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Les Portes de Castillon - Arrivées et départs

Princekris
Kris se tenait là , à son poste, à la grande porte , dans le renfoncement qui dépasse.
Gaudali et Nabeille arrivèrent avec leur barda.
Un très gros barda.
Comme si ils déménageaient.
Kris n'a pas le courage de leur redire au revoir.
Encore des anciens qui partent, pour laisser place à des nouveaux.
Castillon la bataille portait bien son nom.
Ceraphin
Dans un courant d'air glacial et hivernal, porté par un vent sec et cinglant, il s'en revint donc ce jour-ci.
Franchissant les portes de Castillon, l'enfant qui jour après jour l'était un peu moins, salua d'un hochement de tête la sentinelle postée en retrait, à l'abri des pierres.

Le visage rougit par le frimât, les doigts gelés sur les rennes de Petit Gris... Ceraphin était partagé entre morosité et joie.
Morosité des sombres nouvelles portées par les vents mauvais, joie de retrouvailles à venir.
Mais si... ?

Le vieux cheval avançait à douce allure, l'allure des voyages méditatifs.
Bientôt le Quartier St Louis serait en vue, au bout du village...

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Eymerick
Bergerac-Castillon. La distance entre les deux villes était assez courte et pourtant, même à cheval, il avait mis du temps à rejoindre sa destination. Accompagné de Ricopat, ils avaient quitté Bergerac fort tard dans la nuit et plusieurs longues pauses avaient agrémenté leur voyage.

C'est donc assez tard dans la matinée qu'une monture, portant cavalier et cavalière arrivait aux portes de Castillon. L'on pouvait alors distinguait les armes de la Vicomté de Lassay le Horps.

Castillon, cela faisait très longtemps que le nom de la ville lui martelait le crâne. Cela faisait plus d'un an qu'il se disait qu'il fallait qu'il s'y rende pour y revoir une connaissance. Mais malgré ses nombreux voyages aux portes du Périgord, il n'avait jamais franchit le pas, remettant toujours à plus tard. Et cette fois, il y était enfin.

Il ne lui avait pas annonçé sa venue, afin de lui faire la surprise de sa présence, mais depuis le temps qu'ils ne s'étaient pas vu, se souviendrait-elle encore de lui ? Le seul souvenir qu'il lui avait laissé était une chemise de couleur mauve, mais sans doute ne la possédait-elle plus au jour d'aujourd'hui. Il ne savait même pas si elle serait bien présente quand il arriverait, se rappellant son goût des voyages, mais il avait pris le risque.

L'équidé avança donc au pas et franchit les portes de la ville. Le Vicomte salua le garde posté juste à côté puis s'arrêta.


Bien le bonjour l'ami ! Pourriez-vous nous indiquer une auberge digne de ce nom !?

Ils attendirent la réponse avant de reprendre leur route, à travers les rues parcourant la ville.
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Princekris
Après avoir vu passé l'ami de Mordock , Kris s'approche du cavalier , l'observe et le salue.

Bonjour sieur voyageur !
Bienvenue en Castillon.
Une auberge? hum...ben y a "La Castillonaise" gérée par la mairie , "la bottine souriante" de mon ami Bikko , "la belle endormie" de mon amie Kahhlan et pour le ramponneau il y a "le chat qui se trémousse" et pour finir "Aux sens dessus dessous" de mon ami Gawin_derohan. Et puis les autres mais j'y vais pas trop.
Pourriez vous m'indiquer votre nom, votre ville de résidence et le motif de votre visite pour mes registres. Je vous en remercie.
Eymerick
Eymerick remercia l'homme puis lui répondit à son tour.

Je suis Eymerick de Châteaucerf, Vicomte de Lassay le Horps. Je suis accompagné de Dame Ricopat et nous venons tous deux du Mans, Capitale du Maine. Nous venons rendre visite à une amie.
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Princekris
Merci Vicomte.
Bon séjour parmi nous.
Si vous avez besoin de renseignement n hésitez pas à consulter le panneau municipal sinon les habitants se feront une joie de vous renseigner.
Leodagan
Léo arrivait aux remparts avec une grosse couverture de laine...

Il aperçut Pupuce, tenant déjà sa garde, qui se réchauffait en faisant les cent pas...
Il la rejoignit en souriant...
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C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certaines personnes paraissent brillantes avant d'avoir l'air connes...
Princekris
Kris rejoint Vanu qui l' attend sur son cheval.

Prête ma dame ?


Kris lui sourit , prend la bride du cheval en main et se dirige vers le grand porche de Castillon .
Ses yeux parcourent toutes ses rues qu'il a arpenté pendant des mois et des mois, jours et nuits.
Une pensée pour ses collègues en passant devant le poste de la maréchaussée, un léger pincement.
Arrivés devant la grande porte, il se retourne, pense principalement aux disparus.

Au revoir Castillon, à bientôt

Un léger hochement de tête, un sourire, en direction de Pupuce qui est de garde.

En route ...
Lyloo
Lyloo arriva aux portes de Castillon. Elle jeta un coup d'œil au poste de garde et fit un léger sourire. Celui-ci semblait occupé à regarder le paysage...

- Heyy hoooo!!! J'ai rien à signaler! Je peux entrer ou j'attends la saint glin glin?

elle descendit de sa jument et la tint par la bride tout en attendant qu'on lui réponde. Il faut dire qu'elle était pressé de rejoindre son compagnon et de trouver une taverne afin de se reposer mais surtout de boire un bon coup.
Stelliem
A l'aube, épuisée et trempée, Stell arrive devant les portes de la ville. Elle sourit heureuse d'être enfin chez elle. Le garde les reconnaissant, et aprés les questions d'usage les laisse passé. Elle fait la bise a Ludo et avec Bikko se dirige rapidement vers le moulin... leur chez soi !!
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Lady_faustynn
Au pied de la muraille ceignant la ville. Ou du premier mur de la première maison, s'il n'y a pas de chemin de ronde en pierre. Bref, de cette chose physique érigée de terre par l'homme, pour marquer son territoire.
Au pied, donc, une paire de botte, un baluchon, une crinière brune qui joue les bottes de foin - si, il y a des feuilles mortes dedans.

La possesseure de tout ce fourbibardabrac a un caillou blanc dans la main. Un caillou-craie, même. Consciencieusement, sur le mur, elle gribouille.


3 mars de l'an 1458.
Castillon, je suis là.
Fouleuse.


Et le caillou va rejoindre ses compères, par terre. Elle recule, passe une main dans sa nuque, plisse un tout petit peu les yeux, balaye l'alentour des fois que, réobserve son graffito. On n'y voit que dalle. Dalle, c'est le support de ses écrits.
C'est la faute à l'avarice en lumière de ce temps gris, au mur manquant de sombre, et au caillou-crayon trop clair. Mais ce n'est pas grave, dans dix, cent - et plus si affinités, années - lorsqu'elle aura écrit les chroniques et récits de ses péripéties à travers le Royaume, que les gens se les arracheront, il y aura mention aussi, de ce petit détail sur un mur insignifiant de Castillon. Et les gens chercheront, trouveront et par centaines et millions, viendront voir.

Elle entre en ville, pleine d'illusoire et puérile auto-satisfaction. Un gribouillis pour la postérité, donc.
Ou jusqu'à la prochaine pluie.

Plic... Plic. Plic-Ploc.
Hagos
Hagos arriva à l'aube , fourbu de froid et de fatigue , les gardes ke reconnurent et le laissérent rejoindre sa maison , abandonnée depuis des mois .
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Gypsie
Court trajet de Bergerac à Castillon, à peine chargées, il faudra les décharger les mules. Trio arvenne arrivant aux portes de Castillon, première visite de la ville pour l'une, les autres sont sans doute déjà venus pour l'une ou l'autre occasion diverse et variée.

Deux mules menées par l'intendant Passepoil assit sur le dernier cheval, précédé de la jument de Gypsie qui suit celle de Jazon, l'attaché diplomatique du Bourbonnais Auvergne au Périgord. Accompagné par son épouse, rectrice du Ba en pleine crise d'oisiveté depuis qu'elle a confié le rectorat à son adjoint.

Déplacement on ne peut plus heureux, juste un épisode déplaisant entre le Limousin et le Périgord, de quoi raconter aux petits enfants réunis autour du feu le soir à la veillée, dans quelques années, tout se déroule à merveille comme le paysage périgourdin défile au rythme de leur randonnée touristique, diplomatique et universitaire.


Cataclop... Cataclop... Cataclooooooppppp..... les chevaux s'arrêtent à l'ordre du meneur de la troupe, la sentinelle Jazon qui dans son célèbre et tonitruant " Olaaaaaaaa ! ", coupe court à tout mouvement de quiconque, équestre ou humain. Voilà le chef qui met pied à terre, tend moults parchemins justifiant de leur laisser promener tranquilles dans tout le duché, remercie son interlocuteur, remonte en selle, et entraine ce qu'on pourrait considérer comme sa troupe, à l'intérieur de la ville.


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Jazon
Jolie ville que Castillon ! Déjà rien que le nom était fort sympathique.
Le petit groupe circulait dans les rues.
Jazon n'en revenait pas de voir tant d'animation dans ce coin du royaume.
Il y avait fort longtemps qu'il n'avait pas vu autant de vie dans un village.

Passant devant une grande batisse, ils entendirent de la musique.
Approchant son cheval d'une fenêtre, il put voir à l'intérieur des gens danser.

*Tiens ! Belle occasion d'emmener Gypsie danser* se dit le voyageur dès qu'ils auraient trouvé une auberge et se seraient installés.

Ils découvraient peu à peu la ville passant devant maintes tavernes et échoppes en tout genre.
C'est le panneau de "A la belle endormie" qui attira le regard de Jazon.


Gypsie, Passepoil, on s'arrête ici ! Lança t-il à ses compagnons.
Entrons !

Le groupe pénétra dans la cour de l'auberge.
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En Deuil ! Pleure son fils... / A la mémoire d'Elra et d'Elégie
Gluth_vongluth
Depuis quelques temps maintenant, le soleil ne faisait que de rares apparitions dans ce ciel noir et bruyant. Les nuages extrêmement rapides suivaient des trajectoires aléatoires. Mais ce qui inquiéter les villageois n’était pas trop le temps…. Mais plutôt ce qui le faisait. Au premier abord on pouvait passer à côté, ce dire que ce ne sont là quelques volatiles qui annonce l’arriver d’une grosse tempête, mais ce qui en tombe depuis maintenant dix jours ne peu pas tromper l’œil : ces pigeons sont là depuis un bon moment. Le sol est collant, les toits sont blanc, le fer est rongé par la fiente… une vrai plait avait touché Castillon.
Le plus flagrant restait tout de même l’hôtel de la ville. Ces oiseaux de malheur y avaient comme monté leur quartier général.
Mais tout cela a disparu du jour au lendemain.

Par un merveilleux jour de Mars, dans l’ombre des piafs volant à en perdre la tête, un homme arriva.
La Cathédrale du Comté l’avait soigné de sa folie. Il était maintenant libre. Il se senti neuf. Il se senti tout simplement… lui-même. Il en avait traversé des épreuves pendant ces deux dernières semaines, mais cette maudite sucette au sel de Guérande n’était plus qu’un lointain souvenir maintenant.
Il n’avait rien de spécial à vu d’œil mais les gens s’arrêter de nettoyer les pavés et les murs à son passage.
Passant les portes de la ville en marchant de cette couche gluante, il ne cesser de regarder le ciel… tout cela n’était pas bon signe, les moines lui avaient appris au moins cette chose là.


-Bin…. C’est quoi tout ça là ?!

Une dame arriva vers lui, furieuse et prête à lui tordre le cou. Mais ce n’était pas la seule à s’approchée du gringalet… les pigeons aussi.
La damoiselle courue à toute jambe, laissant ainsi Gluth recroquevillé au sol. Il se débâta tant bien que mal mais rien n’y fit.

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Complètement blasé
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