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Les Portes de Castillon - Arrivées et départs

--Griselda


Griselda les suit en silence…
Les enfants étaient installer sur Ness…
Bizarrement l’animal avait été des plus docile, très surprenant venant de cette âne qui aimait sa maitresse et pincer ou taper du sabot qui s’approcher…
Peut être que la présence des enfants le calmé…
Dragones sur Iroise et Seamus sur un cheval également…
Griselda les regarde partir de cœur gros…
La vielle dame soupire et les regardes disparaitre sous son regarde en s’enfonçant dans la nuit…
Griselda prit la direction de sa maison en soupirant…
Dragones
Dragones s’arrête en haut de la colline et regarde Castillon, le cœur s’accélère, les mains deviennent un peu moite…Son regard se pose sur Seamus qu’elle a retrouvé en chemin…
Ils avancent et franchissent les portes, le plaisir d’être revenue à la maison leur fait avoir le sourire malgré la fatigue…

Seamus pris les rennes de Ness et récupéras Deirdre qui dormait tout contre sa mère…

Merci mon ange, on se revoit plus tard et je pense que Griselda doit être à la maison à nous attendre.

Dragones ayant descendu d’Iroise embrasse sur le front chacun des enfants, enlace Seamus et un doux baiser s’échange entre les deux époux…
La main se lève et caresse la joue de son ange…

A plus tard mon ange.

Dragones tend monte sur Iroise et se dirige vers la forêt au trot…
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Seamus
Castillon... enfin te revoilà !

Il sourit dans l'aube naissante


Merci mon ange, on se revoit plus tard et je pense que Griselda doit être à la maison à nous attendre.


Je vous en prie ma douce

Les enfants seront sûrement un peu ronchons de toute façon dans les jours à venir vu comment nous avons chamboulé leurs habitudes

Entre son baiser et sa caresse, il est à mille lieux de là


A plus tard mon âme


Il la regarde s'éloigner alors, réinstalle les enfants et prend le chemin de la maison
Kahhlan
Philibert l’accompagnait pour son retour au village ..
Elle n’était pas plus à l’aise que cela et sa présence la réconfortait, de plus qu’il lui avait promis de lui faire goûter les joies de l’eau en lui apprenant à nager correctement .

Petit sourire à l’approche du village et Faënora s’impatientait ..elle dut la contenir pour la garder au pas et rester côte à côte de la charrette tirée par Câlinou que Philibert guidait.

Elle donna les consignes à ce dernier , il ramènerait la charrette à la maison et la rejoindrait plus tard en taverne …

Elle … il lui fallait trouver Mordock ..

Ils se séparèrent à la croisée des chemins en se faisant un signe et Philibert l’encouragea d’un mot aimable. Elle soupirait …

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Albine.
Sortie du monastère tranquillement. Albine regarde à droite, à gauche sans trop savoir où aller... oups

Bon et bien en attendant môman et Marie, elle s'installe par terre, caline son mouton et tétouille son biberon.

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Seamus
Seamus se dirigeait d'un pas lourd vers les portes

Le besoin l'appelait loin des siens un moment et ils allaient lui manquer

Il souffla un baiser en direction de la maison puis se tourna vers son cheval et la route derrière

Il caressa son encolure et l'enfourcha avec une pensée pour sa famille qu'il n'avait même pas eu le temps de saluer : sa tendre épouse, ses deux fils et sa fille

Il sauta en selle et s'enfonça dans la nuit
Dragones
Cette nuit là, la lune bien haute, les étoiles scintillantes Dragones galope et traverse le village sur Iroise…
Cavalière et jument ne faisaient pratiquement qu’un…L’une et l’autre anticipant les désirs de l’autre…
Iroise comprenait l’urgence et ses galops se faisaient allonger et fluide…

Seamuuuuuus !

Elle le voit se retourner, il arrête son cheval et sourit…Se rejoigne et se retrouve dans les bras l’un de l’autre, unissant leur lèvres dans un baisser passionné…

Prenez soin de vous, on vous guettera les enfants et moi…Le regarde se fait intense, la voix et vibrante d’émotion…

Il ferme ses yeux, elle se retrouve blottie dans ses bras, la câline…
Ils remontent sur leur monture, dernier baisé soufflé et il repart…

Dragones lui murmure…Je vous aime mon ange à jamais…Souffle un baiser et plus lentement retourne à la maison après qu’il eut disparu de sa vue…
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Verya2
C'est à l'aube qu'elle aperçu les portes de la ville …

Cela faisait deux mois que Verya avait quitté Conflans …
deux mois qu'elle était sur les routes ne s'arrêtant que peu … deux mois à la recherche d'un endroit où se reposer.

Elle avait espéré que ce serait Blois … grave erreur … elle n'y était pas la bienvenue … avait repris la route seule …

Elle avait rejoint ce groupe à Limoges … la solitude commençait à lui peser …
Dame Pyrotess lui avait proposé de se joindre à eux … Messire Seamus l'avait acceptée … lui avait offert l'hospitalité … elle avait suivi …

Le soleil se levait sur Castillon … la forêt … le lac … le ruisseau dans la plaine menait à un drôle de moulin …

En haut de la colline, Verya s'arrêta, s'assit, replia ses genoux sous sa chemise trop grande …
Elle souriait … contemplait, une fois de plus, le soleil levant …

Il faisait frais ce matin là … ce serait une chaude journée d'été …

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Seamus
Seamus arriva avec les derniers membres du groupe en son village de Castillon

Enfin de retour

Il salua ses trois derniers compagnons et prit le chemin de sa maison et de sa famille... enfin !

Il chevauchait depuis plusieurs jours et son dos ainsi que ses jambes le faisaient souffrir

Rarement s'était il senti aussi seul : pas de cabotine, ni son épouse, ni même leurs enfants ; heureusement que sa marraine et son compagnons avaient été là, cela lui avait fait du bien

Il éperonna son cheval pour parcourir rapidement les derniers mètres et sauta de selle à peine arrivé


La suite ici
--Enguerrand_de_honfleur
Jour 1, au lever du jour

Derrière le groupe de Seamus arrivèrent deux cavaliers.

Le premier chevauchait un hongre brun à la crinière habillement taillée, harnaché de cuir neuf. Assis confortablement sur une ample selle de voyage, la silhouette élancée de l’homme ressemblait à une statue de procession tandis que ses yeux fixaient l’entrée de la ville et le chemin de ronde. Sous la fine poussière ocre qui le recouvrait, on devinait la distinction de l’habit. Des bottes neuves délicatement ouvragées, une longue cape d’un précieux grenat et un bliaud brodé, une chemise écru aux longues manchettes fermées de boutons métalliques. Il portait sur la tête un cale de voyage rigide de la même couleur que la cape, donnant à son visage sec et sévère l’allure d’un épervier encapuchonné. Un menton tenu bien haut, des petits yeux gris perché au dessus d’un long nez sec et aquilin, ajoutés à un fin sourire confinant à la moue, donnaient à son visage un air hautin et supérieur. Sans être noble, l’homme pouvait être un riche marchand, un usurier ou un ecclésiastique, si ce n’était la fine rapière pendue à sa ceinture.

A ses côtés, le deuxième cavalier tranchait par une allure plus martiale. Perché sur un solide roussin gris, il se tenait raide comme la justice, maintenant sa monture d’une poigne ferme et experte. Ganté et botté de cuir épais, l’homme portait jusqu'à hauteur de genoux un long broigne de peau recouvert de plaques métalliques rivetées, renforcé d’une épaulière de plate sur la droite. Une longue épée bâtarde défendait son flanc droit, tandis qu’un écu sans âge couvert de cicatrices argentées était suspendu dans son dos comme une arrière garde personnelle. Son visage, impassible et stoïque, avait les traits sévères et burinés, comme sculptés dans un tronc de chêne. Sous un nez visiblement cassé, ses lèvres serrées n’inspirait guère la sympathie, sans parler de cet œil blanc que barrait une vilaine balafre violacée.

Il attendirent que la place soit dégagée pour s’avancer nonchalamment vers les gardes. Sans même le saluer, l’homme en grenat s’adressa au premier d’entre eux. Sa voix monocorde sifflait derrière ses lèvres à peine entrouvertes.


Indique moi une bonne auberge que j’y repose nos montures. Un endroit propre et bien fréquenté. Tu en répondras.


Le garde, quelque peu décontenancé par cette approche aride et vierge de toute politesse, hésita un instant à envoyer paître au loin cet arrogant personnage avec son acolyte et ses deux canassons. Tout planton qu’il était, il représentait quand même l’autorité et on lui devait le respect. Mais la place devant les portes s’était dangereusement vidées, il ne restait que lui et son collègue – qui derrière n’en menait d’ailleurs pas très large – face aux deux cavaliers qui le fixaient à présent d’un regard pénétrant, main sur le pommeau de leur épée. En ces temps de trouble, ce n’était pas le moment de jouer les héros, ni de se lancer dans une séance de savoir-vivre. En guise de merci, il pouvait tout aussi bien recevoir une dague dans l’œil.

Le garde se redressa, s’agrippant à sa hallebarde en relevant la tête dans un dérisoire défi, mais sa voie chevrotante cachait difficilement son angoisse.

Ben…allez donc voir chez Dam’ Kahhlan, à la Belle Endormie. C’est bien t’nu et on y maque bien, pouvez m’en croire. S’rez pas deçu !

Le garde esquissa un sourire mais le ravala aussitôt devant les visages impassibles de ses interlocuteurs.

Et le bureau du cadastre, dis moi où il est.
enchaîna l’homme en grenat.

"Qu’allait donc faire deux voyageurs au bureau du cadastre" se demanda le garde en se grattant la barbe dans une maladroite diversion. Pas de malle, pas de bagage, et il voulait bien se faire cureton si ces deux là venaient faire pousser des radis ou élever des chèvres ici-bas.


Beh, à la mairie j’crois ben, au centre du village. Et pourquoi donc qu'vous allez là-bas?


Sur son hongre toujours calme, l’homme opina du chef en plissant les yeux, le sourire narquois toujours accroché à ses lèvres, puis tourna lentement la tête vers ce qui semblait être son homme de main ou son garde du corps. Sur un signe imperceptible de son maître, celui-ci porta la main à sa besace et en sortit une petite bourse de cuir. L’autre reprit la parole en fixant à nouveau le garde. Sa voix était toujours aussi suffisante mais s’était faite plus sucrée.

Le monde est divisé en deux catégories, pauvre cerbère. Ceux qui posent des questions et ceux qu’on paye pour y répondre. Ceux qui essayent d’appartenir aux deux à la fois ne font pas de vieux os.

En guise de ponctuation finale, la bourse vola en direction du garde et s’écrasa sur son plastron en tintant. Les deux cavaliers se détournèrent et passèrent les portes de la ville dans un raclement de sabots, laissant les deux gardes déconcertés, penauds et pas rassurés pour deux sous.




La suite ici...
--Narrateur
Jour 1, fin d’après-midi

C’est à l’heure où du monastère retentissait les cloches annonçant vêpres que le convoi arriva aux portes de la ville, dans un vacarme de roues cerclées, de grincements de bois et de claquement de sabots. Un épais nuage de poussière ocre l’accompagnait et c’est à la lumière du soleil, tel un théâtre d’ombres chinoises, qu’on pouvait deviner le contenu de l’attelage. Deux longs chariots lourdement chargés et tirés par des bœufs, et un cavalier dont n’émergeait que la tête. Celle d’un homme d’arme, ruisselant de sueur sale, enchâssé dans un camail de cuir et un chapel de fer.

L’attelage s’arrêta à une dizaine de mètres des gardes. Comme vomie d'une étable, une forte odeur animale se dégageait du nuage de poussière qui, lentement, retombait sur le sol tel un drapé de soie, envahissant tout le parvis d’une farine âcre et sableuse. Le premier garde, littéralement noyé, ferma les yeux en se protégeant la bouche, et grogna à qui voulait l’entendre


Crévind'jou !…ptttt…qu’est c’donc qu c’te caravan’ là!

En réponse, l’autre garde, couvert de fines retombées, grommela en recrachant du sable.

mate e’l’bastringue…pttt…j’crois ben qu’c’est des marchands d’bière, ou p’t’être e’d’vin…pttt…pttt…

Ca y ressemblait en tout cas. A l’avant du convoi, le premier chariot, tiré par deux bœufs sous le joug, transportait une montagne de fûts sanglés les uns aux autres. Des traces brunâtres et violacés auréolaient les trous de remplissage fermés de bouchons en liège et de toiles de lin. Perchés à l’avant sur un banc qui devait aussi servir de caisse à outils, se tenaient deux hommes. L’un, plutôt rondouillard, trônait comme un évêque, engoncé dans un pourpoint vert olive bardé de lacets et rehaussé de maheutres bouffantes. Il s’époussetait vigoureusement à l’aide de sa coiffe assortie au costume, faisant joliment gigoter les plis lipideux de son triple menton. L’autre paraissait insignifiant à côté, un ouvrier peut-être. Le visage fermé et banal, il tenait négligemment les rênes en ignorant la poussière que soulevait son voisin et qui lui retombait dessus en pluie fine.

Sur le deuxième chariot, tout en longueur et tracté par un imposant comtois beige, s’alignaient deux énormes réservoir de bois, comme des baignoires à géant, sises sur de grosses tables rondes et épaisses où l’on devinait une profonde rigole sur toute la circonférence ainsi qu’un volumineux déversoir. De chaque côté, calés dans les rehausses à barreaux, s’entassaient de large pelles, des pilons et des râteaux de bois. L’attelage était tenu par un couple assez jeune, habillé de robustes vêtements de lin pour le voyage , un chapeau noir sur la tête de l’homme, un doubiot coloré ceignant les cheveux clairs de la femme. Celle-ci se tourna vers son compagnon, tout sourire, attrapa ses joues à deux mains et déposa un long bec au beau milieu. Puis elle sauta du chariot et couru vers le garde.


Bien le bonjour soldat, pardonnez nous cette arrivée chahutée clama t’elle en riant tandis que le garde, tout poudreux, avalait ses derniers grains de sable.

Je suis Claudine Tastevin….. Nous arrivons de Dôle pour acheter ce raisin de Castillon vanté dans tout le royaume. Et au-delà!

Sa longue robe écrue resserrée à la taille découpait une silhouette solide et harmonieuse, surlignée par un long tablier bleuté attaché dans son dos et derrière son coup. Au creux de la poitrine brillait une fine médaille de baptême.

Voici mon époux, Beren continua t’elle en tendant la main.

Depuis le chariot, l’homme – un beau visage coiffé de cheveux bruns, aux solides mâchoires, et planté sur de larges épaules - souleva poliment son chapeau, gratifia le garde d’un large sourire et sa compagne d’un baiser de la main.

Nul n’était besoin de présenter le soldat, qui, selon toute vraisemblance, ne faisait que leur servir d’escorte moyennant finance, comme c’était désormais l’habitude – voire la règle de survie - sur les routes dangereuses du Royaume. Cuit à point dans un broigne de cuir rapé, il semblait prostré comme une motte de beurre et n'avoir pour seule pensée que celle d'une pinte mousseuse pleine à ras bord.


Là-bas derrière, c’est Hugolin, notre ouvrier. Et à côté…

Maître Gaspard Passanmoye, père de cette écervelée tonna le voisin sur un ton outré, la face plissée de colère
et la bienséance aurait voulu qu’il soit présenté avant ce traîne-guenille!


La jeune femme leva les yeux au ciel en se retournant vers le garde et soupira.

Mon père adoré. Je crois bien qu’il n’a pas arrêté de râler depuis Dôle, peut-être même depuis que j’ai épousé Beren!

Elle éclata d’un rire frais et cristallin, suivi du garde qui était tombé sous le charme de ce minois aux yeux bleus éclatant de vitalité.

Nous allons rester quelques jours afin d’acheter le raisin, le fouler et le mettre en fût. Pouvez vous nous indiquez un endroit où nous pourrions installer notre campement et faire paître nos bêtes?

Ben sur ma belle dame mais j’peux point vous laisser crécher par d’dans la muraille, c’t’interdit aux convois comme e’l’vôt. Allez donc plutôt voir par là-bas en longeant l’mur d’enceinte. Après l’pont sur la rivière y’a l’vieux stade de soule avec un grand parvis d’vant et des champs d’bleuets tout autour du ventre.

J’crois même ben qu’y’a d’la vigne ajouta l’autre garde, tout aussi séduit.

Parfait, merci infiniment messieurs, à bientôt sans doute! chanta Claudine en attrapant sa robe avant de filer. Une fois installée à sa place, elle tandis un bras vers le sud-est. Beren fît claquer le fouet et le cortège se mit lentement en branle. Dans un concert de sabots et de chocs métalliques, la caravane disparut bientôt derrière l’arête d’une tour de guet, laissant derrière elle une longue traîne de poussière indolente.

Appuyés nonchalamment sur leur hallebardes, les deux gardes les suivirent des yeux.


Un ben joli couple, pas vrai Lamerluche?

Ouaip, et l’mari a ben d’là chance, ‘l’a l’air amoureux d’sa souris comme un jeune puceau

Mouai, et si t’veux m’en croire, y’a pas qu’lui. T’aurais vu l’aut’ type à côté du ventru. Il la bouffait des yeux…




La suite ici...
Spawnounours
Spawn était de retour dans cette chère ville de Castillon, qu’il adorait.
Il ne s’était absenté un peu moins de deux jours mais il était très attaché à son village, et pour lui, cela était déjà beaucoup trop.
Il pensait déjà à revoir ses amis et surtout de revoir Val, son amour, il avait besoin de parler, de s’amuser et de rire avec chacun.

Il tenait debout par habitude, et son visage était tiré par la fatigue. Le sursaut de son cheval à chaque pas, le tenait éveillé.
Il n’avait pas encore dormit depuis la veille au matin.
Il était partit chez ses grands parents, dans la maison familiale.
Il avait besoin de parler, et de faire le ménage sur son passé.

Il avait beaucoup discuté durant ce cours séjour, des derniers drames de la famille, et surtout de la mort de ses parents.
Il avait détruit et nettoyé, l’ancienne forge. Ce bâtiment était resté depuis un peu plus d’un an, en ruine à moitié calciné. Après que sa mère y soit morte…brulée.
On n’y voyait maintenant à la place, une cour recouverte de pierres, plus ou moins grosses.

Mais le plus important, pour lui, c’est qu’il revenait chez lui, en souriant, enfin.
--Ambrosia
Ambrosia s'était décidée à partir.... par manque de client. Elle avait attelé tulipe à sa roulotte ce matin et s'était mise en route dans la foulée.

Elle passa la porte de la ville, un pincement au coeur comme à chaque fois qu'elle quittait un endroit ou elle avait passé un long moment.
Ecumedesmers
Sous les ordres de son Major, Ecumedesmers, garde en civil de Castillon prit son poste.

Elle s'installa et attendit patiemment les arrivées et les départs.

Bien décidé, cette fois ci à prendre son travail à coeur et prouver à tous qu'elle pouvait être autre chose qu'une femme de fort caractère.


En fin de journée, toujours personne, elle commençait sérieusement à trouver le temps long.

Mais qu'est ce qu'elle faisait là !

Elle tournait en rond comme un fauve en cage, pas bon du tout.
Ecumedesmers
Deuxième jour, toujours personne, la galère totale.

Ecume des mers se demande s'il elle va pas déserter son poste.

Qu'a t on d'elle dans un endroit où il n'y a rien à faire.
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