silence.
Ula regrettait bien Eraste. Qui allait les protèger maintenant ? Lui était resté sur l'argo, confiant aux jeunes femmes son envie de partir explorer les terres du nord...

Silence, Ulayha, le chien, le chaton et l'âne entrèrent à Castillon... Enfin ? Non, déjà... C'est dépitée que la jeune femme entra dans ce village qu'elle haïssait tant.
Mais il fallait rentrer. Michi avait des problèmes et elles se devaient d'être là pour elle.

Elle regarda Silence, son regard n'exprimait que de la peur. Qu'allait-il arriver, maintenant ? Ici... Elle avait peur pour leur avenir. Elle avait pourtant confiance en Silence, mais en les autres, non. Jamais ! C'était plus fort qu'elle. Elle avait essayé de contrôler ce sentiment qui la rongeait sans jamais y arriver. Et maintenant, de retour ici, elle était effrayée. Effrayée à l'idée qu'un jour, elle pourrait partir.
La jeune femme ferma les yeux et inspira profondément. Ne plus penser à cela... Ca n'arriverait pas. Elles s'aimaient et rien ne pourrait les séparer. Elle essayait de se convaincre... Et parfois, elle y arrivait, d'autres non. C'était ainsi...

Bon, on y est. On va d'abord poser nos affaires ou on va directement chez Michi ?

Elle la regarda, attendant sa réponse...

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*silence*
Silence tirait tout ce qu'elle pouvait, comme une folle qu'on lui avait toujours reproché d'être ! Mais une folle dévoué aux amitiés et aux amours fidèles, malgré toute la souillure qu'on pouvait verser sur elle.
la corde du licol de l'âne dans une main, la main d'Ulayha dans son autre main, elle entrainait tout dans son sillage, sans rien penser, rien regarder autour, tendue comme une flèche vers sa cible : Oiseau !


Notre amie, Amour ! Notre amie ! Plus vite ! Il faut aller plus vite ! C'est déjà assez de tout ce temps perdu par la folie de ma soeur ! Oh ! Comment avons-nous put faire attendre si longtemps une amie si chère ? Elle a veillé sur mon arrivée ici ! Sur la tienne ! Et jamais ne s'est plainte ni ne nous a fait défaut ! Voilà ce qu'est notre Oiseau ! Et tu demandes si nous pouvons encore faire attendre ? Oh non mon amour ! Non... Elle est le bien le plus précieux pour nous deux que cette vie nous ait accordé... Allons plus vite encore, pitié, plus vite !
Albine.
Le voyage avait été long mais agréable tout de même. Papa était resté dans un monastère sur la route, les 3 "femmes" étaient donc libres de faire toutes les échoppes de tisserands !

Pour l'heure, on pouvait se dégourdir les jambes. Albine à terre, revient enfin là où le vent avait emmené la graine ! tsssssss

Elle sourit, elle ne reconnait pas l'endroit de sa naissance, mais s'y sent bien instinctivement. Remontant sa robe sous les bras pour éviter les chutes, et tenant son mouton d'un côté et son biberon de l'autre, elle avance le nez en l'air ravie.

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Noeline
Castillon enfin ! La route fut quelque peu perturbée par l'enfermement inattendu de son époux au monastère à Bergerac, décidément il n'était pas facile de rester en sa compagnie, dommage pour lui surtout.

Noeline et sa petite famille franchit les portes de la ville au matin, tenant Albine par la main. L'enfant semblait redécouvrir l'endroit heureuse d'être là.

Ils venaient régler quelques affaires de famille, et séjourneraient quelques jours en cette ville avant de repartir vers leur ville Aurillac. Noeline se mit en quête d'une auberge pour poser ses malles et prendre un peu de repos.
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Cymoril
Arrivée et départ,

Elle n'aurait dit mieux.
Pas envie de s'arrêter où que ce soit de toute façon, et encore moins si près de la maison...
Plus que deux jours et elle y sera enfin la jeune labritoise.

Presque deux mois qu'elle est sur les routes, à droite, à gauche, le retour en solitaire depuis Genève via la Lorraine, ou comment j'ai le sens de la désorientation ancré aux sabots d'mon canasson...

Parait que ça remue pas mal dans la région.
Elle n'en sait pas grand chose à vrai dire, les nouvelles éparses qui lui parviennent parfois l'indiffèrent la plupart du temps.

Le seul castillonnais qu'elle connaissait étant mort depuis des mois, il n'y avait eu que le marché pour exercer un certain attrait pour la brunette.
Une fois épluché le codex local, les interdictions d'acheter, de vendre, de respirer, laisser son cheval lacher son crottin devant les tavernes, non elle déconne, son camarguais fait ce qu'il veut de toute façon...

Un saut à la municipale pour y rencontrer le maire, et tenter de négocier des denrées pour sa mairie, et la voilà déjà repartie sur la route.
C'est qu'elle a un genre d'idée fixe, comme rentrer chez elle, coûte que coûte... Allez donc savoir pourquoi, quand il parait que jamais halle ne fut plus morte que depuis quelques temps.

Ne cherchez pas le myrmidon Cartel, elle n'est déjà plus là...

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Bikko
Fatigué de tout ses pas, Bikko arrive a sa ville enfin.

Sans siffloté ni pas cadancer, mais heureux d y etre pour de bon,
enfin...il le pense,

il s approche de la grande porte et regarde le gardien et dit en souriant
casssstillonn ouuuvre toi^^le gardien secouant la tête en disant qu il
ne changera jamais se Bikko

Le gardien lui dit:


aller Bikko entre et fait vite le vieux (dit en souriant)

Aaattention le jeunot il est vrais qu un villageois ne peu toucher un de
la garde mais je peux faire un retoooour et le vieux pourrais lui faire
manger une bonne sousoupe au dent au petit jeunot qu en dis tu?^^


Nonon ça va ça va (dit en souriant)
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Dragones
Le regard et brillent en vue de des porte de la ville…
Le sourire se fait, la joie d’être rentré…La main sert celle de son époux…

La calèche s’arrête aux portes…La jeune femme se tourne vers sa famille…

Griselda j’ai beaucoup à faire avant de reprendre la route, je sais que t’aimerais rejoindre ta famille au plus vite mais j’ai beaucoup à faire…se tourne vers son ange…Mon cœur je vous revois plus tard, je dois filer…Dragones embrasse ses enfants, Griselda et embrasse tendrement Seamus…

Le jeune femme saute et sourit…
Ce tournant vers Bikko…

Roooooooo, tu ne vas pas lui faire de mal a ce pauvre garde, devant toi il ne gagnera pas il aurait trop peur de te faire mal…Dragones éclate de rire en voyant l’expression de Bikko…

Iroise fut détacher et Dragones monte en selle avec souplesse…

On se verra surement en taverne ou à la maison…

Elle entre en ville au trot tout en criant…

Bonne journée et vive Castillon !
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Cracotte134
Le voyage etait fini Cracotte a la vue des portes de la ville fut heureuse elle etait enfin de retour ...mais son coeur se fit lourd d un coup ...

cet environement ,.... l odeur ...., les bruit .....d un coup tout revenait ....
elle prit une grande respiration et essaya de se montrer forte elle devait arriver a remonter ici et pas ailleurs ......il le fallait .....

elle marcha dans les rues et se dirigea de suite vers sa maison autant faire le plus difficile en premier .....
Farmers
FARMERS arriva aux porte de la ville,cette ville dont il avait ouïr tant d'éloges, il allait se faire un réel plaisir d'en faire le tour et afin d'en savourer le moindre endroit.
Elle sentait bon le parfum des fleurs!!
Bon ce n'est pas tout ça mais il me faut trouver la
demeure de cracotte afin d'y déposer mon baluchon
et me reposer les pieds de cette longue route
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